Bien manger en RDC


En RDC, pour manger à satiété, nous n’avons pas besoin du PAM. Celui-ci aliène ceux qui s’y inscrivent.
Notre projet 1.000.000 d’hectares, que tout le monde foule au pied, est une solution facile à mettre en oeuvre pour :

  1. Nous mettre au travail en vue de nous enrichir ;
  2. Produire nos propres aliments pour notre indépendance alimentaire ;
  3. Unir nos peuples plus que jamais, pour ne pas demeurer dominés ;
  4. Accroître notre compétitivité sur le marché international ;
  5. Arracher la bénédiction du Père…

Pour commencer :

  • Se connecter à nos localités ;
  • Élaborer les projets ;
  • Mobiliser les ressources nécessaires, surplace ;
  • Lancer les projets ;
  • Fêter la production…

Nous avons tester le concept à Kisikivi dans le Nord-Kivu (https://eaeasbl.com). Le projet est à l’arrêt parce que nous avons minimisé le risque d’une recrudescence de la violence dans Oïcha et ses environs, au lancement du projet !

Qui spolie nos terres ?


Nous reproduisons ci-dessous un message WhatsApp qui montre comment, pourquoi et par qui la loi serait souvent violée dans notre pays.

Tout Boyoma doit se mobiliser pour résoudre par voie de droit cette spoliation et occupation de nos terres.

Les raisons qui plaident en faveur de l’annulation de 20 contrats d’occupation provisoire conclus entre la République Démocratique du Congo représentée par la Gouverneure de la Province de la Tshopo et la société Company Agro pastorale du Congo CAP Congo SARL

Dura lex, sed lex

La fraude à la loi qui entache les 20 contrats d’occupation provisoire de la société Company Agro pastorale du Congo CAP Congo SARL n’est plus à démontrer. Au-delà de la violation de l’enquête préalable prévue par la loi foncière en ses articles 193 à 203, il y a aussi la violation de l’article 16 de la loi portant principes fondamentaux relatifs à l’agriculture.

Rappelons que tous ces 20 contrats d’occupation provisoire, préalables aux concessions ordinaires sont conclus pour un usage agro pastoral. Ainsi, l’article 16 précité en son alinéa 2 point a) dispose : Les terres agricoles sont concédées aux exploitants et mises en valeur dans les conditions définies par la présente loi. Toutefois, le requérant remplit en outre les conditions suivantes : a) être une personne physique de nationalité congolaise ou une personne physique de droit congolais dont les parts sociales ou les actions selon les cas sont majoritairement détenues par l’État ou les nationaux;

Il ressort de cet article, bien société de droit congolais, la société Company Agro pastorale CAP Congo SARL est constituée des parts 100% étrangères. En effet, elle n’est constituée que de deux associés tous de nationalité libanaise, en l’occurrence madame Atwi Soumaya née à Ayitit, le 11 septembre 1996 avec 80 parts et Monsieur Roumie Zolfirar qui est gérant statuaire né à Al Remadie avec 20% sociales.

Au regard de ces articles ci haut évoqués, ces 20 contrats d’occupation provisoire ne seraient même pas signés par la Gouverneure de province.

S’il faut pousser très loin le raisonnement, cette société à capitaux 100% étrangers ne pouvait même être immatriculée au RCCM tenant compte de son objet social en lien avec les activités agricoles car dans ces conditions elle ne pourrait obtenir les terres agricoles. Les activités agricoles devraient être extirpees avant son immatriculation. J’y reviendrai sur cette question prochainement avec une action au guichet unique de création d’entreprise pour le retrait de son immatriculation tant que ces contrats ne seraient pas annulés.

C’est ici le lieu de saluer le travail bien fait du législateur congolais qui a fait preuve de clairvoyance dans l’élaboration de cette loi. Les dispositions de l’article 16 ont été insérées dans la loi pour prévenir des cas d’expropriation déguisées des terres coutumières des communautés locales. Malheureusement, l’application de cette loi nous démontre le contraire.

L’autorité provinciale étant déjà trempée ne doit pas considérer cette affaire comme une fatalité. Ainsi, pour se tirer de cette affaire, elle devrait tout simplement annuler ces contrats d’occupation provisoire car le défaut de le faire par elle-même leur annulation peut être ordonnée par voie judiciaire à la requête des véritables ayants droits déjà mobilisées pour cette fin, ce qui ne l’honorera pas du tout.

En même temps, elle devrait se débarrasser de tous les conseillers malveillants qui ont été associés au traitement de ce dossier et qui l’ont piégée en lui soumettant ce dossier plein d’incohérence. Ne pas accéder à cette demande me poussera à conclure que les conseillers l’ont bien conseillée mais elle n’a pas pu prendre en compte leurs conseils.

L’annulation de ces 20 contrats d’occupation provisoire par l’autorité elle-même pensera les plaies des familles éprouvées.

Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. Je ne veux pas être celui qui regarde le mal sans faire quelque chose. La présente analyse est ma modeste contribution contre l’expropriation déguisée de 4000 hectares des terres coutumières dans la Province de la Tshopo.

Il n’est jamais trop tard pour mieux faire !

Sé Maître Patient Biselenge Bombali, avocat et expert en droit foncier et forestier des communautés locales.

Congolité : les mensonges involontaires ou inconscients !


Tel que reçu sous WhatsApp. Nos observations sont entrelacées.

L’assemblée nationale a levée l’option d’un débat public et largement diffusé sur toutes les chaînes des radios et des télévisions concernant la proposition de Loi Tshiani !

Il serait intéressant de savoir pourquoi cette loi fait peur aux uns, aux usurpateurs de notre nationalité ; et aux autres, aux dominateurs de nos peuples et aux traîtres parmi ces derniers.

En effet, la proposition de loi Tshiani qui verrouille plus des cinquante (50) fonctions régaliennes en République démocratique du Congo sera bientôt débattue à l’Assemblée nationale, selon le 1er Vice-président de cette chambre André Mbata.

Voici un premier mensonge, des colonisateurs et des colonisés : faire croire que la peur procéderait du patriotisme et qu’elle nous éviterait la mort. Une proposition de loi, quelque dérangente qu’elle soit, pour une ou pour plusieurs franges de notre population, ne devrait inquiéter personne, dès lors qu’elle exprime la volonté, d’une partie importante de nous congolais, de voir une situation jugée insatisfaisante être changée, modifiée. En l’occurrence ici, bien des congolais pensent que le munyarwada pour les uns, le tutsi pour les autres ou les tricheurs de la nationalité congolaise et la cohorte des traîtres, pour d’autres encore, soient la cause première de l’insécurité dans notre pays. À ces rwandaphones, à ces tutsi, à ces étrangers ou à ces traîtres, il faut encore ajouter toute une série d’alloctones et d’autochtones, qui ne sont dans le pays que pour usurper, piller, spolier, voler, violer, tuer, décimer, génocider, terroriser ; et, pour commettre d’autres actes d’atrocité physique et morale similaires. La question devient donc plus complexe qu’on ne le croît. Un débat démocratique au parlement et au sein des partis politiques devrait conduire à un murissement de la question avant de voter pour ou contre cette loi qui reposera encore et toujours la question épineuse du qui est congolais, que plusieurs éludent jusqu’ici, mais qui nous poursuit inlassablement, tant elle mal traitée, à chaque fois, par les régimes qui se succèdent à Kinshasa…
Nous, Projet 2014, proposons une rencontre de tous nos peuples, pour, premièrement, entre nous, décider de ce que nous voulons faire du Congo hérité de l’indépendance lumumbienne et de la manière de conduire notre destin en que nation.
Le refus du congolais de se mettre autour d’une table, pour jeter les bases d’une société démocratique, pour couper l’herbe sous les pieds des néo-colonisateurs, est ce qui explique notre périgrination dans le désert et notre assujetissement par divers peuples, qui ont choisi de profiter de notre désorganisation pour nous piller et nous décimer, dans l’espoir d’en tirer des avantages économiques, politiques et sociaux ; mais en réalité, pour accroître l’inimitié entre nos peuples et nous retouner à des temps anciens d’esclavage et d’animalité.

N.B. Aux États Unis d’Amérique la première démocratie modèle du monde la fonction de Président de la République est exclue à tout américain par le fait qu’il est tout simplement né à l’étranger même s’il est né de père et de mère américaine. Et personne ne crie à une sorte de loi discriminatoire.

La Tunisie exige que tout candidat à la présidence de la République soit non seulement « né de père et de mère tunisienne » mais aussi et surtout, qu’il soit « né des grands pères paternels et des grandes mères maternelles toutes [tous] de nationalités tunisiennes » personne ne crie à la discrimination et/où [ou] à la ségrégation raciale !

Notre origine esclavagiste et coloniale, ainsi que nos la fausse religion dans laquelle nous versons, expliquent sans doute que nous demeurions complexés, pour la plupart, jusque nos jours.
Nous sommes un peuple multiculturel. Notre histoire, notre destin et nos moeurs, de nos jours, ne sont pas comparables à ceux des américains ni à ceux des tunisiens sur de nombreux points ; bien que nous soyons tous des humains.
Bien plus, les politiques en vigueur dans ces pays n’y font pas l’unanimité, comme dans tous les états du monde, contrairement à ce qui est prétendu ci-haut. Et qui plus est, l’une des sources d’insecurité dans notre pays réside dans le non respect du droit de nos peuples à leur auto-détermination, à leur indépendance politique, culturelle, économique, sociale… L’unitarisme, la fausse religion et la dictature que nous entretenons dans le pays, ces autres formes d’esclavage et de colonisation nouveaux, pourrissent la vie à notre nation qui pourtant a du potentiel politique, économique et religieux au plan africain et international. Sans une réfondation du Congo, sans une prise en main de notre destin, par nous-mêmes, les politiques des dupes et d’imposteurs divers nous maintiendront dans la misère, dans le sous-développement, temporel et intemporel.
C’est pour cela que nous invitons chaque peuple à titiller ses dirigeants pour que nous avançions vers une démocratie renforcée et un travail valorisé.
Concrètement, dans le quartier, la participation à la prise et à l’exécution des décisions et à l’évaluation des progrès accomplis est essentielle, pour aller vers une paix véritable.

En effet, le 1er Vice-président de l’assemblée nationale s’oppose catégoriquement à «l’ingérence de l’église catholique romaine dans une matière législative».

Pour lui,« l’église catholique romaine dépasse les bornes et va au-delà de sa mission».

Une attitude colonialiste, paternaliste, cautionnée ou tolérée, du vice-président de l’Assemblée Nationale, soutenue et pérennisée par une démission des parlementaires et du peuple qu’ils représentent, accroîtra et prolongera l’insécurité physique et morale dans le pays.
Les peuples congolais sont, majoritairement, théistes depuis des temps anciens et catholiques depuis la colonisation. La laicïté du pays pourrait être une anomalie ou plutôt l’est : il faudra le vérifier démocratiquement un jour ; d’autant plus que l’insécurité à l’Est du pays a souvent eu un relent islamiste, depuis la traite des esclaves.
Cette question épineuse est souvent éludée dans un parlement où, les chrétiens sont démissionnaires et divisés, et, avides d’argent, se compromettent et sombrent dans un eucuménisme hypocrite et idolâtre.

La proposition de loi Tshani ne vise pas seulement la fonction de Président de la République mais plusieurs autres fonctions sont visées par cette loi et en cas de sa promulgation, lesdites fonctions ne seront dévolues qu’aux Congolais nés de père et de mère.

L’article 24 de la loi Tshani modifie la loi numéro 04/024 du 12 novembre 2004 relative à la nationalité Congolaise et est libellé comme suit :

« Toutefois, pour des raisons de loyauté et de fidélité à la nation congolaise, l’exercice de la fonction du Président de la République, du Président de l’Assemblée nationale et celui du Sénat, n’est réservée qu’aux seuls congolais nés de père et de mère d’origine congolaise et n’ayant jamais acquis une autre nationalité ».

La motivation nous semble déroutante. En effet, les hommes qui ont mis notre pays dans l’insécurité, sont nés de père et de mère congolais… Pour la plupart.
Certes, la mégestion de nos autochtones et de nos allochtones est ce qui explique nos deboirs du moment.
L’UDPS, par exemple, comme le MNC, le MPR et le PPRD, vient aussi de nous imprimatur des cartes d’électeurs plutôt que des cartes d’identité, préparant ainsi le terreau d’une autre imposture après les élections !
Aucun parti politique, y compris Kongo Ya Sika- à l’exception de nous, ne s’insurge contre cette énième trahison du pays, cet autre crime de lèse-nation ! Sans oublier la CENI qui continue à faire le lit de la dictature et de la néo-colonisation dans notre pays.

Les autres alinéa de poursuivre :

« L’alinéa premier s’applique mutatis mutandis:

  1. Au Premier Ministre et aux ministères ci-après :
  2. Ministre de la défense,
  3. Ministre des finances,
  4. Ministre de l’intérieur,
  5. Ministre des Affaires Etrangères,
  6. Ministre de l’Intégration Régionale,
  7. Ministre de la Justice.
  8. Président de la Cour constitutionnelle ;
  9. Procureur Général près la Cour constitutionnelle ;
  10. Premier Président de la Cour de cassation ;
  11. Procureur Général près la Cour de cassation ;
  12. Premier Président du Conseil d’Etat;
  13. Procureur Général près le Conseil d’Etat;
  14. Administrateur Générale de l’Agence Nationale des Renseignements,
  15. Administrateur Général Adjoint,
  16. Chefs de Départements,
  17. Directeurs centraux et provinciaux
  18. Chefs des stations extérieures.
  19. Directeur Général de la Direction Générale de Migration y compris :
  20. Directeur Général adjoint,
  21. Directeur de la police des Frontière,
  22. Directeur de la Police Etrangers,
  23. Directeur de la Chancellerie,
  24. Directeur des Etudes, Documentation et informatique,
  25. Directeur Technique, de Logistique et de Transmission,
    26.,Directeur des Finances,
  26. Directeur des Ressources Humaines et de la Formation.
  27. Tous les membres du Haut Commandement Militaire qui sont :
  28. Chefs d’Etat-Major Général des Forces armées de la République Démocratique Congo;
  29. Chefs d’Etat-Major Général Adjoints des Forces Armées de la République Démocratique du Congo ;
  30. Chef d’Etat-Major de la Force Terrestre ;
  31. Chef d’Etat-Major de la Force Aérienne ;
  32. Chef d’Etat-Major de la Force Navale ;
  33. Commandants des Zones de Défense ;
  34. Sous-Chefs d’Etat-Major à l’Etat-Major Général ;
  35. Commandant Général des Ecoles Militaires ;
  36. Commandant du Corps Médical ;
  37. Commandant du Corps Logistique;
  38. Commandant du Service d’Education Civique, Patriotique et d’Actions Sociales ;
  39. Commandant du Corps des Troupes de Transmissions;
  40. Commandant du Corps de Génies ou le renseignement militaire ;
  41. Commandant du Service de Communication et d’information.
  42. Commissaires Généraux de la Police Nationale Congolaise notamment:
  43. Commissaire Général,
  44. Commissaire Général adjoint chargé de la police administrative,
  45. Commissaire Général adjoint chargé de la police judiciaire,
  46. Commissaire Général adjoint chargé de l’appui et de la gestion.
  47. Gouverneurs des Provinces Et leurs épouses ».

Dont acte,
Maître Beylard David PhD
Attorneys at Law

Notre pays n’est pas à vendre : ce sont tous nos hommes, tous nos citoyens qui doivent être loyaux, intègres, patriotes.

Interdisons à nos enfants d’épouser des étrangers, si nous considérons les sang-mêlés comme des dangers pour la sécurité de notre État : c’est notre droit !
Rien ne nous empathetic de décider que chez nous, les sang-mêlés ne dirigent pas ! Ils ne manqueront pas du travail pour cela, et la mesure les sécurisera aux aussi.

Avancer : avec qui ?


[27/2, 00:18] Héritier Ba’ndoni: C’est très triste
[27/2, 06:56] Héritier Ba’ndoni: Bonjour chers compatriotes

Quelques questions sur enrôlement.

  1. L’enrôlement prend fin quand en ville de Bunia ? Ou en Ituri
  2. Y a t il possibilité de s’enrôler au bureau de la ceni pour les retardataires qui n’auront pas eu la chance de s’enrôler jusqu’à fin mars?
  3. Un congolais qui ne se sera pas enrôlé jusqu’à la date limite fixée officiellement, cela pour des raisons du genre malade, absent au pays, absence de consulat ou ambassade dans le pays où il réside actuellement, etc. Quel sera son sort le jour où il arrive en RDC ?

Aidez-nous à avoir des réponses à ces quelques questions…

Merci


[27/2, 18:52] G. Paluku Atoka Uwekomu:

Héritier,

Ta question est mal posée et en retard !

Que nous ont rapporté les élections depuis 1960 jusqu’à ce jour et pourquoi ?

Personne ne nous a suivi ni entendu : aller aux élections en 2023, c’est nous tuer une énième fois, comme en 2018.

Ce que nous pouvons faire aujourd’hui, c’est commencer par obtenir que la CENI, la MONUSCO et la République soient effacées du Congo, définitivement, par la voie des réformes constitutionnelles et légales, pour :

primo, disqualifier les colonialistes et les dictateurs ;

secundo, asseoir les bases d’une réelle indépendance, d’un véritable développement, d’une réelle démocratie chez le congolais.

Cette longue démarche en vaut la chandelle !

Personnellement, nous sommes en marche, solitaires, depuis 1976 que personne ou presque, ne répond à notre appel pathétique.

Un lot de pleurs nous attend en 2024.

Destin de notre habitat ?


« Afrique, mon continent : les uns travaillent et les autres détournent l’argent des contribuables au profit de leurs intérêts personnels ! » JBKM

Nous avons déjà proposé un projet Habitat dans le cadre de l'EAE ASBL!  Il est décrit ici.

Frère, bientôt Congo Kinshasa va avoir plusieurs villes plus belles que celle-là. Le Projet 2014 y travaille. Kinshasa par exemple coûtera à elle seule plus de 2,1 billions d’Euros produits dans le pays ! Peuple congolais, rejoint le Projet 2014 et n’ait peur de rien. Ici, c’est Dieu qui est, patiemment, à l’oeuvre.

Que coûtera la modernisation de l’habitat dans votre localité ?
Voici comment estmimer rapidement le coût en euros.
3 x population x 300.000 ÷ 6.

Attention ! Ce coût ne tient compte ni de l’adduction d’eau ni de l’électrification ni du relèvement obligatoire du niveau d’éducation de la localité !

Être opposant politique !


Je suis en contact avec les gens de Kitsanga voici la situation : la panique a eu lieu lavant midi, mais vers 13h tout était déjà calme. Les avions de chasses ont été mis en contribution, l’ennemi vient de subir des pertes énormes, ce qui a permis à nos vaillants d’avoir le dessus. Toutes les positions ennemis sont passées sous contrôle de nos vaillants. L’ennemi a abandonné plusieurs effets militaires et des capturés. Ceux qui ont fuit vont retourner dans leurs domiciles le matin. Le travail de profondeur se poursuit pour en finir une fois pour toute. Kitsanga 20h50.

Nous suivons la situation avec tout l’intérêt que mérite la question, tant nos frères meurent encore et toujours, du fait de nos négligences du passé.

La difficulté que je rencontre, personnellement , est celle de ne pas savoir comment convaincre mes compatriotes que ces victoires ne sont pas la solution à notre vrai problème : la mégestion du pays depuis notre indépendance, mal préparée, qu’il convient d’acquérir au plus vite, pour permettre à nos peuples de ne pas – en désespoir de cause – recourir à la rébellion pour tenter – mal, de la mauvaise manière- de juguler la dictature et ses effets néfastes : l’appauvrissement, la division, le réveil de vieux rancœurs chez plusieurs personnes qui se sentent abuser dans leur bonne foi, la colonisation de plusieurs de nos peuples !

Ceci dit, les tueurs, les bandits de grands chemins, les valets des colonisateurs et des occupants restent des personnes coupables de graves crimes autant que les commanditaires divers de leurs actes, de leurs actions. Telle est notre analyse et notre positionnement politiques, dans le cadre du Projet 2014, que tout le monde foule au pied.

Aujourd’hui, ceux qui nous raillaient dans les années 70 à 2000, commencent à prendre du recul. Ils se rendent bien compte que nous n’étions pas si foux que cela en dénonçant une politique de gabégie d’abord, d’une oligarchie ensuite. Le peuple, complice d’hommes véreux, n’a pas encore regretté son forfait : l’attitude de plusieurs est d’accuser d’abord les étangers, avant de ne nous être bien examinés nous-mêmes qui concrions tout notre temps à la paresse, à la luxure et au népotisme. Tout va encore assez bien pour beaucoup de congolais. Ils se trouvent mille excuses pour nos forfaits et prennent le temps, de savourer encore la vie, tant que la leur en propre n’est pas encore emportée. Personne ne s’occupe plus d’autrui ou presque.

Pour ceux qui ont encore quelques remords, les problèmes qui se posent sont réels. Comment comprenons-nous et assumons-nous notre indépendance ? Sommes-nous de coeur dans notre combat contre l’avilissement du congolais, quelqu’en soi l’auteur ? Qu’est-ce qui peux le prouver, à nous-même et pour nous-mêmes d’abord ? Comment pouvons-nous corriger nos erreurs du passé rapidement et arrêter le bain de sang qui continue en raison de notre attentisme ?

Le futur de notre progéniture ne préoccupe personne. Nos enfants s’en sont déjà rendu compte et opte eux aussi une attitude copiée de leurs parents : le chacun pour soi, Dieu pour tous et le reste pour le Démon.

Pourtant, des opportunités politiques réelles existent : l’Europe s’essoufle, l’Asie perd le Nord, l’Amérique s’égard lui aussi ; tandis que la Russie, Corée du Nord et la Chine tentent vainement à conserver une politique tout aussi suicidaire.

Dans un tel pays, à l’origine coloniale, que peut voulir dire « être opposant politique » ?

Soutenir les africanistes ?


Le panafricanisme est en vogue dans in certain milieu de la diaspora africaine ; de gauche, généralement.

S’il ne nous a pas encore aidé à parvenir à l’unité parfaite de l’Afrique, par quelques essais-erreurs, il y contribue, de manière plus professionnelle que l’opposition aux régimes néo-coloniaux et néo-esclavagistes. Pourquoi ?

Sa restitution de l’histoire est entachée de mensonges, de complaisances, de niaiseries… Les solutions proposées ne sont pas assez osées. Le racisme reproché aux colonisateurs blancs se retrouve dans beaucoup de discours et le discours scientifique se politise ou se mystifie très vite, chez certains. L’expression est cependant plus libre, les analyses sont plus rigoureuses que dans la sphère politique africaine, même si les résultats demeurent peu diffusés.

Il y a donc de quoi encourager et soutenir.

Polyglottes…


Nos enfants, apprennent, pour l’heure, deux à trois langues, pendant 12 ans, dans un système bien perfectible.

1 ou 2 heures par jour, 5 à six jour par semaine, pendant 12 années devraient pourtant leur permettre de bien maîtriser leur langue vernaculaire, le français et l’anglais.

Ce n’est plus le cas, depuis les années 70. Pour beaucoup d’entre eux, nos enfants ne maîtrisent plus ni leurs langues vernaculaires ni le français ni l’anglais. Que du temps et de l’argent gaspillés, par les apprenants et par ceux qui financent leur éducation…

Pour gérer correctement cette question, il serait indispensable de rapidement :

1. évaluer l’efficacité de notre pédagogie linguistique et de corriger ce qui doit l’être ;

2. présenter ensuite le résultat de la pédagogie nouvelle et en faire la publicité.

Nous oublions la CENI…


[14/8, 15:17] Bunia : des journalistes outillés en matière de traitement de l’information électorale
https://lavoixdelituri.com/bunia-des-journalistes-outilles-en-matiere-de-traitement-de-linformation-electorale/

GPAU : Les journalistes n’ont besoin que de leurs outils de travail journalistique : camera, moto, ordinateur, tablette, téléphone, valise ou car satelitaires, etc.

Les élections au Congo ne seront ni justes, ni transparentes, ni équitables, ni utiles, tant que nous confierons, méchamment ou négligemment, leur gestion à d’autres institutions que l’administration publique, préalablement dépolitisée, formée et outillée pour gérer les partis, les électeurs, les candidats et les élections.

Ne laissons pas Kinshasa nous prendre pour des moutons que nous avons été, depuis l’esclavage jusque ce jour. C’est dire que la CENI, cet autre instrument utilisé par nos colonisateurs, doit d’abord partir, être supprimée de notre pays, avec l’autre instrument colonial qu’est la MONUSCO ; pour qu’il soit possible de parler, d’entrevoir même, la paix embryonnaire au Congo.

La CENI permet aux hommes au pouvoir de miner le terrain où vient jouer une opposition pauvre, minable : politiquement, matériellement et spirituellement.

Arriver à démonter la CENI, en maniant des armes politiques (propagande, diplomatie, coalition, amandement des lois, etc.), c’est offrir à nous-mêmes, opposition, la preuve de notre capacité à jouer un match juste, honnête, constructeur, unificateur…

Les panafricanistes ne vous disent pas clairement…


[2/10, 07:58] Paul Emile Okoka: Bien Chers Compatriotes Africains Noirs ou Kongolais; je me demande toujours quelle est la racine de tout le bien du peuple africain noir ou kongolais(Jean 3:16)? et quelle est la racine de tout le mal du peuple africain noir ou kongolais(1Tim. 6:10)?

L’examen des textes de nos ancêtres Kamites, révèle qu’ils avaient en horreur le désordre, les paroles inutiles, les excès et l’inertie. Il fallait constamment œuvrer pour rétablir Maat (la vérité/justice/ et liberté) à la place d’Isefet (le mensonge/désordre/injustice) et rétablir l’équilibre cosmique.

L’homme n’est donc pas selon eux, une créature animale dont la vocation est d’utiliser sa puissance intellectuelle pour assouvir toutes ses pulsions matérielles (accumulation de richesses matérielles, convoitise des biens d’autrui), au contraire, l’homme est une parcelle divine crée en tant qu’être « identique à Dieu » ( en ce sens qu’il revêt aussi ses potentialités) et pas seulement « à l’image de Dieu » (en ce sens qu’il lui ressemble).

L’homme divin a donc pour vocation, par l’usage de sa sagesse et de son cœur « ib » de contrôler ses pulsions matérielles pour concourir au maintient de Maat (paix/vérité/justice/équité/équilibre)!

Jusqu’à quand le peuple africain noir ou kongolais d’aujourd’hui entre autre le kamite, le juif, le chrétien, le musulman ou le kimbanguiste etc…sera t-il aliene, ignorant, illettré, stupide, imbecille ou idiot(Osée 4:6 et Genèse 2:17)?

Tous sont les oiseaux de même plumage, ils sont incapables de sauver, libérer et développer l’afrique noire ou le kongo jusqu’à atteindre la liberté, la justice et la vérité en un mot ou en une seule parole, cela est la maat de nos ancestres 5.000 ans avant Christ, c’est l’équilibre entre le bien et le mal, c’est l’essence de la nature divine ou l’absence totale du mal(Jean 3:16)

En effet tout ce qui est mal en soi, c’est une illusion, n’existe pas et n’est pas scientifique, je défis quiconque qui peut me demontrer le contraire, le mal ou le malheur n’est rien autre que le manque de l’amour de Dieu ou l’absence totale de Dieu, aujourd’hui c’est l’argent ou du bien matériel de ce monde corrompu, c’est la racine de tout le mal du peuple africain noir ou kongolais et de l’humanité toute entière(1Tim. 6:10)

Je me demande alors pourquoi le mal existe t-il parmi nous ? et pourquoi les africains ou les kongolais d’aujourd’hui se haïssent, se divisent ,se détestent et s’entretuent ils entre eux ? voilà ces défis que nous avons aujourd’hui, consulter ces sites suivants: http://www.anyjart.com, http://www.africamaat.fr, http://www.africanparure.com
[2/10, 09:30] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les kongolais, les africains, les kamites, auquel tu fais allusion, tout comme les blancs que tu occultes, pensent être plus intelligents que le Créateur, que l’amour.

Leurs choix, leurs pensées, leurs discours, leurs actes, quotidiens, le montrent : recours aux poisons, aux armes, aux mensonges, aux vols, aux brutalités, aux divisions, aux haines, aux injustices, aux danses, aux fétiches, aux xénophobies, aux ruses… À l’iniquité.

Nous, kamites, comme les non-kamites, avons choisi de nous séparés de Dieu.

C’est pourquoi, comme au Congo, en Libye, au Mali, aux EUA ou en Ukraine, nos peuples iniques souffres les affres des conséquences de la rébellion de la créature divine.

Dans son amour, Dieu nous a révélé son plan de salut que tu est sensé prêcher, Paul Emile. Tu ne peux pas prétendre ignorer ces choses ni dire ne pas les comprendre ni ne refuser de les annoncer à ceux que tu as la prétention, comme nous, de considérer comme nos frères !

Pour leur salut, montre où se trouve le chemin étroit et sinueux que tu suis, toi-même !

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