L’indispensable base dans une démocratie…


En politique, il faut du courage, mais pas de la sentimentalité ni de la témérité.

Avons-nous une base, du poids, pour tenir devant le pouvoir ? Il faut se forger d’abord un parti solide, pesant, avant de contrer politiquement et démocratiquement le parti au pouvoir, qui a, incontestablement, beaucoup d’adeptes !

Autrement, il serait déjà tombé depuis longtemps. Le peuple congolais, choisit mal ou tolère le mal. Il faut le savoir !

Avancer : avec qui ?


[27/2, 00:18] Héritier Ba’ndoni: C’est très triste
[27/2, 06:56] Héritier Ba’ndoni: Bonjour chers compatriotes

Quelques questions sur enrôlement.

  1. L’enrôlement prend fin quand en ville de Bunia ? Ou en Ituri
  2. Y a t il possibilité de s’enrôler au bureau de la ceni pour les retardataires qui n’auront pas eu la chance de s’enrôler jusqu’à fin mars?
  3. Un congolais qui ne se sera pas enrôlé jusqu’à la date limite fixée officiellement, cela pour des raisons du genre malade, absent au pays, absence de consulat ou ambassade dans le pays où il réside actuellement, etc. Quel sera son sort le jour où il arrive en RDC ?

Aidez-nous à avoir des réponses à ces quelques questions…

Merci


[27/2, 18:52] G. Paluku Atoka Uwekomu:

Héritier,

Ta question est mal posée et en retard !

Que nous ont rapporté les élections depuis 1960 jusqu’à ce jour et pourquoi ?

Personne ne nous a suivi ni entendu : aller aux élections en 2023, c’est nous tuer une énième fois, comme en 2018.

Ce que nous pouvons faire aujourd’hui, c’est commencer par obtenir que la CENI, la MONUSCO et la République soient effacées du Congo, définitivement, par la voie des réformes constitutionnelles et légales, pour :

primo, disqualifier les colonialistes et les dictateurs ;

secundo, asseoir les bases d’une réelle indépendance, d’un véritable développement, d’une réelle démocratie chez le congolais.

Cette longue démarche en vaut la chandelle !

Personnellement, nous sommes en marche, solitaires, depuis 1976 que personne ou presque, ne répond à notre appel pathétique.

Un lot de pleurs nous attend en 2024.

2023 : quoi de neuf ?


Pour que 2023 soit une bonne année pour nous tous, nous proposons de traiter à nouveau :

Du respect de nos peuples.
Chaque peuple congolais, qui veut nous aider à aller de l'avant, nous aidera à exiger le respect mutuel de nos cultures, dans ce qu'elles ont comme valeurs, comme richesse.
La lutte commune contre nos antivaleurs ethniques, tribales, claniques, familiales ou individuelles ne doit pas faire de nous des ennemis, mais plutôt des peuples amis, frères.
En revanche, tous ensemble, nous devons nous élever tous ensemble contre ceux qui perpétuent chez nous la colonisation, l'esclavagisme, la bestialité !
De l'enrichissement de ceux-ci.
Ce n'est pas de la paresse, du parasitisme, ni de la fainéantise que nous construirons une nation prospère. Dès leur bas âge, nos enfants doivent donc apprendre à travailler pour aller vers notre indépendance et notre enrichissement.
Ceux qui voudraient nous maintenir dans la pauvreté sont les pires de nos ennemis. Leur nombre, leur proportion augmentent dans notre gente congolaise.
Via l'éducation, adultes et moins âgés doivent travailler à notre enrichissement holistique.

Du renforcement de leur unité (à suivre).

Du rayonnement de notre culture (à suivre).

Etc.

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

TERRITOIRE DE RUTSHURU ?


ACTUALITÉS DU TERRITOIRE DE RUTSHURU CE JEUDI 27 OCTOBRE, 2022.10.27 15h50
(Aimé Mukanda Mbusa)

La mâtiné de ce jeudi vers 5h10 les terroristes rebelles du M23 ont attaqués les positions FARDC dans les localités KAKO et KALENGERA dans le groupement kisigagari sur la route nationale no.2 (RN2) à 65 km de Goma et 7 km de RUTSHURU centre, cette situation à causer un déplacement massif de la population dans les villages environnants dont Rubare, Rutshuru centre, Bunyanyangula,Rwasa,Nyongera et même Kiwanja. Plus de 100.000 personnes sont en déplacement vers le territoire de Lubero ( kanyabayonga) et les autres ont pris l’axe Kiwanja-Nyamilima-Ishasha.

Dans le même chapitre nous signalons que dans le groupement RUGARI les mêmes rebelles voulais coupés la RN2 vers Rugari/Mwaro en plein parc national de Virunga ils ont étés chassés par l’armée loyalistes vers Nyesisi. D’où un déplacement massif de la population des villages NYESISI,KANOMBE,KABAYA,NDATA vers RUMANGABO et Goma.

Plusieurs déplacés ont fuits vers

  • Tongo(ceux qui ont fuits KALENGERA et kako)
    -Bwito(KIBIRIZI)
  • Nyamilima (Binza)

La ROUTE NATIONALE NO.2 est sous contrôle des Fardc depuis 11h00 et les Rebelles ont étés chassés vers Chumirwa et Kivunge .

Sauf la route reste toujours fermée pour les civils avant de sécuriser celle-ci et avant le retissage de la zone.

*NB: L’ENNEMI N’EST PAS LOI DE KAKO IL SE CACHE À QUELQUES KM. ET SELON DES SOURCES ANNONYME LES RWANDA RENFORCE D’AUTRES MILITAIRES À NTAMUGENGA.

Nous condamnons les autorités qui ont semés la panique en prenant fuite avant l’arrivé de l’ennemi voilà ceux qui a semer la panique dans la commune rurale de RUTSHURU pourtant l’ennemi n’était pas même à 10km nous avons vus certaines autorités fuire en laissant la population dans une grande panique (pitié).

Il est temps que le président de la République ou gouverneur nomment les autorités qui ont un sang froid
Non aux négociations avec les TERRORISTES.

SOUTIENS TOTAL AUX FARDC.

Aimé MUKANDA mbusa notable défenseur de RUTSHURU
0971153414

Baillonnés ?


  1. Officiellement, le M23 est une rébellion congolaise, soutenue par le Rwanda en raison de la majorité rwandophone qui la constituerait.
  1. Des islamistes profiteraient aussi de cette rébellion pour gagner des congolais à l’islam par la force.
  2. Enfin, des pirates divers y trouveraient leur compte : piller les ressources minières congolaises, pendant que le pays est mal gérer.
  3. Les congolais rwandophones considereraient ce mouvement comme un soutien militaire à leur combat politique pour avoir des terres leurs appartenant en propre.
  4. Le régime de Kinshasa tirerait profit de cette situation pour barrer la pression exercée sur lui par l’opposition.

PM : C’est vôtre avis personnel.

Dans quelle mesure trouvez-vous ces 5 assertions vraies ?
Le cas échéant, que proposez-vous pour gagnez contre la lutte pour la paix et la prospérité ?


RB : Ces assertions sont fausses et non vérifiables ou prouvées.

Des mesures que doivent prendre impérativement l’État congolais face à la situation qui prévaut à l’Est :

  1. Expulser l’ambassadeur rwandais,
  1. Ordonner la fermeture des frontières, et leur ambassade,
  2. Demander au congolais résidant au Rwanda de retourner chez eux,
  3. Déclarer officiellement la guerre contre le Rwanda.

GPAU : Nous attendons tes avis et ta contribution personnelle et originale à la rédaction d’un projet de société pour le Congo et non des commentaires sur ma personne, que tu lis mal, par ailleurs. Relis mon texte, tout simplement.


Apporte de l’huile à nos lanternes. Pourquoi affirme-tu que ces 5 propositions soient fausses ?
Il y a des congolais qui nous sont revenus du M23 et qui prétendent y avoir combattu et y avoir côtoyé des islamistes.

Nous avons au pouvoir des congolais, prétendument pur de sang, convertis ou pas, et qui seraient issus du M23. Non seulement notre armée serait envahi par des rwandophones, mais le Président de la République lui-même tensait, il y a quelques mois les congolais qui s’insurgeaient contre ses paroles, jugées par ces derniers comme pro-rwandaises…

Aujourd’hui, à quoi joue le pouvoir qui devient anti-rwandais ? N’y aurait-il pas des parcelles de vérité dans les 5 assertions réellement ?

Il nous est difficile de nous exprimer : nous sommes tous baillonnés ; vous et nous.

À qui la faute ?


[5/10, 06:50] TEKAKWO: Nomination sans travail!
Depuis que la coordination est installée je me demande si vraiment le PDDRCS est tout simplement slogan dans la bouche des Ituriens
[5/10, 06:50] TEKAKWO: C’est quoi cette histoire, où l’on nomme même les députés et agents de la fonction publique au sein du PDDRC-S ? Les nominés, vont-ils démissionner de leur mandat et postes au sein de la fonction publique, ou bien vont-ils cumuler ?
Pourquoi chercher toujours à faire le cumul des fonctions, pendant que le pays regorge plein des chomeurs ?
Ça fait la honte, et c’est ridicule, surtout pour les honorables députés provinciaux. Voilà comment les gens réduisent la fonction d’homme ou de femme d’état.
[6/10, 14:47] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le peuple ou plutôt nous, peuples du Congo lumubien, élisons ou tolérons et élirons ou tolérerons encore ces hommes véreux en 2023.

Quant aux chômeurs dont parle notre compariote, ils ne sont pas capables de se liguer, de s’organiser pour créer des emplois ou des entreprises pour remplacer ceux qui ne nous apportent pas le développement auquel nous aspiront.

À qui la faute, ultimement !

Mon fils et la politique.


Mon fils voudrait savoir comment se lancer en politique intelligemment, sans trop s'exposer,  dans un pays où il n'est pas facile de s'occuper de la cité ou de la nation sans risquer sa vie.
Dans notre groupe WhatsApp se trouve la livraison ci-dessous, complétée par un audio d'une quarantaine de minutes.
Cela pourrait donner des idées au politicien en herbe.

On va s’y prendre par quel moyen ?
Une feuille et un crayon suffisent.

Comment ?
Nos téléphones suffisent amplement.
Des goupes de 4 ou 5 personnes sont conseillés. Une formation au travail en équipe est indispensable pour être rentable, tout comme la conviction !

Quand ?
Quand nous voudrons conquérir notre indépendance, notre liberté. Toi, tu as l’avantage de connaître quand ton père a choisi d’agir : ce groupe commence à apprendre, qu’en 1976, j’ai choisi de m’investir dans la politique de mon pays et que depuis, je n’ai pas arrêté de travailler, comme dans les coulisses, pour certains, mais au grand jour, pour d’autres qui me connaissent.

Par qui ?
L’histoire du Congo est réalisée par ceux qui habitent le pays principalement. Mes aussi par beaucoup d’acteurs vivant à l’étranger. Tu le sais. Ta question me choque quelque peu : elle insinue pour moi que tu rappelles la colonisation, la servitude, le paternalisme, l’esclavagisme. Elle a un relent de parasitisme politique…

Et si l’on y arrivait ?
Si tu te juges incompétent, incapable, ignorant ou indiscipliné, commence par te former (compétences, capacités), t’instruire (connaissances, savoir) et t’éduquer (caractère, personnalité). Dresse un programme pour cela. Des ressources existent pour parvenir aux objectifs que tu te seras fixés.

Quels dangers nous guettent ?
La politique n’est pas une aventure. Nous vous laissons un audio ci-haut dans lequel nous exposons en vrac quelques points tirés de notre expérience. ☝🏿

Combien de temps nous reste-il ?


[26/9, 13:59] Nickson KASOLA: Une image de 2018 ? [Pourcentages des votants pour differents candidats en RDC en 2018 (?).]


[26/9, 15:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: La quintessence de mon message est : quel sera le pourcentage de mon parti en 2023 et du tien, Nickson ?
Cela omporte peut que les % que tu voies soient du vrai ou du faux, de 2006, 2011 ou 2018.
Que faisons nous pour réellement gagner en 2023 ?
Pour l’heure, le pouvoir en place part favori : du moins, à l’apparence. Ne crions pas au tripatouillage après, alors que nous nous occupons des accessoires ; laissant de côté la Voie du Père !


[26/9, 15:16] Nickson KASOLA: Cette image ne peut permettre la réponse à votre question car elle représente une époque dont le contexte est très différent de l’actuel.


[26/9, 15:46] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le contexte, selon nous, n’est pas très différent du précédent : la culture et la pratique politique sont les mêmes. Ces dernières demeurent celles d’intrigues diverses, de vols, de pillages, d’assassinats, d’esclavagisme de colonisation, de trahisons, de tripatouillages, d’une distraction sans nom de toute l’opposition et d’une déliquescence grandissante de l’administration.


[26/9, 15:50] Nickson KASOLA: Mon frère, là vous vous trompez. Le contexte est littéralement très différent. Si vous pensez partir de cette considération vous risquez d’être surpris. Je vous conseille de bien analyser le contexte.


[26/9, 15:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Notre effort dans le Projet 2014 n’est pas fondé sur l’espoir d’un Congo meilleur en 2024 : nous investissons politiquement dans un futur de bonheur qui ne poindra pas avant l’horizon 2055.
En clair, un Congo de droit, de justice, d’unité, de paix, de développement est pour nous envore très lointains.
La pauvreté est encore très grande sur tous les plans : la morale, l’intelligence, le confort dans la maison et au travail, la justice sociale, la liberté, la sécurité, la fraternité et toutes les choses semblables nous manqueront cruellement longtemps encore, frères !

C’est pour cela que nous vous invitons nombreux à rejoindre notre projet pour :
1° dégager un vrai projet de sortie de crise ;
2° mobiliser les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet congolais, sans être aliénés !


[26/9, 16:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: 30 n’ont pas suffit entre 1999 et 2014. 30 seront encore très insuffisant maintenant, au regard du pourrissement de la situation entre 1999 et 2022 et de la qualité et de la quantité de la ressource humaine.

Instruire, former et éduquer correctement près de 100 millions de personnes, de cultures disparates, demande du génie encore très rare dans notre pays. Il faut du temps, et encore du temps.

Certains observateurs occidentaux pessimistes évaluent à 500 ans le temps nécessaire pour que le Congo sorte de son tunnel de lui-même.

C’est peut-être exagéré ; mais ce n’est pas loin d’être raisonnable.

En effet, nous nous rendons compte très vite que les autres nations se fourvoient alors qu’elles existent depuis des millénaires. Le Congo indépendant n’existe que depuis 62 ans seulement !

Les conspirateurs sont-ils toujours de vrais congolais ?


Laissons de côté la question facile à traiter du vrai congolais ou du faux congolais. Le congolais étant bien défini dans leur constitution de 2006.

Pourquoi seulement les soupçonnés sont toujours de vrais congolais ?
Pourrait-il en être autrement. Comment ?
Les rwandophones sont dans l'armée, mais n'ont jamais été cités comme des traîtres.
  1. Être rwandophones n’est pas forcement être rwandais.
  2. D’aucuns, la plupart d’entre nous, pensent que ce soient les rwandais et les rwandophones congolais qui soient la cause de nos malheurs. Notre compatriote, dont le propos est repris ci-dessus, occulte les accusations portées contre plus de 300 officiers rwandophones de notre armée, dans la majorité de nos fora ? Dans quel but ? Avec quel bénéfice pour le Congo ?
  3. Quelque soit la nationalité des officiers incriminés (= concernés, mais pas nécessairement coupables), il est anormale que le tutsi ou le hutu, minoritaires au Congo, se retrouvent si nombreux au sommet de notre armée. Ni la Présidence de la République, ni le Gouvernement, ni le Parlement, ni le Peuple congolais lui-même ne prennent à cœur de résoudre cette anomalie, conséquence de notre crime commune de lèse-nation.
  4. C’est pour cela que notre analyse est que le chemin politique à parcourir soit encore très long avant que nous n’atteignions le bout du tunnel.
%d blogueurs aiment cette page :