Projet de société


Voici notre contribution personnelle à l’élaboration d’un projet de société pour la RDC.

Ce document est adapté dynamiquement pour tenir compte de vos critiques et suggestions, sans pour cela trahir notre identité politique, culturelle, spirituelle, philosophique.   Il est notre volonté de nous rapprocher des désidératas des congolais qui cadre avec nos convictions, notre foi, notre vision et nos choix personnels.  Nous nous rapprochons du peuple sans trahir pour autant notre vision du Congo de l’an 2066 qui est le résultat de notre identité.  Ce projet de société est notre proposition sur la manière de réaliser le Congo véritablement indépendant, totalement libre que nous recherchons depuis 1960.

Dans la barre de menu du blog, vous pouvez trouver des détails sur nos propositions.  Détails qui se rapportent aux différents aspects de la gestion de la chose publique.  La politique, l’économie, l’industrie, l’habitat, les sciences, la spiritualité, la culture, les arts, le social et les autres secteurs de la vie nationale y sont ajouter progressivement.  Nous résumons en revanche les points principaux ici-bas.

Notre vision

En 2066, le Congo est un pays chrétien, démocratique, capitaliste…  Il est une union d’Etats indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale.  C’est États indépendants sont formés, librement et dans l’ordre, par nos peuples libérés, sur base de leurs affinités culturelles.

Pourquoi une telle vision ?

Parce que la République contient en elle-même les germes de la dictature ; nous sommes un État fondamentalement multiculturel ; plusieurs peuples, dans notre pays, cherchent à se substituer aux colonisateurs belges.  Je ne connais de ma vie aucune République qui soit démocratique ; contrairement à ce que tente de prétendre le nom de mon pays : la République Démocratique du Congo (RDC).  Le respect de nos peuples passe par l’acceptation que chacun d’eux détermine son avenir en fonction de ses propres valeurs et motivations ; et, dans le respect de celles des autres ; quand bien-même cela se ferait, dans un cadre fédéral auquel, par ailleurs, chaque peuple doit pouvoir adhérer librement, en connaissance de cause et non pas par contrainte, comme sous la colonisation, la dictature républicaine et de l’imposture observée en RDC depuis 1960.

Parce que je n’ai, hélas, pas encore rencontré de ma vie un homme sérieux qui ne soit pas chrétien.  Par expérience, je constate que la nouvelle naissance est l’opération qui nous rend capable du bien, quand bien-même ce le serait imparfaitement.  L’observation de mon monde me montre par ailleurs que les pays non-païens progressent plus lentement que les pays chrétiens.

Parce que la démocratie est ce à quoi les congolais que je rencontre aspirent.  Ils attendent d’être entendus, écoutés, respectés, maîtres de leur destinée, tout en maintenant l’unité du pays issu de la colonisation, qu’ils ont hérité de l’indépendance dite lumubienne.

Parce que le libéralisme, mieux, le capitalisme est tout à la fois responsabilisant, respectueux de l’initiative privée et collective et efficace quant à la mise en œuvre d’un programme économique qui stimule le développement intégral d’une nation par la croissance rapide de son capital, compris dans le sens large du terme.

Parce que nous avons la conviction que la chrétienté, le capitalisme, la liberté, l’unité et la démocratie de l’Union  des États Indépendants du Congo seront le gage d’une paix, d’un enrichissement, véritable et durable, du plus grand nombre de nos citoyens.  Cette Union coupera l’herbe sous les pieds des hommes qui vivent des velléités coloniales, esclavagistes, dictatoriales.  Elle attirera, vers elle, beaucoup d’autres peuples réellement épris de paix et de solidarité pour construire une Afrique forte, compétitive.

La mission

Transformer la République Démocratique du Congo en une Union d’Etats Indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale afin de couper l’herbe sous les pieds des :

1. Esclavagistes : tous ceux qui, nationaux ou étrangers, essaient d’utiliser les congolais comme leurs bêtes de sommes ;

2. Colonisateurs : tous ceux-là, étrangers ou nationaux, qui essaient d’occuper nos espaces sans autorisation ni respect pour leurs propriétaires ;

3. Dictateurs : les hommes qui ne veulent pas devenir animateur de développement du pays, mais plutôt soumettre les citoyens congolais à leurs caprices, subjuguer notre peuple;

4. Imposteurs : des hommes venus d’ailleurs, des barbares, des étrangers sur nos terres, qui se prennent pour les maîtres des lieux et des temps ;

5. Traîtres : nos compatriotes congolais qui agissent en ennemis de notre nation, de nos peuples qu’ils livrent aux ennemis du pays ;

6. Médiocres : des compatriotes qui se refusent de s’instruire, de se former, de s’éduquer pour être utiles à eux-mêmes et à la nation.

Comment ?

En cinq phases de 10 ans chacune pour :

Eviter l’éclatement inutile du pays du fait de l’immaturité politique de beaucoup de congolais qui confondent encore tribalité et tribalisme, « régionalité » et régionalisme, race et racisme, religion et intégrisme religieux, identité culturelle et exclusion, authenticité et conservatisme…

S’assurer d’aller dans la bonne direction quant à ce qui est de l’accroissement du capital bonheur du congolais, du peuple, de la nation,  par des évaluations rigoureuses d’étapes.  C’est une façon de se mettre à l’abri des erreurs grossières induites par une précipitation injustifiée.  C’est l’évitement de la raillerie de ceux qui nous observe prendre notre indépendance avec pincement aux cœurs.

Se donner le temps de convaincre tous nos peuples.  Les persuader tout à la fois de la possibilité qu’il y a de travailler, plus efficacement, dans l’unité et la diversité.  Les convaincre, par des résultats, des avantages de la formation d’entités pesantes sur l’échiquier tant national qu’international.

Démontrer clairement aux unitaristes les avantages de l’indépendance des peuples, dans et pour l’unité.  Leur prouver les vertus de l’union libre quant la production d’une pacification véritable, d’un progrès rapide de la nation et du continent.  Le montrer le renforcement de notre position sur l’échiquier politique international.  Parce que cette unité embrasera l’Afrique, croisera le projet des africanistes.  Elle relèvera notre encore très précaire aujourd’hui du fait de nos violations passées et actuelles des libertés de nos peuples.

Travailler avec des hommes de conviction chrétienne, capitaliste, humaniste, capables de gérer la multiculturalité et l’adversité politique inévitable du début de tout projet de construction d’une nation est le gage de la réussite de notre lutte contre les extrémismes et banditismes des espaces politiques congolais tant intérieurs qu’extérieurs.

Il s’agit, dans notre proposition, de rejeter toute forme d’asservissement de nos peuples, sous quelque prétexte démagogique que ce soit.  Il s’agit aussi de s’engager librement de construire notre Congo à nous, qui réponde aux aspirations de tous nos peuples, sans en exclure un seul.  Cela requiert de nos peuples l’attachement à la liberté, mais aussi à l’humanité et l’unité volontaire et libre qui l’accompagnent.

Economie

Originalité

Le département de l’économie est pour nous le lieu où devra s’opérer la gestion de toutes nos ressources : aussi bien les ressources humaines que les ressources non-humaines, aussi bien les ressources naturelles que les ressources non-naturelles, aussi bien les ressources temporelles que les ressources non-temporelles, aussi bien les ressources financières que non financières.  C’est une des originalités de notre proposition quant à ce qui touche au développement économique du Congo.  Ce département devra veiller à ce que toutes nos ressources, au sens large du terme, évoqué ci-dessus, soient exploitées (produites, transportées, stockées, transformées, commercialisées, consommées) de manière à participer à l’accroissement du capital bonheur du congolais tout en accroissant les équilibres universels indispensables à la survie de notre espèce sur la planète, dans l’attente de la félicité éternelle.  Il s’agit donc, entre autres, de ce qui est résumé dans les paragraphes ci-dessous.

Les combats

  1. Combattre l’exclusion sociale, la pauvreté du plus grand nombre, par :

(1) l’éradication du chômage et non pas seulement sa réduction.  Nous proposons que chaque congolais participe activement à la mise en valeur de toutes nos ressources, de manière raisonnable et de façon professionnelle, dans le cadre d’un projet privé ou collectif précis qui soit rentable sur tous les plans évoqués ci-dessus ;

(2) la valorisation du travail : le calcul d’un minimum vital local ou national supérieurs à tous les minima vitaux connus dans le monde est nécessaire ; l’application obligatoire d’un salaire minimum supérieur au minimum vital, sur toute l’étendue de la RDC doit être la règle ;

(3) la réduction de la tension salariale en-deçà de 5 nous semble nécessaire pour divorcer d’avec les injustices que nous avons importées des autres cultures ;  cela passe par la réduction  indispensable des salaires plafonds ; le but étant de permettre une redistribution plus équitable des fruits du travail et une suppression de certaines sources de tensions sociales.

  1. Organiser un enseignement du plus haut niveau dans tout le pays et pour tous nos citoyens afin que :

(1) chacun d’eux ait au moins une qualification officiellement reconnue avant d’entrer dans le monde du travail ; le graduat serait pour nous un diplôme obligatoire pour l’insertion professionnelle confortable des citoyens ;

(2) leurs qualifications ou compétences soient reconnues dans tous les pays du monde sans la moindre contestation.

  1. Éradiquer le chômage par la formation, l’accompagnement dans la recherche et la création d’emplois.

Mettre obligatoirement et immédiatement toute personne majeure qui est au chômage au travail ; ce travail doit être correctement rémunéré.  Pour celui qui le désire, l’aider à créer sa propre entreprise.

Pour les travailleurs qui n’ont pas encore de qualification officiellement reconnue, les inscrire à des programmes de formations ou enseignements qualifiants à horaires décalés.  Exiger une qualification officiellement reconnue de tout travailleur dans le pays, sans exception.

  1. Organiser la standardisation et la validation des compétences

Créer un organisme de l’Etat de validation des compétences pour tous ceux dont les compétences ne sont pas évaluées dans la filière scolaire ou académique de l’enseignement public ou agréé. Pour bien faire, compléter l’évaluation scolaire de manière à avoir la même évaluation des compétences professionnelles dans la filière scolaire ou académique que dans la filière professionnelle ou extra-académique. Notre proposition est de confier ce travail à des initiatives ou entreprises privées directement contrôlées par l’Etat pour :

(1) contribuer à améliorer la qualité du travail fourni dans le pays, la compétitivité de nos travailleurs et

(2) créer des emplois supplémentaires dans le secteur des services (formation, enseignement et évaluation des compétences professionnelles).

  1. Offrir à tous la possibilité de se rattraper

Remettre obligatoirement tous les mineurs à l’école ou aux études : dans la filière normale ou dans la filaire de rattrapage scolaire. Dans cette dernière filière, les études doivent être intensive, accélérée et systématiquement inspectées par l’Etat. Ces études de rattrapage scolaire devront avoir lieu suivant des programmes qui recouvrent, au minimum, les programmes officiels de la RDC correspondants et être sanctionner par les mêmes diplômes que ceux de la filière normale, conventionnelle.

  1. Accroître le pouvoir d’achat

Augmenter le pouvoir d’achat des ménages, réduire l’injustice sociale par la fixation d’un salaire minimal supérieur au minimum vital et par la réduction de la tension salariale (salaire le plus élevé/salaire le moins élevé) à 5 au maximum.

Transformer le Congo en un pays développé sur le plan économique par le renforcement de notre économie : augmentation de nos capacités de production, de stockage, de transformation, de commercialisation, de consommation des biens et services qui circulent sur notre marché.

Libéraliser totalement l’économie en confiant aux entreprises privées le rôle de maîtres d’œuvre des projets économiques nationaux.

  1. Gérer mieux les finances publiques par :

(1) une transparence tous azimuts sur la gestion des productions et consommation de l’Etat,

(2) le respect du choix du peuple congolais en matières d’investissements de l’Etat,

(3) un contrôle systématique de la gestion des mandataires publics par le parlement avec rapport complet au peuple par la voix du ministre en charge de l’information, de la communication entre le peuple et le gouvernement.

  1. Mieux redistribuer la richesse nationale pour tenir compte à la fois :

(1) du besoin d’une justice et d’une paix sociale dans le pays,

(2) d’une solidarité nationale plus accrue au bénéfice des régions identifiées comme étant en difficultés économiques majeures ou encore peu viables,

(3) de la stimulation de la compétitivité intérieure des différentes pôles économiques et de la compétitivité internationale.

  1. Redistribuer mieux les responsabilités dans la conduite des affaires publiques par :

(1) des conditions plus strictes d’éligibilité aux postes de responsabilités dans les services de l’Etat,

(2) le respect des cultures locales des peuples,

(3) une évaluation systématique des mandataires publiques suivie de sanctions positives et négatives conformes à la loi.

  1. Augmenter les recettes de l’Etat par :

(1) la création de nouveaux services « publics » ;

(2) la sécurisation de l’environnement national des affaires : par la traque des bandits traditionnels et des cyber-bandits (Police criminelle, contrôleurs des fiscs, police de quartiers, service d’intelligence intérieur et extérieur.).

Identifier les ressources nationales exploitables et diversifier les ressources nationales exploitées pour booster la croissance économique

Mettre en place les infrastructures et les superstructures de soutien au développement intégral de la nation : le développement économique, social, culturel, industriel, politique

Gérer toutes les ressources nationales professionnellement

Soutenir l’entreprenariat par l’offre de crédits à la création d’entreprises et des formations requises pour la qualification des acteurs

Créer un centre de validation de compétences qui ne soit en conformité avec les programmes de l’enseignement de l’Etat pour évaluer le niveau de qualification des travailleurs ou des apprenants.

Offrir un logement spacieux (Au minimum 25 m² par habitant, cuisine équipée, garage pour deux voitures au moins, respect des normes antisismiques, anti-érosion, anti-ouragan, anti-inondation), décent et fonctionnel (cuisine, salon, chambres pour parents, garçons, filles et visiteurs, garage, magasin) à tous les ménages du pays sans exception et offrir à ces ménages des possibilités réelles de s’acquitter des prix de ces nouveaux logements aux normes à établir préalablement

Revêtir la voie publique et privée d’un revêtement robuste et écologique dans l’ensemble du pays. Fixer des normes les plus strictes en la matière pour assurer la sécurité des usagers des routes. En faire de même pour les aéroports et ports.

Collecter et traiter systématiquement toutes les eaux usées et tous les déchets : des ménages, des entreprises et des industries

Sécuriser l’environnement national des affaires par un recours aux méthodes de gestion, aux techniques et technologies de pointe éprouvées

Politique

Inciter les congolais à plus de :

(1) civilité, de citoyenneté ;

(2) civisme, de courage, contrôle et de sanction du pouvoir ;

(3) respect de la loi ;

(4) pratique de la justice, loyauté, démocratie, responsabilité, de professionnalisme.

Promouvoir la démocratie par :

(1) l’adaptation de la loi pour faciliter l’éclosion d’une société démocratique (lois sur : les ASBL, ONG, partis politiques, confessions religieuses…) ;

(2) l’exploitation du gouvernement électronique (e-government), des pétitions, des  ;

(3) l’application effective des dispositions constitutionnelles et légales relative à la démocratie : les élections, la décentralisation, etc.

Pacification rapide de la nation par :

(1) une solution démocratique de la question des rébellions dans le pays en traduisant en justice tous les congolais qui bafouent les lois du pays ou qui trahissent la cause de la nation ; et, en déboutant les étrangers qui s’ingèrent dans les affaires intérieures à la RDC ou qui tentent de s’y maintenir pour la piller et la spolier ;

(2) une gestion correcte des mouvements de biens et de personnes à l’intérieur tout comme à l’extérieur de nos frontières ;

(3) le déplacement de tous les réfugiés politiques et économiques vers l’intérieur du pays ;

(4) l’évitement de leur maintien aux frontières sous quelques prétextes que ce soit ;

(5) l’offre du travail à tous les réfugiés qualifiés et des formations qualifiantes à tous ceux d’entre eux qui sont sans qualification ;

(6) l’insertion obligatoire et sans délai des enfants dans le circuit de notre enseignement et vue de leur éducation ;

(7) la facilitation de l’accès à la nationalité aux réfugiés et immigrés qui en font la demande dans les conditions prévues par la loi (à bien revoir avec soin préalablement pour éviter les erreurs du passé ;

(8) la protection de toute personne séjournant sur notre territoire ainsi que de ses biens ;

(9) une lutte sans merci contre le banditisme politique : les assassinats, les empoisonnements, etc.

Décentraliser le pouvoir

Gérer la chose publique, l’Etat, suivant les règles de l’art, de manière responsable

Responsabiliser davantage les Congolais quant à la prise en charge de leur développement

Réduire le mandat présidentiel à deux fois 5ans maximum

Proposer une tournante à la présidence : la succession au pouvoir se aura lieu à tour de rôle pour chaque province

Garantir la sécurité du président après son passage au pouvoir

Maintenir la paix nationale par la sécurisation de tout citoyen et de ses biens

Créer et maintenir l’unité nationale vraie autour d’un projet de société clair, ambitieux et démocratique

Contribuer à la pacification de toute l’Afrique Centrale par une diplomatie proactive, responsable et courageuse

Combattre la trahison de la nation de manière décisive

Combattre la mauvaise gestion des flux démographiques à nos frontières terrestres, souterraines, maritimes et aériennes.

Social

Transformer le Congo en un pays développé sur le plan social par :

(1) l’éradication du chômage : mise au travail inconditionnelle de tous les chômeurs par la création de nouveaux services publics – frais du citoyen – et par l’octroi de crédits à la création d’entreprises ;

(2) la valorisation du travail par la définition d’un minimum vital et l’obligation d’un salaire minimum supérieur ou égal au minimum vital ;

(3) l’accroissement du confort matériel et moral des habitants tant sur le plan national que sur le plan international (hausser le niveau de vie matérielle, morale, spirituelle : mettre la barre haute dans la définition du minimum vital) ;

(4) la réduction de la tension salariale à une valeur au plus égale à 5 ;

(5) l’usage d’instruments de mesure congolais du niveau de vie atteint dans les différentes sphères : matérielle, morale, spirituelle ;

(6) la qualification de tous les travailleurs ;

(7) l’envoie aux études de tous les mineurs ;

(8) l’unification de la nation autour d’un projet de société clair, ambitieux et acceptée par tous ;

(9) le renforcement de notre solidarité par des actions concrètes sur à l’intérieur et à l’extérieur du pays.

Travailler à l’unité du pays par :

(1) la proposition au peuple congolais d’un projet de société qui soit le plus démocratique, le plus fédérateur, le plus complet et le plus ambitieux que les congolais aient jamais connu ;

(2) une conduite du développement national basée sur le développement local, le développement par projets et le professionnalisme des acteurs et dans le respect de normes nationales démocratiquement étudiées et établies ;

(3) le respect de la libre circulation des citoyens et de leurs biens sur toute l’étendue de la République sans entrave (plus de barrière sur toute l’étendue de la République) ;

(4) un contrôle responsable, mais civilisé des mouvements des biens des personnes aux fins de statistiques pour la définition de nouvelles stratégies ou l’adaptation des stratégies de développement existantes (déclarations sur honneur).

Transformer le Congo en un pays solidaire par :

(1) un soutien sans réserve de l’Etat à toute initiative rentable (au sens plein du terme) visant un renforcement de la solidarité entre les congolais ;

(2) l’initiation de projets fédérateurs des congolais : sports, tourisme interrégional, enseignement, police nationale, armée, etc. ;

(3) la sécurité sociale : soins de santé (physique et mentale), pension (travailleurs salariés et non-salariés), gestion des handicapés (physiques et mentaux), assurances obligatoires (incendie, inondation, accident de transport et du travail)

Promouvoir la solidarité envers les personnes socialement en difficulté par une intervention directe, professionnelle et automatique de l’Etat, tout en visant leur autonomie, tant que faire se peut.

Revoir la sécurité sociale de manière à appliquer couvrir tout le monde contre les risques de maladie tant physique que mentale

Assurer au travailleur un revenu minimal qui dépasse le minimum vital

Définir une règle précise pour le calcul du minimum vital localement ou nationalement à un niveau qui mette le congolais plus en confort que n’importe quel autre citoyen du monde

Fournir de l’eau potable à tous les ménages et toutes les entreprises du Congo, sans exception tout en leur offrant des possibilités réelles de payer le coût d’exploitation du réseau de distribution

Fournir de l’électricité à tous les ménages et toutes les entreprises du Congo sans exception tout en leur offrant des possibilités réelles de payer le coût d’exploitation du réseau électrique

Fournir du gaz à tous les ménages et toutes les entreprises qui en ont besoin tous en leur offrant la possibilité réelle d’en supporter les coûts

Equiper les institutions de santé de toutes dernières technologies

Réorganiser complètement la sécurité sociale de manière à y inclure le bénéfice de tous les services publics de base : enseignement obligatoire, formation de première qualification, soins médicaux, perte d’emploi de suite d’un accident ou d’une maladie, pension, énergie (eau, électricité, gaz)

Rendre l’enseignement obligatoire jusqu’à 21 ans (bachelier) et à l’obtention d’une qualification reconnue par l’Etat congolais

Former tous les adultes qui sont au travail sans qualification en horaire décalé de manière à ce que tout travailleur ait au moins une qualification reconnue

Fermer les lieux de divertissement publics à minuit au plus tard et les départs derniers départs des transports publics à 0h15 au plus tard.

Interdire la présence d’enfants non accompagnés dans la rue après 22h00.

Maintenir la paix dans la cité par une présence policière permanente tout le long de l’année.

Maintenir l’unité nationale par un engagement des entreprises, des services publics, des institutions d’enseignement, des partis politiques et des églises à travailler à cela auprès des leurs membres, personnel ou agents.

Combattre le clanisme, le tribalisme, la discrimination ethnique ou raciale à tous les niveaux, par une meilleure diffusion de la connaissance des clans, des tribus, des ethnies, des alliances et des races qui existent sur le territoire national et ailleurs dans le monde.

Encourager – et non pas forcer – les acteurs des services publics à être polyglottes pour faciliter leur communication avec les administrés.

Promouvoir les langues vernaculaires par la création d’académies de langues congolaises.

Consulter la population congolaise sur le choix d’une ou de plusieurs langues nationales d’enseignement.

Enseigner toutes les langues nationales dès l’école primaire jusqu’à l’école secondaire dans toutes les filières en utilisant des méthodes éprouvées dans la transmission rapide des langues. Confier à une institution indépendante, sous contrôle de l’Etat, la validation des compétences linguistiques dès la première occasion.

Santé

Transformer le Congo en un pays développé au plan de la santé par :

(1) la réhabilitation des services de prévention des maladies et des services des soins d’urgence ;

(2) le contrôle systématique des vaccinations de la population ;

(3) le recyclage systématique et le plus rapide possible de tout le personnel médical et paramédical ;

(4) la modernisation de l’infrastructure de soin de santé et l’application des normes strictes et des plus sévères en matière d’infrastructure et de délivrance de soins ;

(5) l’équipement des hôpitaux en technologies de pointe dans tous les services ;

(6) la modernisation et la mutualisation de la prise en charge de tous les soins de curatif et curatifs et palliatifs de base ;

(7) l’encouragement de l’activité physique et mentale régulière sur toute l’étendue de la République ;

(8) l’évaluation continue de l’impact de cette politique et l’adaptation conséquente de la politique de santé en matière d’exercices physiques et mentales ;

(9) la création des espaces et des conditions de ces exercices dans les écoles, les entreprises, les quartiers et dans les institutions de santé ;

(10) l’application de normes relatives à l’habitat qui avant-gardistes qui permettent d’anticiper les problèmes de santé chez la population : gestion des déchets, entretien de la voie publique, traitements des eaux du littoral marin et des eaux des rivières, etc.

Promouvoir la solidarité envers les personnes physiquement ou mentalement dépendantes de suite d’un handicap par une intervention directe, professionnelle et automatique de l’Etat, tout en visant leur autonomie, tant que faire se peut.

Industrie

Rapidement créer une industrie congolaise propre dans tous les secteurs de la vie nationale et internationale, de manière à réduire drastiquement l’importation d’accroître de façon significative notre exportation ;

En travaillant sur les normes nationales, rendre nos industries plus compétitives ;

Relever le niveau de qualification de nos travailleurs pour accroître la compétitivité de nos industries ;

Renforcer les études du commerce et des finances, tant nationaux qu’internationaux ;

Récupérer le contrôle de nos ressources de toute nature : naturelles, non-naturelles, humaines, sociologiques, culturelles, touristiques, scientifiques, technologiques, etc.

Culture

Transformer le Congo en un pays culturellement en tête du peloton par :

(1) un soutien volontaire à toutes les initiatives culturelles économiquement, politiquement, culturellement, industriellement, humainement ou sociologiquement rentables qui visent la promotion de la culture congolaise ;

(2) la valorisation des productions, conservations, transformations, commercialisation et consommations des produits ou services culturels de nos citoyens, à l’intérieur du pays et à l’extérieur du pays.

Procéder à une identification et est une valorisation de toutes nos ressources culturelles nationales pour accroître notre capital.

Environnement

Transformer le Congo en un pays développé par une action libre, volontaire, intelligente, planifiée sur l’environnement qui vise la création des conditions propices au développement intégral du congolais ; tant sur le plan physique que sur le plan spirituel.

Définition des normes qui doivent accompagner ce développement. Elles doivent être des plus strictes pour sécuriser le citoyen congolais, nos voisins et nos partenaires étrangers. Elles doivent être responsables et humanistes pour participer à la promotion de l’espèce humaine.

Justice

Assurer la justice pour tous par :

(1) la diffusion et l’application impartiale de la loi dans un souci de justice humaine et non pas dans un souci de légalité seulement ;

(2) la formation d’un plus grand nombre de magistrats tout aussi bien dans la connaissance du droit national que dans la connaissance de nos cultures particulières ;

(3) l’engagement du parlement dans une plus forte adaptation de la loi à la culture congolaise et non pas à des cultures particulières étrangères et même congolaises ;

(4) la mutualisation de la prise en charge des frais judiciaires ;

(5) le renforcement du rôle des juges, des parents, des éducateurs, de la police et des sages.

Transport

Réhabiliter tout en les étendant et modernisant (24 m minimum de largeur, asphaltées ou bétonnées), toutes les routes, lignes aériennes, lacustres, maritimes, fluviales et ferroviaires du pays et de l’extérieur du pays ; ainsi que les activités qui y sont liées et qui représenteraient un intérêt pour le Congo aujourd’hui ou dans les années à venir.

Construire de nouvelles routes praticables en toutes saisons d’au moins 24 m de largeur et à tout le moins totalement asphaltées et éclairées ; construire de nouveaux ports, aéroports et centres commerciaux là où le besoin d’un développement local ou national le justifie ; ouvrir de nouvelles lignes aériennes, ferroviaires et maritimes pour faciliter la commercialisation des produits des différentes régions du pays.

Etendre le réseau ferroviaire congolais à tout le pays et vers les pays frontaliers de manière à relier tous les centres de productions et de consommation de produits et services entre eux le plus rapidement, le plus sûrement possible.

Réhabiliter tous les aéroports, ports et centres commerciaux hérités de la colonisation tout en les étendant et les modernisant de manière à accroître les flux commerciaux vers les zones aujourd’hui enclavées de suite de l’inexploitation de ces infrastructures.

Etendre le réseau de transport à l’ensemble du pays et en direction de tous nos partenaires.

Promouvoir rapidement les sociétés de transport congolaises de manières à les rendre plus compétitives et autonomes pour :

(1) créer des emplois nouveaux et

(2) valoriser immédiatement les régions encore enclavées de la RDC.

Habitat

Appliquer de nouvelles normes de construction des plus sévères et strictes pour :

(1) Interdire les constructions anarchiques ;

(2) Garantir la sécurité des citoyens (inondations, ouragans, tremblements de terre, érosions, banditismes…) ;

(3) Collecter des déchets, des eaux usées ;

(4) Construire obligatoirement d’une villa pour chaque ménage qui soit spacieuse (au moins 25 m² par habitant, jardin), fonctionnelle (cuisine équipée, Internet et téléphone, garage pour deux voitures) et totalement équipée ;

(5) Intervenir dans le cadre des services de secours, des services des travaux publics, etc.

Offrir l’accès à l’eau potable à tous les ménages et à toutes les entreprises sans exception ;

Offrir l’accès à l’énergie électrique à tous les ménages et à toutes les entreprises sans exception ;

Offrir, là où les conditions économiques le justifient, l’accès au gaz, à tous les ménages et à toutes les entreprises sans exception ;

Prévoir, dans chaque quartier, toutes les infrastructures d’intérêt public minimales telles que : les plaines de jeux pour les enfants, les promenades, les espaces verts, les étangs, les cliniques ou hôpitaux, les écoles, les bureaux de police, les magasins, les bureaux, les bureaux des services publics conventionnels (Etat civil, population, postes, tribunaux, etc.)

Enseignement

Eduquer, former et instruire les jeunes dans l’ensemble du pays pour les préparer à être des citoyens utiles à la nation et à l’humanité.

Réhabilité ou rénover les écoles publiques ou subsidiées par l’Etat de manière à se conformer aux nouvelles normes de construction et d’enseignement du pays et de manière à augmenter la qualité de l’enseignement.

Equiper tous les laboratoires en technologies de pointe.

Recycler les enseignants pour les hisser au rang de leurs congénères des nations les plus avancées dans les différents domaines.

Booster la production scientifique et technologique au sein de la nation congolaise.

Prendre totalement en charge les études des jeunes jusque 21 ans au moins et jusque 24 ans au plus, ou bien, jusque l’obtention de la première qualification.

Diversifier obligatoirement les filières d’enseignement dans chaque localité ou dans chaque pôle de développement, pour permettre de satisfaire totalement la demande du marché en personnel qualifié.

Reformer les programmes d’enseignement de manière à les adapter à l’évolution du monde moderne sans aliéner le congolais et surtout pour le mettre en avance sur toutes les autres cultures.

Recycler rapidement et systématiquement tous les enseignants suivant les besoins pour les rendre aptes à assumer le rôle dans la nouvelle politique d’enseignement avant-gardiste.

Position le niveau de notre enseignement au sommet par rapport aux autres enseignements en agissant activement sur tous les paramètres de qualité de l’enseignement : qualité de l’infrastructure et de la superstructure, niveau des programmes, précision dans l’évaluation des apprenants, taux d’échecs le plus bas, niveau d’enseignement le plus élevé : discipline, compétences pratiques, savoirs, etc.

Généraliser l’usage des bus dans le déplacement des apprenants et des enseignants ou formateurs de de la maison et l’école et vice-versa.

Implication forte des parents dans le suivi de la progression des enfants sur tous les plans : éducation, formation et instruction.

Construire de librairies et des bibliothèques au sein des institutions d’enseignement ou près de celles-ci.

Mise à niveau des laboratoires : recours systématique à la plus haute technologie connue dans chaque domaine.

Interdire la circulation d’élèves sur la voie publique aux heures de cours. Renforcement des infirmeries d’écoles.

Suivi de la scolarité de chaque enfant pas le ministère de tutelle et intervention directe auprès des institutions d’enseignement, des parents ou de la justice en cas d’un non-respect de nouvelles dispositions légales qui touchent à scolarisation des jeunes au Congo.

Armée

Moderniser notre armée par :

(1) Sa formation : chaque soldat doit avoir une qualification, dans un domaine qui correspond le mieux à ses aspirations et à ses dons ;

(2) Son instruction : tout soldat devra avoir au minimum le niveau d’un D6 dans une filière reconnue en RDC ; sinon, il doit s’inscrire dans une école appropriée de rattrapage scolaire ; ensuite, tout soldat doit avoir une qualification reconnue en RDC ; pour ce faire, il doit suivre une formation qualifiante et se soumettre à l’institution de validation de son niveau d’instruction et de formation ;

(3) Son éducation : il n’est pas acceptable de continuer avec une armée indisciplinée comme celle que nous avons eu depuis 1960 au regard du rôle qu’elle doit jouer pour nous aider à mettre les viols, les brutalités, les tracasseries hors de notre Etat ;

(4) Son équipement.

Mettre l’armée au travail : tout miliaire doit se trouver, si pas au front ou en mission, en formation militaire, en enseignement de rattrapage scolaire ou académique, ou en formation qualifiante, ou alors sur chantier publique. Construction de routes, de ponts, d’aéroports, de ports, d’infrastructures d’intérêt public (Ecole, hôpitaux, stades, palais de la nation), etc.

Fournir à notre armée toutes les ressources qu’il lui faut pour lui conférer la capacité de dissuader toute autre armée de la planète.

Industrie

Engager la RDC dans un développement industriel endogène qui soit caractérisé par :

(1) L’utilisation de la ressource nationale avant toute autre ;

(2) La visée de la productivité,  qualité, de l’excellence et de la compétitivité par la qualification des acteurs et l’économie de ressource ;

(3) Une gestion responsable et visionnaire ;

(4) L’embrasement de tous les secteurs tant que faire se peut ;

(5) La protection de l’environnement pris dans son sens large ;

Accroître la production matérielle, logicielle, financière, documentaire et des services pour la consommation intérieurs et pour l’exportation ;

Utiliser les technologies de pointes ;

Coopérer avec les meilleurs dans le monde dans chaque secteur industriel ;

Former le personnel industriel de manière à garantir :

(1) La croissance de notre production et de notre productivité ;

(2) La compétitivité du Congo ;

(3) La sécurité des travailleurs et des infrastructures ;

(4) L’impact culturel attendu ;

(5) L’exploitation responsable de nos ressources tant matérielle qu’immatérielle, etc.

Démographie

Accroître notre poids démographique par :

(1) L’augmentation du taux de natalité ;

(2) La réduction du taux de mortalité ;

(3) L’organisation d’une immigration de peuplement, stratégique, prudente et intelligente pour suppléer à la croissance naturelle de la population ;

(4) L’encouragement  du retour au pays des congolais de la diaspora, chaque fois que cela est objectivement utile ;

(5) Le stoppage de l’exil par un accroissement de la sécurité du citoyen et ses biens au Congo ;

(6) L’offre prudente de la nationalité congolaise aux réfugiés et immigrés de longue durée ayant des casiers judiciaires vierges :

(7) La visée de 300 habitants par km² au moins d’ici 2066 par une action sur le taux de croissance naturelle et une offre de nationalité stratégique pour suppléer à ce dernier.

(8) Equilibrer la répartition de la population sur l’ensemble de notre territoire par la création de nouveaux pôles de développement à haute attractivité, par leur productivité et valorisation du travail, dans les régions à faibles densités de population :

(1) offre de nouveaux emplois financièrement et socialement plus rémunérateurs ;

(2) sécurisation de l’ensemble du territoire national ;

(3) gestion responsable, proactive et stratégique des conflits susceptibles de naître du fait des migrations internes, des immigration et des émigrations.

(9) Une politique linguistique qui favorise et simplifie l’intégration des immigrés, des étrangers et des déplacés internes…

Le projet de nos statuts est déjà consultable ici.

3 réflexions sur « Projet de société »

  1. DEMANDE DE REPRÉSENTANT DE NOUVELLE SOCIETE
    Bonjour ,
    Nous sommes une d’Association à la recherche d’un représentant pour la
    création de NOUVELLES SOCIETES de Financement dans votre pays afin de
    représenter nos intérêts et de s’occuper de la gérance de ladite
    société qui vous permettra de financer les autres sociétés ou
    individus qui sont à la recherche de financement pour la réalisation
    de leur projet ou prêt particulier.
    Nous voulons savoir si vous êtes disponible pour la représentation de
    nos intérêts chez vous ? Dans le cas où vous serez intéressé par notre
    offre de REPRÉSENTANT DE NOUVELLES SOCIETES dans votre pays, nous
    sommes disposés à financer ces projets. La rémunération (votre
    intérêt) du Représentant sur les différentes activités du Groupe est
    fixée à :
    1- 30% du bénéfice total réalisé dans chaque projet dans lequel la
    nouvelle société aura à financer (Vous reviennent en tant que
    représentant et coordonnateur de ladite société,
    2- 50% Nous reviennent en tant que financiers.
    3- 20% restant serviront à payer les impôts, les taxes et les autres charges.
    4- NB : AVEZ-VOUS DES PROJETS POUR LESQUELS VOUS ETES VIVEMENT A LA
    RECHERCHE DE FINANCEMENT POUR LEUR RÉALISATION ? OU PRÊT PARTICULIER ?
    5- NOUS DISPOSONS DES FONDS POUR FINANCER N’IMPORTE QUEL PROJET RENTABLE.
    Cher Mr / Mme, si notre proposition vous tient à coeur alors n’hésitez
    pas à nous écrire ou à nous appeler. En attente de votre réponse
    urgente sur notre adresse électronique
    (xaxaho@gmail.com),
    NOTE: Toute personne intéressée par la présente offre doit nous rendre
    visite au Bénin (Afrique de l’Ouest) pour la signature d’un protocole
    d’accord afin de transférer les fonds pour la création et la gestion
    de la NOUVELLE SOCIETE sur un compte ouvert dans votre pays à ces
    fins. Dans le cas où votre occupation ne vous permet pas de nous
    rendre visite ici au Bénin pour la signature du contrat, vous devez
    contacter notre avocat afin de lui permettre de représenter vos
    intérêts ici pour la signature du contrat qui nous permettra de
    transférer tous les fonds sur votre compte, dans ce cas vous prendrez
    en charge l’honoraire de l’avocat mais dans le cas où vous acceptez
    vous rendre au Bénin pour la signature du contrat, vous n’aurez aucune
    dépense à effectuer sauf votre billet d’avion pour la visite.
    Recevez nos meilleures salutations.
    Mr Xaho xaxa

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  2. Bonjour , je soutiens votre cause pour faire de Congo un pays modèle , un pays où la démocratie du peuple règne, il aura du travail à faire , surtout côté organisation et sensibilisation. Je pense aussi que le christianisme est une religion qui vise vraiment à respecter le bien de la société. Je ne peux que vous encourager et surtout bonne chance pour cette quête. la quête de tous un peuple.

    J’aime

    1. Merci pour les compliments.
      Il faut cependant savoir que ce projet soit en route depuis décembre 1999. Nous attendions avoir 3000 participants fin 2014. La réalité est que nous nous sommes restés seuls. 4 participants ayant été obligés d’arrêter pour se préserver des hommes qui trônent à Kinshasa et qui ont du mal à tolérer ceux qui pensent autrement.
      Soutenir la cause c’est surtout participer à la rédaction d’un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique que la RDC n’ait jamais eu. Nous sommes loin du but, à deux mois du 31 décembre qui devrait être la clôture de la rédaction du projet de société collectif.
      Ce que vous voyez ici est notre contribution personnelle. Cette dernière ne peut être considérée comme émanation du peuple congolais que quand plus de 50% de notre peuple y adérera. Pour l’instant, le nombre d’adhérents enregistrés est nul !
      C’est quand on sait ce qu’on veut et ce qu’on fait qu’on ne se laisse pas décourager par ce mauvais score !
      Encore une fois, merci pour les encouragements.

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