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HISTOIRE DE LA VILLE DE BUNIA


Source

Roger Konde du groupe WhatsApp Projet 2014.

Adaptation

Graphèle Paluku Atoka Uwekomu

HISTOIRE DE LA VILLE DE BUNIA (Province de l’Ituri)

À l’époque, Bunia était un village du nom de KINDABARA qui regroupait l’Avenu Albert et Beloe, l’actuel Sukisa et Salongo. Ce village Bira était dirigé par un chef d’origine BASILI, du nom de MBUNYA prononcé « Bunia » par les colonisateurs. C’était un milieu où se rencontraient les ressortissants de différentes communautés de la région faisant des échanges commerciaux entre eux
La cité de Bunia a trouvé son origine par sa position physique et économique liée aux caractères pastoraux et agricoles de la population
Déjà en 1912, Bunia était le point d’influence coloniale et cela grâce à la fondation de la mission Catholique sur la colline de Nyakasanza par les Pères Blancs CONNIX et LAANE d’heureuses mémoires
En avril 1914, cette mission fut transférée sur la colline de Mudzi-Pela jugée, après expérience, bien plus centrale et plus favorable à l’évangélisation de la région. La paroisse de Nyakasanza telle qu’elle existe aujourd’hui fut fondée en 1957 à l’endroit où en 1912 les premiers Pères Blancs étaient venus s’installer
Bunia fut créé comme centre extra-coutumier le 14 septembre 1946, après la deuxième guerre mondiale, elle a été créée pour des motifs économiques, pistes commerciales entre les régions de forêt et de savane. Elle est le point d’Escale des produits en destination des régions minières de l’Office d’or de mines de Kilo-Moto aujourd’hui SOKIMO et en 1949 Bunia est devenu une cité
Il est devenu le chef-lieu du territoire d’Irumu en 1952 ensuite celui du District de l’Ituri en 1966
Notons que Bunia fut essentiellement habité par les Bira, les Hema et quelques Européens jusqu’en 1920. C’est ce qui explique les appellations en Kihema des quartiers Rwambuzi, Rwankole… et les appellations en Kibira des quartiers Lembabo, Simbiliabo…
Bunia n’avait pas bénéficié d’un statut administratif important, son évolution administrative montre cependant qu’il n’a pas tardé de prendre de l’importance sur le plan commercial et démographique

La Ville de Bunia est entourée de la chaîne des Montagnes « Monts Bleues ». Elle se trouve sur un plateau à environ 30 km à l’ouest du lac Albert, dans la vallée du Rift et environ 25 km à l’est de la forêt d’Ituri
Bunia est à : 54 km de Kasenyi, 169 km du territoire de Mambasa, 173 km du territoire de Mahagi, 324 km du territoire d’Aru, 696 km de la ville Kisangani, 751 km de Kampala et 667 km de Juba
Bunia est un important point de passage, un carrefour, sur la route qui relie Kisangani à Kampala
La rivière Ituri coule à 20 kilomètres au sud de la ville, où elle reçoit un modeste affluent, le Shari
Bunia est également traversée par les rivières Nyamukau et Ngezi. La rivière Nyamukau se jette dans la rivière Ngezi, qui a son tour se jette dans la rivière Shari actualités de la RDC

Bien manger en RDC


En RDC, pour manger à satiété, nous n’avons pas besoin du PAM. Celui-ci aliène ceux qui s’y inscrivent.
Notre projet 1.000.000 d’hectares, que tout le monde foule au pied, est une solution facile à mettre en oeuvre pour :

  1. Nous mettre au travail en vue de nous enrichir ;
  2. Produire nos propres aliments pour notre indépendance alimentaire ;
  3. Unir nos peuples plus que jamais, pour ne pas demeurer dominés ;
  4. Accroître notre compétitivité sur le marché international ;
  5. Arracher la bénédiction du Père…

Pour commencer :

  • Se connecter à nos localités ;
  • Élaborer les projets ;
  • Mobiliser les ressources nécessaires, surplace ;
  • Lancer les projets ;
  • Fêter la production…

Nous avons tester le concept à Kisikivi dans le Nord-Kivu (https://eaeasbl.com). Le projet est à l’arrêt parce que nous avons minimisé le risque d’une recrudescence de la violence dans Oïcha et ses environs, au lancement du projet !

Le climat est Jonathan !


[20/5, 09:36] Jonathan Mungudjakisa Atoka

Chers tous,
Nous avons tous remarqué récemment que la chaleur du jour et de la nuit est insupportablement élevée. Selon les experts, cela est dû aux vagues de chaleur résultant de l’émission de gaz à effet de serre. L’Agence météorologique nous avertit de nous préparer à des journées et des nuits plus chaudes. Cette préparation exigera des stratégies d’adaptation intelligentes et la participation à des pratiques résilientes au changement climatique pour faire face aux dommages causés.
Les effets courants des vagues de chaleur sur l’homme sont la déshydratation qui peut conduire à l’inconscience ou à la mort, à la varicelle, à l’éruption cutanée et au stress psychologique.
Afin de faire face aux conditions climatiques actuelles, les experts ont conseillé de :

  1. Boire plus d’eau pour rester hydraté.
  2. Garder une bouteille d’eau avec nous pour nous rappeler de prendre de l’eau.
  3. Éviter les boissons alcoolisées et caféinées pendant cette période.
  4. Réduire la consommation d’aliments riches en protéines (par exemple les viandes rouges) à mesure qu’ils augmentent la chaleur métabolique.
  5. Manger des fruits et légumes frais qui sont de meilleures options.
  6. Surveiller notre tension artérielle pour vous assurer que nous sommes dans la plage normale.
  7. Rester à l’intérieur (dans sa maison ou bureau) entre midi et 15 heures chaque jour autant que possible.
  8. Prendre des bains d’eau froide avant d’aller au lit la nuit..
    Soyons gentils de partager l’information avec tous ceux que nous connaissons.
    • Qui sait se procurer des bouteilles d’eau propre, un lieu de travail frais, 5 fruits par jour, une douche hygiénique, Jonathan, dans un pays ou 2% de la population asservissent 98% de chômeurs reconnus comme tel ou déguisés en travailleurs ?

Solution ?

  1. Nous choisir de bons leaders.
  2. Les promouvoir pour assainir l’espace politique congolais et permettre une bonne gestion de la planète dans 500 ans.

Pour l’instant, en effet, la RDC n’a aucun droit au chapitre, parce que nous sommes démissionnaires !

Qui spolie nos terres ?


Nous reproduisons ci-dessous un message WhatsApp qui montre comment, pourquoi et par qui la loi serait souvent violée dans notre pays.

Tout Boyoma doit se mobiliser pour résoudre par voie de droit cette spoliation et occupation de nos terres.

Les raisons qui plaident en faveur de l’annulation de 20 contrats d’occupation provisoire conclus entre la République Démocratique du Congo représentée par la Gouverneure de la Province de la Tshopo et la société Company Agro pastorale du Congo CAP Congo SARL

Dura lex, sed lex

La fraude à la loi qui entache les 20 contrats d’occupation provisoire de la société Company Agro pastorale du Congo CAP Congo SARL n’est plus à démontrer. Au-delà de la violation de l’enquête préalable prévue par la loi foncière en ses articles 193 à 203, il y a aussi la violation de l’article 16 de la loi portant principes fondamentaux relatifs à l’agriculture.

Rappelons que tous ces 20 contrats d’occupation provisoire, préalables aux concessions ordinaires sont conclus pour un usage agro pastoral. Ainsi, l’article 16 précité en son alinéa 2 point a) dispose : Les terres agricoles sont concédées aux exploitants et mises en valeur dans les conditions définies par la présente loi. Toutefois, le requérant remplit en outre les conditions suivantes : a) être une personne physique de nationalité congolaise ou une personne physique de droit congolais dont les parts sociales ou les actions selon les cas sont majoritairement détenues par l’État ou les nationaux;

Il ressort de cet article, bien société de droit congolais, la société Company Agro pastorale CAP Congo SARL est constituée des parts 100% étrangères. En effet, elle n’est constituée que de deux associés tous de nationalité libanaise, en l’occurrence madame Atwi Soumaya née à Ayitit, le 11 septembre 1996 avec 80 parts et Monsieur Roumie Zolfirar qui est gérant statuaire né à Al Remadie avec 20% sociales.

Au regard de ces articles ci haut évoqués, ces 20 contrats d’occupation provisoire ne seraient même pas signés par la Gouverneure de province.

S’il faut pousser très loin le raisonnement, cette société à capitaux 100% étrangers ne pouvait même être immatriculée au RCCM tenant compte de son objet social en lien avec les activités agricoles car dans ces conditions elle ne pourrait obtenir les terres agricoles. Les activités agricoles devraient être extirpees avant son immatriculation. J’y reviendrai sur cette question prochainement avec une action au guichet unique de création d’entreprise pour le retrait de son immatriculation tant que ces contrats ne seraient pas annulés.

C’est ici le lieu de saluer le travail bien fait du législateur congolais qui a fait preuve de clairvoyance dans l’élaboration de cette loi. Les dispositions de l’article 16 ont été insérées dans la loi pour prévenir des cas d’expropriation déguisées des terres coutumières des communautés locales. Malheureusement, l’application de cette loi nous démontre le contraire.

L’autorité provinciale étant déjà trempée ne doit pas considérer cette affaire comme une fatalité. Ainsi, pour se tirer de cette affaire, elle devrait tout simplement annuler ces contrats d’occupation provisoire car le défaut de le faire par elle-même leur annulation peut être ordonnée par voie judiciaire à la requête des véritables ayants droits déjà mobilisées pour cette fin, ce qui ne l’honorera pas du tout.

En même temps, elle devrait se débarrasser de tous les conseillers malveillants qui ont été associés au traitement de ce dossier et qui l’ont piégée en lui soumettant ce dossier plein d’incohérence. Ne pas accéder à cette demande me poussera à conclure que les conseillers l’ont bien conseillée mais elle n’a pas pu prendre en compte leurs conseils.

L’annulation de ces 20 contrats d’occupation provisoire par l’autorité elle-même pensera les plaies des familles éprouvées.

Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. Je ne veux pas être celui qui regarde le mal sans faire quelque chose. La présente analyse est ma modeste contribution contre l’expropriation déguisée de 4000 hectares des terres coutumières dans la Province de la Tshopo.

Il n’est jamais trop tard pour mieux faire !

Sé Maître Patient Biselenge Bombali, avocat et expert en droit foncier et forestier des communautés locales.

Congolité : les mensonges involontaires ou inconscients !


Tel que reçu sous WhatsApp. Nos observations sont entrelacées.

L’assemblée nationale a levée l’option d’un débat public et largement diffusé sur toutes les chaînes des radios et des télévisions concernant la proposition de Loi Tshiani !

Il serait intéressant de savoir pourquoi cette loi fait peur aux uns, aux usurpateurs de notre nationalité ; et aux autres, aux dominateurs de nos peuples et aux traîtres parmi ces derniers.

En effet, la proposition de loi Tshiani qui verrouille plus des cinquante (50) fonctions régaliennes en République démocratique du Congo sera bientôt débattue à l’Assemblée nationale, selon le 1er Vice-président de cette chambre André Mbata.

Voici un premier mensonge, des colonisateurs et des colonisés : faire croire que la peur procéderait du patriotisme et qu’elle nous éviterait la mort. Une proposition de loi, quelque dérangente qu’elle soit, pour une ou pour plusieurs franges de notre population, ne devrait inquiéter personne, dès lors qu’elle exprime la volonté, d’une partie importante de nous congolais, de voir une situation jugée insatisfaisante être changée, modifiée. En l’occurrence ici, bien des congolais pensent que le munyarwada pour les uns, le tutsi pour les autres ou les tricheurs de la nationalité congolaise et la cohorte des traîtres, pour d’autres encore, soient la cause première de l’insécurité dans notre pays. À ces rwandaphones, à ces tutsi, à ces étrangers ou à ces traîtres, il faut encore ajouter toute une série d’alloctones et d’autochtones, qui ne sont dans le pays que pour usurper, piller, spolier, voler, violer, tuer, décimer, génocider, terroriser ; et, pour commettre d’autres actes d’atrocité physique et morale similaires. La question devient donc plus complexe qu’on ne le croît. Un débat démocratique au parlement et au sein des partis politiques devrait conduire à un murissement de la question avant de voter pour ou contre cette loi qui reposera encore et toujours la question épineuse du qui est congolais, que plusieurs éludent jusqu’ici, mais qui nous poursuit inlassablement, tant elle mal traitée, à chaque fois, par les régimes qui se succèdent à Kinshasa…
Nous, Projet 2014, proposons une rencontre de tous nos peuples, pour, premièrement, entre nous, décider de ce que nous voulons faire du Congo hérité de l’indépendance lumumbienne et de la manière de conduire notre destin en que nation.
Le refus du congolais de se mettre autour d’une table, pour jeter les bases d’une société démocratique, pour couper l’herbe sous les pieds des néo-colonisateurs, est ce qui explique notre périgrination dans le désert et notre assujetissement par divers peuples, qui ont choisi de profiter de notre désorganisation pour nous piller et nous décimer, dans l’espoir d’en tirer des avantages économiques, politiques et sociaux ; mais en réalité, pour accroître l’inimitié entre nos peuples et nous retouner à des temps anciens d’esclavage et d’animalité.

N.B. Aux États Unis d’Amérique la première démocratie modèle du monde la fonction de Président de la République est exclue à tout américain par le fait qu’il est tout simplement né à l’étranger même s’il est né de père et de mère américaine. Et personne ne crie à une sorte de loi discriminatoire.

La Tunisie exige que tout candidat à la présidence de la République soit non seulement « né de père et de mère tunisienne » mais aussi et surtout, qu’il soit « né des grands pères paternels et des grandes mères maternelles toutes [tous] de nationalités tunisiennes » personne ne crie à la discrimination et/où [ou] à la ségrégation raciale !

Notre origine esclavagiste et coloniale, ainsi que nos la fausse religion dans laquelle nous versons, expliquent sans doute que nous demeurions complexés, pour la plupart, jusque nos jours.
Nous sommes un peuple multiculturel. Notre histoire, notre destin et nos moeurs, de nos jours, ne sont pas comparables à ceux des américains ni à ceux des tunisiens sur de nombreux points ; bien que nous soyons tous des humains.
Bien plus, les politiques en vigueur dans ces pays n’y font pas l’unanimité, comme dans tous les états du monde, contrairement à ce qui est prétendu ci-haut. Et qui plus est, l’une des sources d’insecurité dans notre pays réside dans le non respect du droit de nos peuples à leur auto-détermination, à leur indépendance politique, culturelle, économique, sociale… L’unitarisme, la fausse religion et la dictature que nous entretenons dans le pays, ces autres formes d’esclavage et de colonisation nouveaux, pourrissent la vie à notre nation qui pourtant a du potentiel politique, économique et religieux au plan africain et international. Sans une réfondation du Congo, sans une prise en main de notre destin, par nous-mêmes, les politiques des dupes et d’imposteurs divers nous maintiendront dans la misère, dans le sous-développement, temporel et intemporel.
C’est pour cela que nous invitons chaque peuple à titiller ses dirigeants pour que nous avançions vers une démocratie renforcée et un travail valorisé.
Concrètement, dans le quartier, la participation à la prise et à l’exécution des décisions et à l’évaluation des progrès accomplis est essentielle, pour aller vers une paix véritable.

En effet, le 1er Vice-président de l’assemblée nationale s’oppose catégoriquement à «l’ingérence de l’église catholique romaine dans une matière législative».

Pour lui,« l’église catholique romaine dépasse les bornes et va au-delà de sa mission».

Une attitude colonialiste, paternaliste, cautionnée ou tolérée, du vice-président de l’Assemblée Nationale, soutenue et pérennisée par une démission des parlementaires et du peuple qu’ils représentent, accroîtra et prolongera l’insécurité physique et morale dans le pays.
Les peuples congolais sont, majoritairement, théistes depuis des temps anciens et catholiques depuis la colonisation. La laicïté du pays pourrait être une anomalie ou plutôt l’est : il faudra le vérifier démocratiquement un jour ; d’autant plus que l’insécurité à l’Est du pays a souvent eu un relent islamiste, depuis la traite des esclaves.
Cette question épineuse est souvent éludée dans un parlement où, les chrétiens sont démissionnaires et divisés, et, avides d’argent, se compromettent et sombrent dans un eucuménisme hypocrite et idolâtre.

La proposition de loi Tshani ne vise pas seulement la fonction de Président de la République mais plusieurs autres fonctions sont visées par cette loi et en cas de sa promulgation, lesdites fonctions ne seront dévolues qu’aux Congolais nés de père et de mère.

L’article 24 de la loi Tshani modifie la loi numéro 04/024 du 12 novembre 2004 relative à la nationalité Congolaise et est libellé comme suit :

« Toutefois, pour des raisons de loyauté et de fidélité à la nation congolaise, l’exercice de la fonction du Président de la République, du Président de l’Assemblée nationale et celui du Sénat, n’est réservée qu’aux seuls congolais nés de père et de mère d’origine congolaise et n’ayant jamais acquis une autre nationalité ».

La motivation nous semble déroutante. En effet, les hommes qui ont mis notre pays dans l’insécurité, sont nés de père et de mère congolais… Pour la plupart.
Certes, la mégestion de nos autochtones et de nos allochtones est ce qui explique nos deboirs du moment.
L’UDPS, par exemple, comme le MNC, le MPR et le PPRD, vient aussi de nous imprimatur des cartes d’électeurs plutôt que des cartes d’identité, préparant ainsi le terreau d’une autre imposture après les élections !
Aucun parti politique, y compris Kongo Ya Sika- à l’exception de nous, ne s’insurge contre cette énième trahison du pays, cet autre crime de lèse-nation ! Sans oublier la CENI qui continue à faire le lit de la dictature et de la néo-colonisation dans notre pays.

Les autres alinéa de poursuivre :

« L’alinéa premier s’applique mutatis mutandis:

  1. Au Premier Ministre et aux ministères ci-après :
  2. Ministre de la défense,
  3. Ministre des finances,
  4. Ministre de l’intérieur,
  5. Ministre des Affaires Etrangères,
  6. Ministre de l’Intégration Régionale,
  7. Ministre de la Justice.
  8. Président de la Cour constitutionnelle ;
  9. Procureur Général près la Cour constitutionnelle ;
  10. Premier Président de la Cour de cassation ;
  11. Procureur Général près la Cour de cassation ;
  12. Premier Président du Conseil d’Etat;
  13. Procureur Général près le Conseil d’Etat;
  14. Administrateur Générale de l’Agence Nationale des Renseignements,
  15. Administrateur Général Adjoint,
  16. Chefs de Départements,
  17. Directeurs centraux et provinciaux
  18. Chefs des stations extérieures.
  19. Directeur Général de la Direction Générale de Migration y compris :
  20. Directeur Général adjoint,
  21. Directeur de la police des Frontière,
  22. Directeur de la Police Etrangers,
  23. Directeur de la Chancellerie,
  24. Directeur des Etudes, Documentation et informatique,
  25. Directeur Technique, de Logistique et de Transmission,
    26.,Directeur des Finances,
  26. Directeur des Ressources Humaines et de la Formation.
  27. Tous les membres du Haut Commandement Militaire qui sont :
  28. Chefs d’Etat-Major Général des Forces armées de la République Démocratique Congo;
  29. Chefs d’Etat-Major Général Adjoints des Forces Armées de la République Démocratique du Congo ;
  30. Chef d’Etat-Major de la Force Terrestre ;
  31. Chef d’Etat-Major de la Force Aérienne ;
  32. Chef d’Etat-Major de la Force Navale ;
  33. Commandants des Zones de Défense ;
  34. Sous-Chefs d’Etat-Major à l’Etat-Major Général ;
  35. Commandant Général des Ecoles Militaires ;
  36. Commandant du Corps Médical ;
  37. Commandant du Corps Logistique;
  38. Commandant du Service d’Education Civique, Patriotique et d’Actions Sociales ;
  39. Commandant du Corps des Troupes de Transmissions;
  40. Commandant du Corps de Génies ou le renseignement militaire ;
  41. Commandant du Service de Communication et d’information.
  42. Commissaires Généraux de la Police Nationale Congolaise notamment:
  43. Commissaire Général,
  44. Commissaire Général adjoint chargé de la police administrative,
  45. Commissaire Général adjoint chargé de la police judiciaire,
  46. Commissaire Général adjoint chargé de l’appui et de la gestion.
  47. Gouverneurs des Provinces Et leurs épouses ».

Dont acte,
Maître Beylard David PhD
Attorneys at Law

Notre pays n’est pas à vendre : ce sont tous nos hommes, tous nos citoyens qui doivent être loyaux, intègres, patriotes.

Interdisons à nos enfants d’épouser des étrangers, si nous considérons les sang-mêlés comme des dangers pour la sécurité de notre État : c’est notre droit !
Rien ne nous empathetic de décider que chez nous, les sang-mêlés ne dirigent pas ! Ils ne manqueront pas du travail pour cela, et la mesure les sécurisera aux aussi.

Son destin en main !


Allons de plus en plus à l’essentiel, à la quintessence des questions, pour produire des solutions vraies, utiles et pérennes à nos problèmes. Recherchons la vérité, la droiture, l’humanité dans nos démarches.

Pour résoudre correctement un problème, tel que celui que soulève la congolité, par exemple, il faut d’abord le bien poser, le bien analyser ensuite, et à la fin, le bien synthétiser ; dans une quête réelle de la paix, de la justice, de la fraternité, du progrès et d’humanité pour tous.

Cette question exemplative, ou cette problématique de la congolité, qui peut et qui doit les traiter en toute légitimité, pourquoi, comment, à quelle fin ?
Notre population est-elle suffisamment préparée, rendue capable de traiter une telle question, avec fruit pour la nation ? Pourquoi ? Cette population, pourquoi n’y arrive-t-elle pas depuis 1960 ?

Qui est congolais et ne l’est pas ? Qu’est-ce qu’être congolais ? Est-ce être né de père ou de mère congolais ? Est-ce aux tunisiens de nous apprendre qui nous sommes ? Pourquoi ? Est-ce être sur le territoire congolais ? Qu’est-ce qui fait que certains peuples dérangent, perturbent, violentent, déciment, angoissent d’autres peuples de notre territoire, qui, eux, subissent, souffrent, ou s’interrogent sur l’utilité de la congolité ?

Des milliers des questions sont à se poser, à traiter, avant de formuler une solution au problème lié à notre nationalité, qui soit efficace, pérenne, pertinente, humaine, originale.

Bon week-end à tous !

Préparons les nombreuses questions et trouvons leur des réponses efficaces, durables, raisonnables, intelligentes, autour d’une table démocratique ; et ne laissons pas des non congolais nous induire en erreur ou nous subjuguer à cause de notre paresse, de notre négligence, de nos turpitudes, nous qui nous disons être congolais !

Sinon, notre destin continuera à nous échapper de plus bel !

Lundi 16 avril


Une quarantaine de personnes seraient encore tuées en Ituri cette semaine.
Cetains, trouvent encore utile d’inviter, de convier la population iturienne à une descente dans les rues : pour protester, dénoncer la CODECO, semeuse de la désolation et le gouvernement, complice de la CODECO, selon la pensée des hôtes de la manifestation.

Qui en veut à l'Ituri et pourquoi ? Comment, quand et pourquoi en finir avec l'insécurité dans la région ?
Qui nous écoutera là-dessus ?

Nous l'avions déjà dit et répété : la solution au problème iturien sera iturienne et ne viendra pas d'ailleurs !

[15/4, 22:22] QUICONQUE NE SERA PAS DANS LA RUE SERA TRAITE COMME LE TUEUR DES ITURIENS DIXIT


[16/4, 18:14] Un peuple a les chefs qu’il mérite.
Si nous sommes manipulables, c’est que nous ne nous aimons pas assez. Si nos administrateurs nous trahissent, c’est que nous élisons des hommes véreux à la tête de nos institutions.
Si Dieu n’écoute pas nos prières depuis l’esclavage arabe jusque aujourd’hui en passant par la colonisation européenne, c’est parce que nous sommes des sous-hommes.
Nous passons notre temps à adorer la créature plutôt que le Créateur.
Nos orgies des dimanches ne sont pas des cultes rendus à Dieu ; mais à Satan et ses suppôts humains. Sinon, pourquoi sommes-nous divisés, égocentristes, tout le temps dans la confusion, ennemis des enfants et prohètes de Dieu ?

L’inutile et injustifiée peur de nos présumés ennemis…


Les derniers événements qui ont eu lieu dans notre pays laissent certains perplexes, d’autres étonnés, d’autres encore offusqués ou furieux…

Soyons clairs vis-à-vis de et pour nous-mêmes à qui appartient le Congo : pourquoi n’en voulons-nous pas de la force de la CAE ?

Cet exercice en vaut la peine. Il permettra, à nos ennemis, de réfléchir deux fois avant de continuer leurs projets sataniques contre nos intérêts ; à nous, de mieux connaître nos attouts politiques et économiques, pour mieux armer nos fils dans la bataille pour notre liberté et notre enrichissement.

Si nous avons peur de nos divers ennemis, alors, je nous pleins : nous serions alors des plus irresponsables des peuples !

L’indispensable base dans une démocratie…


En politique, il faut du courage, mais pas de la sentimentalité ni de la témérité.

Avons-nous une base, du poids, pour tenir devant le pouvoir ? Il faut se forger d’abord un parti solide, pesant, avant de contrer politiquement et démocratiquement le parti au pouvoir, qui a, incontestablement, beaucoup d’adeptes !

Autrement, il serait déjà tombé depuis longtemps. Le peuple congolais, choisit mal ou tolère le mal. Il faut le savoir !

Avancer : avec qui ?


[27/2, 00:18] Héritier Ba’ndoni: C’est très triste
[27/2, 06:56] Héritier Ba’ndoni: Bonjour chers compatriotes

Quelques questions sur enrôlement.

  1. L’enrôlement prend fin quand en ville de Bunia ? Ou en Ituri
  2. Y a t il possibilité de s’enrôler au bureau de la ceni pour les retardataires qui n’auront pas eu la chance de s’enrôler jusqu’à fin mars?
  3. Un congolais qui ne se sera pas enrôlé jusqu’à la date limite fixée officiellement, cela pour des raisons du genre malade, absent au pays, absence de consulat ou ambassade dans le pays où il réside actuellement, etc. Quel sera son sort le jour où il arrive en RDC ?

Aidez-nous à avoir des réponses à ces quelques questions…

Merci


[27/2, 18:52] G. Paluku Atoka Uwekomu:

Héritier,

Ta question est mal posée et en retard !

Que nous ont rapporté les élections depuis 1960 jusqu’à ce jour et pourquoi ?

Personne ne nous a suivi ni entendu : aller aux élections en 2023, c’est nous tuer une énième fois, comme en 2018.

Ce que nous pouvons faire aujourd’hui, c’est commencer par obtenir que la CENI, la MONUSCO et la République soient effacées du Congo, définitivement, par la voie des réformes constitutionnelles et légales, pour :

primo, disqualifier les colonialistes et les dictateurs ;

secundo, asseoir les bases d’une réelle indépendance, d’un véritable développement, d’une réelle démocratie chez le congolais.

Cette longue démarche en vaut la chandelle !

Personnellement, nous sommes en marche, solitaires, depuis 1976 que personne ou presque, ne répond à notre appel pathétique.

Un lot de pleurs nous attend en 2024.

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