Les Tutsi de Titus ?


Cet article est long. Cependant, il est riche d’informations utiles. Bien que trompeur et révoltant sur certains points, et voire même insultant pour les nilotiques congolais que nous sommes – dits alliés naturels des Tutsi, il vaut la peine d’être lu, la tête bien froide, pour comprendre pourquoi nous insistons – avec l’auteur d’ailleurs, en d’autres lieux – sur la nécessité pour nos peuples de travailler leur indépendance (dépendance) et leur libération (colonialisme, esclavagisme, dictature).

Que vous soyez bantous ou non-bantous, retenez votre souffle.

Enfin, le yansi ou yanzi qui écrit, n’est peut-être pas bantou lui-même. En effet, certaines informations en notre possession, provenant du Bandundu profond, laissent penser que les origines des yanzi ne soient pas très bien connues. Rassurons-nous. Avec ce que permet la génétique aujourd’hui, certains d’entre auront bientôt la surpprise d’apprendre qu’ils ne sont pas ce qu’ils croyaient être…

Lisez la suite, distribuée tel que reçue ; et attribuée à notre frère Kwebe Kimpele.

Sur la compréhension de la stratégie rwandaise, KWEBE Kimpele persiste et signe.

N’leki Bolodjwa, bonjour. Merci, infiniment, po na appel na yo de tout à l’heure, ce samedi 8 octobre 2022.
Me permettras-tu de te dispenser une petite leçon sur la psychologie ethnique des Tutsis ? Merci d’avance.

  1. Ne te hasarde jamais, au grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi, demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc, de ton incapacité de te battre avec lui.
  2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi.
  3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la reconnaissance, la clémence, la gratitude ou la compréhension.
  4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais, au grand jamais, surtout le mal qu’on lui a causé.
    Par contre, il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite acquitter une dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
  5. Contrairement à nous autres Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.
  6. Lorsque d’aventure, un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu, cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille, et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la tête.
  7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
  8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie.
  9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.
    Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies. Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre, très très probants :

a. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.

b. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame, croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash
de leur appareil .

c. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la
milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient, l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa.
La capitale ad zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.

d. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl.

e. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps,
son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.

f. D’après mon comptage, plus de 54 conférences, dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo. Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays, c’est maintenant l’ouest, c’est la province de Bandundu, ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu, c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang. Mais c’est juste en ce moment que cette ordure de Vital Kamerhe ose préconiser l’ouverture…. d’un dialogue avec les Tutsis à travers leur milice 23 ? Vital Kamerhe est un vrai fumier !
La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme. On a même remarqué une aggravation de
l’insécurité, une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.)
La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres, de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.
Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts , du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.
Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans ), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :

a. la domination politique des Tutsis sur les Bantous.

b. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.

c. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.

d. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.

e. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.
Face à de tels périls , que peuvent les négociations , les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point, ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.
Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jésus-Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines . Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit, elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète , événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».
Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. A la
mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont ,u au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.

En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.

Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler . Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente dela terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux . On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois , de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.

Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.

Tien cordialement

Les mathématiques…


Dans le territoire de Mahagi, la section math-physique serait une espèce en disparition. C’est une nouvelle qui nous parvient d’une source généralement fiable…

Pour tous les administrateurs qui se succèdent dans mon territoire, cette situation n’est pas préoccupante. En effet, à ma connaissance, aucune mesure pratique n’a été prise pour remettre à l’honneur ces sciences (mathématiques et physiques), structurantes et éducatives pour nos concitoyens de Mahagi.

Dans le cadre de notre projet FEEC, Fonds pour les Élèves et Étudiants Congolais, nous estimons qu’il faille, sans délai, organiser au moins 280 écoles secondaires, ayant chacune une section mathématiques-physique et une section biologie-chimie, conventionnelles, dans un premier temps.

Mieux que cela, nous proposons à la nation congolaise et aux belges d’aller vers une séparation des « sciences » de l’abstrait des « sciences » du concret, et bien plus que cela, de séparer, par la même occasion, les sciences du « mort » des sciences du « vivant« .

Cela nous conduirait vers une restructuration plus logique et belle telle que :

  1. Les sciences mathématiques (y compris la logique mathématique, la logique inférentielle…) ;
  2. Les sciences du non vivant ;
  3. Les sciences du vivant.

Plus tard, nous pourrions offrir à nos enfants du secondaire de choisir entre :

  1. Les mathématiques ;
  2. La physique ;
  3. La chimie ;
  4. L’anatomie (humaine) ;
  5. La botanique ;
  6. La zoologie ;
  7. La microbiologie ;
  8. La virologie.

Cette façon de faire nous permettra de mieux préparer nos élèves à :

  • quitter chacun le secondaire avec une qualification exploitable dans le monde du travail ;
  • bien être préparés pour achever l’université en 6 ans et pas plus ;
  • étudier ce qui leur plait sans être encombrés par ce qui ne les intéresse pas ou ne leur convient pas ;
  • être des citoyens plus dépendants les uns des autres, contributions actifs de l’unité nationale…

Cela demande un budget à Mahagi – et non pas à Kinshasa : 197 millions d’euros par an environ, tout compris ; soient 395 €/ménage/an. Ceci, en payant 3250 € bruts, par mois, aux professeurs et en travaillant dans des salles de classe, des laboratoires et des bureaux des plus hautes technologies du moment. Cette estimation est valable pour Mahagi (RDC) comme pour la Belgique !

Comme nous pouvons le voir, dans la condition actuelle qui prévaut au Congo, il est possible de démarrer un tel projet avec 10 fois moins, tout en évitant l’esclavagisme que nous impose le régime de Kinshasa : 40 € par ménage et par an, 3,33 €/ménage/mois !

Où est le salut ?


L’un des obstacles majeur à la réussite des projets de l’opposition congolaise est sa pauvreté.  La pauvreté du plus grand nombre d’entre nous. Une pauvreté tout aussi bien spirituelle, matérielle, sociale, technologique que financière. Cette pauvreté a de graves conséquences pour la vie de notre nation.

Très peu d’opposants en effet peuvent organiser une campagne électorale par leurs propres moyens.  Très peu d’entre eux peuvent mobiliser la base correctement avant les élections, faute de disposer des ressources nécessaires et suffisantes. Que ces ressources soient spirituelles, matérielles, sociales, technologiques, financières ou autres.  Des hommes capables d’organiser une campagne de propagande professionnelle, à impact, font défaut. Ceux qui sont disponibles sont eux-mêmes beaucoup plus engagés dans le but de se trouver de quoi vivre que pour défendre la démocratie ou l’avènement d’un État de droit. L’argent pour supporter les frais à engager, n’est pas à la portée de la plupart d’entre nous.  C’est donc dire que, d’ici 2016, très peu d’entre nous pourraient logiquement, sérieusement et valablement, proposer aux congolais l’indépendance progressive du Congo.  À moins de créer, rapidement et correctement, une synergie au sein de l’opposition. Une plateforme qui nous permette d’être libres de notre pensée ou idéologie et libres dans son action ou intervention auprès de nos bases respectives.

Dans le Projet 2014, nous travaillons sur la question de la mobilisation des ressources nécessaires pour mener une lutte politique digne, démocratique, efficace ; afin de garantir des résultats durables.  Les résultats viennent très lentement. Nous attendions 3000 participants au Projet 2014 d’ici le 31 décembre 2014. Tout indique cependant que nous ne serons probablement pas plus de 20 participants au projet.  Or, pour nous engager valablement et utilement dans la plus grande plate-forme de l’opposition en 2016, nous souhaiterions avoir sur nos listes au moins 5% de l’électorat. Nous pourrons ainsi prétendre à au moins un poste ministériel.

Pendant ce temps, le congolais aujourd’hui croit plus qu’aux solutions qu’il est incapable de mettre en œuvre et qui pour la plupart ne peuvent garantir au congolais un bonheur futur. Ce sont les coups d’état, les rébellions, les assassinats politiques, les interventions miraculeuses de Dieu que par ailleurs l’on ne craint pas, l’anarchie, etc.  Les échecs du passé ne lui apprennent rien jusqu’ici à cause de son orgueil et d’un manque de travail d’organisation, de planification et d’évaluation de notre lutte commune contre l’esclavagisme, la colonisation, la dictature, l’imposture, la trahison et la médiocrité dans la gestion de la chose publique.

La question que plusieurs patriotes se posent aujourd’hui est : que faire pour s’en sortir ? Qui mobilisera les patriotes convenablement, professionnellement, pourquoi et comment ? Face à un pouvoir sanguinaire, comment s’investir en prenant des risques mesurés et en amorçant des projets à impact ? Nos réponses à ces différentes questions se déduisent de notre analyse ci-dessus.

(1) Pour nous en sortir, nous devons nous mettre au travail. Un travail bien structuré et intensifié pour mettre, démocratiquement, hors d’état de nuire, l’imposture et tous les maux que nous en héritons.

(2) Seul un projet visant et exigeant l’excellence de ses participants, tel le Projet 2014, permettra à la RDC de sortir de son bourbier où l’a mis le MNC, le MPR, l’AFDL et le PPRD. Tous les autres projets ne contribueront à l’affermissement du régime de Kinshasa, comme cela l’est jusqu’à présent et risque de l’être en 2016 ; si du moins, rien ne change dans notre manière de penser et de travailler le changement.

(3) Derrière le PPRD se trouvent des principautés, des forces occultes, mais aussi des hommes méchants que nous voyons et que nous touchons. Le conseil biblique est simple, mais efficace : quitter Babylone la Grande et éloignez-vous de tels hommes ; qui, se disant frères, démontrent par les fruits qu’ils produisent, qu’ils ne sont pas des nôtres, qu’ils ne sont pas nés de nouveau !

Résolution méthodique de la crise…


Si la plupart d’entre nous congolais renconnaissent que notre pays soit en crise profonde, force et de reconnaître que nous sommes très peu à agir pour résoudre les problèmes, pour solutionner les questions.  Bien plus, nos actions du passé et du présent ne sont pas fructueuses assez pour nous procurer le bonheur que nous recherchons depuis la nuit des temps.

Au sein de notre cellule de travail (4 à 8 personnes maximum), comment mener une analyse critique et méthodique de notre stratégie de mobilisation des ressources dans les actions menées jusqu’ici et dans celles prévues dans nos programmes, dans nos stratégies qui se rapporte au futur, dans nos plannings ?

  1. Quels sont les problèmes qui se posent à nous aujourd’hui en tant que peuple congolais ?
  2. Quelles en sont les sources, les origines, les causes, les explications, les tenants objectifs de ces problèmes ?
  3. Quelles en sont les conséquences, les suites, les effets, les aboutissants logiques,  prévisibles ou probables ?
  4. Quelles sont les solutions possibles à ces problèmes, les réponses envisageables  ou déjà envisagées aux questions soulevées et leurs degrés d’efficacité respectifs ?
  5. Face à ces problèmes, quelles sont nos motivations, nos intentions, nos voeux, nos souhaits, nos désirs, notre idéal, nos visions, nos buts, nos objectifs, nos actions, nos inteventions, nos luttes, nos combats ?
  6. Qu’avons-nous déjà fait pour résoudre ces problèmes, avec quelles ressources, avec quels résultats et pourquoi ?
  7. Que pourrions-nous encore mieux faire pour avoir des résultats améliorés et connaître la paix et l’enrichissement de nos personnes physiques et morales ; à quelles conditions, quand et comment ?

Frères, tant que nous n’aurons pas répondu correctement à ces questions, nous, opposition au régime de Kinshasa, arrêtons de nous plaindre : c’est nous qui sommes la cause de la pérennisation de la guerre et de la pauvreté morale et matérielle au Congo.  Ayons le courage de le dire.

Nous, Projet 2014, invitons tout congolais qui le désire à participer à un travail démocratique et de fond pour fournir et mettre en œuvre les réponses, stratégies ou solutions exactes à toutes ces questions, à tous ces problèmes, progressivement, mais avec succès et la joie d’être un jour victorieux sur le mal qui ronge notre pays. Quand les réponses seront là, le régime le régime de l’imposteur sera en tombe.  Nous vous le promettons, sur notre honneur !


From:

Sent: samedi 14 septembre 2013 14:07
To:

Subject: FW: MOBILISATION POPULAIRE GENERALE: LE PEUPLE CONGOLAIS DEBOUT COMME UN SEUL HOMME!


Date: Sat, 7 Sep 2013 14:13:24 +0200
To:

Subject: MOBILISATION POPULAIRE GENERALE: LE PEUPLE CONGOLAIS DEBOUT COMME UN SEUL HOMME!
From:

TRES LARGE DIFFUSION SVP, MOBILISATION POPULAIRE GENERALE: Le PEUPLE CONGOLAIS DEBOUT, UNIS CONTRE le rouleau compresseur « KA 3 »

An:

Datum: Tue, 03 Sep 2013 19:47:26 +0200
PEUPLE CONGOLAIS DEBOUT POUR BOUTER ALIAS « KABILA » ET TOUS LES MERCENAIRES RWANDAIS HORS DU GOUVERNEMENT ET hors DE NOTRE PAYS

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LE ROULEAU COMPRESSEUR « KA3 » BROIE LA POPULATION CONGOLAISE AU KIVU DEPUIS DEUX DÉCENNIES

(avec liste des généraux rwandais dans l’armée congolaise)

1. UN TRIO COMPRESSEUR

Des guerres à répétition

C’est depuis 1996 que le trio KAGUTA, KAGAME et     « KABILA Josph »[1] (KA3) a déroulé son rouleau compresseur et broie la population du Kivu en République Démocratique du Congo (RD Congo):

La connivence de ces trois personnes

KAGUTA MUSEVENI est arrivé au pouvoir en Ouganda par une rébellion où avait combattu KAGAME, qui devint par la suite chef des services de sécurité militaire ougandais. Ensemble, ils ont créé la rébellion FPR, qui a mené au Rwanda une guerre qui a abouti à l’assassinat de deux présidents : HABYARIMANA Juvénal du Rwanda et NTARYAMIRA Cyprien du Burundi. Cet évènement provoqua le génocide au Rwanda en 1994.

Une fois KAGAME au pouvoir au Rwanda, ils ont encore créé D’autres guerres dites « rébellion », l’AFDL, RCD-ruberwa par laquelle « KABILA Joseph » est au pouvoir en RD Congo[2]. Depuis que ce dernier est au pouvoir, il obéit au doigt et à l’œil de ses deux mentors et tous les trois font tout en connivence. Pour preuve :

1) Le CNDP transfuge du RCD-ruberwa a été crée et renforcé par l’aide de « Joseph KABILA ». Il est connu que « KABILA » avait nommé NKUNDABATWARE Général commandant de toute une région militaire alors que ce dernier EST RWANDAIS et avait refusé de se rendre à Kinshasa lors de l’unification du pays. Même après que NKUNDABATWARE ait déclaré ses troupes rwandaises « rebelles CNDP » et qu’il ait mise la ville de Bukavu au Sud-Kivu en sac en 2004, alias « joseph KABILA » a continué de payer leur solde jusqu’en 2007.

2) Le renforcement du CNDP s’est fait par la stratégie de MIXAGE que « KABILA » avait mis en place. Toutes les unités « mixées » avaient été mises sous commandement de seuls officiers rwandais du CNDP.

3) Le CNDP n’existait que dans la province du Nord-Kivu. Pour étendre son influence sur le Sud-Kivu, « KABILA » avait organisé une autre stratégie, dite « d’intégration » : toutes les brigades militaires ont été déstructurées pour mettre en place des Régiments. Ces derniers, tant au Nord-Kivu qu’au Sud-Kivu, sont sous commandement de seuls Rwandais du RDF/CNDP dont la majorité est constituée de soldats de l’armée rwandaise[3].

4) La décision n° 003/HCM/M23/CNDP/2012 du 09.07.2012, portant nomination d’un Coordonateur de l’Action Politique du Mouvement M23, porte la référence «CNDP»[4]. Cependant, dans les négociations à Kampala en Ouganda, le président du parti politique rwandais CNDP fait partie de la délégation du gouvernement congolais du coté majorité présidentielle de « joseph kabila » pour négocier avec le M23[5].

5) Lorsque le M23 s’était déclaré « rébellion », toute la population congolaise, l’Eglise catholique en tête, s’était levée comme un seul homme pour refuser toute négociation avec eux, par peur d’intégrer d’autres soldats étrangers dans les rangs de l’armée congolaise, les FARDC[6]. Mais « KABILA » s’était précipité à KAMPALA en Ouganda, et le trio KA3 s’était réuni ‘a 3 ‘a huis clos pour légitimer leur M23.

6) « KABILA » n’avait jamais lancé de mandat d’arrêt contre aucun criminel rwandais dit « congorais », mais réfugié au Rwanda. Ce n’est que ce 25 juillet 2013, suite à une terrible pression de la population congolaise, qu’il a lancé des faux mandats d’arrêt internationaux contre seules quatre personnes. Pourquoi ignore-t-il les autres criminels, tels que NKUNDABATWARE, MUTEBUSI, ETC ?

7) A l’insu de toutes les institutions étatiques de la RD Congo, alias »KABILA » a introduit des armées étrangères en RD Congo : les Ougandais dans la Province orientale et les Rwandais dans le Kivu.

Néanmoins, le gouvernement de « KABILA » jurait la main sur le cœur que ces armées n’existent pas en RD Congo. Ce n’est qu’au moment où le Rapport des experts des Nations Unies mettait à nu l’appui du Rwanda et de l’Ouganda au M23, que KAGAME orgueilleusement avait déclaré qu’il allait retirer ses soldats stationnés avec l’accord de « Kabila » au Kivu. Toute la population congolaise avait vu à la télévision, dans le territoire de Rutshuru au Nord-Kivu en R.D.Congo, 3000 soldats rwandais en train d’ôter la tenue militaire de l’armée congolaise «FARDC» pour revêtir l’uniforme de leur armée rwandaise «RDF»[7]. Comment, peut-on laisser un tel individu dangereux continuer à narguer illégitimenent toute la nation sans que la population ne se soulève et le chasse du pouvoir? Comment qualifier un chef d’Etat qui complote et trahie continuellement le pays et qui camoufle par la tenue de son armée, dans son pays, une armée étrangère à l’insu des institutions nationales, tout en sachant que ces étrangers ne font que semer mort et désolation parmi la population qu’il gouverne, aux fins de s’emparer des leurs terres ?

Le peuple congolais sait que « joseph Kabila »et nombreux de ses dirigeants sont des rwandais produits de : AFDL, RCD, CNDP et ont les mains teintées de sang des congolais ; qu’ils sont arrivés aux postes qu’ils occupent pour servir le dessein du trio KA3 et non la population congolaise. Si « KABILA » se comporte comme il le fait, c’est parce qu’il est entouré et soutenu par de dignitaires politiques, des collabos monstres cyniques sans scrupules dans les structures de l’Etat congolais. J’attire l’attention de tous les amis de la population congolaise martyre, surtout du Kivu sur la ruse, le camouflage, le mensonge, la corruption, la diversion ainsi que la subtilité du trio satanique :Kaguta, Kagamé, « Kabila. » 

2. DES MILLIONS DE MORTS ET UN PAYS DÉSTRUCTURÉ

Deux poids, deux mesures

Ce rouleau compresseur a pu agir grâce à l’appui de grandes puissances économiques et politiques internationales. Sous prétexte de compassion et pour faire amende honorable du génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 dont les Congolais ne sont nullement responsables.   (et pourtant il y a eu massacre des deux cotés : les Hutu avaient massacrés les Tutsi et Hutu et vice versa), la Communauté internationale (les USA et la Grande Bretagne en tête, L’Allemagne, etc.) a soutenu à 100%, un autre génocide perpétré par des Tutsi sur les Congolais et les Hutu en R.D.Congo. Pourtant, ces réfugiés Hutu étaient sous la protection du HCR[8].

Le massacre au Rwanda avait durée trois mois avec un bilan macabre de 800.000 morts Tutsi et Hutu confondus, tandis qu’en RD Congo ces guerres durent depuis 17 années et ont déjà causé la mort de plus de 6.000.000 personnes, selon les évaluations d’ONG et d’autres institutions internationales. De ces massacres de Rwandais entre Rwandais, aucun Congolais n’était responsable ni de loin ni de près. L’indifférence de la Communauté internationale vis-à-vis des massacres de Congolais depuis déjà deux décennies nous donne le droit de penser qu’elle a décidé à se servir de ce pretexte pour piller les ressources de la RDC  et exterminer les Congolais par les guerres de Kagame, Kaguta et « joseph kabila » contre la RDCongo.

La R.D.Congo mise sens dessus dessous

A part ces millions de morts, l’ appareil de defense nationale en RD Congo est complètement détruite par le trio KA3. Toutes les institutions de l’Etat congolais sont infiltrées par des rwandais tutsi et présentement dirigées par le Rwanda.

1°- Tous les services de sécurité sont déstructurés et mis entre les mains de Rwandais tueurs tutsi et faiseurs des guerres. Calcul fait : parmi les officiers de l’armée congolaise, toutes catégories confondues, la seule tribu rwandaise tutsi représente le 75 % sur les 450 tribus que compte la RD Congo[9]. Les 80% de ces 75% d’officiers militaires rwandais sont des anciens bergers qui ont développé avec le régime en place au Rwanda la culture de la mort. Par son ordonnance n° 13/089 du 7 juillet 2 013, « Kabila » vient de nommer des officiers généraux au sein des FARDC. Parmi eux, la tribu rwandaise a raflé à elle seule 15 nominations[10], c’est-à-dire le 21%. Comme si cela ne suffisait pas, sachant que les officiers militaires formés et appartenant aux tribus congolaises sont des anciens des Forces Armées Zaïroises de l’époque de Mobutu, alias « Kabila » vient de faire voter par sa majorité à l’Assemblée Nationale une loi pour la retraite de militaires à l’âge de 55 ans. Or, il n’existe aucun général non rwandophone qui soit en dessous de cette âge; même ceux-là des Congolais qu’il vient de promouvoir doivent tous partir à la retraite et laisser tout le commandement de l’armée congolaise entre les mains de seuls officiers tueurs tutsi rwandais, dont la majorité sont des soldats de l’armée rwandaise infiltrés au Congo, criminels analphabètes ou semi lettrés, car des officiers instruits restent au Rwanda.

Dans un Etat normal, peut-on promouvoir au grade de « général » un criminel reconnu ? Qui ne connait pas au Kivu que c’est monsieur RURIOMBERE RWANGA Eric qui, gratuitement et sans aucun procès, tira à bout portant sur quarante et un (41) officiers de l’armée congolaise à l’aéroport de KAVUMU, le 3 Aout 1998, lors de l’entrée au Sud-Kivu de l’armée rwandaise ? « KABILA Joseph » ignore t-il cela ? Lui « KABILA » qui était soldat dans les rangs du FPR et qui avait progressé avec eux dans l’AFDL pour enfin prendre le pouvoir à Kinshasa, ignorait-il que NKUNDABATWARE et NTAGANDA, ses compagnons de guerre, sont des Rwandais, pour les nommer généraux dans l’armée congolaise ?[11]

2°- La Police nationale congolaise est elle aussi dirigée par le Rwandais monsieur BISENGIMANA.

3°- Le puissant directeur général des douanes et accises de la RD Congo, monsieur RUGWIZA Déogratias nommé par alias `Kabila` est un sujet rwandais. Au Sud-Kivu, les services de la Direction provinciale des douanes et accises ont été déménagés de ses bâtiments officiels sous prétexte de construction et sont présentement logés dans la maison du Rwandais sieur BIZIMA KARAHAMUHETO (qui s’appelle aujourd’hui congorais Banyamulenge) aux fins de surtaxer le loyer et saigner le trésor public congolais[12].

4°- Les minerais congolais du Kivu sont sous embargo, et la RD Congo au Kivu ne peut plus en exporter. Ainsi des militaires rwandais sont stationnés au Kivu pour faire franchir ces minerais au Rwanda. Aujourd’hui, le Rwanda, sans aucun site d’extraction, est devenu grand exportateur de la cassitérite, coltan, wolframite, or et même du diamant. « KABILA » ignore t-il que ces sont des soldats rwandais qu’il a introduit au Kivu qui jouent ce rôle ?

Des mensonges écoutés et appuyés par la Communauté internationale

Depuis ces derniers 17 années, le trio KA3 commet ces méfaits qui depassent toutes limites en RD Congo et particulièrement au Kivu en usant des mensonges pour justification, en ces termes :

– empêcher un autre génocide au Rwanda par des Hutu/FDLR qui sont réfugiés en RD Congo ;

– les Tutsi seraient devenus des « Juifs instantanés » d’Afrique, c’est pourquoi ils ont été génocidés comme leurs frères juifs le furent en Allemagne.

Ces mensonges ont été écoutés, acceptés et ont attiré la compassion de toute la Communauté internationale, à telle enseigne que cette dernière a aidé ces assoiffés de sang à commettre cette apocalypse au Kivu et dans toute la RDC.  

Or, les FDLR ne représentent plus aucun danger contre le Rwanda. D’ailleurs, la majorité de ces gens étaient des enfants lorsqu’ils sont venus en RD Congo en 1994, et ne peuvent aucunement être taxés de génocidaires. Le grand nombre des adultes qui s’étaient réfugies en RD Congo est mort dans des forêts. C’est plutôt le Rwanda qui renvoie maintenant des soldats hutu, démobilisés de son armée, en RD Congo pour y semer mort, violer des femmes, piller, etc., et lui servir d’alibi pour continuer ses méfaits sur la population congolaise du Kivu. Qui martyrise des Tutsi au Kivu comme cela est pris pour argument par KAGAME ?

C’est le contraire qui est vrai, car ces gens viennent du Rwanda et se déversent au Kivu ; ils ravissent des terres aux autochtones en les assassinant, en incendiant leurs habitations ou en les intimidant ; ils s’intronisent même et se collent les grades de chefs traditionnels sur des terres des autres tribus ; et cela par la force des armes.

Quant à dire que leur génocide ressemble à celui des Juifs, c’est faux. Les Juifs n’avaient pas créé une rébellion en Allemagne pour assassiner deux chefs d’états ainsi que leurs suites. Si la rébellion FPR n’avait pas existé, si l’on n’avait pas tiré sur l’avion du président HABYARIMANA, il n’y aurait jamais eu de génocide au Rwanda. Les deux peuples rwandais (Tutsi et Hutu) s’étaient rentrés dedans et s’étaient massacrés mutuellement (phrase à rendre plus claire ou à éliminer).

3. UN PEUPLE MEURTRI ET DÉCIDÉ DEMANDE D’ÊTRE ÉCOUTÉ

Un peuple brave au Kivu

Malgré toutes ces souffrances qu’elle endure durant bientôt deux décennies, la population du Kivu est restée tenace, refuse énergiquement d’être soumise à l’occupant et tient à l’intégrité territoriale de son pays, la RD Congo.

Son refus catégorique de collaborer avec le M23, la dernière marche pacifique mais réprimée violemment par la police à Goma contre « Kabila » en craignant que comme d’habitude il démobilise les soldats qui sont en train de remporter des victoires sur le M23 au Nord-Kivu ; la découverte et la dénonciation par cette même population le 22 juillet 2013 d’une cargaison contenant des haricots, sardines, riz et corne-bœufs avariés destinés aux soldats au front ; la récente attaque des positions du M23 par des jeunes exaspérés de Rutshuru, armés seulement des machettes, et qui sont parvenu à tuer deux soldats M23 ; début mars 2013, l’accueil triomphale des FARDC à leur entrée à Rutshuru avant que « Kabila » ne leur intime l’ordre d’abandonner la ville au M23 ; ainsi que d’autres faits démontrent la détermination de cette population.

Signes d’espoir…

LA PRISE DE CONSCIENCE DE TOUT UN PEUPLE, UNI COMME UN SEUL HOMME POUR CHASSER LE CHEVAL DE TROIE « KABILA » ET TOUS LES MERCENAIRES RWANDAIS AU POUVOIR EN RDC

Pendant ces 128 ans d’injustices et de terribles souffrances (massacres, viols de femmes et filles, incendie d’habitations, déplacement et exile de populations, pillages, misère atroce, humiliation, etc.), la population congolaise en générale, et celle du Kivu en particulier, n’a fait que crier, sans être écoutée. Aujourd’hui, nous, population congolaise meutrie, pouvons-nous commencer à espérer d’être écoutés et de voir nos bourreaux cesser leur sale besogne ?

Le Rapport des experts des Nations-Unies du 12 octobre 2013 qui accuse formellement le Rwanda et l’Ouganda de faire la guerre au Kivu par l’intermédiaire du M23 ; l’accord cadre d’Addis-Abeba du 24 Février 2013 ainsi que la Résolution 2098 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies, interdisant à l’Ouganda ainsi qu’au Rwanda de continuer à appuyer le M23, même si ces pays n’ont pas été cités nommément ; la création par cette même résolution d’une brigade pour combattre en faveur de la population du Kivu ; la déclaration du Département d’Etat Américain appuyée par la Maison blanche et rééditée par le Secrétaire d’Etat Américain au Conseil de Sécurité des Nations-Unies du 25 Juillet 2013, enjoignant au Rwanda d’enlever ses soldats au Kivu et de cesser leur soutient au M23 : toutes ces déclarations peuvent-elles nous convaincre et donner espoir ? Le doute demeure en constatant des positions ambivalentes de ceux-là même qui font ces déclarations.

… DOUBLE LANGUAGE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE

Pourquoi le Département d’Etat Américain avait-il cité nommément le Rwanda, mais au Conseil de Sécurité des N.U. qu’il dirigeait, le Secrétaire d’Etat Américain, monsieur John Kerry, s’était abstenu de citer ce pays ? La Société Civile du Nord-Kivu est en train de crier au secours au vu des entrées continuelles des armées rwandaises et ougandaises au Nord-Kivu, mais ces puissances gardent la sourde oreille.

Le secrétaire général des N.U. Mr Ban Ki-Moon tantôt soutient la création d’une brigade armée pour combattre et éradiquer au Kivu les bandes armées, le M23 en tête ; tantôt, quand l’armée congolaise prend le dessus sur le M23, il crie et demande à toutes les parties de cesser les combats et de trouver une issue « politique ». En mai 2013, lors de sa tournée dans cette région des Grands lacs, il a parlé à Kinshasa de la guerre au Kivu ; à Goma, il a refusé de recevoir les victimes de cette guerre représentées par la Société civile ; arrivé au Rwanda, il n’a même pas fait allusion à cette guerre, mais il a félicité les prouesses du Rwanda et a dit que les Nations Unies avaient échoué au Rwanda. Pourquoi alors la création de cette brigade d’intervention ?

Sur l’interposition de la MONUSCO entre le M23 et les FARDC, l’armée nationale, au moment où celle-ci avançait, la population du Nord-Kivu est formelle: « Nous avons vu les chars de la MONUSCO s’interposer entre les FARDC et le M23 lorsque ces premiers pourchassaient ces derniers.

Nous (population) avons crié et jeté des pierres sur la MONUSCO pour dégager le passage aux FARDC». Aujourd’hui le commandant des casques bleus au Nord-Kivu déclare avec pompe qu’ils vont établir une ceinture pour sécuriser les villes de Goma et Sake ; or, ces deux villes sont déjà suffisamment protégées par les FARDC. Les populations qui habitent les villages de Rutshuru, Nyiragongo etc., ne sont-elles pas des humains ? Pourquoi la MONUSCO ne peut-elle pas chasser le M23 de ces entités dans lesquelles elle est pourtant déployée alors qu’elle ne cesse de dénoncer des crimes que cette guerre d’invasion rwandaise dite  « rébellion » commet quotidiennement sur la population civile, et que la première mission de la MONUSCO est la sécurisation de cette population civile ?

4. RECOMMANDATIONS

a. Aux grandes puissances qui dirigent ce monde

Que les nations puissantes contraignent par des actions énergiques le Rwanda et l’Ouganda à cesser leurs guerres à l’Est de la RD Congo. Que les USA et la Grande Bretagne, reconnus par le monde entier comme mentors et soutiens du Rwanda et de l’Ouganda, cessent leur double langage, dont l’un se dit officiellement et l’autre reste caché. Les masques sont tombés dans cette guerre honteuse. Les peuple congolais n’est pas votre ennemi.

b. Aux Nations Unies: arretez le double jeu!

Que les Nations Unies tiennent compte de tous les Rapports de leurs experts en commençant par le rapport Mapping et en tirent les conséquences ;

que le Secrétaire Général Mr Ban Ki-moon laisse ses comportements ambivalents ; qu`il respecte la charte des nations Unies dont il est le garant.

que les Nations Unies demandent à la MONUSCO en général, et à la Brigade d’intervention en particulier, de combattre réellement et d’anéantir les forces négatives au Kivu ;sinon, qu`ils foutent le camp. les masques sont desormais tombés dans cette guerre des barbares rwandais.

que les Nations Unies mettent en place un Tribunal international pour rendre justice aux 6.000.000 de morts en RD Congo et punir les criminels[13].

c. Au trio KAGUTA, KAGAME, KABILA

Que ce trio cesse ses illusions : la force ne restera pas toujours seulement de leur côté. L’homme ne récolte que ce qu’il a semé. La RD Congo n’est pas le Soudan : elle est une et indivisible. Sa population tient à son intégrité, malgré toutes les campagnes de dénigrement menées à son endroit. Tenez-le pour dit et informez-en tous vos complices qui rêvent la balkanisation de la RD Congo. Le régime d`occupation de  « joseph kabila » tire a sa fin!

d. Aux Gouvernants  (collabos) congolais

Que les gouvernants congolais comprennent que le rouleau compresseur KA3 ne broiera pas indéfiniment la population congolaise. Qu’ils s’amendent avant qu’il ne soit trop tard, car le dernier mot reviendra au peuple. Il n’est jamais tard pour bien faire : amendez-vous, changez de camps, rejoignez le peuple, changer de comportement, servez le peuple et liberons la Patrie, notre heritage et notre unique patrimoine, le Congo.

e. A la Population congolaise

Restons tenaces et persévérants, continuons à résister avec énergie à toute agression extérieure ; organisons-nous pour mettre hors état de nuire, par des mécanismes forts, tout dirigeant ainsi que toute autre personne traître qui cherchera à pérenniser la sujétion de notre pays et par conséquent, notre souffrance.

Bukavu, le 1er /08/ 2013.

Néhémie BAHIZIRE

LA FIN DU REGIME DES VAMPIRES SOUS ALIAS  » joseph kabila »

Voir la liste des rwandais généraux dans l’armée congolaise

MOTO YA NZAMBE: SUIVRE LES VIDEOS ET AGIR ENSEMBLE POUR CHASSER HYPPOLITE KANAMBE ALIAS  » joseph kabila »

http://changeincongo.com/index.php?option=com_allvideoshare&view=video&slg=tozo-landa-tozo-papaaa-oko-sila-kala-te-merci-papa-alain-moloto&orderby=default&Itemid=109

HYMNE NATIONAL DE DELIVRANCE: NZAMBE KITISA MOTO NA KONGO EZIKISA MISALA YA SATANA NA MBOKA:

http://www.youtube.com/watch?v=mHzHH54xT_Y

voici une liste non-exhaustive des rwandais mixes dans l’ armee et toutes les institutions congolaises pour detruire la RDC et exterminer sa population par des guerres cycliques:

les rwandais  sont déjà sur-représentés dans la fonction publique et dans les sévices militaires congolais. Exemples d’officiers rwandais mixés dans l’armée congolaise en postes stratégiques:

ALIAS » joseph Kabila », president de la Rep. par defi

Général Jean BIVEGETE Auditeur Général de l’armée (Haut magistrat militaire)

Général MASUNZU Cmd Adjoint 10ème Région militaire/Bukavu

Général MALICK KIJEGE Inspecteur Général de l’Armée (ex. G4-EMG) FARDC/KINSHASA

Général OBED RWIBASIRA Cmd 5ème Région militaire à Kananga/Kasaï

Général MUSTAPHA MUKIZA Cmd Base militaire de KITONA (Bas-Congo)

Général Charles BISENGIMANA Inspecteur Général Adjoint De La Police nationale/Kinshasa

Général JEROME GAGAKWAVU EMG/FARDC-Kinshasa

Colonel BONANE Cmd 4ème Brigade Ituri

Colonel MAKENGA SULTANI Cmd BRAVO/Nord-Kivu

Colonel KAMANZI François

Colonel MUNYARU GERERO Françoise Cmd de la Police de l’enfance/Nord-

Colonel MUHINDO François Cmd de la Brigade Delta à Kichanga/Masisi

Colonel RORIMBERE Dispo/EMG-FARDC

Colonel GISHONDO ELIE Dispo/EMG-FARDC

Colonel PADIRI Jonas Cmd Brigade EQUO à Kimoka-Sake/

Colonel BOLINGO MATANE 10ème Région Militaire/Bukavu

Colonel BIRORI Benjamin Conseiller Militaire

Colonel BOSOGO Venant Dispo/EMG-FARDC (en rébellion au Sud Kivu : G47)

Colonel WILSON Cmd adjoint de la brigade ALPHA à NYANZALE-MWESE

Lt Colonel MUNYAKAZI EMG-Armée Mixée de NKUNDA (83ème Brigade FARDC)

Lt Colonel Claude MUCHO ½ Cmd brigade Charly à Mushaki/Masisi

Lt Colonel KABUNDI ½ Cmd brigade EQUO à KIKOMA SAKE/Nord-Kivu

Lt Colonel BISAMAZA ½ Cmd brigade BRAVO/RUTSHURU au Nord-Kivu

Lt Colonel NIYIBIZI Cmd du Br. de la Brigade EQUO/Nord-Kivu

Cette liste n’est pas exhaustive.

Nkundabatware n’est pas Congolais! Mêmes les Occidentaux eux-mêmes le disent tout haut! Sam Killey, un grand journaliste d’investigation Britannique a déclaré au cours d’une séance tenu au Parlement de Londres que Nkundabatware est un officier Tutsi Rwandais de l’APR. Il n’est pas Congolais! Son collègue Jonathan Clayton vient de révéler dans un article publié dans le quotidien Britannique The Times le 31 octobre 2008 (page 45) que Nkundabatware [tout comme Ruberwa] est né au Rwanda et qu’il joue le rôle de « proxi » pour Paul Kagame afin d’annexer l’est du Congo au Rwanda. Pourquoi en dépit de toutes ces preuves, Nkundabatware continue d’être considéré par Kinshasa comme «un fils égaré»? Vu ce qui précède, le Cnd, un mouvement rwandais armé d’invasion meurtrière  ne peut en aucun cas devenir un parti politique au Congo.

Ainsi, Nkundabatware, Bosco Ntaganda, Ruzandiza alias sultani makenga, Mutebuzi,  et 98% des milices M23-CNDP sont des  Tutsi Rwandais. Il ne sont pas Congolais! Comment le « CNDP-M23 » une guerrilla rwandaise reunit-il les conditions prescrites par la loi pour devenir un parti politique au Congo? 

Nous défions « Kabila » et Kigali de porter plainte contre les journaux et chaine britanniques « The Times » (proche de la monrachie brittanique), the Daily Telegraph, et Channel Four, ainsi que les organisations internationales comme Human Rights Watch qui ont méné des enquêtes objectives et ont conclu preuve à l’appui que ces criminels, Nkundabatware et sa bande, sont des Rwandais.


[1] Kaguta Yoweri Museveni est le Président de l’Ouganda, Kagame Paul est le Président du Rwanda, Kabila Joseph est le Président de la République Démocratique du Congo.

[2] Il sied de signaler que le président Kabila Joseph avait combattu dans les rangs du FPR avant l’AFDL.

[3] La MONUSCO (la force des Nations Unies en RD Congo), auprès de laquelle se rendaient, pour rapatriement dans leurs pays respectifs, des soldats rwandais et ougandais qui ne voulaient plus rester en RD Congo, peut en témoigner.

[4] Voir l’annexe 20 du rapport des experts des Nations Unies du 12 octobre 2012 qui dénonce le soutien du Rwanda et de l’Ouganda au M23

[5] Il est donc clair que le M23 est une bande armée de la majorité présidentielle du président Kabila Joseph. Comment peut-on en dire autrement ? 

[6] Des marches pacifiques furent organisées sur toute l’étendue de la République pour exprimer cette opinion de la population.

[7] La population du Kivu sait que ce geste n’était qu’une diversion destinée à l’opinion internationale, mais que des milliers des soldats Rwandais sont toujours en action au Kivu. 

[8] Voir le Rapport Mapping du Haut Commissariat de l’Onu pour les Droits de l’Homme, du 1er.10.2010

[9] Voir rapport de la Conférence de Goma en 2008.

[10] 1. Rwubashira Robert, 2. Kijeke Malik, 3. Masunzu Pacifique, 4. Rugahi Sengabo David, 5. Kayizi Innocent, 6. Kiranga Mutara Smith, 7. Bonane Buhoro Willy, 8. Kamanzi Francois, 9. Dzaringa Lotshima Robert, 10. Padiri Muhizi Jonas, 11. Ruriombere Rwanga Eric, 12. Muniakazi Sengi Esaïe, 13. Kabundi Munianziza Innocent, 14. Bivekete Pinga Solo Jean, 15. Bolingo Leserendu.

[11] L’ex-deuxième personnalité de l’armée rwandaise, le général KAYUMBA en refuge en Afrique du Sud, vient ou venait ? de le confirmer. Ntaganda, à la CPI, ne s’était-il pas fait identifier dans la langue kinyarwanda ? Et Nkunda, en arrivant au Rwanda, s’était déclaré lui-même Rwandais qui ne pouvait pas être extradé en RD Congo.

[12] Il suffit de lire le rapport signé à Arusha en Tanzanie entre le FPR et le gouvernement rwandais avant que le président HABYARIMANA ne fût assassiné. BIZIMA KARAHA en est l’un des signataires en qualité de Rwandais de la rébellion FPR.

[13] La Cour Pénale Internationale ne suffit pas car elle est limitée dans le temps et le Rwanda n’en reconnait pas la compétence. Lors de la récente réunion du Conseil de Sécurité des Nations Unies, le Secrétaire d’Etat Américain, Mr John Kerry avait déclaré : « A la fin de la guerre du Kivu, il est de notre responsabilité de faire à ce que cela ne puisse donner lieu à la vengeance ». Rendre justice aux victimes ne signifie nullement vengeance. La vraie réconciliation ne pourra être effective qu’en rendant justice aux victimes et en stimulant les bourreaux à demander pardon et à s’amender.

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