Responsabilité et citoyenneté en 2023


Les cartes d’électeurs sont en train d’être émises, pendant que nos concitoyens n’ont toujours pas encore leurs cartes d’identité ! Quelle supercherie qui continue au vu et au su de tout le monde. Personne n’a l’air de s’en offusquer. Pourtant, c’est cette distraction qui nous vaut chaque année qui passe des conflits parfois évitables avec nos propres concitoyens tout comme avec nos voisins proches et lointains.

Si les cartes d’identité en elles-mêmes peuvent ne rien représenter dans une culture particulière, il reste néanmoins important de connaître qui sont nos compatriotes et qui ne sont pas nos compatriotes, avant même de savoir qui peut voter et qui ne peut pas voter.

Notre proposition à nous est que le Congo doit rapidement d’abord se battre pour maîtriser son registre national : la liste de ceux qui sont de notre nationalité et de ceux avec qui nous avons résolus de vivre ensemble, dans la concorde, la fraternité, l’amitié, dans le cadre des collaborations, des coopérations vraies, honnêtes, utiles…

Ce que fait Kinshasa et que nos parlementaires lui permettent de faire est criminel : choisir prochainement, encore une fois et toujours, nos représentants et nos gouvernants, sans les connaître intimément, complètement.

Le Président de la République ainsi que le Parlement, qui ont le devoir de veiller à garantir la bonne conduite de l’État, par le Gouvernement, se doivent de vite inviter le Gouvernement et toute notre administration à commencer par corriger cette faute que perpétue la maintenance d’un intru dans la gestion de la République : la CENI. Cette commission est plus que nocive pour la conduite de la chose publique, depuis qu’elle a été invitée dans notre espace politique.

Dans une pression démocratique forte et déterminée, il devient de plus en plus clair que le Président de la République ainsi que le Parlement, votés ou tolérés, ne fournissent pas d’effort pour comprendre que les cartes d’électeurs sont un frein pour notre marche en avant ou plutôt pour arrêter d’insulter le peuple congolais par leur trahison qui représente, selon nous, un crime de lèse-nation. En effet, beaucoup de sous qui pourraient servir à nourrir, soigner, mettre au travail, nos veufs et éduquer nos orphelins pour les préparer à transformer le Congo en un pays modèle en Afrique, le temps qu’ils retrouvent l’équilibre vital, sont dilapidés dans une CENI qui a déjà semé beaucoup de morts dans le pays, aux nouvelles qui nous parviennent.

Peule congolais, avec l’aide de Dieu, nous avons la capacité d’interpeller, démocratiquement et sans ambages, le Président de la République, ainsi que le Parlement, pour que soit mis fin à l’existence de la CENI dans notre pays, sans autre forme de procès et pour que l’ADMINISTRATION reprenne la gestion saine et transparente de notre registre national et de nos élections. Nous pouvons déjà commencer par signer les pétitions du Projet 2014 ! Ici !

Sans cela, nous seront nous-mêmes, en tant que peuple, la cause de nos déboires et de nos morts ! Prenons en conscience !

Démocratie, indépendance ou racisme ?


[19/7, 09:42] JS

La démocratie occidentale nous fait reculer d’avantage, nous sommes des monarchistes liés par les tribus qui nous colle jusqu’à la peau. Si démocratie devrait être appliquée il faut changer la constitution et faire de sorte que seul les chefs coutumiers légitimes soient membres du parlement bicaméral, et que le président ne provient que des chefs coutumiers par rotation géographique. Là on aura pas à gaspiller l’argent dans les campagnes inutiles.

[19/7, 12:26] GPAU

Il n’y aura de paix ni au Congo ni dans nos autres pays d’Afrique ni même dans les pays des autres continents de la planète, tant que certaines nations se résoudront de ne pas respecter les libertés de leurs peuples respectifs, continuant de la sorte la domination, la colonisation, l’esclavagisme, la sauvagerie…
En effet, les opprimés, véritables ou immaginaires, chercheront toujours, bien ou mal, à se libérer de leurs oppresseurs. Cette loi n’est pas congolaise : elle est universelle. Lui, notre Père à nous tous, ne nous a pas créé pour être des esclaves les uns des autres, mais Il nous veut vivre comme ce que nous sommes : des frères. En tant que Père, il sait comment infliger des sanctions à ses fils : les obéissants tout comme les désobéissants !

Qui disqualifier


Trouver qui et pourquoi disqualifier, démocratiquement, n’est pas chose facile.  Cela demande du courage, de la détermination, de l’intelligence et de la sagesse.

Ces choses ne nous viennent véritablement que de Dieu seul.  Par le mystère de la nouvelle naissance, d’eau, d’esprit et de feu, nous sommes transformés, enrichis, de gloire en gloire, à l’image de notre modèle : Jésus, le Christ.

Monsieur Kin-Key, frère en Christ ou pas, connait ces choses.  Là où le bas blesse, c’est quand il se livre à l’insulte publique et méchante de la diaspora congolaise.

[12:11:22] Notre contact Skype : Bonjour, Professeur !
[12:11:46] GPAU : Je ne suis pas Professeur !
Je suis assistant de l’Université de Kinshasa…
J’ai été plusieurs fois suppléant, professeur ou chargé de cours dans des institutions d’enseignement secondaire et supérieur à Bunia, Kinshasa et Bruxelles.
Comment vas-tu ‘Notre contact Skype’ ?
Tout indique que tu sois très occupé, vraiment très occupé.  À moins que ton silence ne signifie autre chose…  Laquelle ?
[12:21:22] Notre contact Skype : j’essaie de m’occuper au maximum dans la vie, il y a tellement des choses à faire pour notre nation et surtout pour notre jeunesse…
[12:24:08] GPAU : Juste !
Félicitations !
Dieu te rendra au centuple : c’est sa promesse intouchable.
A tu vu notre réponse aux injures de Monsieur Kin-Kiey Mulumba ?
« Monsieur Kin-Kiey Mulumba, en arrivant à Bruxelles, crache sur les œuvres de la diaspora ; diaspora qu’il accuse de propager des mensonges et à qui il préfère Joseph Hyppolite Kanambe et son gouvernement. À nous de prouver, DEMOCRATIQUEMENT, qu’il a tort !
Notre pays a besoin de pas moins de 950 milliards de dollars chaque année pour être géré de manière responsable et strictement MINIMAL, pendant que le gouvernement de Matata utilise moins de 9 milliards pour le faire.
Le peuple réclame l’impérium, mais Kin-Key utilise la police pour éviter les questions auxquelles il n’aura jamais une seule réponse dans sa vie ; mais en profite pour glisser son élixir de « Kabila Désir ».
Tous les congolais de l’opposition doivent se lever et dire, DEMOCRATIQUEMENT non à ces hommes qui vident notre pays de toute sa substance : les richesses naturelles ET non naturelles ! »
[12:26:19] GPAU : Il a été ici à Bruxelles.
Il s’est mis, comme les autres, sous haute protection policières pour éviter nos compatriotes en courroux : les combattants et les résistants.
Et dans son discours, il insulte la diaspora congolais de propager des mensonges contre le régime de son mentor Kanambe.
Comme si ce n’était pas la diaspora qui se dépensait plus pour les congolais de l’intérieur que le gouvernement dont il fait partie qui n’arrive même pas à mobiliser le centième de ce qu’il faut pour gérer notre pays MINIMALEMENT !
Dites à notre jeunesse la vérité : avec Kanambe au pouvoir, le pays sera vider de toute sa substance.  Nos richesses naturelles ET non naturelles (humaines en particulier) sont saccagées par ce régime et par le gouvernement et le parlement qui le soutiennent.
Espérons qu’ainsi, nous participions à la vraie prise de conscience qui nous conduise à disqualifier, DEMOCRATIQUEMENT, tous ces esclavagistes, colonisateurs, dictateurs et imposteurs qui pullulent dans notre espace politique jusqu’ici.

S’accrocher à la dépendance…


S’accrocher à la dépendance tout en caressant dans nos rêves l’indépendance.  C’est ce que nous faisons depuis 1960.

Il n’y aura pas d’indépendance du Congo sans la répudiation de cette peste qu’est la république et sans adoption d’une union d’états indépendants, avec comme objectif de couper l’herbe sous les pieds des dictateurs et d’assurer le respect des cultures de nos peuples.

La vérité étant têtue, nos flirts avec la dictature ne nous apporterons que malheurs sur malheurs.

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[20:43:48] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: CONGOLAIS UN PEUPLES MAUDIT OU PEREUX  OU ENVOUTER  Le Gouvernement de la République vient de proposer un projet de révision de certaines dispositions de la Constitution de la République, sans préciser à l’opinion lesquels des articles sont particulièrement visés.

A la lumière des contraintes sur l’organisation des élections notamment, provinciales, La Prospérité a choisi de faire un exercice d’intuition avec ses lecteurs. Il se pourrait que cette révision vise, au minimum, quatre articles de la loi fondamentale : 101, 104, 197 et 198. Voici, le contenu actuel de ces articles et devinez avec nous, qu’est-ce qui pourraient être des corrections à y apporter.

Article 101
Les membres de l’Assemblée nationale portent le titre de député national. Ils sont élus au suffrage universel direct et secret. Les candidats aux élections législatives sont présentés par des partis politiques ou par des regroupements politiques. Ils peuvent aussi se présenter en indépendants. Chaque député national est élu avec deux suppléants. Le député national représente la nation. Tout mandat impératif est nul. Le nombre de députés nationaux ainsi que les conditions de leur élection et éligibilité sont fixés par la loi électorale.

Article 104 :
Les membres du Sénat portent le titre de sénateur. Le sénateur représente sa province, mais son mandat est national. Tout mandat impératif est nul. Les candidats sénateurs sont présentés par des partis politiques ou par des regroupements politiques. Ils peuvent aussi se présenter en indépendants. Ils sont élus au second degré par les Assemblées provinciales. Chaque sénateur est élu avec deux suppléants. Les anciens Présidents de la République élus sont de droit sénateurs à vie. Le nombre des sénateurs ainsi que les conditions de leur élection et éligibilité sont fixés par la loi électorale.

Article197 :
L’Assemblée provinciale est l’organe délibérant de la province. Elle délibère dans le domaine des compétences réservées à la province et contrôle le Gouvernement provincial ainsi que les services publics provinciaux et locaux. Elle légifère par voie d’édit. Ses membres sont appelés députés provinciaux. Ils sont élus au suffrage universel direct et secret ou cooptés pour un mandat de cinq ans renouvelable. Le nombre de députés provinciaux cooptés ne peut dépasser le dixième des membres qui composent l’Assemblée provinciale. Sans préjudice des autres dispositions de la présente constitution, les dispositions des articles 100, 101, 102, 103, 108 et 109 sont applicables, mutatis mutandis, aux Assemblées provinciales.

Article 198 :
Le Gouvernement provincial est composé d’un gouverneur, d’un vice-gouverneur et de ministres provinciaux. Le gouverneur et le vice-gouverneur sont élus pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois par les députés provinciaux au sein ou en dehors de l’Assemblée provinciale. Ils sont investis par ordonnance du Président de la République. Les ministres provinciaux sont désignés par le Gouverneur au sein ou en dehors de l’Assemblée provinciale. La composition du Gouvernement provincial tient compte de la représentativité provinciale. Le nombre de ministres provinciaux ne peut dépasser dix. Avant d’entrée en fonction, le Gouverneur présente à l’Assemblée provincial le programme de son Gouvernement. Lorsque ce programme est approuvé à la majorité absolue des membres qui composent l’Assemblée provinciale, celle-ci investit les ministres. Les membres du Gouvernement provinciaux peuvent être, collectivement ou individuellement, relevés de leurs fonctions par le vote d’une motion de censure ou de défiance de l’Assemblée provinciale. Les dispositions des articles 146 et 147 de la présente Constitution s’appliquent mutatis mutandis aux membres du Gouvernement provincial. Il convient de dire qu’il ne s’agit ici que d’une supposition
[20:50:55 | Edited 20:51:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Quel peuple sommes-nous ?
[20:51:17] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Déification éternelle des présidents ?
[20:52:22] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Voilà pourquoi, dans le cadre du Projet 2014, nous disons qu’il n’y aura pas d’indépendance véritable du congolais tant que nous serons sous la république, cette peste qu’il faut vite faire que de balayer de notre pays !
[20:54:56] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Aller, à pas mesurés, vers une union d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale est ce qui nous nettoyera l’espace politique congolais ou de l’Afrique Centrale et nous enlèvera toute velléité dicatoriale, autocratique.
[20:55:48] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Ne pas vouloir l’accepter, c’est, sans le savoir peut-être, caresser d’une main la liberté et de l’autre, s’accorcher à l’esclavage.

Une lueur d’espoir…


Projet 2014,

Nous sommes enfin heureux de voir plusieurs patriotes nous donner raison depuis une semaine ; et ce, dans les faits.  Ils s’attèlent désormais eux aussi à préparer, comme nous depuis 1999, le renversement DEMOCRATIQUE l’imposture de Kinshasa.

Que nos frères de Congo, soutiennent toutes ces formations de l’opposition qui ont enfin compris que le changement n’est ni dans les rues, ni dans les stades, mais bien dans les laboratoires politiques.

Une lueur d’espoir poind donc à l’horizon.  Tirons en profit pour débouter l’imposteur.
Pour ce faire, posez-vous la question suivante ?
Qui est votre prochain président ?
Quelle vision a-t-il pour le Congo ?
Si vous n’avez pas de réponse à ces questions et que vous ne faites rien ; au Projet 2014, nous vous considérons comme tout aussi dangereux que l’imposture que nous décrions !

Que mon Dieu et celui de tous les fils d’Abraham, qui écoute la prière de son serviteur, en soit loué !

Ne plus être dupes…


L’échéance de 2016 est proche. Si rien n’est fait : Kabila ou un des siens passent au pouvoir. Déjà, Tshisekedi est mis en mal et n’arrive pas à remplir son contrat de 2011 avec le peuple congolais, fatigué par les nombreux échecs de l’UDPS et terrorisé par le pouvoir sanguinaire qu’il a choisi ou toléré.

Cette fois-ci, comme avant, ne plus être dupes requiert de notre part de :

1. identifier et promouvoir nos vrais leaders

2. conduire notre développement par projets

Tel est le remède que nous proposons à notre peuple depuis 1999, mais que d’aucuns d’entre nous négligent.

Le futur président du Congo, pour nous mener vers la paix et la prospérité devrait, selon nous, d’abord avoir une vision, un projet de société accepté de tous et le plus complet possible, une mission, pour s’attaquer aux défis auxquels la RDC doit faire face aujourd’hui :

1. La colonisation

2. La dictature

3. L’imposture

4. La trahison

5. La médiocrité

Ce président, nous, nous le voyons vrai chrétien, de bon témoignage, pour avoir une moralité au-dessus de tout ce que les congolais peuvent espérer ; pas de ces chrétiens des églises qu’Epaphras Meok dit – à raison – être du sommeil plutôt que du réveil ;

Ce président, nous, nous le voyons libéral, capitaliste, pour être capable de laisser toutes les initiatives privées congolaises et non pas étrangères s’exprimer, se traduire en une production qui propulse la RDC à la tête des premiers producteurs de plusieurs produits provenant des ressources nombreuses dont nous disposons et que l’imposture pille et spolie ;

Ce président, nous, nous le voyons démocrate, pour, une fois pour toute, couper court aux diatribes entre ceux qui sont incapables d’avoir du respect pour eux-mêmes et pour nos peuples, pour nos compatriotes.

Dans le cadre de nos travaux dans le Projet 2014, nous affirmons d’ores et déjà que cette initiative est pour l’heure un des rares lieux politiques congolais où nous trouvons le souci de rechercher et de promouvoir un tel président ; bien que, nous reconnaissons que nos compatriotes, spoliés par le lumumbisme, le mobutisme, le kabilisme et le josephisme, aient beaucoup de mal à saisir la portée de notre appel, de notre cri, depuis 1999 !

Objectivement parlant, 1994, 1997, 2001, 2006 et 2011 nous ont donné raison. Non seulement nos contradicteurs politiques, mais aussi toute l’opposition ou presque, reconnait aujourd’hui la valeur de nos analyses du passé. A ne pas nous suivre, le pays a, coup sur coup, opéré les pires des choix politiques de l’histoire de notre pays, depuis 1960 ! Le résultat en est la responsabilité collective que nous portons de la mort de ces millions de compatriotes et d’étrangers sur notre territoire où ils étaient en droit d’attendre de nous une protection, non seulement de leurs biens ou avoirs, mais aussi de leurs personnes physiques et morales !

Notre appel aujourd’hui demeure ce qu’il est depuis 1999 (http://www.paluku.net/2014, http://projet2014.com) :

1. commençons par identifier nos vrais leaders et par les promouvoir ;

2. sous la houlette de ces leaders, conduisons notre développement par projet et non pas par à-coups ni par caprices.

Dans cette logique, tout congolais, qui prétend être présidentiable doit pouvoir nous montrer son projet de société et nous convaincre de sa robustesse, complétude et démocratie ;

Son passé doit démontrer de son engagement indéfectible pour la cause de bien-être du congolais ;

Il ne peut avoir ni du sang congolais ni du sang étranger sur ses mains ;

Ses capacités à PRESIDER aux destinées de la nation doivent être objectivement non pas démontrables, mais démontrées ;

Son sens et son exercice – connus – de la justice doit le mettre au-dessus de la mêlée…

Ce sont-là, les raisons pour lesquelles, avec Albert Muya, nous avons entamé de pousser notre peuple à exiger de nos acteurs politiques la publication de leurs identités et aussi de leurs implications dans la recherche du bonheur des congolais. Cette façon de faire, pensons-nous, permettra à tous les hommes véreux d’avoir difficile à tromper notre peuple comme par le passé. Nous notons, sans surprise, que plusieurs de nos acteurs politiques aient difficile à se livrer à cette démarche et nous attirons l’ATTENTION de notre peuple sur ce SIGNE qui ne trompe pas !

Ce sont là aussi les raisons pour lesquelles nous encourageons nos compatriotes à soutenir des projets tels que ceux de la 3ème Voie, où une idéologie claire et une démarche résolue et ferme sont susceptibles de porter du fruit en termes de changement de mentalité et de comportement. A une condition toutefois : l’évitement de toute compromission avec des hommes qui portent la marque de flétrissure à leur front.

Plusieurs autres organisations de congolais, ont abattu un travail louable, qu’il faut finaliser, achever tout en l’améliorant : les combattants et résistants, l’APARECO, Mai-Masi, Enyele, etc.  Ces améliorations intéressent surtout : leurs projets de société, leurs visions, leurs missions, leurs méthodes de travail, la qualité de la ressource humaine, l’esprit d’unité et de démocratie…

La RDC vivra. Cependant, pas à n’importe quelle condition. Il nous revient de corriger nous-mêmes nos erreurs du passé qui ont consisté à commettre à la gestion de la chose publique des hommes véreux qui ne pouvaient que nous offrir ce qu’ils ont offert et que certains oublient déjà : l’insécurité et la pauvreté : morales et matérielles.

Eugène Diomi Ndongala : parlysé ?


Si Diomi Ndongala meurt demain, n’accusons pas que Joseph Hyppolite Kanambe.

Nous n’avons rien fait pour le dissuader de rester à Kinshasa après sa libération.

[17:36:28] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS Réunis en assemblée plénière du 24 au 28 juin à Kinshasa, les évêques membres de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) ont démis l’abbé Malu-Malu de ses fonctions de directeur général de l’Institut panafricain Cardinal Martino. La Cenco indique que cette décision est consécutive à la désignation de ce prêtre comme président de la Commission électorale nationale indépendante malgré la mise au point de la conférence épiscopale du 13 mai dernier.
Cette mise au point rappelait « les normes de l’Eglise catholique et la position commune de évêques qui interdisent formellement aux ecclésiastiques dans notre pays de prendre activement part aux partis politiques et associations à caractère politique ainsi qu’à la direction des institutions étatiques, quel qu’en soit le niveau, chargées d’organiser les élections dans notre pays ».
« En cohérence avec ces normes, indique la Cenco dans un communiqué publié ce samedi 29 juin, les évêques réaffirment qu’ils n’ont présenté aucun ecclésiastique à la Ceni ».
Dans le même document, la Cenco indique également que l’abbé Malu-Malu « qui a opté d’œuvrer au sein de la Ceni sera pris en charge par son évêque qui appliquera à son endroit les sanctions canoniques qui s’imposent ». L’abbé Malu-Malu est du diocèse de Butembo-Beni.
« Ce cas déplorable de Mr l’abbé Malu-Malu a donné aux évêques membres de la cenco, l’opportunité d’exhorter et de rappeler à tous les ecclésiastiques (prêtres, religieuses et religieuses) la noblesse de leur identité dans l’Eglise et l’impératif d’honorer ses exigences dans leur vie et leur ministère », ajoute le communiqué.
Le 13 mai dernier, le deuxième secrétaire général adjoint de la Cenco, abbé Félicien Mwanama, avait déclaré que les prêtres et religieux qui seront désignés membres de cette commission iraient à l’encontre « des dispositions canoniques » de l’Eglise catholique. Mais, avait-il précisé, un évêque peut, « à certaines conditions », accorder une dérogation à un prêtre pour se porter candidat.
Au début du mois de juin, l’Assemblée nationale a entériné la composition de la commission électorale, portant l’abbé Malu-Malu à la présidence de cette institution.
[17:53:27] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS ALLERTE ROUGE DANGER   FLASH: DIOMI NDONGALA GRAVEMENT MALADE ET SOUMIS A UN TRAITEMENT DANS DES CIRCONSTANCES DANGEUREUSES POUR SON INTEGRITE PHYSIQUE

par mpp le 29 juin 2013

Majorité Présidentielle Populaire : MPP
COMMUNIQUE DE PRESSE.
Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA, Président National de la Démocratie Chrétienne, Député de l’opposition irrégulièrement invalidé et porte-parole de la Majorité Présidentielle Populaire (Plate-forme de soutien au Président Etienne TSHISEKEDI), détenu arbitrairement par le salaud rwandais hypolite kaknachiens alias KABILA dans la prison de MAKALA et soumis a un  harcèlement politique violent depuis longue date,   est depuis 13H00 gravement malade.
Son épouse PATRIZIA DIOMI on vient d’être appelée par la prison de Makala pour envoyer d’urgence un produit injectable et des seringues pour son mari car son corps est comme paralysé et il ne peut plus bouger.
Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA est actuellement à l’hôpital de la Prison.
La Majorité Présidentielle Populaire, rendra au salaud rwandais hypolite kanachiens alias Joseph KABILA responsable de tout ce qui arrivera de Mr. Eugène DIOMI NDONGALA.
[19:29:45] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Un patriote a dit : on ne peut être opposant et se mettre autour d’une table avec un imposteur ou un tricheur !
L’ennuie est que :
1. l’apareco ne met pas sur la table les preuves de la non-congolité de Kanambe ;
2. l’UDPS ne met pas sur la table les vrais résultats, selon elle, des élections de 2011.

Dans le cadre du Projet 2014, nous proposons à l’opposition claire et net, comme par le passé : pas de négociation avec un colonisateur, un imposteur, un dictateur, un traître, de quelque bord qu’il soit.
Cette façon de faire nous garantira :
1. de ne pas être aux élections tant que des intrigues persistent dans leur organisation ;
2. de disqualifier définitivement les hommes véreux que nous avons commis, nous-mêmes, congolais, à la gestion de la chose publique !

Jeunesse : levons-nous et agissons ! (3)


Pourquoi ne fêtons-nous pas le 30 juin ?

Demain est la journée de la fête de l’indépendance qui nous aurait déjà coûté 6 à 12 millions que d’autres comptent pour nous !

Jeunesse congolaise, réfuse d’avoir un avenir compromis par de papa qui veulent éternelement.

Suivez une partie de la campagne que nous menons sous Skype et Facebook.

Vous pouvez appuyer l’initiative.

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[10:50:22] JAO: Bonne fête de l’indépendance en Bruxelles

[11:52:15] GPAU: Bonne fête ?

[11:52:22] GPAU: Qu’est-ce qui te prends ?

[11:52:37] GPAU: Où vois-tu le congolais indépendant ?

[11:53:13] GPAU: Avec des congolais qui enlèvent aux autres congolais leur nationalité ?

[11:55:01] GPAU: Avec un imposteur et incompétent à la tête du pays ; des assassinats, des meurtres, des viols, de vols, de populations déplacées, décimées, privées de leurs libertés et de la paix ; toi tu es en fête ?

[11:55:33] GPAU: Je n’ai jamais fêté le 30 juin !

[11:55:37] JAO: Ce malheureux mon frère maintenant vous avez quelle nationalité

[11:57:50] GPAU: Je réfléchis à comment faire pour convaincre mon peuple de traduire en justice les assassins de Lumumba, Tshombe, Chebeya, Tungulu et autres ; à traduire en justice ce qui s’arroge le droit de me priver de ma nationalité !

[11:58:40] JAO: Même moi mon frère j’en ai marre avec

[11:58:40] GPAU: Et toi, je pensais que tu étais à notre côté dans cette lutte pour l’indépendance des peuples du Congo !

[11:59:00] GPAU: 2016 approche, allez-vous commettre encore la même erreur ?

[11:59:15] GPAU: Malu Malu est déjà mis en place…

[11:59:31] GPAU: Vous irez encore à ces élections-là aussi ?

[12:00:27] GPAU: Ce serait très dommage et appeler une malédiction sur une autre !

[12:00:33] JAO: Moi non je n’irai

[12:01:00] JAO: Vraiment ce drôle d’histoire

[12:02:33] JAO: Ce pourquoi je dois tjrs les dénoncer

[12:03:47] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:03:48] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:04:46] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:04:47] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:05:09] JAO: Papa je suis derrière vous

[12:05:52] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:05:53] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:29] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:06:30] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:07:36] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:07:37] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:08:14] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:08:15] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:09:53] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

[12:09:55] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

Jeunesse : levons-nous agissons !


[28-06-13 14:54:47] JB: salut

[28-06-13 14:56:11] GPAU: Bonjour, plutôt !

[28-06-13 14:56:41] JB: Merci, comment vs allez?

[28-06-13 14:58:41] GPAU: Oui ! Il est un silence qui est d’or. Non ! Il est un silence qui relève de l’irresponsabilité, de la compromission ou d’un autre vice.

[28-06-13 14:58:56] GPAU: Justin, que pourrions-nous faire ensemble ?

[28-06-13 14:59:52] GPAU: Laisse toujours un message si ne je suis pas là. Un bonjour tout court ne suffit pas, me laisse toujours sur la soif d’apprendre… Surtout, de ce que nous pourrions faire ensemble !

[09:52:45] JB: Bonjour,

[09:53:51] JB: Merci bien pour votre message et je compte faire cela.

Où êtes vous actuellement?

[12:14:38] *** Call from JB, duration 01:15. ***

[12:16:42] *** Call to JB, duration 07:46. ***

[12:24:43] GPAU: http://www.paluku.net/2014

[12:24:55] GPAU: Reviens à moi avec des propositions !

[12:25:29] JB: bien compris

[12:25:36] GPAU: Nous n’avons pas de temps à perdre : le pays se meurt à cause de notre passivité !

[12:26:15] GPAU: Levons-nous et disons à nos pères qui se sont fourvoyés qu’ils ont mis votre avenir, vous, la jeunesse, en hypothèque !

[12:27:36] JB: Bien, je crois que je vais sacrifier un peu de mon temps pour y réfléchir suffisamment. Bon weekend

Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA


Décidemment, l’Amérique Latine a sa façon de défendre son indépendance, sa souveraineté.  C’est le tour de l’Equateur de dire aux américains qu’ils n’aient pas le monopole de leçon à donner aux autres pays de la terre.  Cette façon de faire lui réussit-elle et comment pouvons-nous le voir ?

La question qui se pose est : quel est l’état réel du respect des droits de l’homme en Equateur et aux Etats-Unis et comment le savons-nous ?

Plus utilement encore, quel est l’état du respect des droits de l’homme en RDC et que faisons-nous pour son amélioration ?  2016 approche et les partis politiques ne bougent pas.  Ceux de l’opposition particulièrement, pendant que le pouvoir prépare bien ses cartouches…

A Projet 2014, nous affirmons que le non respect des droits de l’homme en RDC est principalement la conséquence directe de nos malheureux choix politique depuis les années 60 et particulièrement de l’adoption de la République comme modèle d’organisation de la politique dans notre pays fortement multiculturelle et d’origine coloniale.

C’est pourquoi, nous proposons à tous ceux qui croient comme nous en la nécessité d’un changement d’attitudes de notre part et en celle d’un passage de la république vers une union d’états indépendants au Congo, de ce joindre à nous, pour forcer la dictature, l’imposture et le colonialisme à la capitulation ; de peur que nous ne les écrasions de force ; parce que, contre la volonté de notre Dieu et de notre peuple, il n’est aucune force qui ne puisse résister !

Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA.

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