Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

Pourquoi une nouvelle armée, fédérale ?


[25/7, 07:40] René Baraka Timolo: Pourquoi une armée fédérale ?
[25/7, 09:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Réfléchissons aux conditions de protection de notre territoire national, René.
Quelles sont-elles et pourquoi ?
Si nous sommes dans la confusion, utilisons les cartes heuristiques : seuls ou dans des groupes de 3 à 5 personnes.
Nous tomberons sur l’armée fédérale, je pense !

Sécuriser notre territoire.


D’aucuns se demandent comment sécuriser rapidement et efficacement notre territoire ?

Des frontières se dressent dans le pays par les forces de l’ordre et par des rebelles au régime de Kinshasa. Personne ne proteste contre cette exploitation de notre peuple. Le pays est gangrené, entre autres, à cause de ce néo-colonialisme!

[24/7, 10:22] +243 823 986 222: Mambasa : des services fonctionnant illégalement à la barrière de Biakato Mayi déguerpis par le commandant des opérations Sokola 1
https://lavoixdelituri.com/mambasa-des-services-fonctionnant-illegalement-a-la-barriere-de-biakato-mayi-deguerpis-par-le-commandant-des-operations-sokola-1/

[25/7, 07:10] G. Paluku Atoka Uwekomu: Des barrières à l’intérieur du pays, alors que celles qui nous séparent des pays des EAE doivent être supprimées ? Nous sommes colonisés et esclavagisés par Kinshasa ; comme nous l’avons toujours dit, parce que nous le laissons faire, impunément.
Assurer l’ordre public et la sécurité du pays dépasse nos hommes, véreux, de Kinshasa ; et eux aussi dressent des barrières ça et là, pour rançonner notre polpulation, pendant qu’ils nous envoient des inconnus, dans le Kivu et l’Ituri, particulièrement ?
Il est important que chaque localité congolaise soit libre d’accepter ou de refuser un allochtone sur son territoire pour combattre la spoliation de notre territoire, après que ayons légiféré sur cette quetion épineuse, mais simple à traiter. Les ennemis du Congo – nationaux et étrangers – profitent des failles de notre législation pour tout se permettre.

Qui cherche à tuer ?


Cher frère,

Les chinois et les français auraient voulu tuer les noirs avec le COVID…


Les mêmes chinois enverraient des aliments empoisonnés aux noirs d’Afrique et de la diaspora…

En Belgique comme en Amérique du Nord, il est prouvé que les chinois et les islamistes cherchent effectivement à empoisonnés leurs ennemis qui sont les chrétiens (pour ce qui est des communistes et islamistes) et les noirs (les chinois extrémistes et les racistes occidentaux).
Soyez donc très prudents, extrémement prudents !

Des poisons sont injectés dans des aliments, dans des médicaments. On les retrouvent partout : en Afrique et dans l’Occident aussi !

Penser qu’il n’y aurait que des noirs visés, c’est vivre dans l’ignorance de ce qui se passe dans le monde actuellement. C’est la raison pour laquelle l’Afrique doit tout faire pour maîtriser la science et la technologie pour se libérer et se protéger contre ses ennemis.
Dans nos pays d’Occident, le contrôle des aliments et des médicaments est devenu compliqué, en raison du nombre des produits déversés sur le marché par des criminels, tous les jours.
Nous constatons que les industries qui participent à ces actes ne sont pas poursuivis : tels les laboratoires franco-chinois qui seraient à la base du COVID ! Certains mettent en garde contre l’usage des masques chinois… Les nations se divisent.

Nous comprenons vite pourquoi, le Roi du Sud battra celui du Nord, selon la Bible !

Goma : l’émotion ou la raison ?


🔥🔥ALERTE ALERTE🔥🔥

ÉVACUATION TOTALE DE PLUSIEURS QUARTIERS DE LA VILLE DE GOMA

Les données scientifiques prouvent que la ville de Goma est très en danger, une éruption à terre ou sous le lac.

Les quartiers qui doivent se vider d’urgences des habitants sont les suivants:

  • Quartier Majengo
  • Quartier Mabanga Nord
  • Quartier Mabanga Sud
  • Quartier Bujovu
  • Quartier Virunga
  • Quartier Murara
  • Quartier Mapendo
  • Quartier Mikeno
  • Quartier Kayembe
  • Quartier le Volcan.

Sur instruction obligatoire du Gouverneur dans son message lu cette nuit sur la chaîne nationale la RTNC/Goma, tous les habitants de ces quartiers doivent quitter d’urgence vers la cité de Sake.

Prenez toutes les dispositions nécessaires dans le calme.

Armée et médiocrité…


[03-10-14 17:59:49] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Malgré sa suspension et des soupçons de haute trahison qui pèsent sur lui après la chute de Goma, Amisi a continué de bénéficier, sans être inquiété, de la protection du président Kabila du fait sans doute de bons liens qu’il entretient avec celle qu’une certaine opinion présente comme étant la mère biologique du président, Sifa Mahanya. A ce jour, aucune action judiciaire n’a été initiée à l’encontre du général Amisi. L’auditorat militaire ne peut pas l’auditionner au motif qu’aucun magistrat n’a le grade équivalent à celui du général-major Amisi pour pouvoir le juger. Une situation similaire à celui du général John Numbi dans l’affaire Chebeya. Selon les dispositions de la loi portant statut du militaire, les accusations qui pèsent sur le général Amisi relèvent de haute trahison et sont passibles de la peine de mort au regard de l’article 128 du code pénal militaire[17].

C’est ainsi qu’à la surprise générale de l’opinion publique nationale et internationale, le Conseil supérieur de la Défense, présidée par Joseph Kabila, vient de le laver de tout soupçon. Et pourtant aucune instruction judiciaire transparente, indépendante et crédible n’a été menée à sa charge ou sa décharge. Après avoir brillamment échoué dans sa tentative de créer une cohésion nationale autour de sa personne à la suite des concertations en vue de se donner une légitimité devant éventuellement lui permettre de bénéficier d’un large consensus national en faveur d’un troisième mandat consécutif, tout porte à croire que la réhabilitation de Tango Four entrerait dans une stratégie alternative de cohésion négative que Joseph Kabila mettrait en place lorsqu’il faudra affronter les contestataires dans son plan de se maintenir ad vitam aeternam au pouvoir en RDC.

Pourtant la haute hiérarchie militaire des FARDC a reconnu la trahison de certains officiers

Après la défaite de Novembre 2012, face à la pression populaire croissante, l’état-major-général des FARDC a organisé du 04 au 16 février 2013, une session (3ème) du séminaire sur la réforme des FARDC. Ce séminaire, qui a réuni 113 officiers supérieurs et généraux issus de toutes les régions militaires, des commandements, zones et secteurs opérationnels et de différents états-majors des forces armées, a porté sur l’analyse des causes des contre-performances des FARDC lors des opérations à l’est de la RD Congo en 2012. Le rapport de synthèse élaboré à cet effet a énuméré les causes profondes de la défaillance des FARDC à Goma en novembre 2012, parmi lesquels les faits suivants (Les détails de ce rapport sont à lire dans notre ouvrage à paraître) dont certains qualifiés de haute trahison : Planification : insuffisante à tous les niveaux (stratégiques, opérationnelles et tactiques) ; Délais d’intervention et de renfort trop larges ; Pas de relève (sure des unités) ; Prélèvements illicites et dispersion des forces. Conduite de la bataille : Pas de coordination efficace durant les actions ; Découragement dans la prise d’initiative au combat par les autorités ; Intervention récidivée des ordres de trêve et cessez-le-feu à chaque fois que les troupes amies sont en position avantageuse. Commandement et Contrôle des unités au Combat : Désorganisation totale du commandement ; Complaisance dans les désignations des cadres de commandement (favoritisme, népotisme, tribalisme et clientélisme – Connotation politique de l’avancement – Distribution fantaisiste et discriminatoire des grades ) ; Incompétence et insuffisance de formation militaire de beaucoup de cadres de commandement (illettrés, pas ou peu formés, troupes peu ou pas du tout formées) ; Commandements parallèles (multiplicité des centres de commandement) ; Amalgame des structures et dysfonctionnement des multiples chaines de commandement (ordres contradictoires, refus d’ordres) ; Détournements, affairisme, trafic d’influence, fraude, braconnage, etc.) ; Trahisons, déloyauté, suspicions et manque de crédibilité. Discipline : Insubordination impunie (refus de mutation) ; Non-respect de la voie hiérarchique. Malgré ce réquisitoire de l’autoévaluation de l’armée, personne n’a été sanctionnée.

Lutter contre l’impunité est la seule réponse crédible que Kabila peut donner aux Congolais

En juillet 2013, les médias ont largement salué la volonté de Kabila de prendre la réforme des FARDC en main lors de la publication de la loi portant statut du militaire des FARDC. Une loi essentielle à la modernisation des FARDC. Cette loi établit notamment le régime disciplinaire du militaire, nécessaire pour un pays confronté quasi en permanence, depuis son indépendance, à des mutineries, des rébellions, aux graves problèmes d’indiscipline et aux infractions liées aux crimes de guerre et violations de divers droits humains par les hommes en armes, particulièrement durant ces deux dernières décennies.

Cependant, à titre d’exemple, la loi dans son article 240 sanctionne au Point 9 : « le fait pour l‘officier ou sous-officier de présider ou d’être membre d’une association sportive civile ou autre association à caractère politique ou tribal ». Le cas du général Gabriel Amisi dit « Tango Four », l’ancien chef d’état-major de l’armée de terre continue à exercer cumulativement ses fonctions de président des clubs de football Maniema Union et AS Vita Club de Kinshasa, tout en étant repris dans le cadre organique des FARDC.

On peut également noter le point 10 de ladite loi qui sanctionne : « le fait de piller et/ou de se mutiner». Ce point constitue une base de légale d’une grande importance pour traiter le cas le cas des mutins du M23 et d’autres rébellions qui écument à l’est de la RDC. A la place, le régime Kabila, a choisi la voie de l’impunité en amnistiant principalement les ex-combattants et cadres du M23.

DESC est convaincue que la cohésion nationale ne peut se faire dans l’impunité. Il n’ y aura pas de véritable réconciliation en RDC sans justice. Aussi, DESC soutient l’initiative de l’ONU de voir une enquête judiciaire indépendante et crédible être diligentée contre tous les soupçons de crimes imputés à Gabriel Amisi. A l’instar l’enquête concernant l’assassinat odieux du Colonel Mamadou Ndala, rangée dans les tiroirs, DESC se dit prédisposée à offrir son expertise et ses services pour permettre à la justice de mener une enquête indépendante, en signe de respect des victimes présumées des forfaitures imputées à Amisi Tango Four.

La réhabilitation sans aucune autre forme de procès de Gabriel Amisi, le boucher de l’est du Congo, par Kabila et sa nomination comme commandant de la 1ère zone de défense est un mauvais signal donné par Kabila qui au lieu de privilégier la cohésion nationale également au niveau de l’armée où certaines frustrations et plaies du passé ne sont loin de se cicatriser. Le président congolais opte plutôt pour une cohésion négative autour de sapersonne dans le cadre d’une éventuelle perspective apocalyptique de sa fin de mandat en 2016. Pour y arriver, il ne peut que compter sur la cinquième colonne rwandaise infiltrée dans les services de sécurité congolais et quelques naïfs katangais de service de la GR, ANR et Démiap auxquels se joignent des « intellos » antipatriotiques, du ventre creux comme Boshab, Kin Kiey, Mende, Minaku, etc.
[03-10-14 18:14:24] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: LA PAROLE DE CHARLES BLE GOUDE SUIVEZ CA SVP http://www.youtube.com/watch?list=UU183T5VoMh5wISSdKPaMgRw&v=2GzgaBqV9hU&feature=player_embedded

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