Sécurité


De notre point de vue, la RDC connait aujourd’hui deux besoins pressants :

  1. la sécurité
  2. le progrès social

La sécurité des congolais est ce que le gouvernement de Kinshasa ne veut pas et ne peut pas prendre à cœur.  C’est le grief que nous croyons objectivement et démocratiquement avoir contre lui.

Dans cette insécurité, maintenue en place exprès, selon ce que nous connaissons des gouvernants, il est illusoire d’attendre un progrès social dans notre pays.  La misère matérielle et morale que connaît notre peuple est donc, définitivement, la conséquence de notre entêtement dans le mauvais choix de nos dirigeants.  Les parlementaires que nous nous sommes choisis sont aujourd’hui à plus de 80% des hommes véreux : sans foi ni loi.  Aucun ou presque, ne prend le temps de penser notre développement.  Pour s’en convaincre, il suffit de dresser les profils de nos parlementaires et de les analyser.

Les hommes publics élevés en rang sont très exposés aujourd’hui.  Ils le seront tant que la RDC aura autant d’ennemis internes et externes.  C’est – normalement – pour cela que nous devrions payer pour eux des gardes du corps et un service de sécurité national  : intérieur et extérieur.  Ce service, nous ne devrions pas y laisser traîner des superstitieux de toutes sortes, qui tire notre nation vers le bas, et toute cette ribambelle d’étrangers que nous y avons glissés.  Ce sont des professionnels, dopés dans les nouvelles technologies qui devraient assurer notre sécurité, nous citoyens, en ce compris, nos chefs.  Toutes les autres brigades, divisions ou troupes que  certains d’entre ces derniers s’arrogent d’avoir sont illégales.  Elle doivent être dissoutes : chez-nous aussi et pas seulement au Burkina Faso.

Tant qu’il y aura des taux de chômage à deux chiffres, il ne faut pas s’étonner que nous ayons des bandits dans nos rue.  Par une décision politique ferme et démocratique, nous pourrions baisser nos taux de moitié chaque année.  Une ville comme Goma, pourrait ainsi passer son taux de chômage en pour cent, la première année de 98 à 49, puis à 25, la deuxième année, ensuite à 12 la troisième année et enfin à 6 dès la quatrième année du projet.  Dans le même temps, une ville comme Kisangani pourrait passé de 65% à 4% de taux de chômage.

Dans le Projet 2014, nous disons que le pays ne sera jamais en paix tant que nous laisserons des bandits politiques instrumenter l’État.  Pensons aux monstruosités mobutiennes et à la période du un-plus-quatre issue de Sun City  !  Depuis, personne ne pense à arrêter les bandits.  Tout le monde veut aller aux élections de 2016.  Nous voulons participer à ces élections organisées par des hommes qui se fichent de notre lendemain et de celui de nos enfants !  Concrètement, que s’agit-il de modifier ?

Commençons par là où la faute est commise : disqualifier tous ces hommes sans moralité ou sans qualification que nous avons désignés parlementaires.  Une fois que nous auront mis au parlement des hommes droits et du droit, nous pouvons être assurés que le gouvernement et le régime – les ministres et le président – soient ceux que mérite notre nation.  Se refuser de le faire, comme le font tous les partis de la Mouvance Présidentielle et de l’opposition, c’est hypothéquer l’avenir de nos enfants, c’est accepter que le pouvoir de Kinshasa continue à tuer, à brutaliser : impunément, avec notre caution tacite !

Parallèlement, pour assure la prospérité, nous avons besoin de qualifier nos travailleurs.  L’avancement du pays implique que nous soyons compétitifs : à l’intérieur comme à l’extérieur du pays.  L’enseignement et la formation sont dont les secteurs que nous devons nous préparer à mettre sur les rails une fois les bandits et les incompétents déboutés du pouvoir et du gouvernement, du parlement et de l’administration.

Ce travail ne se réalisera pas sans un travail collaboratif entre toutes les forces vives de l’opposition.  Pour que cela se fasse, nos partis et autres acteurs politiques de l’opposition doivent commencer par s’épurer eux-mêmes.  Ce projet là, est le travail auquel nous appelons tout congolais à participer, dans le cadre du Projet 2014 ou dans un autre projet similaire.

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