Guerre de l’est


Introduction

Nous pensons que les congolais attendent aujourd’hui le génie qui leur indiquera exactement, clairement et rapidement :

  1. comment arrêter la guerre à l’est de la RDC
  2. comment mettre tous les chômeurs au travail
  3. comment envoyer tous les mineurs à l’école, au collège, dans les instituts, à l’université et dans les centres d’études approfondies ou stratégiques
  4. comment assurer un fonctionnement optimal de l’Etat et laver la honte du congolais

Nous croyons que ce génie, pour ce faire, devra montrer d’abord préciser, avec nous congolais, ce qu’est véritablement la guerre à l’est de la RDC ; ensuite il analysera avec nous les causes, les origines, les sources premières de cette guerre ainsi que  les conséquences des celle-ci.

Nous avons la conviction que c’est alors, et alors seulement, que ce génie nous indiquera, les solutions qui s’imposent à nous logiquement, pour en finir durablement avec cette guerre que d’aucuns considèrent comme une ignominie, une honte inommable pour la RDC.

Pourquoi en parler ici ?

Le Projet 2014 propose aux congolais le démentèlement de la République de la RDC pour son remplacement avec une union d’états indépendants ; états fondés sur la base des affinités culturelles de nos peuples ; afin de couper définitivement l’herbe sous les pieds des colonisateurs, dictateurs, imposteurs, traîtres et médiocres.

Nos discussions avec plusieurs congolais de l’opposition au régime de Kinshasa ou du régime même que nous combattons, appartenant à une vingtaine de formations politiques ou politico-militaires,  nous montrent que la plupart de congolais ne connaissent pas les vraies causes de la guerre de l’Est et de ce fait ne sont pas à même de nous proposer des réponses qui soient sûres et durables à la question de l’insécurité à l’Est.  Laisser continuer cette ignorance serait, à notre sens, une irresponsabilité politique dont nous ne voudrions pas être coupables.

Dans une certaine mesure, notre conviction est que sans la République, nous n’aurions pas évité cette guerre, comme nous l’allons tenter de démonter ici-bas.  Quoi de plus normal donc que nous traitions de cette question sur le blog du Projet 2014, quand on tient compote de toutes les conséquences cumulées de cette guerre humiliante que nous n’arrivons pas à arrêter, faute de trouver le génie qui nous y aide ?

De quelles manières en parler ?

Le Projet 2014 est coloré à la base.  Christianisme, capitalisme (libéralisme) et démocratie sont les fondations sur lesquelles nous bâtissons.  C’est un choix qui n’est pas le seul.  Le nôtre, résulte de notre foi chrétienne qui se contruit depuis 1966, de notre éducation familiale, de notre expérience et de notre combat politiques commencés en 1976 aux côtés d’un père qui nous a beaucoup marqué et influencé.  Il ne faut donc pas s’en laisser surprendre…

C’est donc comme chrétiens, des capitalistes et des démocrates que nous traitons des questions soulevées par la guerre de l’Est.  Ne pas le savoir peut rendre difficile la compréhension de nos propos.

Cette culture est ce qui permet tout à la foi de décoder correctement nos perceptions, nos analyses, nos propositions de solutions aux problèmes et nos fournitures de ressources pour satisfaire les besoins.

Ses origines, sources, causes

Notre observation et nos études de la question de la guerre de l’Est nous a conduit sur plusieurs sentiers : certains d’entre eux étaient et d’autres périlleux mêmes.  Nous avons interrogées des milliers de congolais et étrangers qui ont vécu ou qui vivent encore à l’Est ou ailleurs pour tenter de comprendre pourquoi “on” se bat à l’Est et tenter de comprendre “qui” se bat réellement dans cette région et “pourquoi”.

Nous avons beaucoup appris et découvert dans cette recherche.  Particulièrement entre 1976 et 1988.  La rencontre d’acteurs politiques et de miliciens nous ont ouverts les yeux et les oreils sur des choses que nous ne soupçonnions pas, que nous n’avions pas compris auparavant.  Quelles sont les origines, les sources, les causes de cette ignoble guerre que personne n’arrive à arrêter ?

Ce que nous avons appris, ce que nous avons compris, ce que nous avons vérifier nous permet d’affirmer avec conviction que cette guerre ne s’arrête pas parce que :

  1. les acteurs politiques et politico-militaires nationaux et internationaux ne sont pas, il est vrai, motivés à l’arrêter,
  2. parce que le peuple, nos populations, en ignorent, pour la plupart, les causes profondes ; surtout ceux qui ne sont pas de l’Est de la RDC.

Après quelques consultations de partenaires politiques, nous avons, dans le cadre de notre désir d’animer le développement dans la RDC, de mettre à la disposition du publique :

  1. les résultats de nos recherches,
  2. les justifications de nos choix et propositions qui jusqu’ici, n’étaient pas toujours suffisamment explicitées pour certains esprits qui n’en connaissent pas assez de cette guerre.

Origines, sources ou causes

D’où provient la guerre de l’Est ?  Qu’est-ce qui a motivé certains à prendre un jour des armes blanches pour assassiner, tuer, égorger, massacrer, blesser ?  Pourquoi violent-ils, volent-ils, torturent-ils, pillent-ils, rapent-ils ?  La méchanceté est-elle dans le coeur de l’homme de l’Est ?  Les habitants de l’Est sont-ils victimes des manipulations diaboliques, mystiques ou pas ?  Quelle est cette chose qui supprimée nous évitera pour de bon cette guerre : sa cause ?

S’il n’est pas facile de répondre à ces questions, politiquement parlant, les tensions étant à leur comble chez certains, nous pensons que crêver l’abcès sera le début de la fin de notre souffrance, de notre misère…  C’est probablement le meilleur traitement que d’aucuns évite pourtant d’administrer aux malades de l’Afrique Centrale.  Pourquoi ?  Il y a pour nous deux explications simples, claires, majeures :

  1. les acteurs politiques et politico-militaires nationaux et internationaux ne sont pas, il est vrai, motivés à l’arrêter la guerre à l’Est, parce que :
    1. ils perdraient d’office leurs postent qui les paient bien fiancièrement et socialement ;
    2. beaucoup d’entre eux finiraient leurs vies en prison au regard de leur forte implication dans des assassinats, génocide, des pillages de ressources et dans bien d’autres délits qui seront logiquement très aggravés par le fait de leurs statuts respectifs…
  • le peuple congolais, nos populations, ignorent, pour la plupart, les causes profondes de cette guerre à l’Est ; surtout ceux qui ne sont pas de l’Est de la RDC ou qui, tout en étant de l’Est, n’ont jamais pris le temps de s’informer sur les tenant et aboutissant des rebellions dans leur terroir ; et cela se conçoit, mais cela nous préjudicie :
    1. l’ignorance de vraies causes de la guerre de l’Est ne permet pas au populations de s’impliquer dans des projets efficaces, robustes, mais dans des projets budgétivores, appauvrissants, et même, faux, de fois ;
      l’exemple flagrant est le soutien du gouvernement du parlement et de l’administration à l’imposteur et la location inutile des services de la MONUC et de la CENI qui n’aident par la RDC à en finir avec la guerre.  Ce soutien qui prolonge plutôt la guerre et donne aux rapaces internationaux  et nationaux la possibilité (1) de tester leurs nouveaux armes, stratégies, services et produite, et, (2) de les vendre au plus cher à un Etat dirigé par un imposteur qui n’en vise que la ruine ;
      et parallèment, le rejet du Projet 2014, qui est le mieux à même d’aider notre pays (1) à se doter d’un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique possible et (2) de nous aider à couper l’herbe sous les pieds de ceux qui nous subjuguent voici bientôt 53 ans déjà.
    2. l’ignorance de vraies causes de la guerre de l’Est participe à la division des congolais en général et ceux de l’opposition en particulier.
      Plusieurs s’imaginent des choses et montent leurs stratégies sur des connaissances parcelaires ou parfois même fausses, dans l’ignorance des vrais enjeux de la guerre de l’Est ;
      l’exemple le plus flagrant ici étant toute la flopée de congolais qui s’imagine que le problème à l’Est soit le Rwanda qui voudrait occuper une partie de la RDC, alors que le vrai problème est celui d’une frange de congolais qui se croient dans le devoir d’assurer leur survie en RDC (hema et alliés, tutsi et alliés) contre ceux qui menaceraient leur existence (lendu et alliés, non-rwandophones et quelques hutus respectivement) et que le Rwanda, l’Uganda et les autres ne font que profiter de cette situation pour (1) d’une part tenter d’anéantir leurs rebelles (mieux : les ennemis présumés des tutsi, hema et alliés qu’ils tiennent à protéger ou prémunir contre d’éventuels génocides) qui trouvent en RDC leur arrière-base, (2) d’autre part, en profiter pour s’enrichir sur le dos de nous congolais qui sommes occupés à nous combattre plutôt que de nous unir pour exploiter nous-mêmes et jouir de nos ressources naturelles et humaines en vue de resourdre nos misères, et enfin (3) de tenter de nous ravir l’hégémonie que nous clamons nous revenir en raison de notre position géostratégique et démographique, mais que nous n’arrivons pas à justifier ni à défendre, maintenant l’Afrique à la traîne des nations…
      Il en résulte une explication facile des nombreux échecs cumulés par l’opposition, dont le dernier en date est celui du vol présumé de la victoire de l’UDPS aux élections de 2011, vol que l’opposition n’arrive pas à obtenir qu’il soit sanctionner jusque là.
    3. Ceux dans la communauté internationale qui sont de toute bonne foi, n’arrivent pas eux non plus, malgré leurs efforts contestables et contestés, à aider les congolais à sortir de leur ornière parce que :
      (1) Soit qu’ils sont enfermés dans leurs cultures qui ne sont pas comparables à la culture congolaise ;
      (2) soit que disposant de fausses données sur les problèmes posés, ils s’évertuent en vain de proposer des solutions qui ne satisfont par les parties en conflit ou même les parties qui ne sont pas directement impliquées dans les conflits, mais qui en subissent indirectement les effets néfastes.
  • La guerre à l’Est vient bien pourtant de quelque part !  En 1994, quand nous criions contre l’opération Turquoise d’une part et l’envoie des troupes de la MONUC d’autre part en RDC, personne ne nous prenait au sérieux.  Certains affirmèrent même que nous délirions !

    19 ans après, l’histoire nous donne raison !  La Turquoise et la MONUC ont échoué.  La MONUSCO va échoué : certainement.  Pourquoi ?  Parce que, toutes sont des entreprises colonialistes qui traitent les congolais en sous-hommes, incapables de se prendre en charge et visent au premier chef le maintient du contrôle du monde dit civilisé sur la RDC.

    La réalité est pourtant autre : la déchéance de l’homme est aujourd’hui universelle.  Partout, selon les Ecritures, nous voyons les peuples se dépérir !  L’autorité se flétrit, l’ordre est baa

    Les vélléités hégémonistes de certains de nos peuples ?

    Dans les temps anciens, nos peuples se sont livrés des guerres meurtières.  D’autres ont été traités comme des exclaves par leurs envahisseurs.  Les rancoeurs qui sont restés dans les coeurs de certains expliquent, en grande partie, les méfiances, les inimitiés et les guerres qui ont lieu aujourd’hui encore dans certains coins de l’Est.

    Pour la petite histoire.  Les bantous arrivent et refoulent les pygmées dans les forêts.  Derrière eux la pression les obligent à céder des places aux puissants guérriers soudanais.  Dans une troisième vague, les nilotes, aussi guériers que les autres occupent ou repoussent les soudanais et les bantous vers l’intérieur du bassin du fleuve Congo.  Les trois ceintures (bantous, soudanais, nilotiques) s’étendent des Kivus jusque dans l’Equateur.  Là où la sagesse prévaut, des alliances sont concluent, des traité de non béligérance sont “signés”, la paix est établie.  C’est l’origine du phénomène “noko”, “batani” dont plusieurs de nos jeunes doivent s’éfforcer de connaître les origines.   Pourquoi ?

    Parce que la vraie et moins coûteuse solution aux conflits internes à la RDC se trouve dans les alliances, dans les et les traîtés qui montrent la capacité qu’ont nos peuples de résoudre proprement et durablement leur problèmes.  Plusieurs exemples peuvent être cités ici des nokos bantous-soudanais, soudanais-nilotes et qui fonctionnent mieux que les interventions de l’UA ou de l’ONU.  En 1994, nous avons proposé notre intervention pour la solution du conflit dit hema-lendu, dans l’Ituri et banyarwanda-non banyaruwanda dans les Kivu.  Personne ne sous a fait confiance.  La majorité a pensé utile que l’ONU ferait mieux et vite.  Aujourd’hui, tout le monde déchante et n’arrive plus à quitter des griffes des rapaces étrangers !

    Dans le cas de l’Ituri par exemple, si les lendus, les hemas, et leurs associés respectifs, se font régulièrement la guerre, ce n’est pas que pour des conflits fonciers comme certains le pensent : c’est essentiellement parce que les mauvais traitements soubis par les lendus et associés de la part des hemas et leurs associés, dans l’ancien temps, continuent à trotter dans les esprits des uns et des autres.  Les dictatures qui se succèdent dans la RDC et certains pays voisins opportunistes, trouvent là un lit bien préparé pour coucher la division et la domination des ituriens.  C’est ainsi par exemple que ces dictateurs ne veulent pas laisser les ituriens jouir de leurs ressources naturelles.  Comme le colonisateur européens, ces dictateurs et imposteurs veulent avoir des postes en Ituri pour s’y enrichir avant de s’évader ensuite.  C’est aussi la raison pour laquelle les forces onusiennes et étrangères ne veulent pas quitter l’Ituri ou coulent le lait et le miel !

    En effet, si plusieurs nilotes ituriens ont déjà compris que les soudanais, les bantous et les pygmées sont aussi des hommes de même valeur que eux, force est de reconnaître qu’une petite frange de ces nilotes continuent encore, même en ce 21ème siècle à traiter nos compatriotes soudanais, bantous et pygmées comme des sous-hommes !  C’est regrettable, mais c’est la dure réalité iturienne que nous devons traiter avec courage, intelligence et sagesse pour résoudre les guerres intertribales d’abord et par le fait même, en finir avec les opportunistes voisins qui en profitent pour attiser des inimitiés pour pouvoir en profiter en pillant nos ressources naturelles.

    Dans les Kivus, les derniers à entrer, par le fait du colonisateur, les banyarwandas, dont les banyamulenge notamment, sont aujourd’hui en conflit ouvert ou non déclaré avec ceux qu’ils trouvèrent sur les territoires qui sont aujourd’hui le siège des guerres du Kivu.  Les hunde par exemple, sont dit devenir progressivement une “espèce en voie de disparition” !  Décimés par des empoisonnement et d’autres pratiques qui donnent froid au dos, les populations non-rwandaphones se disent dans l’incapacité d’entrevoir une coexistence pacifique tant que ces sujets ne seront pas traités de manière satisfaisante.

    Pour le moment, le Projet 2014 est le seul cadre démocratique où les uns comme les autres peuvent s’exprimer pour contribuer à une solution véritable des problèmes en dehors des démarches démagogiques du pouvoir de Kinshasa et de la communauté internationale, qui tous ensemble, pour des intérêts bien connus – géostratégie, ressources naturelles, protection des criminels – travail sur base de démarches démagogique et hypocrites.

    Nos étourderies, niaiseries, naïvetés de nos populations ?

    Notre malheur commence par certains de nos aïeux qui acceptent de nous vendre aux commerçants d’esclaves, mais que nous laissons continuer à assumer leur rôle de chef, de roi, d’empire, etc.

    Il se poursuit par l’acceptation facile de la colonisation et des dictatures successives que nous connaissons.  Ceux de nos frères qui voient plus loin que leur néz, nous les tuont ; oubliant que c’est la malédication que nous appelons sur nous-mêmes et sur notre progéniture.

    Il n’est pas encore achevé : nous avons nous-mêmes désigné un imposteur au pouvoir en 2001, ne voulant pas assumer la mort de Mze Laurent Désiré Kabila.  Et comme si cela ne suffisait pas, nous l’entourons d’hommes et de femmes véreux à cause (1) de notre soif du pouvoir et de l’argent, mais aussi à cause (2) de notre propansion au népotisme.

    Nos universitaires, pour lesquels nos parents ployèrent dans les travaux des champs et des mines, des usines et des bureaux, démissionnent quasiment tous, notamment à cause de (1) la crainte de la mort qu’infligerait la dictature à tout celui qui menace son existence et (2) une éducation inadéquate inadéquate dans le contexte d’un pays à peine en gestation.

    Nos complexes de supériorité et d’infériorité ?

    Paresses temporelles et spirituelles ?

    Nos turpitudes diverses ?

    Nos faiblesses originelles ?

    La médiocrité de notre classe politique et de notre gente politico-militaire ?

    La démissions de nos universitaires ?

    La prostitution et la trahison de ceux que nous avons commis à la gestion de la res publica ?

    Les trahisons de nos aïeux ?

    Le suivisme ?

    Ce qu’il y a de mal dans notre héritage colonial et que nous ne voudrions pas extirper ?

    Des projets mal préparés ?

    La légitime défence ?

    Description, manifestation, expression

    Les rebellions

    Les affrontements

    Les occupations

    Les pillages de nos ressources

    Les viols

    Les assassinats

    Les vols

    Les déplacements des civils

    Les ingérences des pays voisins et lointains

    Ses conséquences

    6 à 12 millions de morts ?

    Les pillages des ressources naturelles ?

    La pauvreté du plus grand nombre ?

    La fuite de cerveaux ?

    La déchéance de la gente congolaise ?

    La dictature ?

    L’imposture dans le pays ?

    La continuité de la colonisation ?

    Les nouvelles trahisons ?

    La perte de la fierté nationale ?

    La déconsidération des autres nations ?

    Le sous-développement ?

    Le manque d’une cohésion nationale ?

    La fragilité face à l’étranger ?

    2 réflexions sur « Guerre de l’est »

    1. Bon projet qui necessite une forte sensibilisation des vraies informations à lq population congolaise et hommes politiques. Il est vrai aussi que la communauté internationale profite de naiveté de congolais qui manquent un leader compétent au plan international et national , ce qui complique la définition de la guerre en RDC. Sache que les interets individuels des certaines autorités, personnalités politiques et commerçantes sur le plan internatinal et national alimentent ladite guerre. Le démorcelement de la RDC est l’un des objectifs de l’interminable en incluant la recherche de la naturalité de certains étrangers limitrophes réf Dialogue dans le grands. Bon travail.

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      1. Cher John Eric,
        Dans quelle mesure serais-tu prêt à participer ?
        Nous ne sommes pas un parti politique, mais nous sommes un groupe de congolais qui voudraient participer à la rédaction d’un projet de société pour la RDC, en ligne, projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique que la RDC ait jamais connu.
        C’est pour cela qu’ici, les participations sont directes : les contributions des participants sont mis en ligne sans censure, sous 48 heures maximum. Le 31 décembre 2014, nous voudrions avoir un texte final structuré, détaillé et bien documenté sur (1) ce que nous voulons faire de la RDC et (2) la manière dont nous voudrions le faire !
        Nous pensons que cette démarche inspirera les partis et formations politiques et politico-militaires, ainsi que les populations congolaises ; de manière à ce qu’ils prennent de bonnes résolutions et engagent des projets pertinents et robustes pour :
        1. arrêter la guerre
        2. mettre la population au travail
        3. redistribuer correctement la production des biens et des services
        4. couper définitivement l’herbe sous les pieds des dictateurs, traîtres, médiocres, imposteurs et colonisateurs.
        Plusieurs personnes affirment comme toi que la communauté internationale rechercherait le démembrement du Congo pour (1) mieux asservir les plus petites et faibles entités issues de ce démembrement, (2) installer sur une partie du territoire congolais leurs amis tutsi (empire hema-tutsi) en quête d’une terre d’asile du fait des mésententes persistantes avec les hutu dans les pays voisins (Rwanda, Burundi) qui risque de leur coûter des génocides supplémentaires, (3) mieux coopérer avec les petits Etats qu’ils espèrent pouvoir se gérer mieux que le grand malade qui souffre de beaucoup de dissensions internes à cause de sa multi-culturalité mal gérée, etc.
        Cette thèse est malheureusement mal défendue :
        (1) les pièces à conviction n’existent quasiment pas ; pour l’empire hema-tutsi (ou hima-tutsi) par exemple, le projet que l’on nous présente est d’un surréalisme qui discrédite ceux qui le distribuent parfois par fragments par ailleurs ;
        (2) les auteurs sont identifiés de façon non-exhaustive, peu claire ; et, l’on ne trouve que bien peu de réaction de ces derniers (Etats-Unis d’Amérique, la famille Bill-Clinton, la Belgique, l’Allemagne, l’Angleterre, la France sont les pays fréquemment cités ; le conseil de sécurité où l’Unions Afrique se « décida » curieusement de se faire représenter par le Rwanda…) ;
        (3) même les rapports des Nations-Unis sur la question laissent à désirer : les experts, à peine connaisseurs de l’âme africaine confonde tout et souvent bâclent leurs missions ; qu’il ne sont aujourd’hui opposables à personne…

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