L’indispensable base dans une démocratie…


En politique, il faut du courage, mais pas de la sentimentalité ni de la témérité.

Avons-nous une base, du poids, pour tenir devant le pouvoir ? Il faut se forger d’abord un parti solide, pesant, avant de contrer politiquement et démocratiquement le parti au pouvoir, qui a, incontestablement, beaucoup d’adeptes !

Autrement, il serait déjà tombé depuis longtemps. Le peuple congolais, choisit mal ou tolère le mal. Il faut le savoir !

Ce que nous réserve…


Au regard de la passivité de nous autres, qui sommes dans l’opposition, il ne nous faudra pas nous plaindre lorsque le pouvoir gagnera aux élections de 2023 : les mains levées !

Notre peuple, nos tribus, non plus, n’accuseront pas – je l’espère- la communauté internationale d’être la responable de tous les maux que nous vivons : du fait de leur complicité avec le pouvoir de Kinshasa.

Quant à nous, intelligentsia congolaise, sans production de stratégies ni d’animations politiques efficaces, nous devons déjà reconnaître notre manque de patriotisme criant, qui laisse libre cours à la méchanceté des hommes qui trônent à Kinshasa et qui profitent, lâchement, de l’ignorance dans laquelle notre peuple est plongé depuis le règne de nos aïeux hégémoniques, sataniques.

Les appels au travail du Projet 2014 demeurent donc vains et sont comme mal adressés ; de sorte que nous perdons notre latin et ne comptons plus que sur la grâce divine ! C’est de la clémence et de la compassion de Dieu que nous viendra le salut ; face aux ennemis du Congo qui, tous ou presque, nous raillent.

L’avenir demeure donc sombre, selon nous.

Même dans le désert…


Montrer ce que nous vivons depuis 1960, sans agir après avoir conçu un plan, est pour moi une irresponsabilité, un manque de civisme.

Je propose que nous changions d’abord de leaders pour une meilleure organisation du pays. Personne ne le veut pour de raisons hégémoniques.

Je propose que nous quittions la République qui est un repère à dictature, partout dans le monde. Tout le monde préfère être tiré par le nez.

Je propose que nous bâtissions notre pays sur un modèle capitaliste pour créer la richesse qui nous fait défaut dans tous les domaines.

Je propose enfin qu’au plan mystique, nous nous reconnections au Créateur des cieux et de la terre !

Jusqu’ici, même ceux qui disent être d’accord avec moi font rien de concret pour participer !

Comme un prophète dans le désert, je prêche à un peuple qui a le cou roide, mais qui va dormir à l’église, au temple, au mosquée !

La prise du pouvoir est facile !


Il n’est pas difficile de prendre le pouvoir quand on est populaire. Sauf dans nos pays africains où il y a beaucoup d’intrigues à surmonter.

Il faut d’abord avoir un programme clair et accepté par la majorité. Au projet 2014, nos propositions ne recouvrent pas encore toutes les attentes des congolais. Nous n’avons encore rien dit ou presque, des arts, du sport, des relations internationales, de l’industrie, de la culture… Il nous faut des compétences congolaises pour produire des offres politiques alléchantes.

Ensuite, une équipe électorale monte la stratégie de propangande et mobilise les ressoucres, une fois le peuple conquis sur papier (sondages).

La candidature posée, il n’y a plus qu’à suivre, surveiller, publier ses résultats des élections, pour assurer les électeurs de la validité des résultats officiels des élections et participer ainsi à la paix dans le pays. C’est le moment de renégocier, éventuellement, les chiffres, au sein des alliances.

Notre méthode de travail est telle que les négociations seront toujours faciles : nous travaillons avec des objectifs SMART.

Quel est notre problème aujourd’hui, sinon que l’absence d’engagements suffisants, le manque de professionnalisme chez les amis ou camarades de parti ?

Qui veut l’indépendance et le développement du Congo, tel que nous le propose le Projet 2014 ?

L’Ituri peut lancer la libération


L’Ituri est aujourd’hui la terre de l’insécurité.
L’intelligentsia iturienne ne joue pas son rôle : chacun s’occupe de son ventre, de son projet personnel, au dépens d’un peuple sous-instruit, paresseux, qui ne veut pas et ne sait s’organiser pour prendre son destin en main.
Nous, ituriens, servons désormais Dieu et Mammon, comme les batoka chini ; et nous sommes étonnés du résultat de notre travail…
Personne ne veut porter le flambeau des patriotes que nous avons connus en son temps.
La jeunesse se rebelle contre ses parents pour se livrer à des charlatans, sombrer dans la débauche, la beuverie et la malédiction prononcée sur ses parents idolâtres.
Le Projet 2014 invite les ituriens à être les premiers à sortir des griffes de Satan pour sauver la nation congolaise en prônant l’amour et la vérité.
Nous, congolais, avons déjà prouvé assez nos limites et nos vraies intentions. Nous savons le chemin du salut, mais nous préférons celui de la perdition.
Si l’Ituri donne le ton de la responsabilité et de l’indépendance, le reste suivra son exemple avec reconnaissance.
Concrètement, que faut-il faire ?

  1. Identifier nos vrais leaders et les promouvoir.
  2. Avec ces leaders, concevoir et mettre en œuvre notre projet de développement provincial qui tienne compte de notre volonté de rester congolais, mais aussi de celle de refuser tout joug étranger.
    Qui veut se lever et s’inscrire dans cette démarche, avec nous ?
    https://projet2014.com/inscription.
    L’avenir de l’Ituri est dans nos mains !

Plus de CENI au Congo !


Voici la biographie de Dénis Kadima Kazadi , nouveau Président de la CENI.

Né le 21 septembre 1961 en RDC, Dénis Kadima est présentement le directeur exécutif de l’Institut Électoral pour une Démocratie durable en Afrique (EISA).

Ancien directeur du référendum et élections de l’ONU au Soudan (juillet 2010 à mars 2011) et conseiller technique principal du
PNUD en Tunisie (avril à juillet 2011), il est aussi licencié en sciences politiques et administratives de l’Université de Lubumbashi (1987).

En outre, il détient un master en sciences politiques et un diplôme post-universitaire en administration des affaires de l’université de Witwatersrand située à Johannesburg, en Afrique du sud (1997 et 1999).

Par ailleurs, Dénis Kadima est un expert en élections, démocratie et bonne gouvernance et est doté de plus de 30 ans d’expérience professionnelle. Il a à son actif des compétences solides dans les domaines du leadership, la planification stratégique, la conception et la direction des programmes, la levée de fonds (fundraising, ndlr), la gestion axée sur les résultats, le réseautage, la gestion des ressources humaines et la gestion financière.

De 1987 à 1992, il a été tour à tour chef de service et gérant de succursale à la Banque Commerciale Zaïroise (RDC) et de 1995 à 1998, il a dirigé le Programme de l’Ashoka Innovateurs pour le Public basé en Afrique du sud.

Quid de ses réalisations ?

En tant que directeur de l’EISA, il a entre autres, transformé avec succès cette organisation sous-régionale centrée sur l’Afrique australe en une ONG panafricaine et continentale respectée et influente et a développé et mis en œuvre une stratégie de levée de fonds ayant résulté à une augmentation des revenus de 33% en moyenne par an, sur une période de 10 ans. « Le revenu annuel moyen de l’EISA s’est élevé à 12 millions de dollars américains, contribuant à faire de l’Institut la plus grande et la plus influente des ONG africaines œuvrant dans le domaine des élections, de la démocratie et de la gouvernance », souligne-t-il.

En Tunisie où il a occupé le poste de conseiller principal du PNUD en 2011, Dénis Kadima a notamment, mis en place et dirigé l’équipe électorale de l’ONU, élaboré des stratégies et plans opérationnels appropriés pour l’organe tunisien de gestion électorale (ISIE) et intégré la dimension genre dans toutes les stratégies opérationnelles.

En dehors de cela, il a mis en place une division référendaire et électorale intégrée et initié avec succès une diplomatie électorale auprès des États et bailleurs, et obtenu une levée de fonds qui a permis l’augmentation des ressources pour le fonds commun du PNUD au Soudan entre 2010 et 2011.

Sur le plan électoral, Dénis Kadima a dirigé et appuyé plusieurs missions d’observation et d’évaluation d’EISA et autres institutions durant sa carrière professionnelle.

Visions et perspectives

Avec ses 30 ans d’expérience professionnelle dont 21 dans le domaine des élections, de la démocratie et de la bonne gouvernance, il ambitionne d’apporter à la CENI « l’intégrité morale, le professionnalisme, l’impartialité et l’objectivité qui sont vérifiables dans les institutions où il a travaillé ».

il avait promis que s’il était élu à la tête de la CENI, il entreprendrait ce qui suit :

  • Renforcer l’indépendance, l’impartialité et la transparence de la CENI ;
  • Être à équidistance et fédérer toutes les forces politiques nationales, sans distinction d’origine ethnique, géographique, religieuse ou de Genre ;
  • Mener de meilleures consultations avec les acteurs électoraux à travers des cadres de concertation qui fonctionnent effectivement ;
  • Pérenniser l’expertise de la CENI et davantage professionnaliser cette institution et améliorer son sens du service ;
  • Mettre en œuvre des programmes de prévention et gestion des conflits électoraux afin de mettre fin aux contestations et violences cycliques ;
  • Assurer plus de familiarisation de l’électorat avec la Machine à voter (MAV) ;
  • Améliorer les relations entre la CENI et la Communauté internationale ;
  • Assurer une meilleure communication avec le public et ;
  • Améliorer la redevabilité de la CENI vis-à-vis des parties prenantes et du public.
    [28/7, 09:33] G. Paluku Atoka Uwekomu: C’est donc :
  • un dépendantiste avérer qui nous aliénera plus qu’il ne nous libérera du joug étranger ;
  • un luba de plus dans la stratégie du Président de la République qui vise un tripatouillage réussi, parfait en 2023 ; en maintenant en place cette CENI qui ruine le Congo depuis sa création ;
  • c’est un autre inconnu qui surgit d’ailleurs pour venir nous surprendre, nous congolais, désormais experts en niaiserie ;
  • c’est un autre traitre qui accepte de travailler avec notre propre Président qui nous esclavagise à l’Est, comme dans le reste du pays : c’est notre ennemi avérer qui refuse de dénoncer son frère de tribut.

Que pouvons-nous faire pour ne tomber dans ce piège séculaire ?

  • Refuser la CENI pour 2023 et proposer à la place la réorganisationde notre administration pour qu’elle soit en mesure de s’occuperen toute indépendance des élections ; et se donner du temps pour ce travail indispensable à l’évitement des tripatouillage.
  • Titiller nos parlementaires pour voter motion de défiance à l’encontre de notre Président qui perpetue une culture de mépris pour le peuple, d’esclavage et de colonisation en défiant le souverain suprême que nous sommes.
  • Nous préparer sereinement à débouter de force tout ceux qui, aujourd’hui, nous esclavagisent et nous colonisent, encore et toujours.
  • Demander à être remplis du Saint-Esprit du Dieu vivant et vrai, dans le combat à mener contre Satan et ses suppôts congolais et étrangers, qui nous renient l’humanité ; de manière à nous garantir une marche victorieuse sur les scorpions.

Nous nous fourvoyons !


Sommes-nous conscient de ce que nous faisons ?  Quel sera l’avenir de nos enfants à l’allure où nous nous occupons de la chose publique ?  Y a-t-il mieux à penser et à réaliser ?  Comment y arriver ?

La livraison suivante nous montre combien nous en sommes encore à nous diviser sur ce qui fait notre nation : notre nationalité et notre capacité de l’assumer.

La Bible dit, en Marc 3:26 : « Si donc Satan se révolte contre lui-même, il est divisé, et il ne peut subsister, mais c’en est fait de lui. »

Véranda Mutsanga

Hier, à 12:23

Butembo : Le Bourgmestre de la commune Bulengera suspendu pour avoir déclaré l’arrestation du rwandais Joseph KABAREBE à la presse!

Incroyable mais vrai. 48 heures après l’arrestation d’un sujet rwandais par la jeunesse en commune Bumengera, au quartier MUTIRI, cellule VATOLYA, cette arrestation ayant été déclaré à la presse par le jeune Bourgmestre de la commune Bulengera, l’honorable KAMBALE KITSA Omer, a écopé d’une suspension de ses fonctions pour une durée indéterminée… par un arrêté signé par le maire de ville de Butembo.

Le bourgmestre KIZA est « d’incitation à la haine » contre les étrangers.

Alors qu’il était dans sa mission de garant de la sécurité, il l’a gardé pendant la nuit, car ayant des identités rwandaises et congolaises. Pour raison d’enquête, il a été arrêté !

Cela prouve que, la RDC est loin de se libérer du joug rwandais ! Nous sommes congolais mais inféodés au rwanda.

Alors que, nos compatriotes sont chassés comme des chiens, comme des mouches à Brazza ville, mais comme c’est un rwandais, de surcroît fils de KABAREBE !

Quelle honte pour KAPIPI et sa hiérarchie ! L’histoire ne vous pardonnera pas

Dossier à suivre

Tembos Yotama a ajouté 3 photos.

Hier, à 15:18

Butembo : Le Bourgmestre

Butembo : Le Bourgmestre de la commune Bulengera suspendu pour avoir déclaré l’arrestation du rwandais Joseph KABAREBE à la presse!

Incroyable mais vrai. 48 heures après l’arrestation d’un sujet rwandais par la jeunesse en commune Bumengera, au quartier MUTIRI, cellule VATOLYA, cette arrestation ayant été déclaré à la presse par le jeune Bourgmestre de la commune Bulengera, l’honorable KAMBALE KITSA Omer, a écopé d’une suspension de ses fonctions pour une durée indéterminée p…ar un arrêté signé par le maire de ville de Butembo.

Le bourgmestre KIZA est « d’incitation à la haine » contre les étrangers.

Alors qu’il était dans sa mission de garant de la sécurité, il l’a gardé pendant la nuit, car ayant des identités rwandaises et congolaises. Pour raison d’enquête, il a été arrêté !

Cela prouve que, la RDC est loin de se libérer du joug rwandais ! Nous sommes congolais mais inféodés au rwanda.

Alors que, nos compatriotes sont chassés comme des chiens, comme des mouches à Brazza ville, mais comme c’est un rwandais, de surcroît fils de KABAREBE !

Quelle honte pour KAPIPI et sa hiérarchie ! L’histoire ne vous pardonnera pas

Dossier à suivre

GPAU

Attention, chers frères !  La parole inégalable de Dieu donne un conseil : ne marchez par sur les chemins ou en compagnie des méchants !

Et puis : pour que cela dépende de vous, soyez en paix avec tout le monde.

Enfin : ne marche pas en compagnie d’un chien méchant de peur qu’il ne te morde en chemin.

Et encore : un royaume divisé contre lui-même ne peut subsister.

Conséquence :

Il est complaisant d’aller vivre chez ceux que l’on déclare être ses ennemis ; mais il est tout aussi naïf de penser à la libération du Congo tant que nous ne saurons pas nous attendre sur des points élémentaires tels que :

Kabarebe est-il congolais ou rwandais et qui plus est qui sert-il réellement ?  La nationalité congolaise est-elle unique et exclusive et pourquoi ?

Le manque de connaissance, la peur, la duplicité, l’égoïsme nous amène à écrire n’importe quoi.

Etudiants congolais


Quand les étudiants s’en mêlent, il y a lieu de dire que l’ouragan de l’histoire n’est pas loin.  C’est alors que mûr ou pas mûr, le fruit tombera…

Etre étudiant congolais est comme une malédiction depuis 1969.  C’est payer un lourd tribut aux ennemis du Congo parce que l’on se veut derrière un peuple.  Parce qu’on soutien une population sans ressource pour se défendre contre l’esclavagisme, la colonisation, la dictature, l’imposture, la trahison, la médiocrité…  Quand bien-même, il faut le reconnaître, ce peuple, que nous sommes, nous tous, congolais, se choisit ces maux, par ignorance !  Il en a encore été le cas en 2011, malgré nos multiples avertissements.

La loi du plus étant toujours la meilleure dans le « présent système de choses », le régime de Kinshasa gère encore le sort des congolais.  Il le gère comme il l’attend, encouragé par nous, Occident, qui le soutenons.  Nous le soutenons, conscients du mauvais choix que nous opérons pour nos enfants qui se retrouverons avec un ennemi de taille : l’Union des Etats indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, à l’avènement duquel nous croyons, quelque soit le temps que cela prendra.  En attendant, les mouvements de soulèvement qui continuent et se muent lentement, progressivement et sûrement en une « révolution », en un « soulèvement populaire », finira-t-il par changer le cours de notre histoire ?  Le régime de Kinshasa, par ses tueries, empoisonnements et brutalités, tiendra-t-il le coup encore longtemps ? Mais en même temps, un pouvoir que nous conquérerions par la violence, mais pour la paix et le progrès, nous sera-t-il réellement bénéfique ?  Comment pouvons-le savoir et pourquoi devrions-nous en avoir le coeur net ?  Avons-nous un remplaçant valable pour conduire le pays une fois le régime actuel disqualifié ?  Nos cadres de demain sont-ils préparés pour gérer le pays mieux que ceux qui font le lit du régime que nous décrions ?

Telles sont les question auxquelles le Projet 2014 invite les congolais à se mettre autour d’une table de travail virtuel pour trouver des réponses vraies et des solutions péreines à notre ignominie.

Le week-end du 21 au 23 ou bien celui du 28 au 30, rencontrons-nous à Bruxelles, pour parfaire et renforcer nos stratégies, avant qu’il ne soit trop tard pour le rendez-vous de 2016 !  D’ores et déjà vous pouvez vous inscrire ici et opérer le choix du week-end qui vous convient le mieux.

En attendant, félicitons la compassion des étudiants pour nos frères en souffrance à Brazzaville ; et souhaitons courage à tous les étudiants du Congo et recommandons leur beaucoup de sagesse et d’intelligence ; parce que l’ennemi a pris racine au Congo et dispose déjà de beaucoup de bras tentaculaires à l’extérieur.  Sa faiblesse est de manquer d’assise : ce sont ses propres agents qui nous aiderons à avoir le dessus sur lui.  Le jour et l’heure ne dépendent néanmoins que de nous !

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  1. Etudiant Congolais,actualité du Congo brazzaville,jeunesse

    http://www.starducongo.com/etudiantcongolais

    • L’Etudiantcongolais est le premier portail dédié à la jeunesse et aux étudiants congolais à travers le monde.

  2. Environ 500 Congolais de Brazzaville vivant à Kinshasa

    radiookapi.net/…/environ-500-congolais-de-brazzavill

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  8. RDC: la nouvelle société civile réclame l’expulsion des – RFI

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    • Apr 27, 2014 – Par crainte de représailles, les ressortissants du CongoBrazzaville, étudiants en tête, ont demandé d’être rapatriés dans leur pays. Près de …

  9. EXPULSIONS DES CONGOLAIS DE KINSHASA DU – 7sur7

    7sur7.cd/…/4405-expulsions-des-congolais-de-kinshas…

    • Apr 29, 2014 – Une mission parlementaire rd-congolaise, constituée hier à … les autorités du CongoBrazzaville ont ordonné aux étudiants congolais de …

  10. les étudiants congolais (congo brazzaville) en – YouTube

    www.youtube.com/watch?v=XSngU9lyY_4

    Jul 8, 2013 – Uploaded by Nerrati Congo

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Syasaka – RDC


Le Vendredi 14 février 2014 14h02, SYASAKA KAHINDO Eugène <syasaka50@gmail.com> a écrit :

Salut vathunga,
Nous avons toujours dit que le rire est bon pour la santé. Voici une occasion.

1. Le papillon et l’éléphant:

Un matin, quand il faisait très beau dans le parc des Virunga, un
papillon voltigeait à la recherche d’un endroit où il devait prendre
le bain de soleil.
Il vit un éléphant et le papillon avait trouvé que c’était un bon site
pour son bain de soleil. Le papillon se posa sur le dos de l’élephant.
C’était alors que le papillon se rendit compte que l’élephant
constituait un bon paquet de viande.
IL regrettait de ne pas avoir de couteau pour se tailler de bons
morceaux de viande et à regret il commença à balancer ses ailes les
ouvrant et les fermant de façon rythmique en secouant sa petite tête
en se disant: omuhamba alihi? omuhamba alihi? omuhamba alihi?…
(où trouver du couteau? Où trouver du couteau? Où trouver du couteau?).

2. Un zaïrois et un belge.

Un zaïrois et un belge s’étaient rencontrés dans le restaurant d’un hôtel.
Le zaïrois, bien affamé avait commandé un poulet bien rôti tandis que
le belge, son journal en main, prenait du lait.
Comme le zaïrois avait bon appétit il brisait allégrement les os
fragiles du poulet ce qui faisait du bruit qui finit par gêner le
belge.
Celui-ci, très agacé, demanda finalement au zaïrois: que donnez-vous à
vos chiens?
Très calmement le sujet de Mubutu lui répondit: à nos chiens nous
donnons du lait.
Syasaka

La congolité encore ?


L’ARTICLE 72 DE LA CONSTITUTION KONGOLAISE EZA KOLOBELA BA SOI DISANT BA POLITICIENS NA BA SOI DISANT BA OPPOSANTS RIEN ? POUR POSTULER NA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE IL FAUT ETRE DE MÈRE ET DE PÈRE 100% KONGOLAIS DE SOUCHE; WANA SELON ARTICLE 72 YA CONSTITUTION; DONC LES: LEON KENGO, VITAL KAMHERE, MOISE KATUMBI, ADAM BOMBOLE, AZARIAS RUBERWA, DEO GRACIAS BUGUERA… BAKOKI JAMAIS KOKOMAKA PRÉSIDENT YA RÉPUBLIQUE NA R.D.C. ET EN PLUS LEON KENGO AVANDA WANA NA KITI YA PRÉSIDENT YA SÉNAT ILLÉGALE PCQ AZALI NI DE MÈRE, NI DE PÈRE 100% KONGOLAIS, ALORS NAYEBI TE SOKO BA OYO BAZA KOLOBA QUE BAZALI BA DOCTEURS EN DROIT BAZALI KOMONA TE OU BAZALI INCONSCIENTS NA SITUATION EZALI KOLEKA NA MBOKA NA BISO KONGO… BANA YA MAYELE BAYOKAKA

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Chers compatriotes, faisons attention aux pièges juridiques et techniques.
Il est dangereux de se servir d’un outil juridique ou d’une technologie qui nous appartiennent pas, qui n’est pas notre création.
Etre de père congolais et de mère congolais, ne veut pas dire être de grand-père ni de grand-mère congolais : c’est une question de logique élémentaire.
Si nous nous en tenons à la constitution du régime de Kinshasa, sachons apporter aux congolais les preuves matérielles que ceux à qui nous contestons la nationalité congolaise d’origine soient nés pendant que leurs parents n’étaient pas tous congolais !  Sinon, nous seront ridicules et des illégaux condamnables discrimination au regard de la loi.
C’est pour cela que, dans notre parti, Kongo ya Sika, nous éviterons de présenter à la candidature aux postes importants des personnes dont les parents, et mêmes les grands-parents, ou arrière-grands-parents n’étaient pas congolais à leur naissance…  Question de ne pas distraire le congolais dans la quête de son indépendance véritable.

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