Des hommes aux idées !


Nous aimons à parler des hommes. Nous avons dificile à analyser les faits socio-politiques.

Suivez nos échanges dans notre groupe WhatsApp…

[8/12, 20:36] Jean Baptiste Kavunga Mbusa: Voici les étrangers tutsi rwandais qui se sont donnés à la politique congolaise en Rdcongo et aujourd’hui ce sont des millionaires sous la nationalité congolaise.
Leurs noms de naisaances qu’ils ont changé par les noms congolais pour gagner leurs intérêts au Zaïre (Congo).

1.LAURENT NKUNDA.Nom de naissaince UZUWERA NKUNDABATWARWE.Né le 06 Février 1967 à Ruhengeri Rwanda.En 1970 ses parents vont travailler dans la plantation à Rutshuru et ils restent à Matanda.Nord Kivu.(Congo)

2.JULES MUTEBUSI,Nom de naissance:MUTEEBUZI RUHAKANA Jules. Né à Byumba Rwanda et mort à Bukavu sous la guerre de tutsi Laurent nkunda contre le government congolais le 9 mai 2015.

3.BIZIMA KARAHA.nom de naissance:BIZIIMANA KARAHAMUHETO.né à Huye Rwanda en1959.Ses parents ont pris refuge au zaire suite à la guerre au Rwanda de 1957-1960 de Grégoire Kaibanda qui chassait les tusti.Ses parents s’installent à Uvira Sud kivu (Congo) en 1962

4.DÉOGRACIAS BUGERA .nom de naissance HABAYINAMA BIGERAGEZO BIRAGENDA ,né le 14 Octobre 1957 à Butare Rwanda .Suite aux guerres menées contre les tutsi au Rwanda cette année ,ses parents sont allés à Masisi dans le nord kivu Congo)comme réfugiés de guerre .

5.MOISE NYARUGABO.Nom de naissaince MUHIZI MUGEYO NYARU GABO.
Né le 16 janvier 1968 à Kibuye et ses parents immigrent à Katongo Idwi Sud kivu (Congo) pour raison de travail Manuel .

6.AZARIAS RUBERWA ,Nom de naissance RUBERWANGA MANYWA ABAGABO.né le 20 août 1964 à Cyangungu Rwanda .En 1965 son père trouve un boulot à FIZI Sud kivu (Congo) et ils s’y installent.

7.BERTAND BISIMWA,nom de naissance BIZIIMANA BIRETWA .né de la mère congolaise de la tribu bashi et du père rwandais de la tribu tutsi à Bukavu au Zaïre le 12 octobre 1975.Son père était cousin à Charles Bisengimana qui venait travaillait à Bukavu et croissant une fille zaïroise de Katana.

8.WILLY NGOMA.Nom de naissance NGARURIRA INGOMA RUTIKANGA .né à Kiningi Rwanda en 1974 à l’âge de 12 ans son père décède au Rwanda et sa tante qui était marriée à Kiwanja Nord kivu (congo)l’amène chez-Elle.Il a pris ce nom de Willy ngoma qui est un nom congolais quand il réjoint le m23 ,WILLY NGOMA est un nom d’un footballeur congolais Belge qui est l’agent de Jackson Muleka l’ancien de Tp Mazembe .

9.BOSCO NTAGANDA.Nom de naissance RUTAGANDA NTIBATUNGANYA Bosco.
Né aussi à Kiningi au Rwanda le 5 novembre 1973.Bosco a eu une pénible enfance , il n ‘a pas étudié suite à la mauvaise vie de ses parents.En 1986 Bosco est allé à Bunagana chez son oncle maternel pour chercher la vie en Rdcongo.

Voilà toutes ces personnalités rentrent au Rwanda en 1994 pour joindre l’armée de Kagame Forces Patriotiques Rwandaises (FPR) pour combattre les hutus .

Voici une petite vidéo de Laurent Nkunda qui parle qu’il est tutsi et que les tutsi combattent le government congolais pour leur droits.
Vidéo prise à Rutshuru le 12 mai 2007.

Prière ajouter d’autres si vous les avez identifiés pour aider les générations futures
[8/12, 21:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le Projet 2014 étant un projet chrétien, capitaliste et démocratique, je vous laisse cette vidéo pour apprendre quelques astuces pour vaincre notre vrai ennemi : Satan et ses suppôts humains !
L’insécurité est mal combattue : nos politiques, majoritairement chrétiens, vont chercher des solutions chez des charlatans, chez des païens avérés, de toutes sortes, des satanistes mêmes, plutôt que de se rappeler ce qu’est leur véritable statut !
[8/12, 22:14] Kasereka De Charleroi: Leur grand péché est d’avoir trahi le Congo.
[8/12, 22:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Quel engagement pris vis-à-vis de la RDC ou quelle alliance conclue avec la RDC ont-ils trahi ?
Posons-nous de bonnes questions pour mieux saisir les tenants et aboutissants de nos malheurs ?
J’ai l’impression, y compris dans ce groupe, que nous soyons très légers dans notre manière de traiter nos problèmes.
La question « Qu’est-ce qui fait que… » ne nous vient que bien rarement à l’esprit.
Qu’est-ce qui fait que des étrangers nous subjuguent ? Il y a des peuples comme nous qui sont relativement libres !
Qu’est-ce qui fait que des impérialistes convoitent nos richesses ? Il y a des peuples riches en ressources, mais moins pillés que nous : c’est l’impression que j’ai.
Et pourquoi avons-nous beaucoup de traitres, de paresseux, de voleurs, de dictateurs, d’inciviques, d’assassins, de menteurs, parmi nous ?
Est-il utile et productif de pointer des étrangers quand nous avons encore beaucoup d’efforts à fournir pour nous moraliser ?
[8/12, 23:02] G. Paluku Atoka Uwekomu: Dans le Projet 2014, produisons un projet de société pour la RDC qui serve de référence à tout nos politiciens, anciens, présents et à venir ! C’est bien possible à la condition que nous ne perdions pas de temps dans des postings qui ne nous aident pas à résoudre les problèmes, à relever les défis locaux et nationaux, à hisser le congolais !
Que faire pour relever le niveau moral de notre peuple ?
Qu’est-ce qui explique ou justifie notre déchéance depuis la nuit des temps ?
Nos aïeux nous vendus.
Nos parents nous ont trahis.
Nos congénères nous tuent.
Nos enfants ont honte de nous.
Nos dirigeants sont quasiment tous véreux.
Pourquoi ?
Comment ?
Quand ?
Où ?
De quelle manière ?
À ne pas vouloir répondre à ces questions, comment voudrions-nous développer la RDC ?

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

Combien de temps nous reste-il ?


[26/9, 13:59] Nickson KASOLA: Une image de 2018 ? [Pourcentages des votants pour differents candidats en RDC en 2018 (?).]


[26/9, 15:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: La quintessence de mon message est : quel sera le pourcentage de mon parti en 2023 et du tien, Nickson ?
Cela omporte peut que les % que tu voies soient du vrai ou du faux, de 2006, 2011 ou 2018.
Que faisons nous pour réellement gagner en 2023 ?
Pour l’heure, le pouvoir en place part favori : du moins, à l’apparence. Ne crions pas au tripatouillage après, alors que nous nous occupons des accessoires ; laissant de côté la Voie du Père !


[26/9, 15:16] Nickson KASOLA: Cette image ne peut permettre la réponse à votre question car elle représente une époque dont le contexte est très différent de l’actuel.


[26/9, 15:46] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le contexte, selon nous, n’est pas très différent du précédent : la culture et la pratique politique sont les mêmes. Ces dernières demeurent celles d’intrigues diverses, de vols, de pillages, d’assassinats, d’esclavagisme de colonisation, de trahisons, de tripatouillages, d’une distraction sans nom de toute l’opposition et d’une déliquescence grandissante de l’administration.


[26/9, 15:50] Nickson KASOLA: Mon frère, là vous vous trompez. Le contexte est littéralement très différent. Si vous pensez partir de cette considération vous risquez d’être surpris. Je vous conseille de bien analyser le contexte.


[26/9, 15:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Notre effort dans le Projet 2014 n’est pas fondé sur l’espoir d’un Congo meilleur en 2024 : nous investissons politiquement dans un futur de bonheur qui ne poindra pas avant l’horizon 2055.
En clair, un Congo de droit, de justice, d’unité, de paix, de développement est pour nous envore très lointains.
La pauvreté est encore très grande sur tous les plans : la morale, l’intelligence, le confort dans la maison et au travail, la justice sociale, la liberté, la sécurité, la fraternité et toutes les choses semblables nous manqueront cruellement longtemps encore, frères !

C’est pour cela que nous vous invitons nombreux à rejoindre notre projet pour :
1° dégager un vrai projet de sortie de crise ;
2° mobiliser les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet congolais, sans être aliénés !


[26/9, 16:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: 30 n’ont pas suffit entre 1999 et 2014. 30 seront encore très insuffisant maintenant, au regard du pourrissement de la situation entre 1999 et 2022 et de la qualité et de la quantité de la ressource humaine.

Instruire, former et éduquer correctement près de 100 millions de personnes, de cultures disparates, demande du génie encore très rare dans notre pays. Il faut du temps, et encore du temps.

Certains observateurs occidentaux pessimistes évaluent à 500 ans le temps nécessaire pour que le Congo sorte de son tunnel de lui-même.

C’est peut-être exagéré ; mais ce n’est pas loin d’être raisonnable.

En effet, nous nous rendons compte très vite que les autres nations se fourvoient alors qu’elles existent depuis des millénaires. Le Congo indépendant n’existe que depuis 62 ans seulement !

Kinshasa nous volent nos villes, notre indépendance…


Nos villes, nos capitales !
Les chefs lieux de nos territoires sont changés par Kinshasa sans nous consulter, pour contrlôler nos villes, construites de la sueur de nos fronts.

Cette situation conduira à de nouvelles guerres. Parce que, nos palementaires devront bientôt nous expliquer pourquoi Beni n’est plus la capitale du territoire de Beni et pourquoi, de la même manière, pourquoi Lubero n’est plus le chef-lieu du territoire de Lubero. C’est pareille pour Irumu qui aujourd’hui n’avance plus, laissant Bunia prendre le dessus et les Bira et leurs voisins ne pas profiter de leur territoire d’Irumu. C’est la même situation dans le Bandundu ou Kikwit a été gentillement neutralisé au profit de la ville Bandundu.

Nos populations se doivent donc de titiller nos parlementaires pour que correction soit faite dans la loi afin de nous éviter d’autres guerres fraticides injustifiées.

Dans le même ordre d’idées, ce sera aussi l’occasion de remettre sur la table deux points importants à l’ordre du jour :

1° distribution de nos ministères dans le pays ;

2° le déplacement de notre capitale au centre du pays pour ne pas continuer à préducier certaines franges de notre population.

En définitive, aussi important que tout cela, la reconnaissance à chacun de nos peuples (tribus ou alliances) du Congo, de son indépendance totale et inconditionnelle, avec une suppression d’office de la dualité autorité publigque-autorité coutumière.

L’Est se trahit lui-même !


[4/6, 10:33] Mr. John Baptist Kavunga Mbusa: Nord-Kivu : ce retour en kiosques du Journal Rafiki avec en sa Une « L’état de siège gagne des points, mais échoue » ! https://www.radiomoto.net/2022/06/04/nord-kivu-ce-retour-en-kiosques-du-journal-rafiki-avec-en-sa-une-letat-de-siege-gagne-des-points-mais-echoue/

Nous suivre en direct via ce lien : https://radioenlignefrance.com/radio-moto
[4/6, 10:42] G. Paluku Atoka Uwekomu: Cet état de siège gagne des points du fait df la sous instruction de notre population.
Peu de nos compatriotes voient loin et ne sont en mesure de comprendre que cette mesure soit soit une erreur soit une mauvaise foi de la part du Président de la République qui l’a prise.
En Ituri, nous savons que les autorités souflent le chaud et le froid pour que le peuple niais les adopte, les apprivoise.
Nous sommes pourtant colonisés par ces allochtones, incapables que nous sommes de nous prendre en charge et de les prier de rentrer chez eux où il y a beaucoup à faire.
Le Kibali-Ituri, pour lequel nos pères se sont battus, continue à opter pour l’ignominie : c’est désolant !

Le destin iturien…


Libération des derniers otage en Ituri : Thomas Lubanga salue le professionnalisme du secteur opérationnel

alternance.cd

Apr 12, 2022 1:43 PM

Ce mardi 12 avril 2022 restera inoubliable pour les quatre derniers ex otages d’un groupe armé en Ituri. Thomas Lubanga et trois autres membres de la « Task forces pour la paix, la réconciliation et la reconstruction de l’Ituri » ont été libérés par l’armée. A son arrivée au gouvernorat à Bunia, il a salué la coordination des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et le soutien de la population.
C’est un exploit digne d’un film hollywoodien, à mettre à l’actif de l’armée congolaise. Capturés alors qu’ils étaient en pourparlers avec les miliciens Codeco, Thomas Lubanga, Germain Katanga, Floribert Ndjabu, le professeur Jean-Baptiste Dhechuvi, Janvier Ayendu Bin Ekwale et deux autres collègues ont fait l’objet de marchandage de la part de leurs ravisseurs. Ces derniers exigeaent notamment la libération des prisonniers Codeo et des membres de la communauté Lendu; la cessation des opérations militaires ou encore la levée de l’état de siège.

Si quatre otages, à savoir le Prof Jean-Baptiste Dhechuvi, Germain Katanga, Janvier Ayendu Bin Ekwale et le chauffeur du groupe avaient été libérés, Thomas Lubanga, Floribert Ndjabu et deux colonels de l’armée sont restés détenus pendant près de deux mois.
Depuis ce mardi 12 avril, ils sont libres. Contrairement à ce qui a été propagé par une certaine presse, leur libération est à mettre à l’actif des FARDC.

« L’émotion est tellement grande que je manque les mots pour remercier et féliciter notre armée. Nous étions dans le goulot d’étranglement, il n’y avait plus d’issue pour nous vu les enchères qui étaient montées autour de nos personnes. Nous constituions pour nos ravisseurs des trophées avec lesquels ils pouvaient faire des chatages autant qu’ils le voulaient et pendant des mois. Mais une coordination parfaite de nos forces armées avec le colonel qui était avec nous a conduit à défaire ce groupe qui ne réfléchit que le mal. Nous avons bénéficié des orientations véritablement professionnelles de la part du secteur opérationnel, de la part de la Garde Républicaine, de la part de la maison militaire.Tout était mis en oeuvre pour que notre libération puisse réussir. C’est une libération de guerrier, une libération de bravoure. Franchement, la Task forces est fière de notre armée », a réagi à chaud Thomas Lubanga.
Il a remercié la population de l’Ituri pour le soutien leur témoigné durant leur détention.
[13/4, 09:16] G. Paluku Atoka Uwekomu: Ces derniers exigeaient notamment :

  1. la libération des prisonniers Codeco et des membres de la communauté Lendu ;
  2. la cessation des opérations militaires ou encore la levée de l’état de siège.

Si quatre otages :

  • le Prof Jean-Baptiste Dhechuvi,
  • Germain Katanga,
  • Janvier Ayendu Bin Ekwale et
  • le chauffeur du groupe ;
    avaient été libérés,
  • Thomas Lubanga,
  • Floribert Ndjabu et
  • deux colonels de l’armée ;
    sont restés détenus pendant près de deux mois.

Depuis ce mardi 12 avril, ils sont libres. Contrairement à ce qui a été propagé par une certaine presse, leur libération est à mettre à l’actif des FARDC.

« L’émotion est tellement grande que je manque les mots pour remercier et féliciter notre armée. Nous étions dans le goulot d’étranglement, il n’y avait plus d’issue pour nous vu les enchères qui étaient montées autour de nos personnes. Nous constituions pour nos ravisseurs des trophées avec lesquels ils pouvaient faire des chantages autant qu’ils le voulaient et pendant des mois. Mais une coordination parfaite de nos forces armées avec le colonel qui était avec nous a conduit l’armée à défaire ce groupe qui ne réfléchit que le [ne pense qu’au] mal. Nous avons bénéficié des orientations véritablement professionnelles de la part du secteur opérationnel, de la part de la Garde Républicaine, de la part de la Maison Militaire.Tout était mis en oeuvre pour que notre libération puisse réussir. C’est une libération de guerrier, une libération de bravoure. Franchement, la Task forces est fière de notre armée », a réagi à chaud Thomas Lubanga.
Il a remercié la population de l’Ituri pour le soutien leur témoigné durant leur détention.

Tout cela n’a pas empêché que des ituriens meurent, hier, à Komanda et sous cet état de siège. La condition de l’iturien ne fait que s’empirer de jour en jour. Au Nord-Kivu, la situation est comparable : nos paysans meurent comme des charognes. Si une libérationdes otages présumés a été possible, c’est qu’il est possible d’aller vers la paix en Ituri. Les lendu ne sont pas des suicidaires, mais demanderaient à prendre leur destin eux-mêmes en main, sans être encombrés de visiteurs non désirés !
[13/4, 09:28] G. Paluku Atoka Uwekomu: Il revient aujourd’hui aux hema et alliés de s’organiser pour rentrer chez eux et laisser les lendu tranquilles sur leurs terres aujourd’hui spoliées par des étrangers.

En même temps, tout l’Ituri se doit de comprendre la nécessité d’arrêter net les bandits qui profitent de la confusion politique pour perturber et décimer les ituriens, conscients de ce que leurs forfaits seront attribués aux lendu.

Une telle opération n’est possible que si les ituriens se mettent autour d’une table pour mettre en place leur propre gestion de la province et pour forcer, par voies légales, tous les colonisateurs et pilleurs de l’Ituri au déguerpissement, le plus rapidement possible.

Sans une telle prise de son indépendance politique, la paix en Ituri demeurera un leure !

La question cruciale ?


Nous réagissons à chaud au message laissé par RKK dans le groupe WhatsApp du Projet 2014.

La question cruciale serait celle de savoir qui a trahi la nation et quoi faire de lui ?

Nous savons que tous ont trahi le pays, depuis 1960. Chacun à sa manière, mais, tous, refusant de rendre aux peuples du Congo leur autonomie.

Ceux qui gouvernent le pays depuis 2018 sont-ils des congolais ou des rwandais ?

Cette question est une distraction autant que l’évocation de l’année 2018. Depuis 1960, nous, congolais, d’origine, avons toujours jeté notre dévolu sur des traîtres avérés, des hommes assoiffés du pouvoir, qui ne cherchent qu’à s’enrichir, qu’à nous dominer. Le dénie de notre prostitution politique, de nos égoïsmes ancestraux, de nos paresses légendaires, nous conduit aux enfers. La question, aujourd’hui, est donc celle de savoir si nous sommes décidés ou pas à changer d’objectif et de comportement ? Que représentent les peuples que nous chargeons, à notre dépends, de nos turpitudes ?

Qui tue les congolais et qui est complice ? La haine n’est pas congolaise, mais plutôt la faim, la source de tout. Merci de m’éclaircir.

Dire que la haine ne soit pas congolaise, c’est nous tromper nous-mêmes. Combien de congolais, d’origine, n’avons-nous pas tués, mangés, brutalisés, pillés, extorqués, envoyés en exil, sacrifiés aux ennemis de nos peuples ? Cette sauvagerie, quand l’avons nous jamais abandonnée ? Les voisins que nous accusons, les lointins que nous pointons du doigt, ne sont-ils pas nos sosies ? Ce groupe existe depuis longtemps ! Qui y a jamais adhéré à la défense de la souveraineté de nos peuples, sans distinction, sans discrimination ? Qui s’y est jamais soulevé contre les brutalités ou les pillages de nous-mêmes congolais, sinon qu’une poignée de moins de 20 personnes ? Ne sommes nous pas ici une majorité à vendre nos terres aux étrangers et à contraindre nombre de nos compatriotes à l’exil – qui pourtant nous aident – tout en invitant des étrangers à occuper leur place ? Venez voir ce qui se passe dans mon Ituri et mon Grand-Nord kivutien !

RKK

La prise du pouvoir est facile !


Il n’est pas difficile de prendre le pouvoir quand on est populaire. Sauf dans nos pays africains où il y a beaucoup d’intrigues à surmonter.

Il faut d’abord avoir un programme clair et accepté par la majorité. Au projet 2014, nos propositions ne recouvrent pas encore toutes les attentes des congolais. Nous n’avons encore rien dit ou presque, des arts, du sport, des relations internationales, de l’industrie, de la culture… Il nous faut des compétences congolaises pour produire des offres politiques alléchantes.

Ensuite, une équipe électorale monte la stratégie de propangande et mobilise les ressoucres, une fois le peuple conquis sur papier (sondages).

La candidature posée, il n’y a plus qu’à suivre, surveiller, publier ses résultats des élections, pour assurer les électeurs de la validité des résultats officiels des élections et participer ainsi à la paix dans le pays. C’est le moment de renégocier, éventuellement, les chiffres, au sein des alliances.

Notre méthode de travail est telle que les négociations seront toujours faciles : nous travaillons avec des objectifs SMART.

Quel est notre problème aujourd’hui, sinon que l’absence d’engagements suffisants, le manque de professionnalisme chez les amis ou camarades de parti ?

Qui veut l’indépendance et le développement du Congo, tel que nous le propose le Projet 2014 ?

Mines et carrières ituriennes futures


« Bunia : arrivée de la ministre des Mines pour faire respecter la réglementation dans ce secteur. »

Bunia: arrivée de la ministre des Mines pour faire respecter la réglementation dans ce secteur

Cet article nous relance le combat du PADI, du Parti pour l’Avancement Démocratique de l’Ituri que plusieurs ont oublié…

Et pourtant.

Nous ituriens devons nous lever, tous, comme un seul homme, pour prendre le contrôle de l’exploitation et de la commercialisation de nos matières premières, de nos minerais et minéraux, qui profitent plus aux étrangers à notre terroir qu’à nous-mêmes.
Cette démarche doit être légale et elle doit viser un relèvement du niveau de vie de nos populations travailleurs du secteur miniers et une réorganisation profondeur de nos orpailleurs qui n’avancent guère.
Il importe de former, instruire et éduquer pour nous rendre compétitifs sur le marché national et international des minerais et minéraux dont regorgent l’Ituri.
Les associations ituriennes peuvent se joindre aux commerçants ituriens pour entreprendre une action structurée de formation et enseignement dans le secteur.
Les technologies de pointe doivent être exploitées dans nos mines et carrières pour aller vite et bien
. Cela veut donc dire que nous nous devons aussi de maîtriser l’énergétique la recherche et le développement d’outils de travail : l’électricité, l’eau, les machines et les appareillages.
Voilà pourquoi des projets tels que le CNTIC de Jupugulo et la récente Adisi Initiatiatives ainsi que nos universités doivent être hisser vers les haut.
Notre expérience à Jupugulo nous convaint de l’existence d’un potentiel financier inexploité.
Il faut, rapidement, professionnellement et fermement, combattre l’esclavage, le chômage, l’ignorance, l’absence de qualification et d’éducation ainsi que la colonisation de l’Ituri.
EAE ASBL s’est mis aux côtés des congolais pour encourager la prise en charge du développement des localités par ces dernières- mêmes. Les résultats sont lents à venir, il y a des raisons d’espérer, de s’attendre à l’avancement démocratique de l’Ituri !

* Bonne année *


Ce 30 Dec 2020, JE DEMANDE AU PRESIDENT MARTIN FAYULU, DE PRENDRE DAVANTAGE DE DISTANCE FACE Â LA FORFAITURE.

Une image qui confirme 1000X que le Congo a un sérieux problème d’hommes.

■On triche stratégiquement avec JKK,
■On achète stratégiquement une majorité parlementaire « préfabriquée par JKK ».
■On invite stratégiquement les victimes/frustrés par JKK, à se joindre au « Train en marche »…

Pendant ce temps là, JKK en homme très libre, très protégé et hyper-remuneré du pays, va s’effacer de la scène politique pour tromper la vigilance d’un Peuple naïf et aveuglé par les chants des fanatiques des leaders politiques.

Leur refrain est resté le même : « Le Peuple d’abord », « Les intérêts du Peuple », « La volonté du Peuple »…. Tout qui contienne le mot magique et trompeur à savoir, « PEUPLE ».

Je prie au président élu #Martin_Fayulu, au cours de l’adresse à la nation qu’il tiendra ce 30 décembre 2020, de prendre davantage de distance face à cette nième forfaiture.
Le pouvoir pour le pouvoir, nous n’en voulons pas !!!

FaisonsLesChosesAutrement
CongoFautEbonga
CestEncorePossible

Dr Patrick LUYINDULA NUANISA MD,Msc
DeputNatMontAmba2023
KisensoMateteLembaNgabaLimete
Cadre ECIDE

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