À ma gente congolaise.


Chers compatriotes,
Notre passé, notre présent et notre futur sont tous importants, à mon avis.

Pour le Congo, quelle est votre vision, votre mission, votre proposition, en tant que membre de la gente congolaise ?


Je pense par exemple que nous devons hisser les salaires dans nos localités, protéger notre travail et qualifer tous nos travailleurs, pour accroître leur productivité et nous permettre d’être compétitifs !


Pour ce faire, il faut une décision collective avec des mesures accompagnantes bien étudiées préalablement…
Si nous voulons que dans 25 ans, les salaires de 100 €/mois passent à 3250 €/mois, nous devons multiplier nos pas salaires par un minimum de 1,0116717228 chaque mois, systématiquement ! Cela est possible, même si les autres tiennent à la pauvreté.

Libérons-nous, nous-mêmes et n’attendons pas les autres, les insouciants, les irresposables du progrès !

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Esclaves des européens ou des congolais ?


Tel que reçu sur WhatsApp.

Liste de salaires des enseignants en Afrique :

  1. RDC : 90 et 150$
  2. Congo Brazza : 400$
  3. Gabon : 700$
  4. Cameroun : 600$
  5. Angola : 800$
  6. Tunisie : 1500$
  7. Égypte : 1600$
  8. Algérie : 1500$
  9. Madagascar : 600$
  10. Zambie : 500$
  11. Tanzanie : 400$
  12. Rwanda : 300$
  13. Zimbabwe : 500$
  14. Lybie : 1000$
  15. Maroc : 1200$
  16. Burkina Faso : 700$
  17. Guinée : 600$
  18. Afrique du Sud : 2000$
  19. cote d’ivoire : 800$
  20. Nigeria : 900$.

Je ne suis pas autorisé à faire seul la recherche, vous pouvez aussi continuer.


GPAU

Nous estimons que dans la plupart de ces pays le minimum vital se situe dans les 3250 $ bruts/mois/travailleur. Nos pays doivent donc décider de doubler voir même de multiplier par 30 leurs masses salariales : par la mise à l’emploi, le relèvement du niveau d’instruction, d’éducation et de formation de la population.

C’est donc d’un véritable règne de l’esclavagisme africain que désormais doivent se débarrasser les africains et leurs vrais amis.

Quelle économie et quel social demain ?


Quelle type d’économie (gestion de ressources matérielles nationales) et de social (gestion de la ressource humaine) pour le Congo de demain, avec une équipe du Projet 2014 pilotée par nous, aux arènes du pouvoir ?

Consultez régulièrment les menus « Economie » (https://projet2014.com/economie) et « Social » (https://projet2014.com/social) pour prendre connaissance de nos propositions et laissez-nous vos commentaires, questions, avis, considérations, suggestions et critiques sur les pages correspondantes du blog.

Jeunesse : levons-nous et agissons ! (3)


Pourquoi ne fêtons-nous pas le 30 juin ?

Demain est la journée de la fête de l’indépendance qui nous aurait déjà coûté 6 à 12 millions que d’autres comptent pour nous !

Jeunesse congolaise, réfuse d’avoir un avenir compromis par de papa qui veulent éternelement.

Suivez une partie de la campagne que nous menons sous Skype et Facebook.

Vous pouvez appuyer l’initiative.

*****************************

[10:50:22] JAO: Bonne fête de l’indépendance en Bruxelles

[11:52:15] GPAU: Bonne fête ?

[11:52:22] GPAU: Qu’est-ce qui te prends ?

[11:52:37] GPAU: Où vois-tu le congolais indépendant ?

[11:53:13] GPAU: Avec des congolais qui enlèvent aux autres congolais leur nationalité ?

[11:55:01] GPAU: Avec un imposteur et incompétent à la tête du pays ; des assassinats, des meurtres, des viols, de vols, de populations déplacées, décimées, privées de leurs libertés et de la paix ; toi tu es en fête ?

[11:55:33] GPAU: Je n’ai jamais fêté le 30 juin !

[11:55:37] JAO: Ce malheureux mon frère maintenant vous avez quelle nationalité

[11:57:50] GPAU: Je réfléchis à comment faire pour convaincre mon peuple de traduire en justice les assassins de Lumumba, Tshombe, Chebeya, Tungulu et autres ; à traduire en justice ce qui s’arroge le droit de me priver de ma nationalité !

[11:58:40] JAO: Même moi mon frère j’en ai marre avec

[11:58:40] GPAU: Et toi, je pensais que tu étais à notre côté dans cette lutte pour l’indépendance des peuples du Congo !

[11:59:00] GPAU: 2016 approche, allez-vous commettre encore la même erreur ?

[11:59:15] GPAU: Malu Malu est déjà mis en place…

[11:59:31] GPAU: Vous irez encore à ces élections-là aussi ?

[12:00:27] GPAU: Ce serait très dommage et appeler une malédiction sur une autre !

[12:00:33] JAO: Moi non je n’irai

[12:01:00] JAO: Vraiment ce drôle d’histoire

[12:02:33] JAO: Ce pourquoi je dois tjrs les dénoncer

[12:03:47] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:03:48] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:04:46] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:04:47] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:05:09] JAO: Papa je suis derrière vous

[12:05:52] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:05:53] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:29] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:06:30] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:07:36] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:07:37] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:08:14] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:08:15] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:09:53] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

[12:09:55] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

A cette allure-ci…


“A cette allure-ci, comment pouvons-nous compter sur une victoire dans le combat livré contre l’ennemi des congolais ?”

[09-04-13 01:58:20] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: flash flash flash

LE COLONEL KANYAMA A LA TETE DE 20 POLICIERS VIENT D’ENLEVER SANS MANDAT A 22H00 AU CENTRE CANA LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA.

LES POLICIERS ONT BRUTALISE LE PERSONNEL DE CANA ET PARTICULIEREMENT LES RECEPTIONNISTES POUR DEMANDER OU SE TROUVAIT DIOMI NDONGALA. ILS L’ONT PRIS DE FORCE ET AMENER ENVERS UNE DESTINATION INCONNUE. L’AGENT DE SECURITE MAMBA QUI ETAIT A LA PORTE DU CENTRE A ETE AUSSI ENLEVE.

LA FAMILLE DIOMI ET LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXPRIMENT DES VIVES CRAINTES POUR L’INTEGRITE PHYSIQUE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDENT A TOUS LES CONGOLAIS EPRIS DE JUSTICE DE SE MOBILISER CONTRE ce HARCELEMENT POLITICO-JUDICIARE QUI VIT LE DISSIDENT DIOMI NDONGALA DEPUIS PLUSIEURS ANNEES

[09-04-13 02:16:12] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Il est dommage qu’après les « vu… » on en arrive qu’à une « marche » !

Kanambe peut dormir sur ses lauriers, les amis !

[09-04-13 11:15:57] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : TRISTE NOUVELLES. ET QUE FONT LES AUTRES DEPUTES ?

[09-04-13 11:16:42] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : DE LA MAJORITE COMME DE L’OPPOSITION ?

[09-04-13 11:17:40] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : SI EUX NE SAVENT PAS MONTRER L’UNITE ET SOLIDARITE ENTRE EUX, A QUOI BON EXISTER ?

[09-04-13 11:18:07] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : CELA MONTRE BIEN QU’ILS SONT LA POUR LEURS POCHES

[09-04-13 11:18:53] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : ILS PEUVENT MM DEMANDER 10000000$ PAR AN ET TUER TOUS LES CONGOLAIS

[13:15:47] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao : Pour votre information, retenez que Eugène DIOMI NDONGALA se trouve au CPRK-MAKALA/PAVILLON8 donc même pavillon avec : chalupa + col. Josué samba + Me. Firmin YANGAMBI + etc. Et le fameux pasteur DENIS LESSIE est gardé à la prison de NDOLO

[13:49:09] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Chers compatriotes congolais de la Radio du Projet 2014, LEVEZ-VOUS !

[13:49:42] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : De quoi ou de qui avez-vous peur ?

[13:51:43] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Que l’Etat arrête un coupable, un perturbateur de la paix publique, est ce que nous attendons tous de lui !

Que le congolais, depuis Lumumba jusque maintenant, soit traîner dans la prison, invention du colonisateur, comme une charogne, devrait nous interpeller tous, sans exception : que nous soyons du pouvoir ou de l’opposition.

[13:52:34] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: A cette allure-ci, la RDC ne peut pas prétendre à la paix ni à la prospérité avant 2033 !

Comment y arriver sans que nous soyons en mesure de nous mettre autour d’une table pour la moindre des réflexion sur notre destin ?
Comment y arriver avec des leaders qui ne font que penser tribu, langues et alliances improductives ?
Comment y arriver avec des païens qui défilent à la tête d’un pays à 85% prétendûment chrétien ?

Naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?


Lisez la suite et dites-nous si vous ne pensez autre chose en déposant votre commentaire ici à l’attention des congolais du Net.

Le Projet 2014 est la seule solution que les congolais n’aient pas encore essayée.  En effet, tous les politiciens de l’espace politique congolais se plantent.  Nous expliquons que c’est parce qu’aucun d’entre eux n’a le souci d’associer, le souverain primaire à la gestion de la chose publique comme il se doit.

Hypocrites pour la plupart, ils tentent comment être aux commandes pour subjuguer les autres congolais plutôt que pour redresser la barque.  Dieu, dans sa toute-puissance les confond un à un.  Kasavubu, Mobutu et Kabila ont tout simplement échoué par défaut de démocratie dans leur stratégie.

Le Projet 2014 est la solution que tout le monde rejette faute de ne perdre sa place : il s’agit ici d’hommes qui recherche la restitution, à tout prix, AUX PEUPLES du Congo, de la RDC, de leur indépendance perdu depuis la colonisation et même plutôt, depuis l’esclavagisme arabe.  Cette solution, qui demande beaucoup de civisme ; civisme que s’interdisent ceux qui ont soit les mains pleines de sang congolais et étranger soit le cœur vide d’amour pour la patrie soit la tête vide de vision et soit les mains vides de compétences, est celle qui obligera tous nos politiciens à respecter nos peuples.

Analyser les acteurs en présence sur la scène politique congolaise et constatez par vous-même combien nous avons commis l’erreur de commettre des hommes véreux, des traîtres, à la gestion de la chose publique.

Nous congolais, faute de nous décider à corriger nos turpitudes, fuyons en avant en rejettant sur des imposteurs seuls la cause de nos misères, oubliant qu’avant l’impostures, nous dansions dans les stades et sur les routes – ce que certains d’entre nous continuent d’ailleurs à faire – plutôt que d’aller travailler dans les usines, les champs et les écoles.

Un changement de mentalités, d’attitudes et de comportements est nécessaire !  C’est la nouvelle naissance, sans laquelle je ne vois aucun congolais d’aimer véritablement le Congo, l’Afrique et la planète Terre.  Qui veut naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?

[15:58:16 | Édité par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu, 16:15:35] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Le passé de Sultani Makenga mis au découvert!
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=43640%3Anord-kivum23–des-militaires-rebelles-contraints-de-se-battre-par-peur-detre-assassines-&catid=21%3Aobservateur
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
JEUDI, 14 MARS 2013 12:34
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Alors que sur les champs de bataille, les deux groupes rivaux, déploient tout leur arsenal pour faire plier l’adversaire, dans les deux camps, la peur et la terreur prend de l’ampleur. A Kibumba, désormais quartier général du président Jean Marie Runiga, déchu par Sultani Makenga, 26 militaires rebelles ont été froidement abattus par le Général Ntaganda. Leur seul péché, vouloir fuir le rang de cette rébellion.
Que s’est-t-il passé ?
Lundi aux petites heures du matin, dans l’un des campements des rebelles Ntagandistes à Kibumba, un petit groupe de militaires se concertent en catimini. Ses jeunes rebelles, décident de prendre le large et d’abandonner la guerre sous commandement de Bosco Ntaganda, un officier recherché par la Cour Pénale Internationale. Malheur à eux, car quelques instants après, l’affaire s’ébruite. Mis au parfum, Bosco descend illico, ‘’Kalachnikov à la main, il rafale de sang froid et massacre mes collègues ‘’, a déclaré sous anonymat un soldat. Les corps des 26  victimes tombés sur le champ traînent d’abord par terre, pour servir d’exemple, affirme la même source.  Avant d’être mis en terre dans la soirée, dans une fosse commune, sur ordre du Général Ntaganda, très visible dans la zone.
Des sources administratives à Munigi, territoire de Nyiragongo, à une dizaine de kilomètres de Kibumba, rapportent qu’un ‘’ vent de terreur s’est bel et bien installé dans la cité de Kibumba et ses environs ‘’. Des commerçants qui font des navettes sur cet axe Goma-Butembo en passant par Kibumba, rapportent que  ‘’ la population agricole de Kibumba reconnue pour sa chaleur lors de la vente de ses produits vivriers aux passants, ne réserve plus la même ambiance d’accueil aux visiteurs de passage ‘’, preuve d’une peur bleue qui gagne cette population depuis l’arrivée, dans ce coin, de Bosco Ntaganda.
Des officiers rwandais toujours présents à Kibumba
Des soldats encore fidèles à Ntaganda attestent fièrement que « des officiers rwandais causent régulièrement avec Ntaganda au téléphone ». ‘’ Presque chaque jour, des officiers rwandais viennent discuter avec nos chefs, mais nous ne savons pas de quoi ils parlent ‘’, explique un officier rebelle originaire du terriotoire de Rutshuru. Et un autre soldat d’ajouter sous anonymat  ‘’ il arrive que des officiers RDF (Rwanda Defense Forces) partagent à manger et à boire avec Ntaganda, sans gêne ‘’. Bosco Ntaganda bénéficierait toujours du soutien du général James Kabarebe, ministre rwandais de la Défense au moment où Paul Kagame, président rwandais aurait déjà souscrit à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba qui interdit aux Etats de la région, toute tentative de déstabilisation des voisins. C’est au nom de ce principe, a-t-on appris des autorités gouvernementales de la RDC, que l’armée congolaise qui venait d’investir certaines localités abandonnées par le M23 (Rutshuru, Kiwanja, Rubare,…), les a, par la suite abandonnées, après y avoir chassé les forces négatives (Fdlr et miliciens autochtones Mai Mai).
Ce massacre du 04 mars 2013 intervient au moment où, l’aile de Makenga qui a destitué Runiga, principal chef politique du M23 occasionnant des affrontements violents à Tchanzu entre les deux factions dissidentes, s’active à honorer les engagements des pays membres de la Cirgl à Addis-Abeba où un accord-cadre a été signé le 24 février 2013. Dans un communiqué officiel, Makenga a déclaré son intention de vouloir traquer Ntaganda, l’arrêter et le déférer devant la CPI qui le recherche pour des crimes commis notamment en Ituri et au Nord-Kivu. Le 04 septembre 2012, la CPI avait demandé à la République Démocratique du Congo d’arrêter Ntaganda et de le remettre à la cour. Cette juridiction demandait à cet effet à la RDC d’assurer la sécurité de l’incriminé jusqu’à sa livraison au greffe de la CPI. Le fugitif Bosco Ntaganda aurait pris l’option de se battre jusqu’à la dernière goutte de son sang, pour échapper à la justice internationale.
James Kabarebe protecteur de Ntaganda ?
Surnommé «Terminator», Ntaganda est visé depuis 2006 par un mandat d’arrêt de la CPI pour enrôlement d’enfants quand il était dans une milice au début des années 2000. Les membres de l’ancienne rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), dont l’ex-général Ntaganda était le chef d’état-major, avaient été intégrés dans l’armée en 2009 après un accord de paix avec Kinshasa. Mais ce haut-gradé, commanditaire du M23 « continue d’être impliqué dans des violations graves des droits humains, notamment des meurtres, des violences sexuelles, des actes de torture et toujours le recrutement d’enfants soldats «, estiment les organisations internationales, dont la FIDH, Human Rights Watch et Amnesty International. En 2012, plus de 140 organisations congolaises et internationales ont appelé les Etats-Unis à soutenir la RDC pour arrêter Bosco Ntaganda accusé de soutenir une mutinerie dans l’est congolais.
Le groupe d’experts de l’ONU sur la RDC a, à son tour, affirmé disposer de preuves du soutien de trois des plus hauts responsables rwandais de la Défense à la mutinerie congolaise du M23, qui opère dans le Nord-Kivu, province frontalière du Rwanda. Les noms du ministre de la Défense, James Kabarebe, de son directeur de cabinet, Charles Kayonga et du conseiller militaire du président Paul Kagamé, Jacques Nziza, ont été cités. James Kabarebe est « en contact permanent avec le M23 », avaient affirmé les experts, qui accusent l’armée rwandaise d’avoir pénétré en territoire congolais pour renforcer les positions des rebelles, d’avoir apporté un soutien logistique à ces derniers et d’avoir assuré à leur leader présumé, Bosco Ntaganda, un passage sûr au Rwanda. Le Rwanda a déjà été accusé par la Monusco et l’ONG Human Rights Watch de soutenir la mutinerie du M23, mais l’a démenti à plusieurs reprises. La mutinerie avait débuté avec les velléités d’arrestation par Kinshasa de Bosco Ntanganda, jusque-là général de l’armée congolaise, ancien membre de l’armée rwandaise, ancien leader de l’ex-rébellion du CNDP, et faisant l’objet d’un mandat de la CPI.
Les faucons du M23 épinglés par les experts des Nations Unies
Il s’agit de Sultani Makenga. En outre, le recrutement et l’utilisation d’enfants, des violations attribuées à Makenga comprennent son implication dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 novembre 2008, lorsque les troupes du CNDP avaient exécuté au moins 67 civils – principalement des jeunes garçons de Kiwanja, au Nord-Kivu, et le massacre de Muramba /Nord-Kivu de mars 2007 où les troupes des FARDC (ex-Brigade Bravo) avaient exécuté au moins 14 civils Hutu et Nande. Le colonel Baudouin Ngaruye est lui aussi impliqué dans les exactions et les exécutions perpétrées contre les civils. En outre, mis à part le recrutement et l’utilisation des enfants, il est accusé de violation des droits humains dont le massacre de Shalio/Nord-Kivu du 27 au 30 avril 2009, lorsque les FARDC ( dominés fortement par des militaires ex-CNDP) avaient massacré au moins 139 réfugiés hutus, FDLR et leurs dépendants. Parmi les victimes, il y avait au moins 40 femmes, dont la plupart avaient été violées et mutilées.
Le colonel Innocent..
[16:19:51] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao:  La RDC une nouvelle fois au dernier rang de l’indice de développement humain du PNUD

KINSHASA – La République démocratique du Congo (RDC) arrive une nouvelle fois au 186e et dernier rang -avec le Niger- du classement de l’indice de développement humain publié chaque année par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), malgré quelques améliorations.

Selon le PNUD, qui a confié à l’Université d’Oxford son étude locale sur la pauvreté, 87,7% de la population vivant en RDC est en dessous du seuil de pauvreté, fixé à 1,25 dollar par jour.

Près des trois quarts des 68 millions de Congolais (74%) vivent en dessous du seuil de pauvreté multidimensionnel qui tient compte de l’accès aux soins, de la santé et de l’alimentation.

Les améliorations sont pourtant marquantes, a expliqué à l’AFP Florence Marchal, chargée de communication pour le PNUD.

Entre 2000 et 2012, l’espérance de vie est passée de 45,7 ans à 48,7 ans, la durée moyenne de scolarisation de 4,4 ans à 8,5 ans et le revenu par habitant a crû de 34,6%, passant de 237 à 319 dollars par habitant et par an.

La méthode statistique utilisée –abandonnée par les autres pays– semble en fait avoir nui à son classement, explique-t-on au PNUD.

Lors du dernier classement du même genre effectué en 2011, la RDC était également dernière.

La Norvège, l’Australie et les Etats-unis d’Amérique se classent aux premières places de cet indice qui prend en compte notamment l’espérance de vie à la naissance, la durée moyenne de scolarisation et le niveau de vie par habitant.

La France est 20e de ce classement qui n’inclut pas tous les pays, certains ayant refusé de communiquer leurs statistiques, comme la Principauté de Monaco, et d’autres n’ayant pu le faire, comme la Somalie.

(©AFP / 15 mars 2013 16h10)
[16:23:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: C’est pour cela que je ne comprends pas encore pourquoi la diaspora ne peux pas expliquer à nos frères de l’intérieur que la solution aux problèmes congolais c’est le Projet 2014 ?
[16:23:44 | Modifié (16:25:07)] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comment pourrait-il en être autrement ?
Sans rencontre des politiciens congolais aux mains propres autour d’une table de travail, comment le Congo pourra-t-il s’en sortire ?
[16:24:01] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: C’est confirmé par le PNUD : IDH 2013, la RDC 186me sur 186 Etats

Le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) a confirmé
hier jeudi 14 mars le classement de l’Indice de Développement Humain
2013, dont Le Phare s’est fait l’écho dans son édition du mercredi 13
mars 2013. Comme signalé dans nos colonnes, la République Démocratique
du Congo occupe effectivement, pour la deuxième consécutive, la
dernière place, soit 186me sur 186 pays, au même titre que le Niger.
Il convient de signaler que les statistiques rendues publiques par cet
organisme du système des Nations-Unies découlent de ‘l’observation de
plusieurs paramètres, notamment l’Education, l’Intégration Sociale,
les Flux commerciaux internationaux des biens et services,
l’Innovation et la Technologie, l’Environnement, l’Evolution de la
population.
A l’analyste de différents tableaux dressés à la lumière des
paramètres sociaux ayant un impact direct sur le développement humain,
il appert que la RDC et le Niger se partagent jalousement la dernière
place de la classe. La situation inquiète et étonne à la fois, dans la
mesure où, à la différence de nombreux Etats d’Afrique et d’ailleurs,
le Congo démocratique réunit le potentiel humain, économique,
géologique, énergétique, écologique,… pour s’imposer comme un pays
émergent, à défaut d’être une puissance économique et industrielle.
Paradoxalement, en dépit de ses scandaleuses ressources naturelles,
notre pays accuse un indice de développement humain le plus faible de
la planète. En d’autres termes, en 2012 comme en 2013, la RDC affiche
les statistiques les plus faibles en matières d’éducation, de santé,
d’intégration sociale, d’échanges des biens et services avec
l’extérieur, de production agricole et industrielle, d’innovations
techniques et technologiques, de protection de l’environnement, de
contrôle de la population.
Les Congolais non surpris
Pour le commun des Congolais, il ne s’agit vraiment pas d’une
surprise de voir leur pays se retrouver, pendant deux années
successives, au bas de l’échelle du développement humain au plan
mondial. Lorsque l’on jette un regard sur les dysfonctionnements du
système éducatif national, avec des structures d’accueil non-conformes
aux besoins de l’enfant congolais pour la formation pré-scolaire,
scolaire et universitaire, la clochardisation des enseignants, le
monnayage des cotes scolaires et académiques, le manque de manuels, de
matériels didactiques, de laboratoires et de bibliothèque, l’on ne
peut que s’incliner devant le verdict du Pnud.
   Dans un pays où il n’existe pas de politique de logements sociaux, où
les soins de santé primaires se limitent aux slogans, où les
médicaments se vendent dans la rue comme des cacahuètes, où les gens
meurent dans leurs maisons par manque de moyens, où les charlatans et
les tradipraticiens sont devenus les maîtres du domaine sanitaire,
l’on peut qu’aligner des taux de mortalité les plus élevés de la
planète. Dépotoir alimentaire et pharmaceutique, la RDC a mauvaise
réputation au plan de la qualité des biens de consommation courante.
En matière de démographie, les Congolais ignorent le nombre exact de
citoyens qu’héberge leur pays, car le dernier recensement
administratif remonte à 1984. Depuis lors, chaque gouvernement en
place livre des statistiques des populations sans fondement
administratif ou scientifique. L’on parle aujourd’hui de plus de 70
millions d’habitants en RDC sans que personne ne soit en mesure de le
démontrer scientifiquement ou administrativement. Plusieurs
générations de Congolais vivent aujourd’hui sans cartes d’identités.
Dans un environnement social où le taux de chômage des personnes de
tous les âges dépasse les 80%, où la plupart de ménages ont du mal à
assurer à leurs membres l’unique repas quotidien, occuper le dernier
rang mondial comme pays pauvre rentre dans l’ordre normal des choses.
En matière d’infrastructures de base, tout le monde constate qu’en
dehors de quelques routes reliant Kinshasa au Bas-Congo et au
Bandundu, les autres provinces du pays sont enclavées. Les rares
routes inter-provinciales réhabilitées entre 2006 et 2011 sont
redevenues impraticables.
   Les compatriotes du Congo profond continuent
d’attendre, depuis des décennies, les liaisons routières et
ferroviaires entre le Bandundu et l’Equateur, les deux Kasai, le
Katanga, le Maniema, l’Equateur et la Province Orientale, etc.
Le fleuve Congo et ses affluents, qui auraient dû être transformés en
«autoroutes» naturelles, n’en finissent pas d’endeuiller le pays avec
des naufrages à répétition, en raison du déficit de dragage et de
balisage de leurs cours, mais aussi de la présence de «cercueils»
flottants.

Les liaisons aériennes offrent les mêmes spectacles de «fula-fula»
aériens et d’aéroports d’une autre époque.

L’industrialisation du pays s’est arrêtée voici des décennies, au
point que le pays importe l’essentiel de ses produits alimentaires et
manufacturés. L’agriculture, décrétée priorité des priorités dans les
discours, reste l’affaire d’une poignée de paysans et fermiers qui
pratiquent des cultures de subsistance, dont les faibles quantités
moisissent dans les greniers, faute de moyens d’évacuation.
Le pouvoir d’achat du Congolais est quasiment nul, mais ce dernier
réussit, au quotidien, l’exploit de survivre avec moins d’un dollar de
revenu.

La pollution de l’environnement n’a pratiquement pas de parade. Les
essences forestières congolaises sont pillées sans vergogne. La RDC,
pointée comme l’espoir du monde pour la régulation des climats et de
l’écho système, risque de ne pas tenir ses engagements, à longue
échéance.

Au lieu d’innover aux plans techniques et technologiques, les
Congolais s’offrent comme les meilleurs consommateurs des technologies
importées. La recherche scientifique bat de l’aile, et son abandon
par les pouvoirs publics fait fuir les cerveaux chaque année.
Le classement 2013 du développement humain a pris curieusement en
compte, un paramètre comme celui d’Etat fort, dynamique et
responsable, où la bonne gouvernance permet la pleine exploitation des
ressources naturelles et autres, la création des richesses et leur
distribution, de manière équitable au plus grand nombre. La réduction
sensible des inégalités sociales constitue un des critères
d’appréciation du développement. Hélas, tout cela fait malheureusement
défaut en territoire congolais.

En un mot comme en cent, le Congo démocratique mérite amplement les
mauvaises notes lui décernées par le PNUD ces deux dernières années.
Ceux qui diffusent des chiffres mirobolants sur le taux de croissance,
le taux d’inflation, le taux de desserte en eau et électricité, le
taux d’accès aux soins de santé primaire, le taux de scolarisation,
l’amélioration du climat des affaires, la lutte contre la pauvreté,
les infrastructures de base, la modernisation de l’agriculture
devraient expliquer aux Congolaises et Congolais la descente aux
enfers attestée par les experts du Pnud.

Quelle politique salariale ?


Projet 2014

Pour nous, la politique salariale doit nous proposer comment réduire la tentions salariale (salaire maximal/salaire minimal)  jusqu’à 4 ; et, comment valoriser le salaire minimum : l’amener à dépasser le minimum vital que nous estimons préliminairement à 1250 $) !

Cette façon de faire est notre manière de traduire notre volonté politique de rompre avec l’injustice et la dépendance.

Une campagne est en route au Projet 2014 pour investir les spécialistes dans l’étude d’une proposition consistante et robuste de la manière de tendre vers ces ambitieux et orginaux objectifs, en espérant que le peuple congolais les acceptent, bien entendu !

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De : congocitizen@yahoogroups.ca [mailto:congocitizen@yahoogroups.ca] De la part de tryphon mabanza
Envoyé : samedi 17 novembre 2012 11:20
À : hinterland1; congocitizen@yahoogroups.ca; CONGORESISTANCE; cri des opprimés
Cc : gouvernement.fr; secr.leterme@skynet.be; info@foundationolangiwosho.net; info@premier.fed.be; Henriette WAMU; zacharie bababasue; kudurakasongo@yahoo.fr; Justine Kasavubu; Ciakudia; JTL; Euphrasie atitung; Nadine mena; nadege966@hotmail.com; melanie nkanku; Yvonne; yvonne ngalula; gertrude kavilako; Maggie B; nkzadio@yahoo.fr; elimananga2
Objet : [congocitizen] CE QUE DOIT ETRE LE SALAIRE DE « KABILA JOSEPH »

Chers fameux députés et politiciens Congolais abstenez-vous de la politique bourgeoise et du ventre. Abandonnez l’autosatisafication et placez l’égalité dans un juste équilibre avec la solidarité. Je connais des enseignants plus intelligents que plus d’un des somnambules et reveurs  députés et « président Congolais ». Ils travaillent pour éduquer les masses et écrire aussi l’histoire du Congo malheureusement ces éminants enseignants ne gagnent que pour leurs salaires moins de $100.00 pendant que les opportunistes députés Congolais exigent le double ou triple de $4.250 comme salaire mensuel.

La meilleure des choses d’ observer c’est de réduire le salaire de :

1. « Joseph KABILA » à $4.999(c’est trop d’ailleurs pour un chef d’état usurpateur du pouvoir et ennemi de son peuple).

2. Ministres Congolais à $4000( un salaire qui d’ailleurs de manière officieuse augmente à cause de la corruption qui est une seconde nature des ministres Congolais) Kiekeiekeiekeie

3.Professeurs des Universités, Médecins, Députés et Sénateurs à $3.000(c’est d’ailleurs trop pour des députés Congolais marionnettes qui somnolent sans cesse pendant les séances plenières).

4. Infirmiers, gouverneurs des provinces et autres cadres et éducateurs à $2000

5.Officiers militaires  à $1.500

6.Enseignant des écoles primaires $ à 1000.

Pour jouir de vos salaires et les trouver consistants, fameux députés et politiciens Congolais au pouvoir, cherchez surtout à maintenir la justice et  l’équilibre sociaux. Veuillez à la stabilité des prix des denrées alimentaires et autres produits sur le marché…L’état Congolais doit être le premier investisseur et opérateur économique efficace pour le Congo avec une force sans merci d’influence sur les autres opérateurs et investisseurs étrangers.

Augmentez vos salaires, chers députés et politiciens Congolais du ventre, c’est une manière de ne combattre que les symptômes de vos misères et non ses causes fondamentales. Ces dernières sont les mêmes pour l’ensemble du peuple Congolais. « Kabila Joseph » mérite-t-il plus de $40.000 mensuel que les présidents des pays riches que la Rd Congo comme la France, Angleterre, Allemagne…?

Tenez compte de la justice sociale qui conseille d’ abandonner l’autosatisfaction et d’agir avec humilité. C’est ça même la boussole pour toute politique responsable.

Le Congo n’est pas la propriété privée des députés et politiciens Congolais comme le MPR de Mobutu (heureuse mémoire) l’a considéré et les mêmes habitudes continuent jusqu’au temps d’aujourd’hui. Faites jouir à tous les congolais les fruits des inombrables richesses naturelles que regorge leur pays.

Le terme naturel signifie, ce qui existe et fonctionne sans l’intervention de l’homme. Ce ne sont pas les Mobutistes ni les Kabilistes ni même les députés et policticiens Congolais qui font exister les richesses de la RdCongo. Pourquoi alors devraient ils seuls en jouir à travers leurs salaires colossaux?

Reduisez vos salaires députés et politiciens Congolais du ventre. Utilisez ces excedents par exemple en instaurant le transport  en commun efficace et moderne afin de faciliter l’évacuation des produits agro-pastoraux d’un endroit à l’autre, de permettre aussi le déplacement sans douleurs et tracasseries des paisibles citoyens : Mobutu a reussi dans ce domaine,mais seulement pour un bref temps.

« En mourrant nous n’emportons aucun bien matériel avec nous »

Tryphon MABANZA

De 6000 à 13000 $/mois…


Le salaire d’un député en RDC serait passé de 6 000 à 13 000 $/mois ; pour que ce dernier élabore des projets de développement dans au bénéfice de sa circonscription électorale, projets qui pourraient éventuellement bénéficier du soutien du gouvernement.
Voilà comment le gouvernement, prétendûment, attendrait stimuler l’esprit d’entrepreunariat en vue du développement local !
Si cette information, qui vient seulement de nous parvenir, se confirmait, la réalité serait à notre avis probablement autre.  Les députés sont soudoyés par le régime en préparation de 2016 !  Quant à l’opposition, elle continue la lutte dans la division : l’échec, dans ces conditions, s’annonce encore cuisant.

Plutôt que nous concentrer sur le projet de disqualification de l’usurpateur du pouvoir d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, que faisons-nous ?  Aucun projet de lutte qui soit clair n’est connu de nous.  Les partis politiques se fourvoient dans des égoïsmes suicidaires.  Les vélléités dictatoriales fusent de partout.  Le peuple se meurt au jour le jour.  Les ressources nationales s’épuisent sous les regards désabusés des congolais qui ont difficile à se décider de se mettre au travail.

La valeur de notre travail…


Dans le fin fond de nos villages, nos parents quitte la maison le matin pour travailler jusque tard dans la journée et reviennent souvent affamés, plus affamés qu’à l’époque coloniale…

Est-il possible que cette situation change ?
Mata Mpoyo Mapon est-il la personne qui nous aidera à valoriser notre travail ?
Ses billets de 1000, 5000 et 10.000 FC corrigeront-ils l’inflation ?
Au jourd’hui, le FC vaut 1/1000 $, le congolais est-il réllement devenu si moins productif que cela ?
Existe-il un économiste congolais qui ait traité cette question pour nous en faire connaître les vrais enjeux ?
Sinon, où va cette part de la production du congolais qui ne se voit pas au plan international ?
Qui peut nous aider à faire produire utile et valeureux et d’une manière autre que celle proposé dans le Projet 2014 ?
Les kinois auront-ils gain de cause sur le pouvoir kinois comme le purent les kasïens sur ce pouvoir à une certaine époque ?

Voici ce que les kinois croient être en devoir de faire : http://www.youtube.com/watch?v=FXXGcJ_hAfc&feature=em-share_video_user

Chers compatriotes, défaisons les mauvais attelages !


Il y a plusieurs façon d’entrevoir le développement de l’Ituri.
De la base vers le sommet ou l’inverse : notre option est la première.  Sur un modèle capitaliste ou sur un modèle non-capitaliste : notre choix porte sur le premier.  Un développement endogène ou non-endogène : notre quête est orientée vers la première.
L’MNC a promis aux ituriens des écoles, des transports, de soins médicaux organisés par l’Etat : rien n’est avancé dans cette direction pour que nous nous en sentions fiers.
Mobutu a promis d’être le père de la nation qui protègerait ses enfants : il est mort est nous a légué la mort de plusieurs ituriens, l’appauvrissement de plusieurs de nos concitoyens.
Kabila nous a promis le changement radical et de fond : il est mort et nous a laissé pour héritage l’imposteur Kanambe.
Kanambe, pour être ré-élu, a promis d’achever les 5 chantiers pour notre bonheur : ce sont nos enfants, nos femmes, nos viellards et nos adultes qui trépassent.
NON, Ruku : je ne crois pas à un développement qui viendrait de Kinshasa.  Pourquoi ?
Le boulevard du 30 juin à Kinshasa pose déjà problème.
Alors que Inga I et II sont en déliquescence, Kinshasa nous promet Zongo II.  Alors que le Congo a besoin de 200 GW, rien que pour les ménages (sans compter les industries) et que les potentialités sont évaluées à 120 GW à peine, à l’heure actuelle, le gouvernement vent l’électricité à l’étranger.  Alors que le minimum vital se situe aux alentours de 2000$/ménage, le parlement continue à accepter des revenus de moins de 20$ par mois !
Non, Ruku : Kinshasa n’est pas à même d’aider l’Ituri d’aller de l’avant.
Que proposons-nous dans ces conditions infernales ?
1. nous concerter d’abord entre nous ituriens ;
2. mettre le gouvernement en démeure de nous fournir la preuve de son utilisation responsable de nos ressources ituriennes, comme d’ailleurs celles des autres districts du Congo ;
3. à défaut de le faire, préparer résolument et calmément notre retrait de la RDC !
C’est dommage que d’avoir passé 52 ans à compter sur la compréhension de nos compatriotes ; il faut devenir sérieux et ne pas continuer à compromettre l’avenir de nos enfants !
Mon cher Ruku, j’attends ta réponse publique que je sais ne pas devoir tarder.

— In ituripeaceboat@yahoogroups.com, ruku <bhileni@…> wrote:
>
> Cher Paluku,
> Le dossier de la réhabilitation du tronçon à Bunia est réel: Nous ne devons pas faire ce travail en lieu et place de ceux engagés pour le faire! Je répète nous ne devons pas faire le travail des autres! Nous voulons que les gens puissent faire leur travail: je ne sais pas si tu suivais cette affaire de près! Je tiens à remercier la société civile de l’Ituri qui avait qd même tirer la sonnette d’alarmes!Le gouvernement Doit etre ramené sur la bonne voie: L’ituri ne fait-il pas partie du Congo? D »autre part pourquoi cette réparation devrait-elle etre un don de Joseph Kabila comme si l’ituri ne mérite pas etre sur le programme national du développement si bien que ce sont des aventuriers qui ont pris en charge ce soit disant ‘asphaltage’!
> Cher Paluku, cette maladie est aussi iturienne car le troncon Aru- Djalasiga était remis aussi par l’exécutif provincial aux aventuriers qui n’avaient aucune notion en la matière!
> Pourquoi les ituriens ont-ils voté massivement et triché pour le compte du parti au pouvoir????Qu’espèrent-ils au retour si ce n »est pas le développement?????
> Quant à l’iPb, c’est une marque déposée avec bcp de réalisations dans la sensibilisation,la conscientisation et l’éveil de conscience! Quid de la conférence »inédite » que l’iPb avait proposé sur la développement,lequel forum servirait pour lancer une base et un échange etc::::::.
> L’Ituri ne vit pas dans un vaccum mais nous tenons à mettre les élus ituriens en garde contre toute manipulation qui n’apportera pas de fruits en Ituri; autrement dit les votes ituriennes valent le développement; notre role est de dénoncer tout ce fléau avant que l »effondrement! Pour ceux qui ne le savent pas j’en profite pour informer que depuis l »année passée, je contribue à la formation des médecins, infirmiers et accoucheuses de la RDCongo,Tchad,République CentrAfricaine et Haiti dans le domaine des Soins des Urgences en santé de reproduction!
> Paix-Ruku!

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