Les dénonciateurs…


Je pense que nous devrions arrêter la pratique des dénonciations qui n’apportent aucun changement.

Analysons les problèmes que nous rencontrons pour en connaître leurs causes, sources et origines ; ainsi que leurs conséquences, suites et effets.

Cela nous outillera pour trouver professionnellement des solutions efficaces, efficientes, dissuasives, contres les bandits politiques qui pullulent dans notre sphère politique nationale et internationale.

Instruisons-nous, formons-nous, éduquons-nous, nous-mêmes ; pour être à même de mieux vaincre, dans le combat que nous menons contre nos oppresseurs, nos esclavagistes, nos colonisateurs ; ceux du dedans comme ceux du dehors.

Une PRDP…


RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

PLATE FORME DES RÉSISTANTS POUR DEFENSE DE LA PATRIE

  1. CMC/FDP
  2. APCLS
  3. ANCDH/AFDP
  4. FPP/AP

Whatsapp & tél : +243844502986

Communiqué de Presse Numéro : 08/PRDP/CIP/2022

Dénonciation d’un plan maléfique en gestation pour déstabiliser davantage la RDC.

La Plateforme des résistants Patriotes pour la défense de la Patrie voudrait informer l’opinion par rapport plan susmentionné que les voisins de la RDC, le Rwanda et l’Ouganda, agresseurs éternels de la RDC essaient de mettre sur pied pour embraser la situation dans plusieurs coins de la République.
Pendant que la RDC, de bonne foi croit au volet diplomatique pour résoudre la problématique de l’invasion dont notre pays est victime de la part du Rwanda et de l’Ouganda, ces derniers eux ne dorment pas. Ils continent, avec le coaching de leurs maîtres à penser, à mettre sur pied un plan d’embrasement général de la situation en RDC s’ils n’obtenaient pas ce qu’ils exigent à la RDC. Voici les faits qui l’attestent :

  1. Le refus catégorique de ces deux pays de retirer leurs troupes qui occupent encore plusieurs villages du territoire de Rutshuru dont la ville frontalière de Bunagana et cela malgré les résolutions de Nairobi et de Luanda.
  2. Plusieurs poches d’insécurité sont entrain d’être alimentées tant à l’est, au Nord comme à l’ouest dans l’objectif de créer un chao généralisé. Les renseignements bien fouillés de la plateforme font état de:

L’existence d’un nouveau réseau de jeunes congolais recrutés pour servir de bras séculier au M23 au Nord-Kivu qui vient s’ajouter à plusieurs autres déjà existants. Ce nouveau reseau est bien installé dans différents territoires du Nord-Kivu. Déjà plusieurs réunions se sont tenues tant à Gisenyi qu’à Kigali où ce jeunes gens sont inculqués sur comment procéder. La plateforme ayant maîtrisé au courant du mois de juillet un espion Rwandais membre de ce réseau et qu’elle a remis aux autorités congolaises, dispose de tous les détails quant à ce. Il faut donc citer les noms de:

  • MUCHOMA BIZIMANA
  • KAMWANYA Jean De Dieu,
  • Marcelin: porte parole du NDCR
  • Germain : cadre politique du NDCR
    Comme ces jeunes congolais qui se pavanent entre Goma et Kigali pour de grandes réunions depuis quelques mois.
    Le NDCR de l’aile de MAPENZI Successeur de BWIRA en prison, est aussi soutenu par le mêmes agresseurs dans l’objectif de semer le chao dans le Masisi et wilikale. Les der derniers affrontements contre l’APCLS dans les environs de Lwibo s’inscrivent dans cette logique.
    Ils sont parvenus à créer déjà de réseau de recrutement tant dans le Masisi que dans le Rutshuru et Walikale. Si à Walikale le NDCR de toutes les deux tendances est à pied d’œuvre sur une partie de Masisi, walikale et Libero, à Rusthuru il y a LUC SAFARI et KABASHA Éphrem avec un pseudo mouvement dit MPA qui sont à pied d’œuvre. La stratégie est de monter les peuples les uns contre les autres, diviser et diaboliser les résistants Patriotes pour fissurer le mariage qu’il y a déjà entre les résistants et la population, abattre les officiers de mouvement de résistance et même ceux des FARDC qui s’opposent au plan hégémonique du Rwanda et de l’Ouganda. Ils sont appuyés et supervisés par un grand réseau bien installé à Kin et à Goma qui coordonne tout.
  1. Un conflit latent entre le territoire de Lubero et de Walikale qui se dispute le groupement de MUNZOWA situé à cheval entre ces deux territoires mais qui appartient au territoire de Lubero est aussi une autre occasion que le Rwanda cherche à rentabiliser à tout prix en y créant un chao sans pareil entre les peuples Nande et Nyanga
  2. Les troubles au Maindombe, Kwamouth sont l’œuvre du génie de Kagame qui sait tirer profit dans les moindres occasions qui lui sont accordées. Sa présence au Congo Brazzaville où il s’est tapé 12 000 ha à la frontière avec la RDC près de Maluku et la présence de ses officiers infiltrés au sein des FARDC et d’un réseau fort constitué des quelques hommes politiques et Militaires acquis pour sa cause dont certains congolais lui donne une large marge de manœuvre.
  3. Les alertes de l’ambassadeur de la RDC en République Centre Africaine ainsi que les cris de la société civile et de l’opposition de ce même pays par rapport à la présence de militaires Rwandais et M23 dans ce pays sont aussi à prendre au sérieux.
    Il faut donc comprendre que deux souris naines essaient à tout prix de se gonfler pour essayer d’engloutir le boeuf qu’est la RDC. Certes, cela paraît utopique. Mais ça dépend aussi du comportement du bœuf car mort, il se laisse croquer même par les vers de terre. A combien plus forte raison la souri ?? Le moustique avait terrassé l’éléphant par son savoir faire. Les autorités congolaises et nous tous congolais devons éviter de jouer à l’éléphant et nous mettre en ordre de bataille et de manière proactive.
    La Plateforme de Résistants Patriotes pour la Défense de la Patrie fait sa part en alertant l’opinion tant nationale qu’internationale et invite le gouvernement congolais à bien suivre ces questions et surtout de s’inscrire dans la logique de la proactivité que de se laisser chaque fois surprendre.
    Quant à nous, nous sommes toujours à pied d’œuvre et rien ne nous dissiuadera de notre engagement.
    Tenons bon car la victoire est certaine et très proche alors.

Avec Dieu, la victoire est certaine par le sang de l’agneau !
La Patrie ou la Mort !

Que Dieu libère et bénisse le peuple Congolais-Zairois.

Ainsi fait à Rutshuru le 14/10/2022

Pour la Plateforme,

Jules MULUMBA


Communicateur de la plateforme.

Les Tutsi de Titus ?


Cet article est long. Cependant, il est riche d’informations utiles. Bien que trompeur et révoltant sur certains points, et voire même insultant pour les nilotiques congolais que nous sommes – dits alliés naturels des Tutsi, il vaut la peine d’être lu, la tête bien froide, pour comprendre pourquoi nous insistons – avec l’auteur d’ailleurs, en d’autres lieux – sur la nécessité pour nos peuples de travailler leur indépendance (dépendance) et leur libération (colonialisme, esclavagisme, dictature).

Que vous soyez bantous ou non-bantous, retenez votre souffle.

Enfin, le yansi ou yanzi qui écrit, n’est peut-être pas bantou lui-même. En effet, certaines informations en notre possession, provenant du Bandundu profond, laissent penser que les origines des yanzi ne soient pas très bien connues. Rassurons-nous. Avec ce que permet la génétique aujourd’hui, certains d’entre auront bientôt la surpprise d’apprendre qu’ils ne sont pas ce qu’ils croyaient être…

Lisez la suite, distribuée tel que reçue ; et attribuée à notre frère Kwebe Kimpele.

Sur la compréhension de la stratégie rwandaise, KWEBE Kimpele persiste et signe.

N’leki Bolodjwa, bonjour. Merci, infiniment, po na appel na yo de tout à l’heure, ce samedi 8 octobre 2022.
Me permettras-tu de te dispenser une petite leçon sur la psychologie ethnique des Tutsis ? Merci d’avance.

  1. Ne te hasarde jamais, au grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi, demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc, de ton incapacité de te battre avec lui.
  2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi.
  3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la reconnaissance, la clémence, la gratitude ou la compréhension.
  4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais, au grand jamais, surtout le mal qu’on lui a causé.
    Par contre, il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite acquitter une dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
  5. Contrairement à nous autres Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.
  6. Lorsque d’aventure, un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu, cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille, et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la tête.
  7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
  8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie.
  9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.
    Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies. Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre, très très probants :

a. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.

b. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame, croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash
de leur appareil .

c. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la
milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient, l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa.
La capitale ad zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.

d. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl.

e. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps,
son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.

f. D’après mon comptage, plus de 54 conférences, dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo. Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays, c’est maintenant l’ouest, c’est la province de Bandundu, ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu, c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang. Mais c’est juste en ce moment que cette ordure de Vital Kamerhe ose préconiser l’ouverture…. d’un dialogue avec les Tutsis à travers leur milice 23 ? Vital Kamerhe est un vrai fumier !
La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme. On a même remarqué une aggravation de
l’insécurité, une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.)
La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres, de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.
Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts , du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.
Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans ), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :

a. la domination politique des Tutsis sur les Bantous.

b. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.

c. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.

d. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.

e. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.
Face à de tels périls , que peuvent les négociations , les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point, ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.
Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jésus-Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines . Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit, elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète , événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».
Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. A la
mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont ,u au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.

En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.

Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler . Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente dela terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux . On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois , de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.

Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.

Tien cordialement

À qui la faute ?


[5/10, 06:50] TEKAKWO: Nomination sans travail!
Depuis que la coordination est installée je me demande si vraiment le PDDRCS est tout simplement slogan dans la bouche des Ituriens
[5/10, 06:50] TEKAKWO: C’est quoi cette histoire, où l’on nomme même les députés et agents de la fonction publique au sein du PDDRC-S ? Les nominés, vont-ils démissionner de leur mandat et postes au sein de la fonction publique, ou bien vont-ils cumuler ?
Pourquoi chercher toujours à faire le cumul des fonctions, pendant que le pays regorge plein des chomeurs ?
Ça fait la honte, et c’est ridicule, surtout pour les honorables députés provinciaux. Voilà comment les gens réduisent la fonction d’homme ou de femme d’état.
[6/10, 14:47] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le peuple ou plutôt nous, peuples du Congo lumubien, élisons ou tolérons et élirons ou tolérerons encore ces hommes véreux en 2023.

Quant aux chômeurs dont parle notre compariote, ils ne sont pas capables de se liguer, de s’organiser pour créer des emplois ou des entreprises pour remplacer ceux qui ne nous apportent pas le développement auquel nous aspiront.

À qui la faute, ultimement !

Mon fils et la politique.


Mon fils voudrait savoir comment se lancer en politique intelligemment, sans trop s'exposer,  dans un pays où il n'est pas facile de s'occuper de la cité ou de la nation sans risquer sa vie.
Dans notre groupe WhatsApp se trouve la livraison ci-dessous, complétée par un audio d'une quarantaine de minutes.
Cela pourrait donner des idées au politicien en herbe.

On va s’y prendre par quel moyen ?
Une feuille et un crayon suffisent.

Comment ?
Nos téléphones suffisent amplement.
Des goupes de 4 ou 5 personnes sont conseillés. Une formation au travail en équipe est indispensable pour être rentable, tout comme la conviction !

Quand ?
Quand nous voudrons conquérir notre indépendance, notre liberté. Toi, tu as l’avantage de connaître quand ton père a choisi d’agir : ce groupe commence à apprendre, qu’en 1976, j’ai choisi de m’investir dans la politique de mon pays et que depuis, je n’ai pas arrêté de travailler, comme dans les coulisses, pour certains, mais au grand jour, pour d’autres qui me connaissent.

Par qui ?
L’histoire du Congo est réalisée par ceux qui habitent le pays principalement. Mes aussi par beaucoup d’acteurs vivant à l’étranger. Tu le sais. Ta question me choque quelque peu : elle insinue pour moi que tu rappelles la colonisation, la servitude, le paternalisme, l’esclavagisme. Elle a un relent de parasitisme politique…

Et si l’on y arrivait ?
Si tu te juges incompétent, incapable, ignorant ou indiscipliné, commence par te former (compétences, capacités), t’instruire (connaissances, savoir) et t’éduquer (caractère, personnalité). Dresse un programme pour cela. Des ressources existent pour parvenir aux objectifs que tu te seras fixés.

Quels dangers nous guettent ?
La politique n’est pas une aventure. Nous vous laissons un audio ci-haut dans lequel nous exposons en vrac quelques points tirés de notre expérience. ☝🏿

Combien de temps nous reste-il ?


[26/9, 13:59] Nickson KASOLA: Une image de 2018 ? [Pourcentages des votants pour differents candidats en RDC en 2018 (?).]


[26/9, 15:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: La quintessence de mon message est : quel sera le pourcentage de mon parti en 2023 et du tien, Nickson ?
Cela omporte peut que les % que tu voies soient du vrai ou du faux, de 2006, 2011 ou 2018.
Que faisons nous pour réellement gagner en 2023 ?
Pour l’heure, le pouvoir en place part favori : du moins, à l’apparence. Ne crions pas au tripatouillage après, alors que nous nous occupons des accessoires ; laissant de côté la Voie du Père !


[26/9, 15:16] Nickson KASOLA: Cette image ne peut permettre la réponse à votre question car elle représente une époque dont le contexte est très différent de l’actuel.


[26/9, 15:46] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le contexte, selon nous, n’est pas très différent du précédent : la culture et la pratique politique sont les mêmes. Ces dernières demeurent celles d’intrigues diverses, de vols, de pillages, d’assassinats, d’esclavagisme de colonisation, de trahisons, de tripatouillages, d’une distraction sans nom de toute l’opposition et d’une déliquescence grandissante de l’administration.


[26/9, 15:50] Nickson KASOLA: Mon frère, là vous vous trompez. Le contexte est littéralement très différent. Si vous pensez partir de cette considération vous risquez d’être surpris. Je vous conseille de bien analyser le contexte.


[26/9, 15:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Notre effort dans le Projet 2014 n’est pas fondé sur l’espoir d’un Congo meilleur en 2024 : nous investissons politiquement dans un futur de bonheur qui ne poindra pas avant l’horizon 2055.
En clair, un Congo de droit, de justice, d’unité, de paix, de développement est pour nous envore très lointains.
La pauvreté est encore très grande sur tous les plans : la morale, l’intelligence, le confort dans la maison et au travail, la justice sociale, la liberté, la sécurité, la fraternité et toutes les choses semblables nous manqueront cruellement longtemps encore, frères !

C’est pour cela que nous vous invitons nombreux à rejoindre notre projet pour :
1° dégager un vrai projet de sortie de crise ;
2° mobiliser les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet congolais, sans être aliénés !


[26/9, 16:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: 30 n’ont pas suffit entre 1999 et 2014. 30 seront encore très insuffisant maintenant, au regard du pourrissement de la situation entre 1999 et 2022 et de la qualité et de la quantité de la ressource humaine.

Instruire, former et éduquer correctement près de 100 millions de personnes, de cultures disparates, demande du génie encore très rare dans notre pays. Il faut du temps, et encore du temps.

Certains observateurs occidentaux pessimistes évaluent à 500 ans le temps nécessaire pour que le Congo sorte de son tunnel de lui-même.

C’est peut-être exagéré ; mais ce n’est pas loin d’être raisonnable.

En effet, nous nous rendons compte très vite que les autres nations se fourvoient alors qu’elles existent depuis des millénaires. Le Congo indépendant n’existe que depuis 62 ans seulement !

Les conspirateurs sont-ils toujours de vrais congolais ?


Laissons de côté la question facile à traiter du vrai congolais ou du faux congolais. Le congolais étant bien défini dans leur constitution de 2006.

Pourquoi seulement les soupçonnés sont toujours de vrais congolais ?
Pourrait-il en être autrement. Comment ?
Les rwandophones sont dans l'armée, mais n'ont jamais été cités comme des traîtres.
  1. Être rwandophones n’est pas forcement être rwandais.
  2. D’aucuns, la plupart d’entre nous, pensent que ce soient les rwandais et les rwandophones congolais qui soient la cause de nos malheurs. Notre compatriote, dont le propos est repris ci-dessus, occulte les accusations portées contre plus de 300 officiers rwandophones de notre armée, dans la majorité de nos fora ? Dans quel but ? Avec quel bénéfice pour le Congo ?
  3. Quelque soit la nationalité des officiers incriminés (= concernés, mais pas nécessairement coupables), il est anormale que le tutsi ou le hutu, minoritaires au Congo, se retrouvent si nombreux au sommet de notre armée. Ni la Présidence de la République, ni le Gouvernement, ni le Parlement, ni le Peuple congolais lui-même ne prennent à cœur de résoudre cette anomalie, conséquence de notre crime commune de lèse-nation.
  4. C’est pour cela que notre analyse est que le chemin politique à parcourir soit encore très long avant que nous n’atteignions le bout du tunnel.

L’actualité politique ?


De quoi est-elle faite ? Suivez cette série de messages WhatsApp.

[19/9, 20:32] Pas de jérémiades : agissons ensemble pour être plus forts : tout l’Est, le Congo tout entier, l’Afrique toute entière !


[19/9, 20:32] Sans oublier le Monde tout entier.


[19/9, 20:55] Exactement : cela est notre combat collectif.

[21/9, 00:36] Bertin MUDIMBU TSHISEKEDI le nouveau Directeur Général du FPI qui est-il ?
http://opr.news/46d3114d220919fr_cd?link=1&client=news

[21/9, 12:33] https://youtu.be/MWowG574Kr4

[21/9, 21:34] Vidiye Tshimanga sous MAP en route pour Makala.

[22/9, 20:39] La première dame de la RD Congo, Denise Nyakeru Tshisekedi, a participé, le mardi 20 septembre 2022 à New-York, aux USA, à un déjeuner de travail de l’Organisation des premières dames d’Afrique pour le développement (OPDAD). D’après la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi qui rapporte l’information à 7SUR7.CD, cette séance de travail a eu lieu en marge de la 77ème assemblée générale des Nations-Unies.
http://opr.news/58f23334220921fr_cd?link=1&client=news

[23/9, 10:12] Kolwezi : plusieurs arrestations à l’hôtel du Général Philémon Yav.

Comments: il faut vite assainir l’armée pour ramener la paix dans le pays.
http://opr.news/20bc0578220922fr_cd?link=1&client=news

Trahisons en série…


Les véritables Hutu congolais dont la référence est la chefferie des Bwisha, en territoire de Rutshuru, province du Nord-Kivu, sortent de leur silence et fixent les opinions sur l’identité des immigrés qui sèment tant de désolation dans la région de Beni et dans la partie sud de la province de l’Ituri, précisément à Tchabi, Mitego et Boga.

Il est urgent que certains dignitaires se justifient ou soient jugés

La justice populaire doit interpeller l’ex-président Joseph Kabila, l’ex-gouverneur Julien Paluku, l’ex-Maire de la ville de Beni Nyonyi Bwanakawa, l’ex-gouverneur de l’Ituri Adballah Penembaka sur l’implantation des milliers des personnes suspectes et inconnues en Ituri et au Nord-Kivu.

La genèse du fléau…

Depuis la période du phénomène de la rébellion du M23, un mouvement massif des personnes non autrement identifiées, mais suspectes de par leur caractère clandestin, en destination du grand Nord-Kivu et de l’Ituri, a été constaté à partir des frontières du Rwanda. La société civile du Nord-Kivu en avait aussitot fait l’alerte à l’intention des opinions nationales et internationales, qui sont toutes demeurées indifférentes.

La vérité fondamentale sur cette infiltration est que la Tanzanie venait de refouler les réfugiés Rwandais qui vivaient sur son territoire. Kagame, le président du Rwandais, considérant ces personnes comme inutiles et de trop, s’est arrangé avec son homologue congolais de l’époque, de surcroit lui-même rwandais de sang, en la personne de Joseph Kabila, en vue de déverser ces “indésirables” sur le territoire congolais pour des objectifs multiformes. D’une part, Kagame voulait se débarrasser d’un surpeuplement. D’autre part, en fournissant tous les moyens requis pour aider ces réfugiés et autres volontaires rwandais à s’implanter en République Démocratique du Congo, Kagame préparaient des combattants devant exécuter les opeérations préliminaires pour l’aider dans son plan d’occuper certaines régions bien ciblées dans l’est de la RDC.

Voici comment Joseph Kabila installa les faux ADF à Beni…

Des massacres contre les civils explosent dans la région de Beni le 02 octobre 2014. On les imputera aux “présumés ADF” jusqu’à nos jours. Vrai et faux.

“Vrai”, du fait que Joseph Kabila venait de tout faire pour diviser les véritables ADF en deux groupes en excitant Baluku contre Jamil Mukulu pour des différends propres avec ce dernier que lui (Joseph Kabila) et le feu Laurent-Désiré Kabila avaient pourtant encadré pendant longtemps. Le groupe de Jamil Mukulu, qui porte l’étendard des vrais ADF sera livré à l’anéantissement presque total suite aux opérations qu’a menées le feu général Lucien Bahuma. Entretemps, d’énormes faveurs et moyens seront mis à la disposition de Baluku pour susciter des ADF qui devront travailler à l’accomplissement du plan de Joseph Kabila et de Paul Kagame.

“Faux”, parce qu’il y avait déjà dans la chefferie des Watalinga plus de deux mille rwandais qui venaient de s’y infiltrer avec la complicité du chef Bamukoka qui avait accepté la corruption lui proposée par les conspirateurs. Meme, dans la ville de Beni, d’autres rwandais venaient d’acquérir des domaines terriens par le canal des personnes interposées, et avec l’influence des autorités politico-admnistratives, dont sur place Nyonyi Bwanakawa, le Maire de la ville. Joseph Kabila placera tous ces rwandais sous l’encadrement du groupe de Baluku pour constituer les faux ADF, auteurs de la désolation de ces jours à Beni et en Ituri.

Mais la connexion de ce groupe d’assassins et terroristes au sein des FARDC, l’armée officielle congolais, se fera par des officiers rwandais infiltrés et d’autres pro (comme le général Mundos) qui les ont toujours cotoyés, soit en se trouvant dans le cercle rapproché du président Kabila, soit à travers les rébellions du RCD, du CNDP et du M23. La plus grande védette qui n’hésitera pas à se manifester ouvertement est le colonel Richard Bisambaza, qui en déclarant sa défection en 2013, avait mis à la disposition de Baluku une unité d’une soixantaine de militaires de son commandement, pour poser la base de ceux qui seraient un peu après les egorgeurs, en vue de lancer les massacres dans le terrain qu’il venait de préparer dans le triangle Eringeti – Mbau – Kamango, au nord et au nord-est du territoire de Beni. Et voilà tout au sujet du lancement des activités des faux ADF en oeuvre du terrorisme à Beni et en Ituri.

Une réalité absurde: des immigrés qui affluent par milliers dans une zone en proie aux massacres…

Plus les massacres montaient d’ampleur dans le territoire de Beni, plus il a été constaté l’intensification des personnes en migration vers cette zone en proie à l’insécurité, sous prétexte de venir chercher de terres arables. Est-il nécessaire d’être philosophe ou lisencié ou docteur en antropologie ou en sociologie pour comprendre que ce n’est pas possible qu’un groupe de personnes prétendent venir chercher une vie heureuse et meilleure dans un milieu qui est en train d’être déserté par les autochtones forcés de s’en fuir à cause de la cruauté des massacres qui y sévissent?

On comprend dès lors comment les égorgeurs de Beni ont continué de recevoir régulièrement des renforts rwandais avec la complicités des autorités officielles pour exterminer les autochtones.

Julien Paluku, Nyonyi Bwanakawa et Abdallah Penembaka doivent se justifier…

Des groupes massifs d’immigrés clandestins rwandais ont envahi le grand Nord-Kivu et l’Ituri en bénéficiant de la protection et de la couverture des autorités officielles congolaises. Leur mouvement de Goma vers Beni et vers Ituri a été toujours couvert et sécurité par des feuilles de route collectives dument signées à Goma, au gouvernorat de la province du Nord-Kivu sous le mandat de Julien Paluku, après que ces clandestins aient été dotés de fausses cartes d’électeur congolaises délivrées par une mafia installée à Gisenyi, au Rwanda. Quelques fois, il a été également observé des escortes militaires qui les protégeaient le long de leur trajectoire. Et quand les populations autochtones cherchaient à sonder pour savoir plus de ce genre de mouvement suspect vers des zones en insécurité de haute tragédie, elles étaient réprimées par les forces de l’ordre jusqu’au sang, tout cela pour assurer le maximum de protection aux personnes non autrement identifiées au détriment des fils et filles du pays. Quelle trahison!

Nyonyi Bwanakawa a aussi une lourde responsabilité à porter. Il n’a cessé de faire traquer les autochtones de Beni qui tenter de se plaindre du comportement d’indifférence des autorités aussi bien civiles que militaires face à l’ampleur de l’insécurité grandissante dans son entité. Il confirmait lui-même qu’il est en contact avec les leaders desdits égorgeurs et pourtant il n’a jamais donné la preuve de faire mieux pour aider l’opération Sokola 1 à mettre ces ennemis hors d’état de nuir.

Quant à Abdallah Penembaka, il était gouverneur de province de l’Ituri, à Bunia. Plus de cent mille personnes non identifiées se sont installées dans sa juridiction sous son regard. La population locale a fait part de la souffrance que lui infligent ces immigrés, mais absolument rien n’a été fait pour sécuriser les autochtones. Bien au contraire, l’autorité provinciale de Bunia a formulé des menaces pour intimider les notables et les chefs coutumiers des communautés qui se plaignaient, en l’occurrence les Banyali-Tchabi, les Bira et les Hema. Paradoxalement, on a plutot assisté au renforcement des dispositifs de protection militaire en faveur des mêmes inconnus, même au moment ou ils commencaient à piller et à tuer des civils parmi les autochtones. Les communautés locales ont suggéré à l’autorité provinciale d’organiser ne fut-ce que l’identification de ces inconnus, mais en vain. Et aujourd’hui, ces inconnus se donnent même l’audace de dire avec arrogance : “Nous allons continuer à massacrer cette population qui ne nous permet pas de nous établir dans ces terres que nous avons choisies pour pratiquer notre agriculture”, tel qu’un d’entre eux déclarait le 9 juillet à Otmaber, après avoir massacré et incendié les passagers dans les véhicules de transport en commun qui les acheminaient de Bunia vers Beni et Butembo.

Il est urgent que Joseph Kabila, Julien Paluku, Nyonyi Bwanakawa et Abdallah Penembaka disent à la population de Beni et de l’Ituri qui sont exactement ces personnes qui massacrent fièrement les autochtones sous leur propre protection, ces immigrés que les vrais Hutu “Banyabwisha” de Rutshuru ne reconnaissent pas comme faisant partie de leur communauté. Tout le monde découvre enfin que les égorgeurs qui exterminent les autochtones sont ces immigrés qui ne sont pas des congolais (- car ils utilisent abusivement le nom des “Banyabwisha” -) en se revetant du masque des ADF. Ces autorités et dignitaires doivent expliquer qui sont ces criminels qu’ils ont choisi d’installer à Beni et en Ituri, et pourquoi ils préfèrent les protéger au détriment des fils et filles du pays.

Les Banyabwisha de Rutshuru ont raison de briser le silence et de dire toute la vérité…

S’il faut être franc, les Banyabwisha, nos frères Hutu congolais de Rutshuru, sont en train de traverser les mêmes souffrances que les Nande de Beni et les Hema, Banyali, Babira en Ituri. Les mêmes étrangers qui massacres les autochtones à Beni et en Ituri font la même opération contre les Hutu congolais à travers le territoire de Rutshuru. C’est pourquoi, de très nombreuses familles Hutu Banyabwisha de Rutshuru ont été forcées a fuir leurs terres pour devenir réfugiés ou demandeurs d’asile aux camps de l’UNHRC à Kyaka II, à Nakivale et à Kyangwale en Ouganda. Mais aucune de ces familles n’a pris la destination de Beni ou de l’Ituri. Ceci est un fait réel que n’importe quel enquêteur peut vérifier.

Il faut se méfier du président Félix Tshisekedi – collabo !

En tout cas la population du Nord-Kivu et de l’Ituri mourra de sa naiveté et de sa confiance aveugle. Beaucoup ont applaudi à l’accession au pouvoir de monsieur Félix Tshisekedi, clamant que cette fois-ci un véritable congolais a enfin mis fin au règne rwandais dans le pays. Et pourtant la situation sécuritaire est d’emblée passée du mal au pire dans l’est du pays. Tshisekedi Antoine Tshilombo n’ignore pas que c’est la main de Kigali qui trempe dans le sang des congolais tués comme des mouches dans plusieurs coins de Beni, de l’Ituri et des hauts plateaux du Sud-Kivu. Et pourtant, il se permet, malgré tout de signer des accords qui renforcent la capacité d’influence, de controle et l’emprise de Paul Kagame dans cette partie de l’est du territoire national congolais tant convoitée par le Rwanda.

Cet accord officiel que Félix vient de signer avec Kagame lors de sa dernière tournée à l’est de la RDC n’est que la petite face visible de l’Iseberg des multitudes d’accords secrets que les congolais ne découvrirons pas peut-être bientot, lesquels demeurent pour lui la seule garantie de continuer à se tenir au pouvoir.

Illustration: camp de transit officiel des clandestins rwandais à Nyongera (Kiwanja/Rutshuru)

Aujourd’hui, il est vrai qu’il n’y a pas de guerre ou d’insécurité du genre de la région de Beni et de l’Ituri. Et pourtant les autorités ont permis l’érection d’un très grand camp (soi-disant des déplacés) sur le terrain de l’état situé à Nyongera, non loin de la prison de Kiwanja. Aucun autochtone de la communauté des Banyabwisha de Rutshuru ne se trouve dans ce camp qui abrite actuellement plus de 2000 personnes dont l’origine est indéterminée.

Les autorités doivent honnêtement édifier les opinions en précisant qui sont les habitants de ce camp, car ils ne sont pas issus des communautés autochtones congolaises, et surtout que rien ne justifie l’opportunité d’eriger un tel camp dans le Rutshuru dans le contexte actuel.
Il s’agit en fait d’un camp de transit expressement mis en place pour canaliser des immigrés clandestins vers le grand Nord-Kivu et vers l’Ituri: ce sont des personnes qui transitent par ce camp de Nyongera qui affluent dans les zones de massacres à Beni et en Ituri en se camouflant sous l’identité des Banyabwisha qui ne les reconnaissent malheureusement pas. Ainsi, même le régime de Félix Tshisekedi évolue-t-il dans la ligne de complicité et de trahision lui léguée par son prédécesseur, en défaveur de la Nation.

Pour prouver son innocence, si du moins il prétend l’etre, Félix Tshisekedi doit faire identifier sans délai l’origine des assassins et terroristes de Beni et de l’Ituri trompant les opinions qu’ils seraient des Banyabwisha, les faire retourner à leur provenance originelle et stopper l’insécurité et les violences non justifiables imposées aux congolais de Beni et de l’Ituri.

Christian Lukinga

©️Beni-Lubero Online.

Ituri : le ton monte.


Bien qu’avec plus de 18 ans en retard, les ituriens commencent à comprendre qu’ils soient la cibles de plusieurs acteurs politico-militaires assoiffés de leur or.

L’article ci-dessous, discute quelques points saillants qui montrent la complicité du pouvoir kinois dans ce qui se passe en Ituri.

Le silence marqué par les parlementaires et les administratifs, de l’Ituri comme ceux de l’extérieur de l’Ituri, montre bien que la province se dépérit et que la solidarité et l’unité nationales n’existent pas. Que faire ?

Nous avions proposé aux ituriens, à tout l’Est, l’autonomie, l’indépendance et l’interpellation de l’Ouest, par une balkanisation stratégique même. Personne ne nous avait suivi. La situation sécuritaire ne fait que s’aggraver ; des étrangers sont de plus en plus associés au pillage de l’Ituri et à l’extermination de sa population. La réaction de notre population n’est pas appropriée : cette dernière verse dans le banditisme et le tribalisme qui aggrave la situation et ajoute à notre ignominie.

Le projet 2014, qui propose une démarche humaniste et démocratique n’est pas connu est raillé depuis 23 ans. Pourtant, les faits, sur terrain nous donne à chaque fois raison : le pays s’enlise, se délabre, pendant que certains s’enrichissent énormément, abreuvés du sang des congolais. Pourquoi et comment ? Lisez la livraison de notre compatriote ci-après.

CHERS ITURIENS, LA SITUATION RISQUE DE DEVENIR INCONTRÔLÉE, BUNIA NOTRE VILLE EST VRAIMENT EN DANGER, MONSIEUR LUBOYA NE CONTROLE PLUS RIEN, IL EST TOTALEMENT DÉPASSÉ PAR LES ÉVÉNEMENTS

La province de l’Ituri est jetée dans le chaos total, une véritable situation de « Non Etat » s’est installée depuis que l’état de siège a été déclaré et qu’un général incompétent et visiblement sans parcours militaire requis a été mis à sa tête.

Ce qui se passe sur le terrain au moment où j’écris, c’est que la province est totalement abandonnée entre les mains des groupes armés qui se combattent pour le contrôle des sites miniers, principalement dans les territoires de Djugu, Irumu et Mambasa.

Ceci devant un prétendu état de siège totalement dépassé, incapable de mener une seule opération militaire d’envergure pouvant inquiéter les groupes armés.

Dans ces 3 territoires à problème, le Général Luboya n’y a presque jamais mis ses pieds depuis 16 mois qu’il est en Ituri, personne ne sait il a peur de quoi.
Il n’a jamais été à Mungwalu, cité minière qui a été de nouveau attaquée le week-end dernier par des miliciens de Codeco, faisant une trentaine de morts.

Il n’a jamais été à Luna à la frontière avec le Nord Kivu où la route nationale numéro 04 qui va de Beni à Kisangani en passant par l’Ituri, est totalement abandonnée sous le contrôle des ADF sur une distance de plus de 200km où ils ont rasé village par village, tuant les habitants et forçant les autres à fuir.

Cette route était pourtant totalement praticable et le traffic était intense avant l’état du siège.

Pour ce qui est de Bunia chef-lieu de l’Ituri, la ville est totalement assiégée. Côté sud, au quartier Lengabo à seulement 5km du centre ville, on note une présence injustifiée des miliciens FPIC depuis plus d’un mois, visiblement à la demande des animateurs de l’état de siège car rien n’a été fait pour les déloger. Pour quelle fin? Personne ne le sait.
Cependant, dans leurs affrontements avec ceux de la FRPI, ces derniers menacent de venir à Bunia pour les déloger, ce qui met la sécurité de la ville en grand danger.

Côté Est, on apprend la résurgence de l’ALC une faction de Codeco conduite par un certain « Petit Loup de la montagne », qui avait signé une incursion spectaculaire en septembre 2020 dans la ville de Bunia mais qui avait été totalement anéanti à l’époque par l’armée. Devant le laxisme de l’état de siège, les informations qui nous parviennent des habitants de Ezekere à une dizaine de Kilomètres de Bunia indiquent qu’il est entrain de se réorganiser.

La même situation s’observe du côté Nord de la ville où les positions de Codeco et FPIC ne sont pas pas assez loin.

Comme élément nouveau, maintenant les groupes armés Codeco, FPIC, FRPI et Zaïre, que l’état de siège était sensé venir combattre, sont entrain d’être montés les uns contre les autres, l’objectif est d’embraser totalement l’Ituri pour justifier le maintien indéfini de cet état de siège qui permet aux militaires de s’enrichir de manière illicite.

C’est ce qui explique les affrontements en cours entre la FRPI et FPIC à Irumu, deux milices qui pourtant étaient alliées mais qui ont été opposées pour se combattre et ce sont les populations qui payent le prix. Pendant que les deux groupes armés se battent depuis bientôt un mois, l’armée supposée en état de siège, les observe sans rien faire.

C’est la même situation à Djugu où Codeco et Zaïre, qui étaient des milices ennemies, ne s’étaient pourtant jamais affrontées de manière ouverte comme c’est le cas actuellement pour le contrôle des sites d’exploitation artisanale d’or.

L’état de siège qui était sensé être une période exceptionnelle, s’est vite transformé en une période anormale, un véritable Non État.

Le Général Luboya Nkashama et son équipe à ce jour ne protègent plus personne, à part eux-mêmes. Unique chose qui les intéresse, les affaires.

Ils sont dans les mines, dans les douanes, dans les recettes de la province. Depuis leur arrivée, les opérations militaires ont été reléguées au dernier plan, nous ne sommes même pas au courant d’une seule opération d’envergure menée par eux depuis 16 mois, ce qui fait qu’ils n’ont anéanti ni même inquiété un seul groupe armé.

Dans cette condition, il est difficile de s’expliquer pourquoi Monsieur Félix Tshisekedi tient coûte que coûte à maintenir cet état de siège qui le discrédite totalement au sein de la population de l’Ituri. Est-ce que le plan c’est d’embraser l’Ituri, y installer à dessein un chaos, afin de justifier sa non participation aux élections ? Si c’est le cas, je peux promettre à Monsieur Tshisekedi qu’il n’y aura pas élections au Congo sans l’Ituri et le Nord Kivu.

Nous combattrons toute forme de balkanisation de notre pays, y compris la balkanisation politique.

Luc Malembe
Acteur Politique

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