Jean Paul Pougala


Tel que reçu d’un contact WhatsApp.

LE MANIOC REND BÊTE !

C’est le titre de la conférence publique gratuite que j’ai donnée ici à Paris hier 1er avril 2025.

C’est ce genre de diaspora qui nous intéresse pour la bataille de la conquête de notre liberté, qui est la nôtre.

LE MANIOC REND BÊTE !

C’est très sérieux. Le terme exact utilisé par l’Organisation Mondiale de la Santé (Oms) s’appelle Crétinisme ! La consommation excessive du manioc crée chez l’humain, le Crétinisme.

Des études menées depuis les années 1970, 1980 et publiées dans des conférences publiques, notamment au Canada démontrent que dans des zones de l’ancien Zaïre, aujourd’hui, République Démocratique du Congo, on a des zones entières où des pourcentages importants de la population sont devenus bêtes à cause de l’alimentation presqu’exclusive au manioc.

Et comme l’intellectuel africain est toujours Hors Sujet, pour célébrer Jésus et Allah ou ses pseudo ancêtres Égyptiens, il est du coup complètement absent des enjeux de survie de la race noire, qu’on a exprès voulu rendre bête.

Depuis 11 ans, nous débutons toutes nos formations des Nouveaux Industriels Africains (Rinvindaf), par un thème : « Les ingrédients alimentaires » dont le premier sur la liste est un produit africain, parce que né en Afrique : la levure, que les romains ont importée, dénommée Lievito du verbe lievitare qui veut dire « monter », faire gonfler.

On peut donc dire que ce sont les africains qui ont inventé la boulangerie moderne. Il s’agissait notamment de faire monter le blé. Un produit à cycle court.

Question : Par quelle alchimie, les européens qui ont importé le blé d’Afrique ont réussi à convaincre les africains d’abandonner le blé, produit à cycle court, 14 tonnes à l’hectare tous les 3 mois, par un produit toxique, dangereux et qui rend bête, le Manioc, produit à cycle long, 2 à 4 tonnes à l’hectare tous les 12 mois ?

A cette question, je n’ai pas de réponse, mais je me pose une autre question : est-ce qu’avec le temps, à force de consommer le manioc, nous sommes encore des êtres humains normaux ?

La consommation excessive du manioc rend bête !

Selon les propos même de l’OMS et vous trouverez sur internet, et même à travers les instruments d’intelligence artificielle collé DeepSeek ou ChqtGpt d’abondantes littératures là dessus surtout de la part des chercheurs indiens, srilankais, mais aussi colombiens ou mexicains, qui font que partout ailleurs sauf en Afrique, la culture du manioc est essentiellement destinée à plusieurs applications industrielles et à la consommation animale, mais très marginalement à la consommation humaine.

Le manioc rend bête !

Et le pire est que les européens le savent depuis deux siècles. Et c’est la principale raison pour laquelle, ils l’ont destinée en premier lieu à la consommation des esclaves notamment à Haïti.

A mon avis, le plus grave n’est pas qu’ils soient au courant depuis deux siècles et que c’est l’une des principales cultures dont la Banque Mondiale, le Fond Monétaire International (FMI) et l’Union Européenne financent son développement en Afrique subsahélienne, avec la complicité des politiciens africains, des intellectuels africains qui sont tous vent debout contre la Chine et la Russie, mais muets, complices pour la plus grande œuvre de destruction massive d’un peuple après la mise en esclavage des Noirs qui a duré 4 longs siècles.

Les européens ont ramené d’américain du sud durant leurs conquêtes coloniales trois choses : la pomme de terre, la banane et le manioc.

Il n’y a que le poison qu’on partage généreusement sans en prendre soi-même et le manioc fait partie de ces poisons.

Pensée critique : pourquoi aucun africain, jusqu’à ce que Pougala arrive ne s’est jamais demandé pourquoi ils n’ont consommé que la pomme de terre et la banane et jamais le manioc, qu’eux aussi destinent au textile ou à d’autres applications, et même à la consommation animale, mais jamais pour la consommation humaine ?

Les industriels africains que nous formons à la Pougala Academy ne doivent pas se limiter à produire la richesse ou à produire à manger pour le peuple africain, mais prendre conscience du fait que l’Afrique est en guerre pour sa survie d’humains libres et intelligents.

Mon frère camerounais Kelman avait écrit il y a une quinzaine d’années un livre intitulé :

« Je suis Noir et je ne mange pas le manioc »‘

Il dénonçait déjà à l’époque, le fait qu’on a volontairement poussé les noirs d’Afrique à faire du manioc, une tradition culinaire authentique populaire africaine. Etre noir devait forcément signifier aimer le manioc, manger le manioc. Ce qu’il réfutait.

Le pire dans tout cela est qu’on pousse les noirs à avoir comme tradition identitaire, le manioc, alors que les sud-américains qui connaissent depuis des siècles les effets de la toxicité de ce même manioc, notamment avec la présence de l’un des plus puissants poisons au monde qu’est le cyanure, n’en mangent que de façon très marginale comme sous forme de chips.

Il était loin d’imaginer que le plus grave était le fait que cette culture qu’on a exprès imposée aux africains d’Afrique Centrale et Occidentale contribue à rendre la masse populaire, jusqu’aux dirigeants incapables de profondes pensées critiques, Pensées Complexes, mais aussi Pensées Globales qui sont au cœur de toutes nos formations.

C’est cette lutte existentielle qui est au cœur de la formation des Nouveaux Industriels Africains de la Pougala Academy qui débute demain le jeudi 3 avril 2025, à l’hôtel Hilton de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle ici à Paris.

Vous pouvez investir tout l’argent du monde, mais si vous avez oublié d’investir prioritairement sur l’éducation de vos enfants pour les rendre moins bêtes que la masse, ou tout simplement plus intelligents, pour prendre la relève le moment venu, tout cela n’aura servi à rien.

Une usine, l’industrie est l’un des rares secteurs d’activité qui s’inscrit dans une logique de traverser plusieurs générations. Quand vous lisez Gucci sincère 1885, c’est bien la preuve que la fortune de Gucci a traversé plusieurs générations.

Maintenant, non seulement nous devons créer notre propre fortune, grâce à l’industrie, mais aussi penser à la transmettre.

Autant programmer votre propre transmission générationnelle en programmant la transmission de votre fortune à des enfants que vous-mêmes aurez contribué à travers une bonne éducation d’excellence à rendre intelligents.

Bienvenue au Rinvindaf !

Le seul collectif qui ne se limite pas à réinventer l’Afrique de demain avec la bouche, mais sur le terrain avec les actions et les réalisations concrètes.

Jean Paul Pougala

L’avenir du Congo et de la Russie : au-delà de l’armement


Les besoins de nos États

Comme le Congo n’a pas besoin d’armes. Signer des contrats avec quelque pays que ce soit, pour l’armement de notre état, revient à ignorer nos besoins. C’est mépriser et insulter notre peuple. Notre Gouvernement, la Présidence de notre République, ainsi que notre Parlement connaissent bien cette donne. Nos fils commencent doucement à se lever. Ils ont compris que les offres et commandes d’armements tiennent à la colonisation. Ils savent que c’est du pillage de nos ressources de tout genre.  Nos pas nos ressources naturelles seulement, mais aussi nos ressources humaines, culturelles, politiques, technologiques, économiques. Lorsqu’ils en seront capables, une guerre s’enclenchera automatiquement.  La RDC gagnera cette guerre, en raison de l’intelligence et de la sagesse qu’elle déploiera sur le champ de bataille.  Parce qu’en ces temps-là, comme toujours, Dieu se mettra du côté du converti à la vérité.

Plusieurs chemins mènent à Rome, mais n’ont pas le même coût !

En attendant que les Congolais se décident à se réveiller, le Projet 2014 continue à indiquer les pistes.  Les voies qui susceptibles de mener au salut de la RDC. Un pays qui pour l’heure, a choisi le chemin de la perdition, de l’idolâtrie.  Joignant prières et travail, nous avons l’assurance d’arriver à la victoire.  Nous arriverons à bout de notre ennemi Satan et de ses suppôts humains.  Ils nous combattent, jour et nuit, mais ne se doutent pas de leur prochain échec.  Dieu, comme promis, aveugle les orgueilleux et ceux qui versent continûment dans l’iniquité.  Peu sont nos politiciens capables de comprendre, mieux, d’accepter cette donne.  Au Congo comme en Russie, par exemple, nos peuples et nos dirigeants traînent.  Beaucoup se livrent à des orgies qui ne trompent plus les congolais éveillés, nés de nouveau.  Travailler sur base d’un respect Dieu, de nos peuples, ses créatures, les dérange.  Cela revient en effet, pour eux, d’accepter de perdre des avantages qu’ils ont cumulés, engrangés.  Ils ont longtemps misé sur les convoitises, l’égoïsme, la peur, l’ignorance.  Ils ont exploité à souhait la trahison, la méchanceté et la malhonnêteté de nos peuples.  En clair, nous souffrons de mêmes maux, défauts, caractères.  Que fera Dieu dans les années qui viennent ?

Quel est la place de Dieu dans tout cela ?

Parce qu’ils refusent de reconnaître son amour des siens, Dieu sanctionnera les rebelles.  Il suscitera des  congolais sages et intelligents.  Ceux-ci redresseront bientôt le pays.  Un pays malade à cause de la trahison de son Dieu, de son investissement dans l’idolâtrie.  Qu’est-ce à dire concrètement ?  Que se passera-t-il au juste ? Pour y répondre, pensons à ceci. Que s’est-il passé en Angola, au Mozambique, au Cambodge, en Irak, au Cuba ? Où en sont l’Afrique du Sud, l’Argentine, Israël, l’Ukraine, le Kosovo, l’Egypte ou la Libye ? Les histoires de ces pays doivent nous apprendre.

Bien avant le jugement dernier…

Un investissement de quelque pays que ce soit ne portera du fruit qu’à une condition. Il devra mettre l’armement au second plan et non pas au premier plan.  C’est ici la parole de Dieu.  Les pays partenaires de la RDC, tels que la Russie, les EUA, la Chine sont concernés.  C’est aussi le cas des Corées, du Japon, de Taïwan, de l’Inde, de l’Arabie Saoudite.  Tout comme il en sera des Émirats Arabes Unis, du Brésil, du Canada et du Royaume-Uni.  De la même manière, seront traités la France, l’Australie et  l’Asie de l’Est.  Il n’en sera pas autrement en 2024, qu’à l’époque des israélites.  La publication suivante, illustre comment l’on peut mal investir.

Pourquoi la Russie ne propose-t-il, généralement, que des armes d’abord ?

Nous pouvons, ensemble, chercher à bien valider puis à répondre à cette question.

Le décollage raté du Bandundu


Le Bandundu, le grand Bandundu, vient de raté son décollage de 1960. J’ai expliqué à mon fils le pourquoi.

Dans le Bandundu, les terres de tes oncles sont exploités de plus en plus par des étrangers, venus de terres lointaines, parce que tu ne te lèves pas pour initier de grands projets là-bas. Si le bandundois ne se lève pas, d’autres étrangers viendront encore se servir des fruits de la cueillette bandundoise.

La foresterie, les mines, l’hydroélectricité, l’immobilier, les banques, les assurances, l’enseignement, les télécommunications, l’agriculture, le transport, le stockage de produits vivriers, l’ébénisterie, l’électronique, la musique, le théâtre, les arts divers et bien d’autres industries sont facilement développables dans le Bandundu.

Depuis que Molele et Kudiakubanza se sont fait tuer, ni Mungul Diaka ni Gizenga ni Fayulu n’ont pu proposer de projets politiques viables aux Bandundois et aux Congolais. Vous, jeunes du Bandundu, devez vous mettre au travail quotidien pour d’examiner les failles des projets molelistes, kudiakubanguistes, mungulistes, gizenguistes et fayuliens pour développer un projet nouveau qui mettent les peuples du Bandundu au vrai travail.

Le Bandundu a produit des cerveaux pour la RDC, mais les gaspille à cause de la parenté et de la mysticité mal maîtrisées. Tous se sont laissé prendre par le piège de la folie des grandeurs, avant même de n’avoir commencé à créer de la vraie richesse : tout le savoir, tout le savoir-faire et tout le savoir-être. Plutôt que de continuer à aller aux champs, aux bureaux, aux laboratoires et aux usines, ils se sont perdus entre les jambes des femmes étrangères ; dans des bouteilles de bières, de vin et de champagnes ; ou encore, sous des vestes, des costumes et dans des chaussures les plus chers du monde. C’est ce qui explique le décollage raté du Bandundu, jusqu’aujourd’hui.

Vous, jeunes Bandundois, devez retrousser les manches : sans cela, vous vivrez, plus, toujours et encore, des glorioles !

Utiliser les messageries électroniques et les VOIP


Notre pays souffre d’une insécurité généralisée et d’une pauvreté du plus grand nombre qui s’expliquent par plusieurs facteurs concourants.

Des messageries électroniques, conventionnelle et en ligne ; la téléphonie et la vidéophone ; mal utilisées, non mises en profit pour développer notre pays, ne nous permettent pas de résoudre les oppositions qu’il y a entre nos cultures, entre nos peuples, dont profitent les ennemis de notre émergence.

Si tout congolais communiquaient avec les congolais de l’autre bout du pays, en quête d’une solution à nos problèmes communs, tant économiques, politiques, culturels, sociaux, technologiques, spirituels et autres, beaucoup de pas en avant seraient déjà effectués.

Tous nos citoyens devraient être encouragé à utiliser ces différents types d’outils de communication pour travailler sur, élaborer et même conduire de bons projets de développement qui ne manqueront pas les ressources nécessaires à leur exécution, dans un pays aux potentiels que nous possédons.

Le Projet 2014 voudrait désormais vulgariser l’utilisation de ces outils en indiquant comment mettre en place le réseau télécoms nécessaire à une communication techniquement fluide et sécurisée.

Le ministre Mwangu Famba et la Banque Mondiale sont responsables des morts en RDC


Voici donc comment le ministre Mwangu Famba et la Banque Mondiale affament les congolais et les tuent ; et, comment les congolais les écoutent en bons colonisés et subjugués.

Faisons parler les chiffres ci-dessous.

Frais de fonctionnement pour 2012-2013

5.852.867,00

USD

 

Nombres d’écoles concernées

26.210

Ecoles

 

Par école

223,31

USD/école

Comment ce montant peut-il faire fonctionner toute une école ?

Prenons une école de 500 élèves à 50 élèves par classe. Cette école devrait avoir 500/50 = 100 enseignants au moins, mais idéalement 500/25 = 200 enseignants ! Si l’on ajoute le personnel administratif (10 personnes par exemple), une telle école aurait entre 110 et 210 membres du personnel et n’aurait fonctionné qu’avec 223,31 USD pendant les 12 mois que durent une année ?

Chers frères humains, qui font qu’il y ait des voleurs en RDC et pourquoi ?

Dans le cadre du Projet 2014, nous proposons que pour ces écoles, rien que pour les salaires, il faille prévoir un minimum annuel de dépenses de 12*110*1500*26.210 = 5.1895.800.000,00 USD !

C’est la raison pour laquelle, au Projet 2014 nous conseillons vivement aux congolais de se préparer à débouter tous ces hommes véreux et irresponsables que nous avons commis à la gestion de la chose publique par le fait de nos propres turpitudes.

From: africa-t@googlegroups.com [mailto:africa-t@googlegroups.com] On Behalf Of Jean Kadima-Schipa
Sent: lundi 2 septembre 2013 05:43
To: africa-t; kasaiwetu-list@yahoogroupes.fr; cokin; congocitizen@yahoogroups.ca; Front Com. des Patr. Congolais; Communauté Catholique Congolaise de Montréal cccm; Congo Bana Congo; Congo Bololo; Congo Libre; Udps Multimé; Kivu Avenir; Jean Kadima-Schipa; bandundu.idiofa@yahoo.com; Congo Bana Equateur; Union Congolaise; banayolo@yahoo.com
Subject: !_____Rentrée scolaire 2013-2014 : des frais de fonctionnement pour 26.210 écoles_______________________Le Phare de 2 sept.2013

Rubrique :  Société

Rentrée scolaire 2013-2014 : des frais de fonctionnement pour 26.210 écoles

Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (E.P.S.P.), Maker Mwangu Famba, a procédé au lancement solennel des opérations de paiement de la dernière tranche semestrielle des frais de fonctionnement de l’année scolaire 2012-2013. Au total,  environ 26.210 écoles primaires publiques, mécanisées, budgétisées et disséminées sur toute l’étendue de la Rd Congo sont bénéficiaires de cette dotation. Le montant global de cette tranche est de 5.852.867 USD pour toutes ces écoles primaires ciblées par la Banque mondiale à travers son Projet d’Appui au Redressement du Secteur de l’Education (PARSE).

L’événement s’est déroulé le mardi, 27 août 2013, à Kenge, dans la Province de Bandundu. Cette province compte 4.847 écoles ciblées par ce projet pour un montant total estimé à 1.090.346 USD ; tandis que la Province éducationnelle de Bandundu 3 (Division provinciale/Kenge) compte 940 écoles primaires pour un montant estimé à 205.315 USD. Ces montant, il convient de le souligner, vient s’ajouter à l’enveloppe que le Gouvernement alloue mensuellement aux écoles pour leur fonctionnement.

Prenant la parole à cette occasion, devant des dizaines des notabilités tant scolaires que civiles et religieuses de de Kenge, Maker Mwangu a souligner que cette tranche devra impérativement servir à la préparation matérielle et pédagogique de la rentreé scolaire 2013-2014, prévue pour le 02 août 2013. Par contre, il a averti que le ministère de l’Epsp ne pourra tolérer qu’une école primaire éligible à ces frais perçoive des frais supplémentaire auprès des parents d’élèves. Parce que, a-t-il noté, le paiement des frais de fonctionnement aux écoles primaires vise la réduction progressive des frais supportés par les parents d’élèves pour la scolarisation de leurs enfants dans le cadre de la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire, telle que consacrée par la Constitution de la République en son article 43. Conscient des difficultés que pourraient rencontrer certains territoires bien identifiés à cause du manque des institutions bancaires pour payer les salaires des enseignants, le ministres a confirmé la décision déjà prise de confier la paie dans ces territoires à la Caritas Congo ASBL pour réduire le retard.

Objectif : Universalisation de l’enseignement fondamental pour tout jeune congolais

Expliquant les visées du gouvernement, le ministre de l’Epsp a constaté que le but recherché par cette politique est la réduction, et à terme, la suppression des frais qui constituent pour les parents un obstacle majeur à la scolarisation des enfants congolais. Ainsi, on permettra d’accroitre l’accès à l’école à tous les jeunes, tout en améliorant la qualité de l’enseignement et l’universalisation de l’enseignement primaire. A l’endroit du Secope et des écoles ciblées, il a recommandé le respect strict des principes de gestion contenus le «Manuel de procédures». Ce respect évitera, a-t-il enfin souligné, au gouvernement d’avoir à rembourser l’argent utilisé en dehors de toute procédure de gestion de la Banque mondiale. La cérémonie s’est clôturée par la remise des dictionnaires à ces écoles, instruments qui sont appelés, selon le ministre, à contribuer grandement à l’amélioration de la qualité de l’enseignement.

Auparavant, le coordonnateur du PARSE, Simon Kayoyo, a dit sa satisfaction de pouvoir continuer le payement des frais de fonctionnement qui a connu un temps mort après la libération en fin octobre 2012, de la première tranche semestrielle de la dernière année scolaire 2012-2013, suite à certaines contraintes d’ordre administratif. Il a relevé que l’activité du jour visait à « faciliter l’accès et favoriser l’égalité des chances à l’école primaire ». Il a aussi insisté sur la nécessité d’atteinte des objectifs visés en veillant sur la bonne gestion des frais mis à la disposition des gestionnaires et directeurs d’écoles primaires ainsi que des comités scolaires de parents.

SAKAZ

Jeunesse : levons-nous et agissons ! (3)


Pourquoi ne fêtons-nous pas le 30 juin ?

Demain est la journée de la fête de l’indépendance qui nous aurait déjà coûté 6 à 12 millions que d’autres comptent pour nous !

Jeunesse congolaise, réfuse d’avoir un avenir compromis par de papa qui veulent éternelement.

Suivez une partie de la campagne que nous menons sous Skype et Facebook.

Vous pouvez appuyer l’initiative.

*****************************

[10:50:22] JAO: Bonne fête de l’indépendance en Bruxelles

[11:52:15] GPAU: Bonne fête ?

[11:52:22] GPAU: Qu’est-ce qui te prends ?

[11:52:37] GPAU: Où vois-tu le congolais indépendant ?

[11:53:13] GPAU: Avec des congolais qui enlèvent aux autres congolais leur nationalité ?

[11:55:01] GPAU: Avec un imposteur et incompétent à la tête du pays ; des assassinats, des meurtres, des viols, de vols, de populations déplacées, décimées, privées de leurs libertés et de la paix ; toi tu es en fête ?

[11:55:33] GPAU: Je n’ai jamais fêté le 30 juin !

[11:55:37] JAO: Ce malheureux mon frère maintenant vous avez quelle nationalité

[11:57:50] GPAU: Je réfléchis à comment faire pour convaincre mon peuple de traduire en justice les assassins de Lumumba, Tshombe, Chebeya, Tungulu et autres ; à traduire en justice ce qui s’arroge le droit de me priver de ma nationalité !

[11:58:40] JAO: Même moi mon frère j’en ai marre avec

[11:58:40] GPAU: Et toi, je pensais que tu étais à notre côté dans cette lutte pour l’indépendance des peuples du Congo !

[11:59:00] GPAU: 2016 approche, allez-vous commettre encore la même erreur ?

[11:59:15] GPAU: Malu Malu est déjà mis en place…

[11:59:31] GPAU: Vous irez encore à ces élections-là aussi ?

[12:00:27] GPAU: Ce serait très dommage et appeler une malédiction sur une autre !

[12:00:33] JAO: Moi non je n’irai

[12:01:00] JAO: Vraiment ce drôle d’histoire

[12:02:33] JAO: Ce pourquoi je dois tjrs les dénoncer

[12:03:47] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:03:48] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:04:46] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:04:47] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:05:09] JAO: Papa je suis derrière vous

[12:05:52] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:05:53] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:29] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:06:30] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:07:36] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:07:37] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:08:14] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:08:15] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:09:53] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

[12:09:55] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

Nous avons dit…


Nous avons dit avoir commis des hommes véreux et incompétents à la gestion de la chose publique.  Nous n’arrêtons de mettre sous les yeux du congolais que nous sommes, cette faute grave en espérant vainement l’émouvoir…  Erreur !

L’analyse fine des documents suivants, permet de voir comment se manifeste notre irresponsabilité et ce que nous pouvons logiquement tirer comme conclusion quant à l’avenir de notre nation.

http://radiookapi.net/economie/2013/05/10/rdc-letat-devrait-garder-le-monopole-du-transport-de-lelectricite-proposent-des-analystes/

http://radiookapi.net/actualite/2013/04/03/rdc-les-deputes-debattent-de-la-liberalisation-du-secteur-de-lelectricite/

A cette allure-ci…


“A cette allure-ci, comment pouvons-nous compter sur une victoire dans le combat livré contre l’ennemi des congolais ?”

[09-04-13 01:58:20] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: flash flash flash

LE COLONEL KANYAMA A LA TETE DE 20 POLICIERS VIENT D’ENLEVER SANS MANDAT A 22H00 AU CENTRE CANA LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA.

LES POLICIERS ONT BRUTALISE LE PERSONNEL DE CANA ET PARTICULIEREMENT LES RECEPTIONNISTES POUR DEMANDER OU SE TROUVAIT DIOMI NDONGALA. ILS L’ONT PRIS DE FORCE ET AMENER ENVERS UNE DESTINATION INCONNUE. L’AGENT DE SECURITE MAMBA QUI ETAIT A LA PORTE DU CENTRE A ETE AUSSI ENLEVE.

LA FAMILLE DIOMI ET LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXPRIMENT DES VIVES CRAINTES POUR L’INTEGRITE PHYSIQUE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDENT A TOUS LES CONGOLAIS EPRIS DE JUSTICE DE SE MOBILISER CONTRE ce HARCELEMENT POLITICO-JUDICIARE QUI VIT LE DISSIDENT DIOMI NDONGALA DEPUIS PLUSIEURS ANNEES

[09-04-13 02:16:12] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Il est dommage qu’après les « vu… » on en arrive qu’à une « marche » !

Kanambe peut dormir sur ses lauriers, les amis !

[09-04-13 11:15:57] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : TRISTE NOUVELLES. ET QUE FONT LES AUTRES DEPUTES ?

[09-04-13 11:16:42] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : DE LA MAJORITE COMME DE L’OPPOSITION ?

[09-04-13 11:17:40] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : SI EUX NE SAVENT PAS MONTRER L’UNITE ET SOLIDARITE ENTRE EUX, A QUOI BON EXISTER ?

[09-04-13 11:18:07] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : CELA MONTRE BIEN QU’ILS SONT LA POUR LEURS POCHES

[09-04-13 11:18:53] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : ILS PEUVENT MM DEMANDER 10000000$ PAR AN ET TUER TOUS LES CONGOLAIS

[13:15:47] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao : Pour votre information, retenez que Eugène DIOMI NDONGALA se trouve au CPRK-MAKALA/PAVILLON8 donc même pavillon avec : chalupa + col. Josué samba + Me. Firmin YANGAMBI + etc. Et le fameux pasteur DENIS LESSIE est gardé à la prison de NDOLO

[13:49:09] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Chers compatriotes congolais de la Radio du Projet 2014, LEVEZ-VOUS !

[13:49:42] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : De quoi ou de qui avez-vous peur ?

[13:51:43] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Que l’Etat arrête un coupable, un perturbateur de la paix publique, est ce que nous attendons tous de lui !

Que le congolais, depuis Lumumba jusque maintenant, soit traîner dans la prison, invention du colonisateur, comme une charogne, devrait nous interpeller tous, sans exception : que nous soyons du pouvoir ou de l’opposition.

[13:52:34] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: A cette allure-ci, la RDC ne peut pas prétendre à la paix ni à la prospérité avant 2033 !

Comment y arriver sans que nous soyons en mesure de nous mettre autour d’une table pour la moindre des réflexion sur notre destin ?
Comment y arriver avec des leaders qui ne font que penser tribu, langues et alliances improductives ?
Comment y arriver avec des païens qui défilent à la tête d’un pays à 85% prétendûment chrétien ?

Cybercafés/Goma


Feuille de route pour le démarrage du projet Cybercafés/Goma

Tableau 1 Tâches et résultats entendus

Ordre

Tâches

Résultats entendus

Remarques, observations

1.

Identification des institutions d’enseignement intéressées

Trois institutions d’enseignement intéressées (Dénomination, nombre d’élèves ou d’étudiants, nombre du personnel enseignant et administratif, Nom, prénom, téléphone et adresse email du responsable)

Prendre si possible trois points équidistants dans la ville pour assurer un déplacement possible d’autres écoles vers les 3 laboratoires d’informatique. Tenir compte des labos existants.

2.

Obtenir 3 devis de chacun des 3 meilleurs fournisseurs de services Internet de la ville

Pour chacune des institutions et chacun des fournisseurs obtenir un devis qui fournit les coûts des installations et le coût d’une année d’abonnement. La connexion doit être de de la toute dernière technologie disponible, un DSL sans limitation de volume de données ni disponibilité en temps ! Fournir les coordonnées de l’entreprise et du responsable.

 

3.

Créer un compte pour la gestion financière du projet

Un compte auprès d’une institution bancaire pour EAE ASBL

 

4.

Calculer la rentabilité du projet

Rentabilité économique, sociale, politique, culturelle, technologique, scientifique, industrielle

 

5.

Négocier et réunir la participation des parents aux frais

Un montant total des participations dans chaque institution, par enfant ou par famille (à suggérer).

 

6.

Négocier une participation de l’administration locale

Quartier

Commune

Ville

 

7.

Négocier une participation de la population locale

Le quartier

La commune

La ville

 

8.

Négocier une participation des opérateurs économiques locaux

Commerçants

Autres hommes d’affaires

 

9.

Rechercher un éventuel don, crédit ou subside

RDC

Belgique

UE

 

Tableau 2 3 institutions choisies pour le projet-pilote

Dénomination

Apprenants

Personnel

Prénom

Nom

Post-nom

Téléphone

Email

               
               
               

Tableau 3 3 meilleurs fournisseurs de services Internet

Dénomination

Rue

Numéro

Quartier

Commune

Nom

Prénom

Téléphone

Fax

Email

                   
                   
                   

Tableau 4 : Coût en dollars de l’installation complète et d’un abonnement de 12 mois. Total = …$

Fournisseurs

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Coûts

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

 

Fournisseur 1

             

Fournisseur 2

             

Fournisseur 3

             

Tableau 5 : Participations locales aux frais en dollars. Total = … $

Participations

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Parents

       

Quartier

       

Commune

       

Ville

       

Opérateurs

       

Dons

       

Subsides

       

Crédits

       

Naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?


Lisez la suite et dites-nous si vous ne pensez autre chose en déposant votre commentaire ici à l’attention des congolais du Net.

Le Projet 2014 est la seule solution que les congolais n’aient pas encore essayée.  En effet, tous les politiciens de l’espace politique congolais se plantent.  Nous expliquons que c’est parce qu’aucun d’entre eux n’a le souci d’associer, le souverain primaire à la gestion de la chose publique comme il se doit.

Hypocrites pour la plupart, ils tentent comment être aux commandes pour subjuguer les autres congolais plutôt que pour redresser la barque.  Dieu, dans sa toute-puissance les confond un à un.  Kasavubu, Mobutu et Kabila ont tout simplement échoué par défaut de démocratie dans leur stratégie.

Le Projet 2014 est la solution que tout le monde rejette faute de ne perdre sa place : il s’agit ici d’hommes qui recherche la restitution, à tout prix, AUX PEUPLES du Congo, de la RDC, de leur indépendance perdu depuis la colonisation et même plutôt, depuis l’esclavagisme arabe.  Cette solution, qui demande beaucoup de civisme ; civisme que s’interdisent ceux qui ont soit les mains pleines de sang congolais et étranger soit le cœur vide d’amour pour la patrie soit la tête vide de vision et soit les mains vides de compétences, est celle qui obligera tous nos politiciens à respecter nos peuples.

Analyser les acteurs en présence sur la scène politique congolaise et constatez par vous-même combien nous avons commis l’erreur de commettre des hommes véreux, des traîtres, à la gestion de la chose publique.

Nous congolais, faute de nous décider à corriger nos turpitudes, fuyons en avant en rejettant sur des imposteurs seuls la cause de nos misères, oubliant qu’avant l’impostures, nous dansions dans les stades et sur les routes – ce que certains d’entre nous continuent d’ailleurs à faire – plutôt que d’aller travailler dans les usines, les champs et les écoles.

Un changement de mentalités, d’attitudes et de comportements est nécessaire !  C’est la nouvelle naissance, sans laquelle je ne vois aucun congolais d’aimer véritablement le Congo, l’Afrique et la planète Terre.  Qui veut naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?

[15:58:16 | Édité par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu, 16:15:35] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Le passé de Sultani Makenga mis au découvert!
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=43640%3Anord-kivum23–des-militaires-rebelles-contraints-de-se-battre-par-peur-detre-assassines-&catid=21%3Aobservateur
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
JEUDI, 14 MARS 2013 12:34
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Alors que sur les champs de bataille, les deux groupes rivaux, déploient tout leur arsenal pour faire plier l’adversaire, dans les deux camps, la peur et la terreur prend de l’ampleur. A Kibumba, désormais quartier général du président Jean Marie Runiga, déchu par Sultani Makenga, 26 militaires rebelles ont été froidement abattus par le Général Ntaganda. Leur seul péché, vouloir fuir le rang de cette rébellion.
Que s’est-t-il passé ?
Lundi aux petites heures du matin, dans l’un des campements des rebelles Ntagandistes à Kibumba, un petit groupe de militaires se concertent en catimini. Ses jeunes rebelles, décident de prendre le large et d’abandonner la guerre sous commandement de Bosco Ntaganda, un officier recherché par la Cour Pénale Internationale. Malheur à eux, car quelques instants après, l’affaire s’ébruite. Mis au parfum, Bosco descend illico, ‘’Kalachnikov à la main, il rafale de sang froid et massacre mes collègues ‘’, a déclaré sous anonymat un soldat. Les corps des 26  victimes tombés sur le champ traînent d’abord par terre, pour servir d’exemple, affirme la même source.  Avant d’être mis en terre dans la soirée, dans une fosse commune, sur ordre du Général Ntaganda, très visible dans la zone.
Des sources administratives à Munigi, territoire de Nyiragongo, à une dizaine de kilomètres de Kibumba, rapportent qu’un ‘’ vent de terreur s’est bel et bien installé dans la cité de Kibumba et ses environs ‘’. Des commerçants qui font des navettes sur cet axe Goma-Butembo en passant par Kibumba, rapportent que  ‘’ la population agricole de Kibumba reconnue pour sa chaleur lors de la vente de ses produits vivriers aux passants, ne réserve plus la même ambiance d’accueil aux visiteurs de passage ‘’, preuve d’une peur bleue qui gagne cette population depuis l’arrivée, dans ce coin, de Bosco Ntaganda.
Des officiers rwandais toujours présents à Kibumba
Des soldats encore fidèles à Ntaganda attestent fièrement que « des officiers rwandais causent régulièrement avec Ntaganda au téléphone ». ‘’ Presque chaque jour, des officiers rwandais viennent discuter avec nos chefs, mais nous ne savons pas de quoi ils parlent ‘’, explique un officier rebelle originaire du terriotoire de Rutshuru. Et un autre soldat d’ajouter sous anonymat  ‘’ il arrive que des officiers RDF (Rwanda Defense Forces) partagent à manger et à boire avec Ntaganda, sans gêne ‘’. Bosco Ntaganda bénéficierait toujours du soutien du général James Kabarebe, ministre rwandais de la Défense au moment où Paul Kagame, président rwandais aurait déjà souscrit à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba qui interdit aux Etats de la région, toute tentative de déstabilisation des voisins. C’est au nom de ce principe, a-t-on appris des autorités gouvernementales de la RDC, que l’armée congolaise qui venait d’investir certaines localités abandonnées par le M23 (Rutshuru, Kiwanja, Rubare,…), les a, par la suite abandonnées, après y avoir chassé les forces négatives (Fdlr et miliciens autochtones Mai Mai).
Ce massacre du 04 mars 2013 intervient au moment où, l’aile de Makenga qui a destitué Runiga, principal chef politique du M23 occasionnant des affrontements violents à Tchanzu entre les deux factions dissidentes, s’active à honorer les engagements des pays membres de la Cirgl à Addis-Abeba où un accord-cadre a été signé le 24 février 2013. Dans un communiqué officiel, Makenga a déclaré son intention de vouloir traquer Ntaganda, l’arrêter et le déférer devant la CPI qui le recherche pour des crimes commis notamment en Ituri et au Nord-Kivu. Le 04 septembre 2012, la CPI avait demandé à la République Démocratique du Congo d’arrêter Ntaganda et de le remettre à la cour. Cette juridiction demandait à cet effet à la RDC d’assurer la sécurité de l’incriminé jusqu’à sa livraison au greffe de la CPI. Le fugitif Bosco Ntaganda aurait pris l’option de se battre jusqu’à la dernière goutte de son sang, pour échapper à la justice internationale.
James Kabarebe protecteur de Ntaganda ?
Surnommé «Terminator», Ntaganda est visé depuis 2006 par un mandat d’arrêt de la CPI pour enrôlement d’enfants quand il était dans une milice au début des années 2000. Les membres de l’ancienne rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), dont l’ex-général Ntaganda était le chef d’état-major, avaient été intégrés dans l’armée en 2009 après un accord de paix avec Kinshasa. Mais ce haut-gradé, commanditaire du M23 « continue d’être impliqué dans des violations graves des droits humains, notamment des meurtres, des violences sexuelles, des actes de torture et toujours le recrutement d’enfants soldats «, estiment les organisations internationales, dont la FIDH, Human Rights Watch et Amnesty International. En 2012, plus de 140 organisations congolaises et internationales ont appelé les Etats-Unis à soutenir la RDC pour arrêter Bosco Ntaganda accusé de soutenir une mutinerie dans l’est congolais.
Le groupe d’experts de l’ONU sur la RDC a, à son tour, affirmé disposer de preuves du soutien de trois des plus hauts responsables rwandais de la Défense à la mutinerie congolaise du M23, qui opère dans le Nord-Kivu, province frontalière du Rwanda. Les noms du ministre de la Défense, James Kabarebe, de son directeur de cabinet, Charles Kayonga et du conseiller militaire du président Paul Kagamé, Jacques Nziza, ont été cités. James Kabarebe est « en contact permanent avec le M23 », avaient affirmé les experts, qui accusent l’armée rwandaise d’avoir pénétré en territoire congolais pour renforcer les positions des rebelles, d’avoir apporté un soutien logistique à ces derniers et d’avoir assuré à leur leader présumé, Bosco Ntaganda, un passage sûr au Rwanda. Le Rwanda a déjà été accusé par la Monusco et l’ONG Human Rights Watch de soutenir la mutinerie du M23, mais l’a démenti à plusieurs reprises. La mutinerie avait débuté avec les velléités d’arrestation par Kinshasa de Bosco Ntanganda, jusque-là général de l’armée congolaise, ancien membre de l’armée rwandaise, ancien leader de l’ex-rébellion du CNDP, et faisant l’objet d’un mandat de la CPI.
Les faucons du M23 épinglés par les experts des Nations Unies
Il s’agit de Sultani Makenga. En outre, le recrutement et l’utilisation d’enfants, des violations attribuées à Makenga comprennent son implication dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 novembre 2008, lorsque les troupes du CNDP avaient exécuté au moins 67 civils – principalement des jeunes garçons de Kiwanja, au Nord-Kivu, et le massacre de Muramba /Nord-Kivu de mars 2007 où les troupes des FARDC (ex-Brigade Bravo) avaient exécuté au moins 14 civils Hutu et Nande. Le colonel Baudouin Ngaruye est lui aussi impliqué dans les exactions et les exécutions perpétrées contre les civils. En outre, mis à part le recrutement et l’utilisation des enfants, il est accusé de violation des droits humains dont le massacre de Shalio/Nord-Kivu du 27 au 30 avril 2009, lorsque les FARDC ( dominés fortement par des militaires ex-CNDP) avaient massacré au moins 139 réfugiés hutus, FDLR et leurs dépendants. Parmi les victimes, il y avait au moins 40 femmes, dont la plupart avaient été violées et mutilées.
Le colonel Innocent..
[16:19:51] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao:  La RDC une nouvelle fois au dernier rang de l’indice de développement humain du PNUD

KINSHASA – La République démocratique du Congo (RDC) arrive une nouvelle fois au 186e et dernier rang -avec le Niger- du classement de l’indice de développement humain publié chaque année par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), malgré quelques améliorations.

Selon le PNUD, qui a confié à l’Université d’Oxford son étude locale sur la pauvreté, 87,7% de la population vivant en RDC est en dessous du seuil de pauvreté, fixé à 1,25 dollar par jour.

Près des trois quarts des 68 millions de Congolais (74%) vivent en dessous du seuil de pauvreté multidimensionnel qui tient compte de l’accès aux soins, de la santé et de l’alimentation.

Les améliorations sont pourtant marquantes, a expliqué à l’AFP Florence Marchal, chargée de communication pour le PNUD.

Entre 2000 et 2012, l’espérance de vie est passée de 45,7 ans à 48,7 ans, la durée moyenne de scolarisation de 4,4 ans à 8,5 ans et le revenu par habitant a crû de 34,6%, passant de 237 à 319 dollars par habitant et par an.

La méthode statistique utilisée –abandonnée par les autres pays– semble en fait avoir nui à son classement, explique-t-on au PNUD.

Lors du dernier classement du même genre effectué en 2011, la RDC était également dernière.

La Norvège, l’Australie et les Etats-unis d’Amérique se classent aux premières places de cet indice qui prend en compte notamment l’espérance de vie à la naissance, la durée moyenne de scolarisation et le niveau de vie par habitant.

La France est 20e de ce classement qui n’inclut pas tous les pays, certains ayant refusé de communiquer leurs statistiques, comme la Principauté de Monaco, et d’autres n’ayant pu le faire, comme la Somalie.

(©AFP / 15 mars 2013 16h10)
[16:23:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: C’est pour cela que je ne comprends pas encore pourquoi la diaspora ne peux pas expliquer à nos frères de l’intérieur que la solution aux problèmes congolais c’est le Projet 2014 ?
[16:23:44 | Modifié (16:25:07)] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comment pourrait-il en être autrement ?
Sans rencontre des politiciens congolais aux mains propres autour d’une table de travail, comment le Congo pourra-t-il s’en sortire ?
[16:24:01] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: C’est confirmé par le PNUD : IDH 2013, la RDC 186me sur 186 Etats

Le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) a confirmé
hier jeudi 14 mars le classement de l’Indice de Développement Humain
2013, dont Le Phare s’est fait l’écho dans son édition du mercredi 13
mars 2013. Comme signalé dans nos colonnes, la République Démocratique
du Congo occupe effectivement, pour la deuxième consécutive, la
dernière place, soit 186me sur 186 pays, au même titre que le Niger.
Il convient de signaler que les statistiques rendues publiques par cet
organisme du système des Nations-Unies découlent de ‘l’observation de
plusieurs paramètres, notamment l’Education, l’Intégration Sociale,
les Flux commerciaux internationaux des biens et services,
l’Innovation et la Technologie, l’Environnement, l’Evolution de la
population.
A l’analyste de différents tableaux dressés à la lumière des
paramètres sociaux ayant un impact direct sur le développement humain,
il appert que la RDC et le Niger se partagent jalousement la dernière
place de la classe. La situation inquiète et étonne à la fois, dans la
mesure où, à la différence de nombreux Etats d’Afrique et d’ailleurs,
le Congo démocratique réunit le potentiel humain, économique,
géologique, énergétique, écologique,… pour s’imposer comme un pays
émergent, à défaut d’être une puissance économique et industrielle.
Paradoxalement, en dépit de ses scandaleuses ressources naturelles,
notre pays accuse un indice de développement humain le plus faible de
la planète. En d’autres termes, en 2012 comme en 2013, la RDC affiche
les statistiques les plus faibles en matières d’éducation, de santé,
d’intégration sociale, d’échanges des biens et services avec
l’extérieur, de production agricole et industrielle, d’innovations
techniques et technologiques, de protection de l’environnement, de
contrôle de la population.
Les Congolais non surpris
Pour le commun des Congolais, il ne s’agit vraiment pas d’une
surprise de voir leur pays se retrouver, pendant deux années
successives, au bas de l’échelle du développement humain au plan
mondial. Lorsque l’on jette un regard sur les dysfonctionnements du
système éducatif national, avec des structures d’accueil non-conformes
aux besoins de l’enfant congolais pour la formation pré-scolaire,
scolaire et universitaire, la clochardisation des enseignants, le
monnayage des cotes scolaires et académiques, le manque de manuels, de
matériels didactiques, de laboratoires et de bibliothèque, l’on ne
peut que s’incliner devant le verdict du Pnud.
   Dans un pays où il n’existe pas de politique de logements sociaux, où
les soins de santé primaires se limitent aux slogans, où les
médicaments se vendent dans la rue comme des cacahuètes, où les gens
meurent dans leurs maisons par manque de moyens, où les charlatans et
les tradipraticiens sont devenus les maîtres du domaine sanitaire,
l’on peut qu’aligner des taux de mortalité les plus élevés de la
planète. Dépotoir alimentaire et pharmaceutique, la RDC a mauvaise
réputation au plan de la qualité des biens de consommation courante.
En matière de démographie, les Congolais ignorent le nombre exact de
citoyens qu’héberge leur pays, car le dernier recensement
administratif remonte à 1984. Depuis lors, chaque gouvernement en
place livre des statistiques des populations sans fondement
administratif ou scientifique. L’on parle aujourd’hui de plus de 70
millions d’habitants en RDC sans que personne ne soit en mesure de le
démontrer scientifiquement ou administrativement. Plusieurs
générations de Congolais vivent aujourd’hui sans cartes d’identités.
Dans un environnement social où le taux de chômage des personnes de
tous les âges dépasse les 80%, où la plupart de ménages ont du mal à
assurer à leurs membres l’unique repas quotidien, occuper le dernier
rang mondial comme pays pauvre rentre dans l’ordre normal des choses.
En matière d’infrastructures de base, tout le monde constate qu’en
dehors de quelques routes reliant Kinshasa au Bas-Congo et au
Bandundu, les autres provinces du pays sont enclavées. Les rares
routes inter-provinciales réhabilitées entre 2006 et 2011 sont
redevenues impraticables.
   Les compatriotes du Congo profond continuent
d’attendre, depuis des décennies, les liaisons routières et
ferroviaires entre le Bandundu et l’Equateur, les deux Kasai, le
Katanga, le Maniema, l’Equateur et la Province Orientale, etc.
Le fleuve Congo et ses affluents, qui auraient dû être transformés en
«autoroutes» naturelles, n’en finissent pas d’endeuiller le pays avec
des naufrages à répétition, en raison du déficit de dragage et de
balisage de leurs cours, mais aussi de la présence de «cercueils»
flottants.

Les liaisons aériennes offrent les mêmes spectacles de «fula-fula»
aériens et d’aéroports d’une autre époque.

L’industrialisation du pays s’est arrêtée voici des décennies, au
point que le pays importe l’essentiel de ses produits alimentaires et
manufacturés. L’agriculture, décrétée priorité des priorités dans les
discours, reste l’affaire d’une poignée de paysans et fermiers qui
pratiquent des cultures de subsistance, dont les faibles quantités
moisissent dans les greniers, faute de moyens d’évacuation.
Le pouvoir d’achat du Congolais est quasiment nul, mais ce dernier
réussit, au quotidien, l’exploit de survivre avec moins d’un dollar de
revenu.

La pollution de l’environnement n’a pratiquement pas de parade. Les
essences forestières congolaises sont pillées sans vergogne. La RDC,
pointée comme l’espoir du monde pour la régulation des climats et de
l’écho système, risque de ne pas tenir ses engagements, à longue
échéance.

Au lieu d’innover aux plans techniques et technologiques, les
Congolais s’offrent comme les meilleurs consommateurs des technologies
importées. La recherche scientifique bat de l’aile, et son abandon
par les pouvoirs publics fait fuir les cerveaux chaque année.
Le classement 2013 du développement humain a pris curieusement en
compte, un paramètre comme celui d’Etat fort, dynamique et
responsable, où la bonne gouvernance permet la pleine exploitation des
ressources naturelles et autres, la création des richesses et leur
distribution, de manière équitable au plus grand nombre. La réduction
sensible des inégalités sociales constitue un des critères
d’appréciation du développement. Hélas, tout cela fait malheureusement
défaut en territoire congolais.

En un mot comme en cent, le Congo démocratique mérite amplement les
mauvaises notes lui décernées par le PNUD ces deux dernières années.
Ceux qui diffusent des chiffres mirobolants sur le taux de croissance,
le taux d’inflation, le taux de desserte en eau et électricité, le
taux d’accès aux soins de santé primaire, le taux de scolarisation,
l’amélioration du climat des affaires, la lutte contre la pauvreté,
les infrastructures de base, la modernisation de l’agriculture
devraient expliquer aux Congolaises et Congolais la descente aux
enfers attestée par les experts du Pnud.