L’avenir du Congo et de la Russie : au-delà de l’armement


Les besoins de nos États

Comme le Congo n’a pas besoin d’armes. Signer des contrats avec quelque pays que ce soit, pour l’armement de notre état, revient à ignorer nos besoins. C’est mépriser et insulter notre peuple. Notre Gouvernement, la Présidence de notre République, ainsi que notre Parlement connaissent bien cette donne. Nos fils commencent doucement à se lever. Ils ont compris que les offres et commandes d’armements tiennent à la colonisation. Ils savent que c’est du pillage de nos ressources de tout genre.  Nos pas nos ressources naturelles seulement, mais aussi nos ressources humaines, culturelles, politiques, technologiques, économiques. Lorsqu’ils en seront capables, une guerre s’enclenchera automatiquement.  La RDC gagnera cette guerre, en raison de l’intelligence et de la sagesse qu’elle déploiera sur le champ de bataille.  Parce qu’en ces temps-là, comme toujours, Dieu se mettra du côté du converti à la vérité.

Plusieurs chemins mènent à Rome, mais n’ont pas le même coût !

En attendant que les Congolais se décident à se réveiller, le Projet 2014 continue à indiquer les pistes.  Les voies qui susceptibles de mener au salut de la RDC. Un pays qui pour l’heure, a choisi le chemin de la perdition, de l’idolâtrie.  Joignant prières et travail, nous avons l’assurance d’arriver à la victoire.  Nous arriverons à bout de notre ennemi Satan et de ses suppôts humains.  Ils nous combattent, jour et nuit, mais ne se doutent pas de leur prochain échec.  Dieu, comme promis, aveugle les orgueilleux et ceux qui versent continûment dans l’iniquité.  Peu sont nos politiciens capables de comprendre, mieux, d’accepter cette donne.  Au Congo comme en Russie, par exemple, nos peuples et nos dirigeants traînent.  Beaucoup se livrent à des orgies qui ne trompent plus les congolais éveillés, nés de nouveau.  Travailler sur base d’un respect Dieu, de nos peuples, ses créatures, les dérange.  Cela revient en effet, pour eux, d’accepter de perdre des avantages qu’ils ont cumulés, engrangés.  Ils ont longtemps misé sur les convoitises, l’égoïsme, la peur, l’ignorance.  Ils ont exploité à souhait la trahison, la méchanceté et la malhonnêteté de nos peuples.  En clair, nous souffrons de mêmes maux, défauts, caractères.  Que fera Dieu dans les années qui viennent ?

Quel est la place de Dieu dans tout cela ?

Parce qu’ils refusent de reconnaître son amour des siens, Dieu sanctionnera les rebelles.  Il suscitera des  congolais sages et intelligents.  Ceux-ci redresseront bientôt le pays.  Un pays malade à cause de la trahison de son Dieu, de son investissement dans l’idolâtrie.  Qu’est-ce à dire concrètement ?  Que se passera-t-il au juste ? Pour y répondre, pensons à ceci. Que s’est-il passé en Angola, au Mozambique, au Cambodge, en Irak, au Cuba ? Où en sont l’Afrique du Sud, l’Argentine, Israël, l’Ukraine, le Kosovo, l’Egypte ou la Libye ? Les histoires de ces pays doivent nous apprendre.

Bien avant le jugement dernier…

Un investissement de quelque pays que ce soit ne portera du fruit qu’à une condition. Il devra mettre l’armement au second plan et non pas au premier plan.  C’est ici la parole de Dieu.  Les pays partenaires de la RDC, tels que la Russie, les EUA, la Chine sont concernés.  C’est aussi le cas des Corées, du Japon, de Taïwan, de l’Inde, de l’Arabie Saoudite.  Tout comme il en sera des Émirats Arabes Unis, du Brésil, du Canada et du Royaume-Uni.  De la même manière, seront traités la France, l’Australie et  l’Asie de l’Est.  Il n’en sera pas autrement en 2024, qu’à l’époque des israélites.  La publication suivante, illustre comment l’on peut mal investir.

Pourquoi la Russie ne propose-t-il, généralement, que des armes d’abord ?

Nous pouvons, ensemble, chercher à bien valider puis à répondre à cette question.

Déjeuner politique…


L’article 217

Le problème du Congo, ici, n’est pas l’article 217 : c’est le peuple congolais. Que veut-il et pourquoi ?

Pourquoi avons-nous élu les hommes qui nous pillent, nous déciment, nous déshumanisent, nous humilient, nous abrutissent ?

Plein d’alur – par exemple – acceptent de suivre Kinshasa, trahissent nos valeurs les plus fondamentales de liberté et d’indépendance, embrasse la servitude et l’esclavage à deux bras, dînent avec le bourreau, chantent avec Satan.

Je ne nous trouve qu’un devoir, aujourd’hui : dire non à Kinshasa. C’est assez que de nous être trahis nous mêmes. Nous ne marcherons plus avec Satan, mais avec le Dieu de nos pères.

Crois-moi : Kinshasa ne nous fera rien et la guerre de l’Est rentrera dans le Kivu d’où nous l’avons importée de nos mains, de nos vœux !

Du Président élu

Nous, itruriens, connaissons ce que de nos fils ont fait pour l’Ituri. Que faisons-nous de leurs œuvres ?

Rentront chez nous, bâtir ce que nous avons détruit par notre snobisme, notre démission politiques.


Il vous trompe, il se trompe, gravement, encore une fois.  Cette constitution est démoniaque et n’est pas l’œuvre des Congolais. Il faudra du temps, avant que nous en ayons une qui nous appartienne. Il se dit président élu, alors qu’il n’a pas su produire le décompte de ses voix : pourquoi ? Il a accepté sa défaite : pourquoi ?  Où sont ceux qui l’auraient élu et pourquoi ?

Frère, il est dommage que le Bandundu ne sache que nous proposer la rébellion dont nous n’avons pas besoin, depuis 1960.

Le génie qui nous manque c’est celle de nous choisir la théocratie, la liberté, l’indépendance, l’enrichissement, la dignité.  Nous ne savons pas résister à Satan, pour que loin de nous, il fuie.

Les hommes qui trahissent leurs propres tribus, comment peuvent-ils nous proposer une probité morale, une capacité managériale, une délivrance ?

Une de nos compatriotes m’avait prévenu : notre frère en Christ ment à lui-même et à ceux qui manquent un sens critique. Qu’a-t-il fait pour le Bandundu, pour le Congo ?

Sans commencer par nos villages, nous ne développeront pas notre pays, si du moins nous croyons en avoir un.

Klameta


Cher Klameta,

Après tes journées de travail, tu peux, chaque jour, passer 15 minutes à l’éducation de notre peuple,  de tes enfants.

Tu doit refuser de se mettre sous le joug de qui que se soit.  Ta devise doit être : *Dieu ? oui !  Satan ? Non !*.  En tant qu’humain, congolais, tu dois aussi demander à tout parlementaire sans production palpable, significative, connue, dans ta circonscription électorale, de se mettre à l’écart.  Pour avancer le congolais, la nation, la cause de la bonne nouvelle, de notre salut.

Cette façon de faire nous évitera :

– des querelles et guerres fratricides, tribales ;

– des lois sans sens, spoliatrices de nos mœurs ;

– l’envahissement du pays par le satanisme ambiant ;

– l’appauvrissement, sur tous les plans, de nos circonscriptions, de notre pays, continent et monde ;

– le déshonneur de notre Dieu et de notre gente ;

– la balkanisation de notre beau et cher pays.

Ce comportement te permet d’affirmer ta volonté de t’enrichir, de t’humaniser, de t’élever.

Que Dieu bénisse ta bonne résolution.

Bon réveil,  bonne journée ?


Bon reveil a toute la famille.


Merci, chère patriote, chère combattante, l’élue, la fille de mon Père !

Quand je pense que nous avons fui le pays du soleil, de l’étoile, de la lune, de la pluie, de l’or, du cuivre, de l’uranium, du manganèse, du souffre, du pétrole, de la mangue, de la goyave, de la cassiterite, du coeur de beuf, de la nèfle, du mil, du sorgho, du mercure, du coltan, de la papaine, du diamant, du fer, du rubis, de la banane, du haricot, de l’argile, de la pomme de terre, du maracouja, du soja, de l’ébène, du cyprès, de la gorille, du chien, de la chèvre, du porc, du lapin, de la coline et de la vallée, d’interminables ressources, je ne vois plus qu’une seule chose à faire : nous départir du traître de notre nation et de notre terroir, combattre le destructeur.

Bonne journée à toi aussi !

Le décollage raté du Bandundu


Le Bandundu, le grand Bandundu, vient de raté son décollage de 1960. J’ai expliqué à mon fils le pourquoi.

Dans le Bandundu, les terres de tes oncles sont exploités de plus en plus par des étrangers, venus de terres lointaines, parce que tu ne te lèves pas pour initier de grands projets là-bas. Si le bandundois ne se lève pas, d’autres étrangers viendront encore se servir des fruits de la cueillette bandundoise.

La foresterie, les mines, l’hydroélectricité, l’immobilier, les banques, les assurances, l’enseignement, les télécommunications, l’agriculture, le transport, le stockage de produits vivriers, l’ébénisterie, l’électronique, la musique, le théâtre, les arts divers et bien d’autres industries sont facilement développables dans le Bandundu.

Depuis que Molele et Kudiakubanza se sont fait tuer, ni Mungul Diaka ni Gizenga ni Fayulu n’ont pu proposer de projets politiques viables aux Bandundois et aux Congolais. Vous, jeunes du Bandundu, devez vous mettre au travail quotidien pour d’examiner les failles des projets molelistes, kudiakubanguistes, mungulistes, gizenguistes et fayuliens pour développer un projet nouveau qui mettent les peuples du Bandundu au vrai travail.

Le Bandundu a produit des cerveaux pour la RDC, mais les gaspille à cause de la parenté et de la mysticité mal maîtrisées. Tous se sont laissé prendre par le piège de la folie des grandeurs, avant même de n’avoir commencé à créer de la vraie richesse : tout le savoir, tout le savoir-faire et tout le savoir-être. Plutôt que de continuer à aller aux champs, aux bureaux, aux laboratoires et aux usines, ils se sont perdus entre les jambes des femmes étrangères ; dans des bouteilles de bières, de vin et de champagnes ; ou encore, sous des vestes, des costumes et dans des chaussures les plus chers du monde. C’est ce qui explique le décollage raté du Bandundu, jusqu’aujourd’hui.

Vous, jeunes Bandundois, devez retrousser les manches : sans cela, vous vivrez, plus, toujours et encore, des glorioles !

La congénitale incapacité de citoyenneté


Le congolais n’aime pas un Congo qu’il n’a pas créé et qui lui pose beaucoup de problèmes, en raison de sa diversité culturelle.

Seuls les chrétiens, en raison de leur nouvelle naissance, ont la capacité de transcender le tribalisme ambiant, d’aimer véritablement ce Congo des Belges, de s’efforcer d’en faire un Congo des Congolais.

Les bokokistes du MNC, du MPR, de l’AFDL, du PPRD, de l’UDPS, sont congénitalement incapable de citoyenneté.

Très peu, infimes, sont ceux capables de comprendre cette loi fondamentale.

Les discours politiques païens, n’aideront pas notre pays à s’en sortir. Seules la connaissance intime, mystique, de notre créateur et de ses desseins, ainsi que la pieuse conformation de nos comportements à son vœu sauveront le Congo.

La cause profonde de nos malheurs est donc l’iniquité de notre peuples.

Opérer son choix


La mort de plusieurs dans la prison de Makala a Kinshasa a suscité des débats,  des réflexions chez plusieurs.

Nous nous sommes exprimés et JCU a réagi.

[9/3, 22:39] JCU

J’aurais besoin de votre analyse quant à ce.

Franchement dans un pays de droit, où on prône la démocratique, dans des lieux de correction ! Non, non, non : Congo.

[9/4, 10:38] GPAU

L’Ituri va continuer à vivre le même type d’événements que celui advenu à Kinshasa si nous continuons à laisser les choses aller de la sorte, à lier notre destin à celui des hommes de Kinshasa, à ne pas défendre nos valeurs ituriennes, à ne pas vouloir résoudre le conflit Hema-Lendu par nous-mêmes, à ne pas exiger notre indépendance véritable.

Avec les acteurs politiques actuels, nous ne sauront pas opérer le changement nécessaire. La vraie solution passe donc par :

  1. L’identification et la promotion de nos bons gestionnaires de la chose publique.
  2. La disqualification, par voie de droit, de tous les hommes véreux qui trônent dans notre pays.
  3. L’engagement du pays dans un développement endogène, intégral et intégré, dans un système respectueux de tous nos peuples du Congo, par des projets écrits, consensuels, démocratiques, complets, soignés, solidaires, rentables.

Kinshasa n’a ni la volonté, ni la capacité de conduire un tel projet. Nos localités, nos communes ou nos secteurs, nos territoires et nos provinces ou futurs états se doivent se liguer pour disqualifer démocratiquement les esclavagistes et colonialistes de Kinshasa et pour engager notre nation sur la voie de son indépendance et de sa prospérité véritables. Au Projet 2014, nous avons des propositions claires et net pour aller vers dans la direction d’un tel bonheur.

Accueil

Moi, je suis prêt à participer, tant que les mahagiens ou les ituriens, le voudront, à un processus qui vise une réelle indépendance de tous nos peuples, unis autour des valeurs nationales clairement définies et préalablement acceptées par les états à créer sur la base de nos affinités culturelles.

Je refuse en revanche de fonctionner avec des brutaux, des assassins, des esclavagistes, des colonisateurs, des fétichistes, des démagogues, des voleurs…


[9/4, 11:05] JCU :

Ça laisse nos mémoires vides dans la réalisation.


[9/4, 11:13] GPAU:

Continuons à mourir, d’accompagner l’arbitraire et l’enrichissement de nos bourreaux.  Dieu écoute ses serviteurs, JCU. Toi, chousis la vie et non pas la mort qu’a choisie la foule.

Kinshasa ne s’en sortira pas !


Répétons-le à nos compatriotes : sans un projet comme celui-ci, Kinshasa ne s’en sortira pas.

Les divergences et les inimitiés persisteront, les violents sont ceux qui dirigeront le pays.  Ils conduiront les congolais vers une boucherie humaine de plus en plus grandiose.

Voici, tel que reçu,  ce qui à été posté, dur notre compte WhatsApp.

RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

RD Congo : le carnage dans la prison de Makala secoue Kinshasa

Pour empêcher les prisonniers qui tentaient de s’évader à la faveur d’une panne de courant, la garde républicaine a tiré dans le tas à la mitraillette.

Par Colette Braeckman
Publié le 3/09/2024 à 15:51

Les habitants du quartier de la prison centrale de Kinshasa, Makala, sont toujours sous le choc après le carnage survenu dans la nuit de dimanche à lundi. Ils estiment que le chiffre officiel faisant état de 129 morts est largement sous-estimé : « Lorsque l’on tire à la mitraillette sur une foule, cela fait bien plus de morts. »

« C’est après 1h du matin que nous avons été réveillés par des coups de feu tirés dans l’enceinte de la prison », nous raconte un voisin, dont la voix tremble encore. « Au début, nous avons cru que des voleurs avaient tenté de braquer l’un des magasins de la prison à la faveur de la panne de courant qui avait plongé tout le quartier dans l’obscurité. Mais nous avons vite compris que c’était beaucoup plus grave et qu’à la faveur de l’obscurité, des “kulunas” (jeunes délinquants armés, NDLR) tentaient de s’échapper, escaladant les murs d’enceinte et essayant de faire sauter les barreaux. »

Vers 2 h du matin, la situation s’est aggravée lorsque des renforts sont arrivés et ont tiré à balles réelles dans la foule des prisonniers rassemblée dans la cour de la prison. « Nous entendions les cris, les hurlements car c’est depuis les miradors que les gardiens tiraient sur une foule évaluée à 1.500 personnes. »

Un autre voisin, qui a une expérience militaire, est formel : « Dans la nuit, lorsque la garde républicaine est arrivée sur place, on a entendu des tirs de mitraillettes tirés depuis les véhicules. J’ai aussi reconnu le tir de fusils UZI ou FAL, c’étaient de véritables scènes de guerre. »

Le pavillon voisin, qui héberge des femmes détenues, a également été attaqué, mais, sur ce point, les versions divergent : certains témoins assurent que les kulunas voulaient violer les prisonnières, d’autres mettent en cause les militaires. Un homme conclut : « A Makala, tout le monde viole, les prisonniers attaquent des femmes qu’ils disent être des prostituées, les policiers, les gardiens font la même chose et les militaires ne se privent pas non plus », précise notre source.

« Nous avons attendu le soir pour oser bouger »
Après les affrontements qui n’ont pris fin qu’à 8 h du matin, les habitants du quartier sont restés terrés chez eux, craignant que des patrouilles enfoncent leur porte afin de débusquer d’éventuels fuyards. « Nous avons attendu le soir pour oser bouger et, tapis derrière les fenêtres, nous avons observé le mouvement des véhicules militaires qui venaient récupérer les corps », ajoute notre témoin.

Durant la journée de lundi, des rumeurs ont circulé dans Kinshasa, accusant un « commando rwandais » d’avoir tenté de faire évacuer des rebelles du M23. Mais dans le quartier de Makala, cette version laisse sceptique : « Ce qui s’est passé n’a aucun lien avec la guerre à l’est, ce sont des jeunes gens, les kulunas, des prisonniers de droit commun, entassés dans la cour, qui ont tenté de s’échapper à la faveur d’une panne de courant et qui ont affronté la garde républicaine venue prêter main-forte aux gardiens de la prison en tirant dans le tas. »

Le bilan présenté par le ministre de l’Intérieur Jaquemain Shabani, paraît largement sous-évalué (129 morts et 59 blessés). Quelques heures après la fusillade, la classe politique s’est emparée de l’affaire, mettant en cause le ministre de la Justice Constant Mutamba.

Ce drame rappelle aussi la situation de la prison de Makala, la plus grande du pays : censée être faite pour accueillir 1.500 détenus, on y recense entre 14 et 15.000 prisonniers dont quelques privilégiés seulement bénéficient de cellules individuelles.

Kinshasa capitulera…


Chers tous,

Le Projet 2014, que plusieurs personnes occultent, reste très en avance sur son temps. Nous vous revenons avec des arguments déjà connus et avec nos nouvelles trouvailles politiques, stratégiques.

  1. Beaucoup en sont déjà convaincus : Kinshasa ne nous sortira pas de l’insécurité ; il ne fera que l’accroître en raison des motivations et des compétences qui restent encore à travailler par nous, peuple congolais.
  2. Sans l’implication de l’intelligentsia congolaise, nous ne pourrons jamais être compétitifs sur aucun plan, à l’international. Cela, bien que nous ayons une ressource humaine exploitable assez abondante, mais encore insuffisante.
  3. Le devoir d’instruit, de former et d’éduquer les congolais est nôtre et de de personne d’autre.
  4. La dualité du pouvoir (gouvernemental et celui dit coutumier) est une promotion, un prolongement de notre colonisation. Prendre notre indépendance, c’est n’accepter et ne nous soumettre qu’aux autorités de nos royautés ou empires congolais et à personne d’autre.
  5. Cette remise en cause du pouvoir de Kinshasa sur nos peuples n’est pas à confondre avec les aventureuses rébellions que nous connaissons et ne doit surtout pas être un rêve ; mais un combat de tout un chacun qui recherche notre réelle indépendance. C’est elle la vraie indépendance du Congo : celles de nos peuples aujoud’hui assujettis par Kinshasa et ce, depuis 1960, par nos propres frères congolais, d’abord et par les autres ennemis de nos peuples derrière eux.
  6. Nous demeurons convaincu qu’un passage en 5 étapes de 5 ans chacune, de la République, vers l’Union des État Indépendants du Congo (UEIC), de l’Afrique Centrale (UEIAC) ou de l’Afrique toute entière (UEIA), soit le seul moyen de léguer à nos enfants un état paisible et prospère.
  7. Notre indépendance politique, technologique, culturelle et sociale tient à notre capacité de produire et de vendre nous-mêmes nos services et nos produits, au Congo même ou du Congo même, sans courir inutilement, à perte, à l’étranger.
  8. De notre capacité de prendre en charge ces donnes géopolitiques dépendra notre destin, notre bonheur présent et futur.

Le Projet 2014, continue donc à solliciter une participation active massive à la rédaction en ligne d’un projet de société pour la RDC et de son test sur terrain au fur et en mesure de l’exécution dudit projet. C’est la manière civilisée et efficace de forcer Kinshasa à la capitulation dans la guerre qu’il mène contre notre peuple.

L’opposition échoue : pourquoi ?


Cette belle image nous est parvenue ce matin. Comme toujours, le commentaire attriste. Comment allons-nous nous en sortir avec des mensonges, dans l’opposition, comme dans le pouvoir en place ?

IMPOSSIBLE ! Peuple congolais.

« D’abord les 3 premiers (Sama L., Kamere et Judith S.) sont des rwandais de père et de mère ; ils travaillent en RDC pour le Rwanda. Les deux autres sont aussi des prédateurs corrompus avérés.

Si Tshilombo meurt ou s’il devient incapable de [suite de sa] maladie ; alors, c’est le tutsi munyavyura de Lubumbashi, Sam Lukonde qui va lui succéder légalement.

Felix Tshilombo est incapable de nommer un congolais de père et de mère à un poste régalien ou stratégique. La question qui se pose c’est : est-ce que lui-même Felix n’est pas étranger quelque part, d’origine ?

Dans tous ces gouvernements successifs, on a toujours plus de 5 rwandais tutsi comme ministres…

Donc, c’est alias Joseph Kabila qui continue dans l’ombre à gérer le Congo ; on a un roi qui règne et un roi nomme pour faire du théâtre. »

En même temps, certains croient la victoire déjà consommée. C’est ce que nous pouvons lire sur cet autre article qui nous tombe sur le bureau.

« Le combat pour le départ de Monsieur FÉLIX ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO à la tête du pays devient totalement facile.

Rien que pour ces deux visages : M. VITAL KAMERHE et M. SAMA LUKONDE sont les enfants politiques de JOSEPH KABILA KABANGE.

ATSHI bye !

https://x.com/LompempeJ/status/1823115817372037127?t=dsOpwqczLWGYDqE1jmkCNw&s=08« 

Travailler avec du mensonge, c’est perdre d’avance.
Comptons le nombre de contre-vérités dans cette livraison et concluons quant au pourquoi de nos échecs.