Restituons les enfants à qui de droit !


Pas tout à fait vrai ! Les plus grands chefs rebelles du Congo sont des universitaires.

Ceux qui ont ravivé les guerres tribales anciennes, au Kivu et en Ituri, sont tous des universitaires.

Les penseurs de la dictatures au Congo, ne sont pas les ignares, mais bien des PHD.

Les grands faux prophètes du monde ne sont pas les fetcheurs de nos villages, mais nos théologiens, comme à l’époque de Christ.

Au Projet 2014, nous montrons que l’école napoléonienne a abruti plusieurs Congolais. Cependant, nous devons nouancer cette ONSERVATION OBJECTIVE.

En effet, si le Congo a des problèmes, il faut le reconnaître, c’est parce que la maturité spirituelle, intellectuelle, scientifique et culturelle de notre population et de notre classe politique est très douteuse, même chez ceux qui ont été aux études post-universitaires. C’est pour cela que nous estimons que nous devons revoir sérieusement notre système éducatif.

Les enfants endoctrinés dans nos écoles, nous reviennent avec une culture qui laisse à désirer : vol, mensonge, prostitution, méchanceté, intolérance culturelle, aliénations mentales, morales et spirituelles de toutes sortes.

Nos enfants sont tous désormais mal éduqués, inciviques, meurtriers même.

À 40 ans, la plupart de nos hommes et de nos femmes sont incapables de tenir un foyer. Ils ne savent ni faire le ménage ni même entretenir une vie sexuelle ou sociale digne ! De plus en plus, nous rencontrons des hommes de 50 ans qui se comportes dans les rues commes des enfants de 8 ans !

Seuls quelques esprits bien nés font la différence. L’observation montre vite que ces hommes proviennent des familles qui ont conscience de la dangerosité de notre système éducatif et qui ont su armer leurs enfants contre celui-ci. Je connais des parents qui ont abandonné leur travail pour éduquer eux-mêmes leurs enfants à la maison.

Mon expérience dans ce domaine est instructive. Depuis mon divorce d’avec mon ex-épouse, nos enfants qui étaient des champions dans leurs écoles ont tous commencé à connaître des difficultés scolaires puis académiques graves, inédites. Ce n’est pas tout… Les vies de mes propres cadets ont été brisés par une polygamie qui est venue briser le processus éducatif familial que l’école napoléonienne ne pouvait remplacer valablement ! Aucun de mes cadets n’a pu aller plus loin ni dans les études ni dans la vie professionnelle, malgré le potentiel économique familial.

Non, Pacifique : nous devons mettre l’école napoléonienne et la famille à leurs places. Il faut arrêter de confier l’éducation de nos enfant à des étrangers à notre culture. L’État doit arrêter de s’approprier nos enfants et bourrer leurs esprits des négativités. Il est question de restituer le naturel dans notre société : rendre les enfants à leurs géniteurs et ne pas les vendre à un État ; surtout lorsque nous peuple ne souscrivons pas à son projet de société.

C’est donc une révolution culturelle qu’il nous faut. Ce pourrait être réduire tout de go, de 50% le temps passer par nos enfants entre les mains des bandits politiques, qui n’en sont pas les géniteurs ni les garants du bonheur, après une étude soignée !  Bandits qui utilisent, lâchement, nos enfants pour faire leurs fortunes.

Si personne ne se lève !


Si nous, Congolais, continuons à nous méprendre sur notre responsabilité dans ce qui arrive à notre pays, soudain, le pays partira en fumée.

Soyons clair : nous devons rapidement nous atteler à  obtenir ceci, pour éviter que la colère de Dieu ne se déverse sur nous et sur nos « innoncents » enfants.

  • Extirper la fausse religion du pays et son idolâtrie.
  • Nous débarrasser de tous les parlementaires véreux que nous nous sommes choisis.
  • Nous débarrasser de la République, de la MONUSCO, de la CENI et de la dualité de pouvoirs dans le pays, pour ne garder que le pouvoir actuellement dit coutumier.
  • Nous mettre autour d’une table pour décider de ce que nous voulons faire du Congo et de la manière dont nous voudrions procéder.

La patience de Dieu a ses limites : chers frères !

L’avenir du Congo et de la Russie : au-delà de l’armement


Les besoins de nos États

Comme le Congo n’a pas besoin d’armes. Signer des contrats avec quelque pays que ce soit, pour l’armement de notre état, revient à ignorer nos besoins. C’est mépriser et insulter notre peuple. Notre Gouvernement, la Présidence de notre République, ainsi que notre Parlement connaissent bien cette donne. Nos fils commencent doucement à se lever. Ils ont compris que les offres et commandes d’armements tiennent à la colonisation. Ils savent que c’est du pillage de nos ressources de tout genre.  Nos pas nos ressources naturelles seulement, mais aussi nos ressources humaines, culturelles, politiques, technologiques, économiques. Lorsqu’ils en seront capables, une guerre s’enclenchera automatiquement.  La RDC gagnera cette guerre, en raison de l’intelligence et de la sagesse qu’elle déploiera sur le champ de bataille.  Parce qu’en ces temps-là, comme toujours, Dieu se mettra du côté du converti à la vérité.

Plusieurs chemins mènent à Rome, mais n’ont pas le même coût !

En attendant que les Congolais se décident à se réveiller, le Projet 2014 continue à indiquer les pistes.  Les voies qui susceptibles de mener au salut de la RDC. Un pays qui pour l’heure, a choisi le chemin de la perdition, de l’idolâtrie.  Joignant prières et travail, nous avons l’assurance d’arriver à la victoire.  Nous arriverons à bout de notre ennemi Satan et de ses suppôts humains.  Ils nous combattent, jour et nuit, mais ne se doutent pas de leur prochain échec.  Dieu, comme promis, aveugle les orgueilleux et ceux qui versent continûment dans l’iniquité.  Peu sont nos politiciens capables de comprendre, mieux, d’accepter cette donne.  Au Congo comme en Russie, par exemple, nos peuples et nos dirigeants traînent.  Beaucoup se livrent à des orgies qui ne trompent plus les congolais éveillés, nés de nouveau.  Travailler sur base d’un respect Dieu, de nos peuples, ses créatures, les dérange.  Cela revient en effet, pour eux, d’accepter de perdre des avantages qu’ils ont cumulés, engrangés.  Ils ont longtemps misé sur les convoitises, l’égoïsme, la peur, l’ignorance.  Ils ont exploité à souhait la trahison, la méchanceté et la malhonnêteté de nos peuples.  En clair, nous souffrons de mêmes maux, défauts, caractères.  Que fera Dieu dans les années qui viennent ?

Quel est la place de Dieu dans tout cela ?

Parce qu’ils refusent de reconnaître son amour des siens, Dieu sanctionnera les rebelles.  Il suscitera des  congolais sages et intelligents.  Ceux-ci redresseront bientôt le pays.  Un pays malade à cause de la trahison de son Dieu, de son investissement dans l’idolâtrie.  Qu’est-ce à dire concrètement ?  Que se passera-t-il au juste ? Pour y répondre, pensons à ceci. Que s’est-il passé en Angola, au Mozambique, au Cambodge, en Irak, au Cuba ? Où en sont l’Afrique du Sud, l’Argentine, Israël, l’Ukraine, le Kosovo, l’Egypte ou la Libye ? Les histoires de ces pays doivent nous apprendre.

Bien avant le jugement dernier…

Un investissement de quelque pays que ce soit ne portera du fruit qu’à une condition. Il devra mettre l’armement au second plan et non pas au premier plan.  C’est ici la parole de Dieu.  Les pays partenaires de la RDC, tels que la Russie, les EUA, la Chine sont concernés.  C’est aussi le cas des Corées, du Japon, de Taïwan, de l’Inde, de l’Arabie Saoudite.  Tout comme il en sera des Émirats Arabes Unis, du Brésil, du Canada et du Royaume-Uni.  De la même manière, seront traités la France, l’Australie et  l’Asie de l’Est.  Il n’en sera pas autrement en 2024, qu’à l’époque des israélites.  La publication suivante, illustre comment l’on peut mal investir.

Pourquoi la Russie ne propose-t-il, généralement, que des armes d’abord ?

Nous pouvons, ensemble, chercher à bien valider puis à répondre à cette question.

Bon réveil,  bonne journée ?


Bon reveil a toute la famille.


Merci, chère patriote, chère combattante, l’élue, la fille de mon Père !

Quand je pense que nous avons fui le pays du soleil, de l’étoile, de la lune, de la pluie, de l’or, du cuivre, de l’uranium, du manganèse, du souffre, du pétrole, de la mangue, de la goyave, de la cassiterite, du coeur de beuf, de la nèfle, du mil, du sorgho, du mercure, du coltan, de la papaine, du diamant, du fer, du rubis, de la banane, du haricot, de l’argile, de la pomme de terre, du maracouja, du soja, de l’ébène, du cyprès, de la gorille, du chien, de la chèvre, du porc, du lapin, de la coline et de la vallée, d’interminables ressources, je ne vois plus qu’une seule chose à faire : nous départir du traître de notre nation et de notre terroir, combattre le destructeur.

Bonne journée à toi aussi !

La gestion des paradigmes…


C’est vrai, la gestion des paradigmes dans divers domaines d’activité nécessite une compréhension approfondie et une expertise spécifique. Chaque domaine, qu’il s’agisse de la politique, de la science, de la philosophie, de l’administration ou de la religion, a ses propres paradigmes ou systèmes de pensée qui guident la façon dont les individus dans ces domaines perçoivent le monde et prennent des décisions.

  1. Politique: Les paradigmes politiques peuvent inclure des idéologies comme le libéralisme, le conservatisme, le socialisme, etc. Ces paradigmes influencent la façon dont les politiciens et les décideurs politiques abordent les questions de gouvernance et de politique publique.
  2. Science: Dans le domaine scientifique, les paradigmes peuvent se référer à des théories ou des modèles acceptés qui guident la recherche et l’expérimentation. Par exemple, le modèle standard en physique des particules est un paradigme qui guide la recherche dans ce domaine.
  3. Philosophie: Les paradigmes philosophiques peuvent inclure des écoles de pensée comme le réalisme, l’idéalisme, le pragmatisme, etc. Ces paradigmes influencent la façon dont les philosophes abordent les questions fondamentales de la réalité, de la connaissance et de l’éthique.
  4. Administration: Dans le domaine de l’administration, les paradigmes peuvent se référer à des modèles de gestion ou de leadership, tels que la gestion autocratique, démocratique ou laisser-faire.
  5. Religion: Les paradigmes religieux peuvent se référer à des croyances ou des doctrines spécifiques qui guident la pratique religieuse et la spiritualité.

La capacité de naviguer efficacement dans ces paradigmes nécessite non seulement une connaissance approfondie de chaque domaine, mais aussi la capacité de comprendre comment ces paradigmes interagissent et se chevauchent souvent dans le monde réel. C’est un défi que seules quelques personnes sont capables de relever efficacement.

Notre devoir est de nous assurer que nos enfants soient bien instruits sur les questions abordées en toute indépendance spirituels, dans des systèmes d’éducation respectueux de nos cultures, pour éviter des choques culturels qui rajouent à notre insécurité actuelle.

La pauvreté continuera !


À la question de savoir « quels sont les objectifs du millénaire de développement », les OMD, qui n’ont pas été atteints et ceux qui l’on été et pourquoi, voici la réponse que fournit le Copilot. Elle doit nous faire réfléchir, avant même que nous n’entrions dans des documents plus descriptifs des détails des réponses fournies.

Dans le cas de notre pays, nous pouvons également affirmer que la pauvreté continuera, parce qu’aucun gouvernement n’ose se fixer des objectifs SMART, définir une stratégie efficiente pour les poursuivre ni mobiliser les ressources nécessaires pour réussir les projets ; exactement comme ce le fut des OMD.

« Les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) étaient huit objectifs définis lors du Sommet du Millénaire en 2000, où les dirigeants de 189 États Membres se sont engagés à réduire l’extrême pauvreté et à construire un monde plus sûr, plus prospère et plus équitable d’ici à 20151. Voici un aperçu des progrès réalisés :

  1. Réduire l’extrême pauvreté et la faim : La cible de réduction de moitié de l’extrême pauvreté dans le monde a été atteinte. Cependant, la faim persiste dans certaines régions.
  2. Assurer l’éducation primaire pour tous : Des progrès ont été réalisés, mais des défis subsistent, notamment en matière d’accès à l’éducation pour tous les enfants.
  3. Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes : Des avancées ont été faites, mais les inégalités persistent dans de nombreux domaines.
  4. Réduire la mortalité infantile : Des progrès manifestes ont été réalisés dans la réduction de la mortalité infantile, mais des efforts supplémentaires sont nécessaires.
  5. Améliorer la santé maternelle : Des progrès ont été réalisés, mais la mortalité maternelle reste un défi majeur.
  6. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies : Des traitements ont été étendus, mais ces maladies continuent de menacer la santé mondiale.
  7. Assurer un environnement durable : Des développements encourageants ont eu lieu, mais la protection de l’environnement reste un enjeu crucial.
  8. Mettre en place un partenariat mondial pour le développement : Des progrès ont été réalisés, mais il reste des inégalités dans la coopération internationale2.

En somme, bien que des succès aient été enregistrés, certains objectifs n’ont pas été pleinement atteints. Les raisons varient, mais elles incluent des défis structurels, des inégalités persistantes et des priorités politiques divergentes34. Le développement durable reste un objectif essentiel pour l’avenir, et les efforts se poursuivent au-delà de 20151. »

La faiblesse de tout ce qui nous est présenté se trouve dans le caractère non SMART des objectifs et dans la non implication suffisante des bénéficiaires des projets. Dans le cadre du projet 2014, nous voulons objectiver tous nos objectifs en définissant des indicateurs de performance quantitatifs et des valeurs visées claires pour toutes toutes les parties prenantes aux projets. Cette façon de faire permet d’exclure la démagogie, de clarifier les objectifs pour tous et de facilier l’évaluation en temps réel des projets.

La méthode de travail consiste à définir pour chaque objectif de développement :

  1. L’indicateur de performance.
  2. L’unité de mesure utilisée.
  3. La valeur ciblée à l’échéance.
  4. L’échéance.

L’enrichissement – la pauvreté.

L’égalité des sexes – l’inégalité des sexes.

L’autonomisation des femmes – la dépendance des femmes.

La santé maternelle – la mortalité marternelle.

Le VIH/SIDA – la déficience immunitaire.

L’éradication de la malaria – le paludisme.

Les protection sanitaires – les autres maladies.

L’environnement durable – l’environnement dégradée.

Le partenariat mondial pour le développement – l’impérialisme.

L’avenir de la nation


[5/27, 17:13] PLT :

La dernière phrase de ce message résume beaucoup de choses…sur la situation de notre pays !

En effet, la grande majorité de députés nationaux n’ont pas de qualifications adéquates ! Ils n’ont non plus de maturité intellectuelle et politique pour valablement siéger… Ils ne cherchent qu’à toucher les 21.000 D mensuels !

En conséquence, le pays risque de s’enfoncer dans la médiocrité sur tous les plans !


[5/28, 07:59] GPAU :

La dernière phrase de ce message résume beaucoup de choses sur la situation de notre pays.

  • La grande majorité de députés nationaux n’ont pas de qualifications adéquates pour légiférer !
  • Ils n’ont pas non plus de maturité intellectuelle et politique pour valablement siéger.
  • Ils ne cherchent qu’à percevoir les 21.000 $ mensuels immérités, mais enrichissants.
  • Les électeurs votent, pour la plupart, mus par le népotisme et non par le civisme.
  • La démission du peuple est quasi totale face aux fléaux de cette corruption de notre société congolaise. Les Wazalendo, rebelles et opposants au rêgime en place ne rélfléchissent pas bien avant d’agir : ils n’ont pas des plans écrits mûris démocratiquement.

En conséquence, le pays s’enfoncera, de plus bel, dans la médiocrité, dans l’immoralité, dans l’ignominie, sur tous les plans ou presque, jusqu’à ce que le peuple décide de prendre son destin en main, en remplaçant les incompétents par des doués, des talentueux, des civiques, des honnêtes gens, des fils du Dieu vivant et vrais plutôt que de confier la gestion de pays à des pays à des païens…

Des hommes aux idées !


Nous aimons à parler des hommes. Nous avons dificile à analyser les faits socio-politiques.

Suivez nos échanges dans notre groupe WhatsApp…

[8/12, 20:36] Jean Baptiste Kavunga Mbusa: Voici les étrangers tutsi rwandais qui se sont donnés à la politique congolaise en Rdcongo et aujourd’hui ce sont des millionaires sous la nationalité congolaise.
Leurs noms de naisaances qu’ils ont changé par les noms congolais pour gagner leurs intérêts au Zaïre (Congo).

1.LAURENT NKUNDA.Nom de naissaince UZUWERA NKUNDABATWARWE.Né le 06 Février 1967 à Ruhengeri Rwanda.En 1970 ses parents vont travailler dans la plantation à Rutshuru et ils restent à Matanda.Nord Kivu.(Congo)

2.JULES MUTEBUSI,Nom de naissance:MUTEEBUZI RUHAKANA Jules. Né à Byumba Rwanda et mort à Bukavu sous la guerre de tutsi Laurent nkunda contre le government congolais le 9 mai 2015.

3.BIZIMA KARAHA.nom de naissance:BIZIIMANA KARAHAMUHETO.né à Huye Rwanda en1959.Ses parents ont pris refuge au zaire suite à la guerre au Rwanda de 1957-1960 de Grégoire Kaibanda qui chassait les tusti.Ses parents s’installent à Uvira Sud kivu (Congo) en 1962

4.DÉOGRACIAS BUGERA .nom de naissance HABAYINAMA BIGERAGEZO BIRAGENDA ,né le 14 Octobre 1957 à Butare Rwanda .Suite aux guerres menées contre les tutsi au Rwanda cette année ,ses parents sont allés à Masisi dans le nord kivu Congo)comme réfugiés de guerre .

5.MOISE NYARUGABO.Nom de naissaince MUHIZI MUGEYO NYARU GABO.
Né le 16 janvier 1968 à Kibuye et ses parents immigrent à Katongo Idwi Sud kivu (Congo) pour raison de travail Manuel .

6.AZARIAS RUBERWA ,Nom de naissance RUBERWANGA MANYWA ABAGABO.né le 20 août 1964 à Cyangungu Rwanda .En 1965 son père trouve un boulot à FIZI Sud kivu (Congo) et ils s’y installent.

7.BERTAND BISIMWA,nom de naissance BIZIIMANA BIRETWA .né de la mère congolaise de la tribu bashi et du père rwandais de la tribu tutsi à Bukavu au Zaïre le 12 octobre 1975.Son père était cousin à Charles Bisengimana qui venait travaillait à Bukavu et croissant une fille zaïroise de Katana.

8.WILLY NGOMA.Nom de naissance NGARURIRA INGOMA RUTIKANGA .né à Kiningi Rwanda en 1974 à l’âge de 12 ans son père décède au Rwanda et sa tante qui était marriée à Kiwanja Nord kivu (congo)l’amène chez-Elle.Il a pris ce nom de Willy ngoma qui est un nom congolais quand il réjoint le m23 ,WILLY NGOMA est un nom d’un footballeur congolais Belge qui est l’agent de Jackson Muleka l’ancien de Tp Mazembe .

9.BOSCO NTAGANDA.Nom de naissance RUTAGANDA NTIBATUNGANYA Bosco.
Né aussi à Kiningi au Rwanda le 5 novembre 1973.Bosco a eu une pénible enfance , il n ‘a pas étudié suite à la mauvaise vie de ses parents.En 1986 Bosco est allé à Bunagana chez son oncle maternel pour chercher la vie en Rdcongo.

Voilà toutes ces personnalités rentrent au Rwanda en 1994 pour joindre l’armée de Kagame Forces Patriotiques Rwandaises (FPR) pour combattre les hutus .

Voici une petite vidéo de Laurent Nkunda qui parle qu’il est tutsi et que les tutsi combattent le government congolais pour leur droits.
Vidéo prise à Rutshuru le 12 mai 2007.

Prière ajouter d’autres si vous les avez identifiés pour aider les générations futures
[8/12, 21:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le Projet 2014 étant un projet chrétien, capitaliste et démocratique, je vous laisse cette vidéo pour apprendre quelques astuces pour vaincre notre vrai ennemi : Satan et ses suppôts humains !
L’insécurité est mal combattue : nos politiques, majoritairement chrétiens, vont chercher des solutions chez des charlatans, chez des païens avérés, de toutes sortes, des satanistes mêmes, plutôt que de se rappeler ce qu’est leur véritable statut !
[8/12, 22:14] Kasereka De Charleroi: Leur grand péché est d’avoir trahi le Congo.
[8/12, 22:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Quel engagement pris vis-à-vis de la RDC ou quelle alliance conclue avec la RDC ont-ils trahi ?
Posons-nous de bonnes questions pour mieux saisir les tenants et aboutissants de nos malheurs ?
J’ai l’impression, y compris dans ce groupe, que nous soyons très légers dans notre manière de traiter nos problèmes.
La question « Qu’est-ce qui fait que… » ne nous vient que bien rarement à l’esprit.
Qu’est-ce qui fait que des étrangers nous subjuguent ? Il y a des peuples comme nous qui sont relativement libres !
Qu’est-ce qui fait que des impérialistes convoitent nos richesses ? Il y a des peuples riches en ressources, mais moins pillés que nous : c’est l’impression que j’ai.
Et pourquoi avons-nous beaucoup de traitres, de paresseux, de voleurs, de dictateurs, d’inciviques, d’assassins, de menteurs, parmi nous ?
Est-il utile et productif de pointer des étrangers quand nous avons encore beaucoup d’efforts à fournir pour nous moraliser ?
[8/12, 23:02] G. Paluku Atoka Uwekomu: Dans le Projet 2014, produisons un projet de société pour la RDC qui serve de référence à tout nos politiciens, anciens, présents et à venir ! C’est bien possible à la condition que nous ne perdions pas de temps dans des postings qui ne nous aident pas à résoudre les problèmes, à relever les défis locaux et nationaux, à hisser le congolais !
Que faire pour relever le niveau moral de notre peuple ?
Qu’est-ce qui explique ou justifie notre déchéance depuis la nuit des temps ?
Nos aïeux nous vendus.
Nos parents nous ont trahis.
Nos congénères nous tuent.
Nos enfants ont honte de nous.
Nos dirigeants sont quasiment tous véreux.
Pourquoi ?
Comment ?
Quand ?
Où ?
De quelle manière ?
À ne pas vouloir répondre à ces questions, comment voudrions-nous développer la RDC ?

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

Combien de temps nous reste-il ?


[26/9, 13:59] Nickson KASOLA: Une image de 2018 ? [Pourcentages des votants pour differents candidats en RDC en 2018 (?).]


[26/9, 15:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: La quintessence de mon message est : quel sera le pourcentage de mon parti en 2023 et du tien, Nickson ?
Cela omporte peut que les % que tu voies soient du vrai ou du faux, de 2006, 2011 ou 2018.
Que faisons nous pour réellement gagner en 2023 ?
Pour l’heure, le pouvoir en place part favori : du moins, à l’apparence. Ne crions pas au tripatouillage après, alors que nous nous occupons des accessoires ; laissant de côté la Voie du Père !


[26/9, 15:16] Nickson KASOLA: Cette image ne peut permettre la réponse à votre question car elle représente une époque dont le contexte est très différent de l’actuel.


[26/9, 15:46] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le contexte, selon nous, n’est pas très différent du précédent : la culture et la pratique politique sont les mêmes. Ces dernières demeurent celles d’intrigues diverses, de vols, de pillages, d’assassinats, d’esclavagisme de colonisation, de trahisons, de tripatouillages, d’une distraction sans nom de toute l’opposition et d’une déliquescence grandissante de l’administration.


[26/9, 15:50] Nickson KASOLA: Mon frère, là vous vous trompez. Le contexte est littéralement très différent. Si vous pensez partir de cette considération vous risquez d’être surpris. Je vous conseille de bien analyser le contexte.


[26/9, 15:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Notre effort dans le Projet 2014 n’est pas fondé sur l’espoir d’un Congo meilleur en 2024 : nous investissons politiquement dans un futur de bonheur qui ne poindra pas avant l’horizon 2055.
En clair, un Congo de droit, de justice, d’unité, de paix, de développement est pour nous envore très lointains.
La pauvreté est encore très grande sur tous les plans : la morale, l’intelligence, le confort dans la maison et au travail, la justice sociale, la liberté, la sécurité, la fraternité et toutes les choses semblables nous manqueront cruellement longtemps encore, frères !

C’est pour cela que nous vous invitons nombreux à rejoindre notre projet pour :
1° dégager un vrai projet de sortie de crise ;
2° mobiliser les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet congolais, sans être aliénés !


[26/9, 16:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: 30 n’ont pas suffit entre 1999 et 2014. 30 seront encore très insuffisant maintenant, au regard du pourrissement de la situation entre 1999 et 2022 et de la qualité et de la quantité de la ressource humaine.

Instruire, former et éduquer correctement près de 100 millions de personnes, de cultures disparates, demande du génie encore très rare dans notre pays. Il faut du temps, et encore du temps.

Certains observateurs occidentaux pessimistes évaluent à 500 ans le temps nécessaire pour que le Congo sorte de son tunnel de lui-même.

C’est peut-être exagéré ; mais ce n’est pas loin d’être raisonnable.

En effet, nous nous rendons compte très vite que les autres nations se fourvoient alors qu’elles existent depuis des millénaires. Le Congo indépendant n’existe que depuis 62 ans seulement !