Mahagi en difficulté ?


[31/12, 07:37] JOBEC: Ituri : le territoire de Mahagi achève 2022 sous les larmes, l’insécurité bat son plein https://buniaactualite.cd/ituri-le-territoire-de-mahagi-acheve-2022-sous-les-larmes-linsecurite-bat-son-plein/
[31/12, 07:48] G. Paluku Atoka Uwekomu: Quoi de plus normal ?
Mahagi se laisse spolier à vue d’œil !

Les solutions existent :

  1. Rentrer à ses amours (Travail, exigence, identité culturelle).
  2. Débouter la fausse religion.
  3. Ne collaborer, ne se lier d’amitié qu’avec les grands, les modèles.

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

Les Tutsi de Titus ?


Cet article est long. Cependant, il est riche d’informations utiles. Bien que trompeur et révoltant sur certains points, et voire même insultant pour les nilotiques congolais que nous sommes – dits alliés naturels des Tutsi, il vaut la peine d’être lu, la tête bien froide, pour comprendre pourquoi nous insistons – avec l’auteur d’ailleurs, en d’autres lieux – sur la nécessité pour nos peuples de travailler leur indépendance (dépendance) et leur libération (colonialisme, esclavagisme, dictature).

Que vous soyez bantous ou non-bantous, retenez votre souffle.

Enfin, le yansi ou yanzi qui écrit, n’est peut-être pas bantou lui-même. En effet, certaines informations en notre possession, provenant du Bandundu profond, laissent penser que les origines des yanzi ne soient pas très bien connues. Rassurons-nous. Avec ce que permet la génétique aujourd’hui, certains d’entre auront bientôt la surpprise d’apprendre qu’ils ne sont pas ce qu’ils croyaient être…

Lisez la suite, distribuée tel que reçue ; et attribuée à notre frère Kwebe Kimpele.

Sur la compréhension de la stratégie rwandaise, KWEBE Kimpele persiste et signe.

N’leki Bolodjwa, bonjour. Merci, infiniment, po na appel na yo de tout à l’heure, ce samedi 8 octobre 2022.
Me permettras-tu de te dispenser une petite leçon sur la psychologie ethnique des Tutsis ? Merci d’avance.

  1. Ne te hasarde jamais, au grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi, demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc, de ton incapacité de te battre avec lui.
  2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi.
  3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la reconnaissance, la clémence, la gratitude ou la compréhension.
  4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais, au grand jamais, surtout le mal qu’on lui a causé.
    Par contre, il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite acquitter une dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
  5. Contrairement à nous autres Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.
  6. Lorsque d’aventure, un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu, cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille, et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la tête.
  7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
  8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie.
  9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.
    Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies. Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre, très très probants :

a. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.

b. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame, croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash
de leur appareil .

c. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la
milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient, l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa.
La capitale ad zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.

d. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl.

e. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps,
son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.

f. D’après mon comptage, plus de 54 conférences, dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo. Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays, c’est maintenant l’ouest, c’est la province de Bandundu, ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu, c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang. Mais c’est juste en ce moment que cette ordure de Vital Kamerhe ose préconiser l’ouverture…. d’un dialogue avec les Tutsis à travers leur milice 23 ? Vital Kamerhe est un vrai fumier !
La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme. On a même remarqué une aggravation de
l’insécurité, une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.)
La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres, de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.
Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts , du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.
Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans ), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :

a. la domination politique des Tutsis sur les Bantous.

b. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.

c. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.

d. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.

e. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.
Face à de tels périls , que peuvent les négociations , les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point, ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.
Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jésus-Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines . Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit, elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète , événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».
Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. A la
mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont ,u au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.

En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.

Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler . Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente dela terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux . On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois , de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.

Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.

Tien cordialement

Combien de temps nous reste-il ?


[26/9, 13:59] Nickson KASOLA: Une image de 2018 ? [Pourcentages des votants pour differents candidats en RDC en 2018 (?).]


[26/9, 15:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: La quintessence de mon message est : quel sera le pourcentage de mon parti en 2023 et du tien, Nickson ?
Cela omporte peut que les % que tu voies soient du vrai ou du faux, de 2006, 2011 ou 2018.
Que faisons nous pour réellement gagner en 2023 ?
Pour l’heure, le pouvoir en place part favori : du moins, à l’apparence. Ne crions pas au tripatouillage après, alors que nous nous occupons des accessoires ; laissant de côté la Voie du Père !


[26/9, 15:16] Nickson KASOLA: Cette image ne peut permettre la réponse à votre question car elle représente une époque dont le contexte est très différent de l’actuel.


[26/9, 15:46] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le contexte, selon nous, n’est pas très différent du précédent : la culture et la pratique politique sont les mêmes. Ces dernières demeurent celles d’intrigues diverses, de vols, de pillages, d’assassinats, d’esclavagisme de colonisation, de trahisons, de tripatouillages, d’une distraction sans nom de toute l’opposition et d’une déliquescence grandissante de l’administration.


[26/9, 15:50] Nickson KASOLA: Mon frère, là vous vous trompez. Le contexte est littéralement très différent. Si vous pensez partir de cette considération vous risquez d’être surpris. Je vous conseille de bien analyser le contexte.


[26/9, 15:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Notre effort dans le Projet 2014 n’est pas fondé sur l’espoir d’un Congo meilleur en 2024 : nous investissons politiquement dans un futur de bonheur qui ne poindra pas avant l’horizon 2055.
En clair, un Congo de droit, de justice, d’unité, de paix, de développement est pour nous envore très lointains.
La pauvreté est encore très grande sur tous les plans : la morale, l’intelligence, le confort dans la maison et au travail, la justice sociale, la liberté, la sécurité, la fraternité et toutes les choses semblables nous manqueront cruellement longtemps encore, frères !

C’est pour cela que nous vous invitons nombreux à rejoindre notre projet pour :
1° dégager un vrai projet de sortie de crise ;
2° mobiliser les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet congolais, sans être aliénés !


[26/9, 16:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: 30 n’ont pas suffit entre 1999 et 2014. 30 seront encore très insuffisant maintenant, au regard du pourrissement de la situation entre 1999 et 2022 et de la qualité et de la quantité de la ressource humaine.

Instruire, former et éduquer correctement près de 100 millions de personnes, de cultures disparates, demande du génie encore très rare dans notre pays. Il faut du temps, et encore du temps.

Certains observateurs occidentaux pessimistes évaluent à 500 ans le temps nécessaire pour que le Congo sorte de son tunnel de lui-même.

C’est peut-être exagéré ; mais ce n’est pas loin d’être raisonnable.

En effet, nous nous rendons compte très vite que les autres nations se fourvoient alors qu’elles existent depuis des millénaires. Le Congo indépendant n’existe que depuis 62 ans seulement !

Majorité, liberté et unité de la famille…


À la rencontre des cultures se passent plusieurs phénomènes qui méritent que nous nous y arrêtions.

La majorité est un concept occidental qui ne rime pas avec nos cultures congolaises ; mais, insidieusement, elle se retrouve aujourd’hui dans nos lois. Le danger accourt…

[15/7, 07:08] +243 973 895 612: Pour les jeunes que plus de 18 ans, la Suède ouvre la porte à l’immigration à travers la loterie électronique des visas de la diversité suédoise pour tous. Dépêchez-vous de vous inscrire maintenant :
http://6mwa.com/visa/fr
[15/7, 09:41] G. Paluku Atoka Uwekomu: Je pense qu’à 18 ans, nos jeunes ne sont pas encore matures assez pour quitter l’Afrique et aller commencer leur vie d’adultes loin du regard des patents ; étant célibataires, pauvres ; et, de ce fait, des proies faciles des hommes sans scrupules qui existent dans le monde des migrations d’enfants !
Dans nos cultures en effets, nous restons toujours sous la tutelle de nos parents, jusqu’à nos morts ! C’est le gage de notre réelle liberté et de la solidité de nos relations familiales !

Mobiliser sa base.


Vous connaissez des personnes qui politiquement vous écoutent, suivent, soutiennent, appuient ; mettez-les à contribution pour la purification de notre espace politique et la préparation de notre victoire dans le combat contre la trahison, l’esclavagisme, la colonisation, la fainéantise, la dictature, la pauvreté, l’obscurantisme, le parasitisme et contre les autres maux comparables.

Pour ce faire, suivons les conseil de Paul : 1 Thessaloniciens 5:8.
« Mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, ayant revêtu la cuirasse de la foi et de la charité, et ayant pour casque l’espérance du salut. »

Si, les 80% de congolais chrétiens que nous sommes, suivons ces conseils, Dieu déversera certainement sur nous sa bénédiction.

Kinshasa nous volent nos villes, notre indépendance…


Nos villes, nos capitales !
Les chefs lieux de nos territoires sont changés par Kinshasa sans nous consulter, pour contrlôler nos villes, construites de la sueur de nos fronts.

Cette situation conduira à de nouvelles guerres. Parce que, nos palementaires devront bientôt nous expliquer pourquoi Beni n’est plus la capitale du territoire de Beni et pourquoi, de la même manière, pourquoi Lubero n’est plus le chef-lieu du territoire de Lubero. C’est pareille pour Irumu qui aujourd’hui n’avance plus, laissant Bunia prendre le dessus et les Bira et leurs voisins ne pas profiter de leur territoire d’Irumu. C’est la même situation dans le Bandundu ou Kikwit a été gentillement neutralisé au profit de la ville Bandundu.

Nos populations se doivent donc de titiller nos parlementaires pour que correction soit faite dans la loi afin de nous éviter d’autres guerres fraticides injustifiées.

Dans le même ordre d’idées, ce sera aussi l’occasion de remettre sur la table deux points importants à l’ordre du jour :

1° distribution de nos ministères dans le pays ;

2° le déplacement de notre capitale au centre du pays pour ne pas continuer à préducier certaines franges de notre population.

En définitive, aussi important que tout cela, la reconnaissance à chacun de nos peuples (tribus ou alliances) du Congo, de son indépendance totale et inconditionnelle, avec une suppression d’office de la dualité autorité publigque-autorité coutumière.

Qui vole, spolie ?


Tel que reçu par WhatsApp

Consternation à la Maison Blanche et à la Banque Mondiale à Washington D.C., les principaux contributeurs d’aide au développement en République démocratique du Congo qui viennent d’apprendre à travers un rapport documenté de l’Inspection Générale des Finances (IGF) que la moitié des forêts du Bassin du Congo n’appartiennent plus à la République démocratique du Congo !

Et pour cause ?

Près de la moitié des concessions forestières de la République démocratique du Congo n’appartiennent plus aux congolais ils étaient vendus d’une façon illégale et irrégulière par des congolais eux-mêmes à « vil prix » et de gré à gré pour enrichir un seul individu à outrance il s’agit du dénommé Joseph Kabila!

En effet, la République démocratique du Congo avec ses 2.345.409 km² de superficie compte 155.500.000 hectares de forêt (soit 67% de son territoire national) mais plus des 60% de ses immenses forêts n’appartiennent plus à ce pays.

Le monde entier se moque des congolais qui se comportent comme des grands enfants qui ne réfléchissent qu’à moitié face au développement de leur pays mais qui attendent tout de l’état providence et des investisseurs étrangers !

Pour enrichir à outrance le dénommé Joseph Kabila les nommés Bienvenu Liyota et Nyamugabo sont cités parmi les six (6) anciens ministres de l’Environnement que l’IGF accuse d’avoir vendu des concessions forestières sans reverser un sou à l’Etat (rapport)

Le rapport d’audit de l’Inspection Générale des Finances (IGF) sur la légalité des contrats des concessions forestières, dont la publication était réclamée depuis presque 2 ans par les bailleurs de fonds et les organisations de la société civile, a finalement était rendu public le vendredi 1er avril 2022 par le gouvernement.

Selon les mots propres de l’IGF, ce rapport a dévoilé « la défaillance totale, le favoritisme délibéré ou encore le laxisme » avec lequel les concessions forestières sont attribuées en République démocratique du Congo depuis plusieurs années.

Sur une période de 6 ans, soit de juillet 2014 à mai 2020, le ministère de l’environnement et de développement durable a connu 5 ministres et 1 intérimaire. Et tous se sont compromis, d’après l’IGF.

La palme d’or de ces compromissions est remporté par Claude Nyamugabo, qui dirigea ce ministère pendant 1 an et 7 mois, pour le compte du gouvernement du somnambule Sylvestre Ilunkamba.

  1. Entre septembre 2019 et mai 2020, en violation du code forestier et du moratoire, Claude Nyamugabo avait vendu en procédure de gré à gré 11 concessions forestières pour enrichir le dénommé Joseph Kabila!

Toutes ces transactions sont considérées comme étant des actes de cession, location d’échange ou même de donation entre concessionnaires et pourtant c’était des nouvelles vente », lit-on dans ledit rapport.

  1. En 2ème position, vient Amy Ambatobe Nyongolo, qui fut ministre de l’environnement dans le gouvernement de Bruno Tshibala. Cet’ individu malveillant avait aussi vendu une partie des forêts du Congo pour enrichir le dénommé Joseph Kabila. Actuellement, ce criminel est député national comme Claude Nyamugabo.

L’IGF reproche à cette crapule d’avoir bradé 7 concessions forestières sous mode de gré à gré, au grand dam du trésor public et des communautés locales.

  1. Vient en 3e position Robert Bopolo Bogeza. Il était ministre de l’environnement pendant 1 an et 3 mois dans le gouvernement d’Augustin Matata Mponyo Mapon. Cet aventurier avait aussi vendu une grande partie des forêts du Congo juste pour enrichir le dénommé Joseph Kabila

L’IGF lui reproche d’avoir vendu illégalement 5 concessions forestières sans que le trésor public et les communautés locales n’en tirent un rond.

  1. Le suivant en terme du nombre de concessions bradées est Bienvenu Liyota. Il fut ministre de l’environnement pendant 9 mois et 17 jours, également dans le gouvernement d’Augustin Matata Mponyo Mapon 2. Cette tête à claque avait aussi vendu une très grande partie des forets du Congo juste pour enrichir le dénommé Joseph Kabila

Il est reproché à cette énergumène d’avoir vendu 3 concessions forestières du domaine privé de l’Etat sans que le trésor public n’en tire aucun bénéfice. Bienvenu Liyota est actuellement député national.

  1. Il y a ensuite Athy Kabongo Kalonji. Il fut ministre de l’environnement dans le gouvernement de Samy Badibanga, qui n’avait duré que 4 mois et 20 jours. Pendant son règne de courte durée, l’IGF l’accuse d’avoir vendu illégalement une concession forestière.

Cette crapule sans foi ni Dieu avait aussi vendu une très grande partie des forêts du Congo juste pour enrichir le dénommé Joseph Kabila

  1. Enfin, vient Franck Mwedi Malila Apenela. Il avait assumé l’intérim au ministère de l’environnement pendant 6 mois, du 5 mars au 9 septembre 2019, dans le gouvernement de Bruno Tshibala, alors que le Président Félix Antoine Tshisekedi venait de remplacer Joseph Kabila à la présidence de la République.

Ce délinquant avait aussi vendu une très grande partie des forêts du Congo juste pour enrichir le dénommé Joseph Kabila

Malgré qu’il n’était qu’un intérimaire, Franck Mwedi avait vendu une concession forestière à l’entreprise Booming G. Le trésor public n’avait rien bénéficié de cette transaction illégale, allègue l’IGF.

La conclusion des enquêteurs de l’IGF sur ces transactions est sans détour. Elle explique que « les concessions du domaine privé de l’Etat ont été aliénées par les ministres successifs en violation du moratoire et des dispositions du code forestier ».

Notons que cet audit avait été réalisé sur demande de l’ancien Premier Ministre somnambule Sylvestre Ilunga Ilunkamba !

[27/4, 07:51] +243 820 040 056 : Qu’est ce qu’il faut pour que le pays décolle?

[27/4, 08:09] Graphèle Paluku Atoka Uwekomu : Se mettre autour d’une table pour donner à chaque peuple de prendre son indépendance librement et totalement et pour nous approprier le Congo, ensemble et définir notre destin en tant que nation dans la concorde ? Dans l’unité et la solidarté nationales laisser chaque peuple déterminer sa destinée et adhérer au projet fédéral librement !
Sans cela, nous serons toujours en guerre les uns contre les autres en raison de velléités coloniales et esclavagistes qui dominent dans le pays chez plusieurs politicailleurs !

La paix et le développement du Congo qui s’en suivront sont à ce prix.
Tous les autres projets que nous voyons fleurir au Congo sont passagers, parce qu’ils vont à l’encontre des intérêts, du respect, de la liberté de nos peuples qui vivent encore dans des peurs injustifiées, créées par les terroristes politiques qui ont une emprise forte sur ceux qui les ont élus librement, ceux qui les tolèrent patiemment ou ceux qui les subissent volontiers. C’est la conséquence logique d’une vie dans la fausse religion, dans notre choix du moment !

Il y a un reste voué à Dieu, que personne ne saura détruire, pour l’instant. Dans les décennies qui viennent, les dormeurs se réveilleront pour livrer une bataille politique farouche contre les amoureux de la démagogie. Peu à peu, le congolais commencera à se repentir de n’avoir pas écouté les prophètes de son Dieu !

C’est alors que commencera le salut du congolais, le déboire de ses ennemis… Pas avant. D’ici là, deux régimes politiques seront probablement nécessaires : le premier, pour donner zu peuple de secrendre à l’évidence de son échec ; et, le second, pour assurer une transition culturelle indispensable.

La prise du pouvoir est facile !


Il n’est pas difficile de prendre le pouvoir quand on est populaire. Sauf dans nos pays africains où il y a beaucoup d’intrigues à surmonter.

Il faut d’abord avoir un programme clair et accepté par la majorité. Au projet 2014, nos propositions ne recouvrent pas encore toutes les attentes des congolais. Nous n’avons encore rien dit ou presque, des arts, du sport, des relations internationales, de l’industrie, de la culture… Il nous faut des compétences congolaises pour produire des offres politiques alléchantes.

Ensuite, une équipe électorale monte la stratégie de propangande et mobilise les ressoucres, une fois le peuple conquis sur papier (sondages).

La candidature posée, il n’y a plus qu’à suivre, surveiller, publier ses résultats des élections, pour assurer les électeurs de la validité des résultats officiels des élections et participer ainsi à la paix dans le pays. C’est le moment de renégocier, éventuellement, les chiffres, au sein des alliances.

Notre méthode de travail est telle que les négociations seront toujours faciles : nous travaillons avec des objectifs SMART.

Quel est notre problème aujourd’hui, sinon que l’absence d’engagements suffisants, le manque de professionnalisme chez les amis ou camarades de parti ?

Qui veut l’indépendance et le développement du Congo, tel que nous le propose le Projet 2014 ?

Cécité spirituelle et politique.


La façon dont la CENCO, l’ECC, le KIMBANGUISTE et toutes les autres confessions religieuses se mobilisent fermement dans les affaires de la CENI. Bah, j’ai du chagrin.

S’ils se mobilisent ainsi pour la situation de BENI, une chose devrait se produire.

D. L.

Nous ne la voyons pas, cette mobilisation prometteuse. Ça et là, nous voyons des prophètes qui prêchent dans le désert. Comme nous le faisons ici, depuis décembre 1999.
Lorsqu’il s’agit d’un pays de 90 millions de personnes, ce ne sont pas les cris de 5 personnes illuminées qui suffisent à provoquer un changement durable.
Certes, si les ecclésiastiques et leurs fidèles ne nous trahissaient pas, le Congo seraient bien loin. Ceux qui abîment la RDC, ce sont nous les chrétiens, catholiques, protestants et autres. Les menteurs, les violeurs, les impudiques, les dictateurs, les pilleurs, les empoisonnées, les traîtres sont dans notre rang. Qui peut le nier ?
Nos Présidents sont des présumés chrétiens ! Nos opposants aussi le sont. Mais quelle politique pratiquent-ils ? Celle de l’amour christique ou celle des assassinats politiques ?
De deux choses l’une : ou bien la chrétienté est dangereuse ou bien nous, chrétiens du Congo, sommes tous, ou presque, des imposteurs infréquentables, extrêmement dangereux.

Revenons à l’essentiel : lequel des chrétiens entrevoit de citer le Président de la République en justice ou de lui prodiguer des conseils de frères en Christ ? Qui pense à nous débarrasser de la CENI, cet outil créé par nos ennemis pour nous garder dans la soumission, sous leur joug ? Qui titille nos parlementaires pour obtenir un salaire juste dans le pays ? Qui veut, désire, cherche à interpeller nos ministres et administrateurs de la chose publique qui saccagent le pays ? Qui dans nos fora veut développer une stratégie qui nous libère de la colonisation et de la dictature définitivement ?
Certes : quelques rares chrétiens que compte la RDC agissent, même dans la minorité. Personnellement, dans mon entourage politique congolais, je n’en connais pas 10 qui travaille à la libération du Congolais. Pourtant, plus de la moitié de mes amis politiques belges sont près à voler au secours des congolais, s’ils leur criaient au secours plutôt que de souvent les calomnier !
J’ai demandé à mes frères de l »Ituri et du Grand-Nord kivutien de demander, formellement, un secours des belges humanistes : personnes ne s’est levé. Tous croient mordicus que se sont les belges qui nous IMPOSENT des dictateurs, qui seraient des méchants et pilleurs nés, à cause de la blancheur de leur peau !
Dans une telle cécité spirituelle et politique, comment aider ceux qui oublient que c’est à cause d’eux que nous sommes, nous, en exil en Belgique, pour la vie ?

Nous souffrons, nous frappés d’une cécité spirituelle et politique, d’une sanction divine, nous, dont le Président consacra le pays à Dieu, au début de son mandat !

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