Le social : 9 propositions novatrices de GPAU.


Ces derniers jours, les congolais ont été de plus en plus sensibilisés au méfait de l’égoïsme légendaire de nos parlementaires par la presse congolaise et occidentale. L’impérialisme occidental, cette fois-ci comme les autres fois, semble s’être curieusement mué en humanisme. Et pourtant…

Depuis décembre 1999, nous proposons aux congolais, sans que personne n’y prête attention, un passage de la République à une Union d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, l’UEIC, pour couper l’herbe sous les pieds des hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique, par ignorance, par esprit d’hégémonie clanique, tribale ou segregationiste. Parmis ces hommes, se trouvent en tête des parlementaires qui s’attribuent des salaires d’iniques, de 17 à 21 milles euros par mois, sous la barbe de près de 100 millions de congolais !

Pour nous sortir de la crise qui perdure, pour focaliser nos efforts, dans le domaine du social, comme dans les autres domaines, nous avons formulé des propositions et les avons déposées sur une table non visitée.

Notre proposition à nous est que la tension salariale (salaire maximum/salaire minimum) reste inférieure ou égale à 5 et que le salaire minimum soit supérieur au minimum vital que nous estimons à 1250 €/mois, pour une personne isolée. C’est notre manière d’offrir aux congolais de vivre dans un mimimum de justice sociale et de confort de vie.
Le plus haut salaire net ne doit donc pas dépasser les 6250 €/mois pour une personne isolée.

Puisque notre dernière proposition est d’appliquer une imposition de 57% sur les revenus bruts, les salaires bruts doivent être compris entre 2193 €/mois et 10.965 €/mois pour la personne isolée. Cette imposition novatrice vise à permettre à chaque congolais de maintenir son niveau de vie à la retraite.
Voilà quelques unes de nos propositions, du ressort du social, sur lesquelles les congolais crachent depuis décembre 1999 :

  1. le salaire minimum ;
  2. le salaire maximum ;
  3. la sécurité sociale minimale pour tous.

Nos autres propositions touchant au social sont :

  1. l’obligation scolaire jusque 24 ans ;
  2. l’obligation de travail dès 25 ans ;
  3. la qualification obligatoire de tout travailleur ;
  4. une villa spacieuse et fonctionnelle pour tout ménage ;
  5. l’énergie, l’eau et l’électricité, aux portes de tous les ménages et de toutes les entreprises ;
  6. la priorité aux nationaux en matières d’emploi, à qualifications et expériences égales.

Nos propositions sont innovantes en qu’elles ne demandent aucun endettement extérieur. Le financement des changements à opérer sera à 100% congolais. Parce que :

  1. tout congolais sera au travail au regard de nouveaux chantiers à ouvrir, dans plusieurs secteurs ;
  2. tout salaire sera taxé, à près de 57%, à la source ;
  3. le produits congolais seront de grandes valeurs du fait de la qualification des travailleurs et de la forte hausse des bas salaires ;
  4. une réduction brutale de la corruption et sursaut de patriotisme…

Le démarrage de ce projet attend le reveil de la conscience nationale que réussira à provoquer l’implication des membres de Kongo Ya Sika dans la mobilisation de notre peuple.

Partis, courants, mouvements ou projets politiques


[19/7, 13:32] C

Y a-t-il un courant politique en RDC? Je ne suis pas spécialiste en sociologie politique, je pense cependant qu’aucun parti politique de la RDC ne repose sur un courant politique.
En revanche, les formations politiques en RDC sont opportunistes et électoralistes voire alimentaires.
[19/7, 14:43] GPAU

Prof,
C’est quoi que ce courant politique que devrait choisir chaque parti politique ?
Un parti donné, peut avoir pour politique de ne suivre aucun courant politique en vogue…
Beaucoup de mouvements politiques aujourd’hui sont des divorces d’avec ces schémas obsolètes et parfois jugés aliénants ou réducteurs de nos jours.
Le Mouvement Réformateur belge (MR), dans lequel j’évolue, est une mixture de 4 courants politiques de la droite belge. Il tient la route et se positionne très bien dans le Royaume.
Plus fondamentalement, les partis politiques ne sont pas les seuls lieux où s’exercerait ou se pratiquerait la démocratie et la citoyenneté.
Remettons ces choses, pas que bonnes ni utiles, copiés des autres nations.
Travaillons à être et à demeurer nous-mêmes !
Le MPR avait une bonne idée, mais il l’avait trahit par sa motivation hégémonique et raciste !

Mascarade ou réalité d’un combat politique


[02:10:52]

SSS: sation started 24 April
Robert Mbelo
24/04/2014 14:34
Robert Mbelo

© As International – Community for SurViVors: BREAKING NEWS : THE BLACKMAIL OF A BILL CLINTON…
survivorsnetworks.blogspot.com
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Congolese people, publicly claim the status of…
[02:12:31] SSS: Nous avons ça depuis longtemps mais jeter un coup d’yeux.
[03:23:25] SSS: C : l’opposant Ewanga, proche de Kamerhe, arrêté au lendemain d’un meeting à Kinshasa
05/08/2014 à 11:15 Par Jeune Afrique
Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l’UNC. © DR
Sur le réseau social Twitter, l’Union pour la nation congolaise (UNC) a annoncé mardi que son secrétaire général, Jean-Bertrand Ewanga, a été arrêté au lendemain d’un rassemblement contre une révision de la Constitution organisé le 4 août à Kinshasa.

Le 4 août, lors du « meeting populaire » organisé par les partis d’opposition en RDC, il a appelé Joseph Kabila à « partir en 2016 ». Le lendemain matin, 5 août, le député d’opposition « Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l’Union pour la nation congolaise (UNC), troisième parti d’opposition, a été arrêté à son domicile à Kinshasa », a alerté sur son compte Twitter Lydie Omanga, chargée de communication du parti de Vital Kamerhe, s’interrogeant sur le « respect de l’immunité parlementaire ».

Une fille du député Ewanga a confirmé à l’arrestation de son père. « On se dirige vers la Cour suprême de justice. C’est de là qu’on saura là où il est », a-t-elle expliqué.

Incitation à la haine

Des sources familiales ont également indiqué que « des agents de l’Agence nationale de renseignement sont arrivés chez le député vers 4 heures 30 locales, accompagnés des agents de la police ». « Ils se sont introduits chez lui à 6 heures munis d’un mandat d’amener délivré par le procureur au motif d’incitation à la haine. Il a été conduit à un endroit non encore communiqué à sa famille », ont-elles précisé.

(Avec AFP)
Mambo wa Lumona

Qui nous écoute, qui adhère ?


Nous avons proposé une sortie propre et durable de toutes nos crises par la préparation d’une bataille finale en 2016, une bataille qui mette tous nos ennemis (colonisateurs, imposteurs, dictateurs, traîtres et médiocres) à genoux, face aux exigences d’un peuple devenu disuasif…

Qui nous écoute ? Qui adhère ? Faut-il alors s’étonner – après – de la victoire de nos ennemis contre nous ?

Pour adhérer au projet : commencer par lire nos statuts, notre reglèment d’ordre intérieur et notre projet de société (https://projet2014.com/parti-politique).  Ensuite, préparer votre cellule de travail et inscrivez-vous et vos filleuls directs comme membres de Congo ya Sika.

La colonisation va se renforçant…


Les soldats français pourrons tirer sur les centre-africains qui ne veulent pas obtempérez aux injonctions pouvoir, chez eux, comme sur des bêtes de chasse ! Ces centre-africains qui s’adonnent à des tueries, des viols, probablement des vols aussi et à des enlèvements de leurs propres concitoyens, dans le but illusoire de se faire justice et construire la paix par la force !

En RDC, le régime, le gouvernement et ses FARDC, le parlement, appuyés par les forces de l’ONU, espèrent faire la paix, par la guerre, en neutralisant les « forces négatives » qui leur résistent, qui pillent les populations, violent femmes et hommes, trafiquent les minerais et minéraux du pays, tuent gratuitement, là aussi, nos propres compatriotes et les étrangers qui les manipulent. Ici, comme en République Centre Africaine, les rebelles seront traquer comme des gibiers pour être forcer au silence, eux qui ont fait la pareil des paisibles citoyens parfois, sous prétexte de défende leurs droits.

Les mêmes causes, tout restant égal par ailleurs, produisant les mêmes effets : la perpétuation de la colonisation, de la dictature, de l’imposture et de la médiocrité au Congo continue par le fait de nos mauvais choix. Certains en effet, jour et nuit cherchent plus comment tuer Kanambe plutôt que de trouver comment le traduire démocratiquement en justice, pour qu’il soit jugé, lui et tous ceux qui agissent comme lui. Comme d’autres ont tué Lumumba, Tshombe, Fina, Chebeya, Tungulu, Kabila et bien plus auparavant ; avec comme souci de prendre le pouvoir pour mieux gérer la chose publique, nos partisans de la lutte armée se recherchent sans succès depuis des années. Et pourtant, le Congo est colonisé de plus bel sous nos yeux. Et de plus, il risque de l’être encore plus. En tout cas il le sera plus si notre attitude face à l’imposture et à l’amateurisme des hommes de Kinshasa ne change pas. Personne ne se doute de ce qui se passera. Ou même, personne ne se demande ce qui se passerait après la mort de Kanambe. Personne ne pense à travailler un projet de société nouveau qui mette fin à la colonisation, à l’imposture, à la dictature et à la médiocrité dans la RDC ; proprement et définitivement !

2016, dans ces conditions, si elles se maintiennent, n’apportera pas du neuf. Bien au contraire, c’est le renforcement de la colonisation, de l’imposture, de la médiocrité et de la dictature dans notre pays qui nous attend à coup sûr. Pourquoi ?

Parce que voici bientôt 14 ans que nous invitons à un travail démocratique sur un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique possible. Personne ne répond positivement, mais en même temps, tous disent aimer la RDC.

Ceux qui prônent la lutte armée pour faire la paix et l’ordre, n’arrivent pas à organiser l’offensive dont nous les avons toujours prévenu qu’il n’est ni logique ni facile à organiser. La peur du combat démocratique, du face à face politique avec les ennemis de notre pays, fait que tout le monde sombre dans des rêves qui perdurent… Il faut être déshonnête pour ne pas le reconnaître et laisser le pays aller ainsi à sa ruine prochaine. À cette allure, 2016 va connaître une autre victoire du régime de Kinshasa. Victorieux, il nous assujettira de plus bel et nous n’aurons plus rien à dire ni à faire pour le bien de notre progéniture dans ce vaste territoire où nous sommes nés. Si en effet, ce régime n’avait pas l’espoir, s’il n’avait pas la conviction de gagner en 2016, il ne s’inscrirait pas dans la logique de la rencontre de demain à Paris ; mais il prendrait plutôt le temps de faire sa valise… Il n’aurait pas été à Kampala non plus. Il n’organiserait pas, dans son laboratoire, ce gouvernement de la concertation nationale qui apportera que désolation au Congo, s’il réussit à se mettre en place. En effet, comment des assassins des congolais pourraient-il construire une société de paix, la justice, le travail ? D’où leur viendrait le sursaut de civilité, de moralité ? Comment en effet les rebelles d’hier vivront-ils avec les congolais, dans les mêmes quartiers, après avoir commis autant de crimes, de viols, de vols, de fraudes ?

Intégrer Kongo ya Sika est pour nous la seule façon adulte d’aborder le problème congolais avec sérénité et assurance. C’est garantir qu’un jour nous gagnions enfin le combat contre nos égoïsmes, nos turpitudes, nos paresses, nos trahisons, nos tribalismes ! C’est préparer la prise démocratique du pouvoir en 2016. C’est nous nous donner l’avantage d’avoir le droit de revendiquer la justice dans le pays. C’est nous accorder le droit à la paix et au progrès. C’est conjurer définitivement la colonisation, l’imposture et la médiocrité de notre pays pour laisser place à l’indépendance des esprits et des ventres. C’est nous donner la possibilité d’exiger de nous-mêmes l’excellence, la perfection, pour le bien-être de tous, mieux, du plus grand nombre.

Agir autrement, quand on a compris tout ceci, devient une irresponsabilité, une trahison de plus de la nation congolaise.

Que Dieu bénisse le Congo-Kinshasa.

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