Même dans le désert…


Montrer ce que nous vivons depuis 1960, sans agir après avoir conçu un plan, est pour moi une irresponsabilité, un manque de civisme.

Je propose que nous changions d’abord de leaders pour une meilleure organisation du pays. Personne ne le veut pour de raisons hégémoniques.

Je propose que nous quittions la République qui est un repère à dictature, partout dans le monde. Tout le monde préfère être tiré par le nez.

Je propose que nous bâtissions notre pays sur un modèle capitaliste pour créer la richesse qui nous fait défaut dans tous les domaines.

Je propose enfin qu’au plan mystique, nous nous reconnections au Créateur des cieux et de la terre !

Jusqu’ici, même ceux qui disent être d’accord avec moi font rien de concret pour participer !

Comme un prophète dans le désert, je prêche à un peuple qui a le cou roide, mais qui va dormir à l’église, au temple, au mosquée !

À quand le changement ?


[9/7, 09:06] K. : Bonne idée cher Dr. et courage.

Ne restons pas seulement des spécialistes de réseaux sociaux : transformons positivement notre société.

Le changement c’est maintenant !
[9/7, 09:33] GPAU : Ils sont encore très peu nombreux, ceux disposés à travailler ensemble, à l’échelle nationale, pour le développement du Congo.
Plusieurs croient qu’il soit possible de traiter avec succès les affaires de la nation dans leurs familles, clans, tribus, ethnies ou alliances.
Leurs échecs n’ont pas encore suffi à leur ouvrir les yeux, fermés par leurs visées égoïstes, hégémoniques, népotistes, coloniales, esclavagistes, totalitaristes, cupides…
Ce manque de respect du congolais est ressenti par plusieurs ; et, il a créé chez ces derniers la méfiance. Le pays se vide de sa crème et la division se renforce ; contrairement à ce que nous entendons.
Il se tient de plus en plus beaucoup de réunions familiales à buts et de moins en moins de rencontres nationales politiquement ou culturellement productives.
Nos fora sont pour la plupart politiquement, socialement, culturellement stériles à cause de cela. La démission de notre intelligentia, composée d’acculturés, renforce ce processus.

Pour un changement rapide et durable de la situation, il faut investir dans notre école à nous, rapidement !

Attachés à l’arbitraire et à la dictature


[1/7, 17:06] TT : La RDC parait être sur la bonne voie: dénoncer aux Nations Unies, repousser les rebelles aux fronts, et éliminer les infiltrés Rwandais de l’armée congolaise. C’est le travail d’élimer les infiltrés qui n’est pas suffisamment fait, et ce sont justement les infiltrés qui constituent la pièce maitresse du jeu sanginaire de Kagame au Congo.
[1/7, 17:09] D. : C’est très facile de les éliminer : le Président a la possibilité de les cibler et les mettre en retraite, tous, sans exception !
[1/7, 17:12] JS : Ce n’est pas juste de procéder de cette manière, il faut tout simplement lsoumettre tous les gradé à un test écrit et oral ils vont se vider dans la transparence et l’équité.
[1/7, 18:06] GPAU : Si c’est de cette façon là que nous entrevoyons de gérer notre pays, je nous plainds !
Pourquoi sommes-nous si attachés à l’arbitraire et à la dictature ?

UNILU : Qui tueraient notre enseignement ?


LETTRE OUVERTE A L’UNILU LA MEDIOCRE. DE LA SCIENCE A L’ENFER: Bradage de Diplôme de DEA et THESE à l’UNILU la médiocre par le Recteur KISHIBA.

  • Au Président de la République
  • Au Premier Ministre
  • Au Président du Senat
  • Au Ministre de l’ESU
  • Au Ministre de l’Intérieur
  • Au Secrétaire Général à l’ESU
  • Au Conseil d’Administration des Universités
  • Au Président de l’APSICO
  • Aux Associations de Droit de l’Homme
  • Aux membres du Comité de Gestion de l’UNILU
  • Au Doyen de la Faculté des Sciences Sociales UNILU.
    Nous, le PERSONNEL Scientifique de la Faculté des Sciences Sociales, Politiques et Administratives de l’UNILU, constatons avec regret et douleur au Coeur l’organisation du STAFF SEMINAR de Mr Jacques KYABULA KATWE, le Gouverneur du Haut-Katanga.
    Pour votre information, Jacques KYABULA est nommé CT sans que le dossier ne soit examiné au Département et à la faculté.
    Le 14/03/2022 à 18h, une équipe des Professeurs composée de Prof MBAYA KABAMBA (Directeur de son mémoire), KAPEND NGUZ, KALUNGA MAWAZO, MPIA IMANDA, KAHOLA, MWENZE MINZA, et Les autres ont organisé un STAFF SEMINAR à 19h pour le Memoire de DEA en SPA de Jacques KYABULA moyennant 1000$ à chaque Professeurs présents au STAFF (11 Professeurs) et 2.500$ pour le Directeur Prof MBAYA KABAMBA.
    Pendant que les exemplaires de son Mémoire étaient déjà déposé au Département et prêt à être défendu car le Recteur tient à tout prix que cela se passe en dehors de la procédure normale chose que le Chef de Département n’a pas bien digéré.
    Comprenez, pendant que nous, nous présentons 3,4,5 voir 6 STAFF SEMINAR, Jacques KYABULA avec la bénédiction de son Beau-Père KISHIBA, n’a Jamais suivi Les Cours et Séminaires tel que prévu dans le Programme de 3e cycle, mais il veut être collé le grade de DEA.
    Quelle injustice?
    Avec qui parmi nous les Doctorants des SPA KYABULA avait suivi ces cours et séminaires?
    En ce qui concerne Les ATTESTATIONS des cours et séminaires, pour n’avoir suivi qu’une seule séance dans le séminaire de SOCIOLOGIE POLITIQUE dispensée par le Prof Ordinaire MULUMBATI NGASHA, ce dernier avait refusé de lui livrer l’Attestation car n’ayant assité à une seule séance sur 7 organjsées (Nous sommes là en 2016) mais hélas, un Sociologue, Prof MPIA IMANDA JEAN DIDIER, s’est permis de lui signer une ATTESTATION du cours de SOCIOLOGIE POLITIQUE qu’il n’est ni tutilaire, ni enseigné quelle pratique d’antivaleur?…. Tout cela c’est pour des raisons de leur maintien à leur postes de DG comme ce fut le cas avec KISHIBA, le Prof KAPEND et MPIA se lancent dans cette pratique antivaleur.
    Nous demandons au Président de la République d’instruire le Ministre de l’ESU de s’investir pour que cette trichérie ne soit valisé par KISHIBA prêt à signer une décision de membres du jury de Mr KYABULA KATWE, son gendre.
    Mr le Secrétaire Général à la Recherche, vous devez défier cette pratique antivaleur que votre Beau-fils cherche à instaurer à l’UNILU. Nous comptons sur votre sens de manager.
    Fait à Lubumbashi, le 15/03/2022.
    Personnel Scientifique (APSICO)/Sciences Sociales.

Moutons ou lions ?


La RAM. On en parle, comme d’un service offert à la population…

Mais au fond, c’est quoi que ce Registre des Appareils Mobiles ? À quoi et à qui sert-il ? Comment ? Certains congolais s’interrogent, d’autres s’en rejouissent…

AA : C’est incompréhensible qu’ils puissent voler gratuitement ce peuple [congolais] qui ne retrouve son dernier bonheur que dans le téléphone.


GPAU : C’est compréhensible que le régime nous vole, nous décime impunément !
Si nos moutons était comme les lions, les guépards ou les ours, nous ne les traînerions pas dans nos abattoirs !

Nous ne comprenons pas…


Oui, j’ai toujours reçu les copies de tous les messages que tu m’envoie, merci bien. Ce qui se passe à Beni ville et territoire, nous ne comprenons absolument rien : les carneurs tuent à masse le jour et la nuit, des fois près de camps militaires et de la monusco, sans être appréhendés.

Qu’est-ce que nous ne comprenons pas ?

En mai 2011, ne nous ai-je pas écrit que le pire était à venir ?

Pourquoi nous refusons-nous de réfléchir sérieusement à les problèmes pour en avoir une pleine compréhension afin de mieux entrevoir leurs solutions définitives ?

Vous êtes administrateur de la chose publique. Avez-vous une base de connaissances sur votre juridiction et des projets sur papier pour juguler les maux ?

Qui attendons-nous venir résoudre pour nous les problèmes ?

LTM, ma compréhension est que nous sommes-nous mêmes les auteurs de nos malheurs. Notre paresse est ce qui nous enferme dans l’abîme !

Où est le salut ?


L’un des obstacles majeur à la réussite des projets de l’opposition congolaise est sa pauvreté.  La pauvreté du plus grand nombre d’entre nous. Une pauvreté tout aussi bien spirituelle, matérielle, sociale, technologique que financière. Cette pauvreté a de graves conséquences pour la vie de notre nation.

Très peu d’opposants en effet peuvent organiser une campagne électorale par leurs propres moyens.  Très peu d’entre eux peuvent mobiliser la base correctement avant les élections, faute de disposer des ressources nécessaires et suffisantes. Que ces ressources soient spirituelles, matérielles, sociales, technologiques, financières ou autres.  Des hommes capables d’organiser une campagne de propagande professionnelle, à impact, font défaut. Ceux qui sont disponibles sont eux-mêmes beaucoup plus engagés dans le but de se trouver de quoi vivre que pour défendre la démocratie ou l’avènement d’un État de droit. L’argent pour supporter les frais à engager, n’est pas à la portée de la plupart d’entre nous.  C’est donc dire que, d’ici 2016, très peu d’entre nous pourraient logiquement, sérieusement et valablement, proposer aux congolais l’indépendance progressive du Congo.  À moins de créer, rapidement et correctement, une synergie au sein de l’opposition. Une plateforme qui nous permette d’être libres de notre pensée ou idéologie et libres dans son action ou intervention auprès de nos bases respectives.

Dans le Projet 2014, nous travaillons sur la question de la mobilisation des ressources nécessaires pour mener une lutte politique digne, démocratique, efficace ; afin de garantir des résultats durables.  Les résultats viennent très lentement. Nous attendions 3000 participants au Projet 2014 d’ici le 31 décembre 2014. Tout indique cependant que nous ne serons probablement pas plus de 20 participants au projet.  Or, pour nous engager valablement et utilement dans la plus grande plate-forme de l’opposition en 2016, nous souhaiterions avoir sur nos listes au moins 5% de l’électorat. Nous pourrons ainsi prétendre à au moins un poste ministériel.

Pendant ce temps, le congolais aujourd’hui croit plus qu’aux solutions qu’il est incapable de mettre en œuvre et qui pour la plupart ne peuvent garantir au congolais un bonheur futur. Ce sont les coups d’état, les rébellions, les assassinats politiques, les interventions miraculeuses de Dieu que par ailleurs l’on ne craint pas, l’anarchie, etc.  Les échecs du passé ne lui apprennent rien jusqu’ici à cause de son orgueil et d’un manque de travail d’organisation, de planification et d’évaluation de notre lutte commune contre l’esclavagisme, la colonisation, la dictature, l’imposture, la trahison et la médiocrité dans la gestion de la chose publique.

La question que plusieurs patriotes se posent aujourd’hui est : que faire pour s’en sortir ? Qui mobilisera les patriotes convenablement, professionnellement, pourquoi et comment ? Face à un pouvoir sanguinaire, comment s’investir en prenant des risques mesurés et en amorçant des projets à impact ? Nos réponses à ces différentes questions se déduisent de notre analyse ci-dessus.

(1) Pour nous en sortir, nous devons nous mettre au travail. Un travail bien structuré et intensifié pour mettre, démocratiquement, hors d’état de nuire, l’imposture et tous les maux que nous en héritons.

(2) Seul un projet visant et exigeant l’excellence de ses participants, tel le Projet 2014, permettra à la RDC de sortir de son bourbier où l’a mis le MNC, le MPR, l’AFDL et le PPRD. Tous les autres projets ne contribueront à l’affermissement du régime de Kinshasa, comme cela l’est jusqu’à présent et risque de l’être en 2016 ; si du moins, rien ne change dans notre manière de penser et de travailler le changement.

(3) Derrière le PPRD se trouvent des principautés, des forces occultes, mais aussi des hommes méchants que nous voyons et que nous touchons. Le conseil biblique est simple, mais efficace : quitter Babylone la Grande et éloignez-vous de tels hommes ; qui, se disant frères, démontrent par les fruits qu’ils produisent, qu’ils ne sont pas des nôtres, qu’ils ne sont pas nés de nouveau !

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