Ne s’en sortira pas !


Quoi que nous fassions, Kinshasa ne s’en sortira pas.

Il n’a pas un plan démocratique pour pacifier le pays.  Celui qui nous est présenté est léger, irresponsable, colonialiste, dicatorial, sectaire, inacceptable,  conflictuel.  Sans ambition, il aliène et appauvrit notre pays.

Une analyse fine des problèmes qui se posent, de leurs origines réelles, des conséquences subies et à venir, n’est pas produite.  La probité morale des acteurs est contestée, à tous les niveaux.  Le pouvoir, l’opposition et le peuple sont démissionnaires.  La ressource humaine de qualité  nous manque cruellement.  Que faut-il faire ?

Commencer par qualifier les acteurs politiques : le Pouvoir, le Gouvernement,  le Parlement, le Congolais.  Il n’est pas normal que des militaires gèrent l »État ; que des gradués ou licenciés animent des équipes des docteurs ; que des voleurs et assassins commandent des hommes intègres !

Pour ne pas tomber dans les travers de nos prédécesseurs, dans Kongo Ya Sika, nous tenons désormais à qualifier chaque membre.  Être capable de concevoir, d’analyser, de conduire, d’évaluer, de redresser, d’animer un projet politique, sera désormais indispensable pour rester dans notre structure à nous.  Le combat contre la médiocrité sera intensifié et nous permettra de nous mettre au-dessus de la mêlée.

Des personnes déclarés comme des ADF auraient massacré 4 personnes, incendié 6 maisons, blessé 1 personne, enlevé plusieurs personnes, incendié une moto  et une kiosque contenant l’essence.  Tout cela s’est passé à Kokola, à plus ou moins 15 km d’Oïcha.  La population y vit la peur, jusque ce jour.  Comment résoudre rapidement, efficacement, définitivement ce problème, en minimisant les dépenses ?  Voici un exercice politique à confier à un candidat membre de notre mouvement, sachant qu’il est originaire d’Ikongo Wasa, près de Mbandaka.

Kinshasa est incapable de proposer une solution à ce problème.  Ses acteurs doivent, pour la plupart, répondre des crimes commises de contre la nation congolaise, restées impunies ou cachées jusqu’ici, en étant aux commandes des institutions de l’État.

Cette erreure est nationale.  C’est a tout Congolais de se lever pour la corriger.

DRESSONS NOS FRONTS !


Préparons notre rencontre, chez nous, pour être bien tranquilles, riches, technologiquement et économiquement aux frontières des avancées dans le monde. Pour oublier la honte dans laquelle nous ont plongés le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS.

Si vous voulez que Kongo Ya Sika (KYS) prenne le flambeau dans une ou deux années, soyez au moins 2.500.000 à vous inscrire ici :

https://projet2014.com/inscription ou ici https://kongoyamupia.wordpress.com

Tous les soirs, nous organisons deux rencontres pour nous préparer à l’avènement de l’Union des États Indépendants du Congo. Et à fêter la mort définitive de la République, qui ne nous apportera JAMAIS la paix.

1. Notre propre éducation politique dans le cadre du Projet 2014.  Personne ne vient à cette rencontre jusqu’ici.

Tous les jours, sauf vendredi, de 18:30 à 19:10 de Bruxelles.

Téléchargez et importez notre calendrier d’ici :

ou bien, rejoignez notre salle de réunion de votre navigateur internet par ce lien-ci :

https://us04web.zoom.us/j/77264177045?pwd=4dZn3b2kDlr1AZ4U8N5IyU69iNi6iF.1

ou alors, connectez-vous à l’aide de votre application Zoom Workplace :

Identificateur de la réunion : 772 6417 7045
Mot de passe de connexion : 2RTe0g

2. Notre propre instruction et notre propre formation pour combattre nos ignorances et nos incompétences. Sont elles qui nous rendent incapables de participer à la libération véritable, démocratique, durable du Congo-Kinshasa.

Tous les jours, sauf vendredi, de 19:15 à 19:55 de Bruxelles.

Téléchargez et importer notre calendrier, sous format .ICS, dans votre application de gestion de rendez-vous ici :

Se connecter via son navigateur internet :

https://us04web.zoom.us/j/72718973931?pwd=dFJxeEekubd3CbYiEWvm1CaqABEJsm.1

Entrez dans la salle de reunion via Zoom Workplace :

Identificateur de la réunion : 727 1897 3931
Mot de passe : 2nNcUH

RDC : colonisée par l’Amérique


Si les américains viennent, ce sera le début d’une nouvelle colonisation.  L’auteur de ce nouvel esclavage sera le Président de la République, lui-même.  C’est son deal à lui.

Comment le Projet 2014 peut-il nous aider à devenir de plus en plus libres ?  Comment pouvons-nous nous transformer en partenaires et non pas rester des esclaves ?  Nous sommes déjà esclaves de ceux que nous avons élus, librement.

Le début du deal de Donald Trump – Félix Tshisekedi, au regard de notre niveau de développement politique, scientifique, moral, spirituel, économique, technologique, culturel, industriel et social, ne peut être qu’une nouvelle colonisation.  Ce sont les armes qui parleront encore !

Nous instruire, nous former, nous éduquer, NOUS-MÊMES, est la solution.  Cette stratégie, les hommes de Kinshasa n’arrivent pas à l’adopter ni à la mettre en œuvre,  faute de motivation et de capacité.

Nos rencontres du Projet 2014, peuvent rentre possible la mise en route de cette solution peu onéreuse, congolaise, efficace !

EAE ASBL nous offre des formations accessibles et de grande facture, que nous négligeons.

De 20h00 à 20h40 de Bruxelles, tous les jours, sauf les vendredis, une rencontre du Projet 2014 a lieu sur Zoom ou sur Meet.  Nous y exposons et discutons ce que nous proposons POUR NOUS DÉVELOPPER NOUS-MÊMES !

Rejoignez la salle de réunions via votre navigateur internet.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez la salle de réunions via application Zoom Workplace.

Identificateur de la réunion : 796 6458 9726
Mot de passe d’accès : cr4HL6

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Pour nous instruire, nous former, et nous éduquer nous-mêmes, nous vous proposons une rencontre avec l’EAE ASBL, où nous sommes administrateur bénévole.

À 20h45 de Bruxelles, tous les soirs, sauf les vendredis, une rencontre de l’EAE ASBL, pour nous instruire, nous former, nous éduquer, et nous professionnaliser est animer par plusieurs intervenants.

Rejoignez EAE ASBL via votre navigateur.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez le Centre de Formations et de Conférences en ligne de l’EAE ASBL via votre application Zoom Workplace.

Identificateur : 796 6458 972

Mot de passe : cr4HL6

Plus tôt que nous ne l’avons prédit ?


Oui !  Le samedi, 19 avril 2025 déjà, nous écrivions ceci :

« Si donc, les Congolais ne rejoignent toujours pas le Projet 2014, qui prône l’indépendance totale du Congo, à réaliser [prendre] par les Congolais eux-mêmes,  après une disqualification de tous les bandits politiques que nous avons nous-mêmes commis à la gestion de la chose publique depuis 1960 ; le pays sera divisé en deux blocs que nous avons connus dans les années 70 : l’Est et l’Ouest.  Mais, attention !  Cette fois-ci,  l’Ouest perdra la province de l’Equateur, à la grande surprise de plusieurs, qui vivent dans des illusions ! »  Source : Groupe WhatsApp « Projet 2014 ».

Écoutons le message d’un Équatorien qui en dit long.  Ce message, d’apparence anodine, risque d’amorcer ou plutôt de faire partie un processus qui chamboule tout. Un bouleversement de la politique dans notre RDC et hors de la RDC, sera inéluctable.

Dans l’amour patriotique pour notre Président, nous n’arrêtons de le prévenir, fraternellement en Christ, d’uu danger. Celui que le pousse à courir, ceux qui, bientôt l’oublieront aussi vite qu’ils l’avaient adopté.  Le Président de la République peut s’éviter, nous éviter, une mort soudaine. Une disparition qui ne profitera ni à lui-même, ni à sa famille, ni au peuple congolais. Les autres morts d’hommes politiques congolais que nous avons connus et adulés nous ont laissé l’insécurité.

Ceux qui ne l’aiment pas, lui tendent des pièges. Tandis que ceux qui manquent de la sagesse, lui feront toujours croire qu’il soit encore populaire dans le pays.  Ce qui n’est pas faux en soit.  Cependant, la dure réalité est que son régime ait déjà déçu plusieurs.  L’existence des rebelles dans le pays suffit à lui seul de le faire comprendre. Il y a une frange de Congolais qui ne se retrouve plus dans son régime.  Se mettre sur le bas-côté, depuis bien avant la fin de son premier mandat, était s’éviter le pire.  Commencer un deuxième mandat était une erreur à ne pas commettre. C’était une tentation à laquelle il ne fallait pas succomber. Nous l’avions dit dans le même élan d’amour patriotique. Affection que nous avons pour un compatriote avec qui nous avons mené une lutte, ensemble. Sur plusieurs années, bien que dans des mouvements différents, nous étions convergents. Nous avions tous besoin de la démocratie, nous avons tout bravé.

Voici ce qui arrive toujours, dans nos pays demeurés colonisés, qui se recherchent encore et toujours. Il devient difficile pour le Président de se défaire du pouvoir.  Pourtant, nous pouvons aider, nous pouvons conseiller. Nous devons rechercher une solution élégante, apaisante, et éviter l’écoulement de notre sang. Une effusion que le MNC a engagée, amorcé et qui ne s’est pas encore arrêté jusque ce jour.  Pendant ce temps…

Dans l’équateur, comme nous le savons tous, la loyauté est une vertu cardinale.  Trahir sa parole, se pardonne difficilement.  On n’y dit pas « frère », pour s’amuser.  Le mauvais jeu paie cash !  Une qualité appréciée de tous, tant qu’elle ne touche pas à l’enlèvement d’une vie d’homme. Toutes les fois qu’elle pousse au respect mutuel.

Nous ne savons pas qui a tué le Général Alengbia Nyitetessya Nzambe Dieu Gentil.  Cependant, les hommes agissent en fonction de ce à quoi ils croient.  Et pour l’heure, nous entendons avec nous qui sont les accusés.  Avant qu’il ne soit trop tard, voyons plutôt comment construire que comment détruire.  En effet, il y a plus dans cette affaire…  Ainsi que nous l’avons annoncé.  Parce que, très vite, l’alliance nilo-soudanaise se mettra en route, si elle ne l’est pas encore.  Quant à Bemba dont d’aucuns parlent, il n’aura pas de choix.  Quoi qu’on dise : il a une tête, un cœur et un esprit.  Quelle sera la conséquence de tout cela ?  Qu’en sera l’impact ?

Naturellement, il fallait en tenir compte depuis 1960. L’Équateur rejoindra probablement, adoptera très vite, s’il ne l’a pas encore fait, l’AFC, et avec celle-ci, le M23. Pour nous, les deux ne font qu’un et seront difficile à séparer. Parce que c’est une question de sang !  La conséquence sur le plan international, que plusieurs Congolais ne comprennent pas, est immédiate.

Une fois l’alliance activée – ou plutôt comme elle est toujours active, même le Président Trump, logiquement, changera de camp. Il en sera ainsi pour ceux qui voudront continuer à le voir de la sorte. C’est pourtant une question d’homologie de culture.  Lorsque nous l’expliquons, personne ne veut nous croire.  Les États-Unis n’ont pas le cœur à l’Ouest, mais à l’Est, de tout temps. Et rien ne laisse voir un changement qui les amènerait à faire foi à l’Ouest, jusqu’ici, en tout cas.  Celui-ci en effet, globalement, garde son cœur « à gauche » !

Nous aimons véritablement le Congo et celui que nous avons élu. Expliquons à notre Président qu’il est temps pour lui de céder le pouvoir. Parce que nous ne doutons pas qu’il aime le Congo à sa manière. Céder le pouvoir de manière civilisée, à une personne à préparer ensemble reste possible. Soigneusement et rapidement, cela nous évitera que le bain de sang continue. Qui mieux est, nous éviterons que la colère de Dieu ne continue à se déferler sur les impies. Personnes qui pullulent sur notre sphère politique et dans notre administration.

La croisée des chemins pour l’Ituri


[4/20, 17:34] CALEBE BAHATI MUSWA: INFO INTROSPECTIVE.
MOBILISATION GÉNÉRALE.

FATSHI BÉTON ! NOUS VOUS PRIONS SON EXCELLENCE, LE COMMANDANT SUPRÊME, AVEC TOUT LE RESPECT VOUS DÉFÉRENT DE BIEN VOULOIR DONNER L’ORDRE À NOS FARDC ET NOS WAZALENDOS DE LANCER LES OFFENSIVES TANT TENDUES POUR EN ENFIN FINIR UNE FOIS POUR TOUTE AVEC MONSIEUR JOSEPH KABILA KABANGE, LE SENATEUR À VIE ET TOUS SES COMPLICES DU M23-AFC-RDF QUI ENDEUILLENT NOS COMPATRIOTES À L’EST CAR TROP C’EST TROP. AU LIEU DE CONDAMNER LE M23, IL AVAIT PLUTÔT DÉCLARÉ À LA PRESSE QUE LE M23 EST L’ASPIRATION DU PEUPLE, ON SE DEMANDE JUSQU’À PRÉSENT S’IL S’AGIT DE QUEL PEUPLE.

LE VRAI GÉNITEUR S’EST AFFICHÉ OFFICIELLEMENT À GOMA, L’HEURE EST VENUE POUR FAIRE PAYER À KABILA POUR TOUS LES CRIMES DE GUERRE ET CONTRE L’HUMANITÉ QU’IL COMMET DANS NOTRE PAYS DÉLIBÉRÉMENT SANS ÊTRE POURSUIVI ET TRADUIT EN JUSTICE. PAR CONTRE NOUS DEMANDONS À SON EXCELLENCE MONSIEUR LE VICE-PREMIER MINISTRE DE L’INTÉRIEUR ET DE LA SÉCURITÉ, JACQMIN SHABANI, À RETIRER L’AGRÉMENT DU PARTI POLITIQUE INSURRECTIONNEL, PPRD SUR TOUTE L’ÉTENDUE DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO.

NUL N’EST AU DESSUS DE LA LOI, LA LOI EST DURE MAIS C’EST LA LOI, DURA LEX SED LEX/NO ONE IS ABOVE THE LAW, THE LAW IS HARSH BUT IT IS THE LAW.

DÉBOUT CONGOLAIS! L’HEURE EST TRÈS GRAVE.

NB: NOUS REMERCIONS TRÈS SINCÈREMENT NOS DEUX EXCELLENCES, VICE-PREMIER MINISTRE DE L’INTÉRIEUR, JACQMIN SHABANI ET DE LA JUSTICE ET GARDE DES SCEAUX, CONSTANT MUTAMBA, D’AVOIR AGI DILIGEMMENT CONTRE LE SENATEUR À VIE, JOSEPH KABILA KABANGE ET SON PARTI POLITIQUE, PPRD.

Votre humble Communicateur Patriote, DI LUSALA TSHUMBU. Fait à Kinshasa, le 20/04/2025.


[4/20, 18:09] GPAU :

Frères,

Voilà comment notre compatriotes Tshumbu veut encore nous distraire, nous prend pour des bébés !

Il y a des signes qui ne trompent pas. Pourquoi nous écrit-il en majuscules ? Voilà comment ces hommes nous considèrent…

Si le Congo tout entier, 120 millions d’âmes, n’en voulait pas des rebelles, quels qu’ils soient, seraient-ils encorent là ?

Dans l’Ituri, n’y a-t-il personne qui soit capable de gouverner, loyalement, pour le compte du Président de la République ?

La réalité est que celui-ci nous prend pour son marche-pied – parce que nous le lui permettons.

Si demain, l’Ituri donne 2.500.000 voix au Projet 2014 ou à Kongo Ya Sika, moi je vous promets que ces blagues seront oubliées dans tout le pays.

Le Président de la République laisse des irresponsables le conduire à une mort ignominieuse, alors que tous les jours, nous l’avertissons, tant il confesse le nom de notre Seigneur Jésus.

Vous, mes frères Ituriens, libre à vous de choisir : le retour de l’état de siège que vous vivez ou l’indépendance de nos peuples de l’Irturi.

Indépendance : Le Katanga en avant


Nous ne pouvons pas continuer avec une mascarade juridique ; une constitution qui viole nos souverainetés, nos identités, qui nous vole notre destin.  Le Katanga a raison : notre retard politique est criant.  Dans ce domaine : il faut vite, ensemble et vigoureusement agir.

Nous avons un droit inaliénable d’opter pour le droit dit coutumier ou le droit dit public, moderne, actuel, qui bafoue nos droits les plus élémentaires : libertés d’opinions, de parole,  droits de sol, droit de sang, droits à l’instruction,  à la formation, à l’éducation, au travail, etc.

Dans le Katanga, certains compatriotes sont pris de colère et voudraient que tous les leurs se lèvent contre les museleurs, les pilleurs, les usurpateurs, les infiltrés,  les dictateurs, les traîtres de la nation que nos gouvernements successifs n’ont fait que multiplier.

C’est en vain jusqu’ici que nous tentons de faire comprendre à l’Ituri et au Nord-Kivu notre moutonnerie : la majorité continue à soutenir l’insoutenable, l’état de siège, la CENI, la MONUSCO, le tribut à payer à Kinshasa et la cohorte de malheurs qui nous collent à la peau.

Tous nos fils épris de paix, de justice, de dignité,  ne demandent à nous parents, plus qu’une seule chose : quitter le Kibali-Ituri.

Cette situation arrange Kinshasa qui ne veut plus que le déguerpissement de nos populations, pour vendre nos terres à leurs amis étrangers ou s’en accaparer, ainsi que piller nos ressources minières, nos métaux et non-métaux précieux en toute tranquillité.  Si donc, dans le Haut-Congo, le Kivu et le Katanga, l’Équateur, Bas-Congo, le Kasaï et le Bandundu, les peuples ne se lèvent pas pour contrer les voleurs, les envahisseurs, les dictateurs qui trônent à Kinshasa, nos enfants continueront à être les esclaves des hommes allochtones qui se multiplient partout dans le pays.

Pour l’heure,  la seule correction logique de nos erreurs du passé c’est :

  • la récupération propre et dans la légalité de tout nos biens vendus par erreur, spoliés, là où faire se peut, immédiatement et pleinement ;
  • l’exploitation de bout en bout, de nos ressources, par nous-mêmes, dans le cadre de nos projets à nous qui soient intégrés, complémentaires, robustes et pesants ; pour commencer un développement intégral et endogène de notre nation ;
  • une mobilisation forte des congolais de partout pour rapidement virer les hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique et aligner des désormais des hommes instruits, formés et éduqués à tous les postes politiques, administratifs et techniques, afin d’accroître notre productivité, notre rentabilité et notre compétitivité au plan international.

La révision et la simplification de la constitution doit d’ores et déjà être préparée d’abord pour produire des lignes légales directrices civilisatrices, démocratiques, novatrices, pérennes.

La démarche katangaise, qui commence à faire des émules dans l’Ituri, va-t-elle embraser le pays ?  À quelles conditions et pourquoi ?  Voilà  autant de questions que nous travaillons au Projet 2014, où nous attendons la participation massive et immédiate de tous.

Oui, très probablement : le Congo va bientôt démarrer l’acquisition de son indépendance, le pays s’embrasera.

En effet, de plus en plus, quoique très lentement, l’intelligentsia congolaise commence à se responsabiliser, à se décomplexer, à s’enrichir, à s’affirmer. La conséquence sera que bientôt il y ait de moins en moins de place pour l’incompétence, la trahison, la corruption, la colonisation et la dictature qui l’accompagne. L’enrichissement du pays démarrera, parce que plusieurs congolais voudraient désormais immiter les millardaires des autres pays.

Un indicateur nous permettra de voir dans quelle mesure l’indépendance approche. Quand vous verrez le nombre de participants au Projet 2014 augmenter, dites-vous bien que les anges de notre Dieu ont volé à notre secours. Il deviendra alors impossible d’arrêter la machine, parce que c’est Dieu lui-même que la commendera de plus en plus, rendent d’autant impossible l’emprise de Satan sur les témoins fidèles.

En tant que congolais, personnellement, je me suis résolu de redoubler d’effort dans la campagne d’engagement des congolais sur la voie de notre indépendance. L’objectif est simple : être aux arènes en 2028 au plus tard pour que vite survienne l’indépendance tant entendue du Congo-Kinshasa. Notre opprobre sera alors couverte par la gloire de Dieu. Voulez-vous monter dans le train de l’indépendance du Congo-Kinshasa ?

Oui !  Je m’engage et publierai 50 pages d’une contribution originale, par trimestre, pour nous pourvoir avec projet de société complet et démocratiquement produit.

Charles Onana : une erreur corrigible !


Ce qui se passe avec Charles Onana doit nous apprendre que nous demeurons naïfs, niais, égoïstes, divisés, amateuristes, nous, noirs africains.

J’avais déjà indiqué que Charles Onana manquait de sagesse et d’expérience et risquait lui aussi de mourir, sans bénéfice pour l’Afrique, comme cela a été le cas avec les révolutionnaires qui l’ont devancé.

Où sont les chefs d’accusation contre Charles et la liste exhaustive de ses accusateurs ? Qui a analysé ces accusations et étudié les accusateurs ; avoir d’élaborer une réponse qui conduise les ennemis de l’Afrique à réfléchir ?

Il faut agir vite et bien, pour sauver Charles Onana et l’Afrique.

Campagne ou travail ?


Les élections de 2028 sont devant nous. Nous avons loupé 2011, 2018, 2023. Si nous loupons 2028 aussi, ce serait regrettable pour le Congo-Kinshasa.

En effet, nous compatriotes meurent partout : pas seulement à l’Est. Les brutalisés, les empoisonnés, les tués, les violés, les emprisonnés, les dépouillés ; au pays comme à l’extérieur du pays, sont très nombreux : nous sommes véritablement maudits par Dieu.

Il n’y a qu’une voie de salut : le repentance ! Sinon, nous continuerons à subir le courroux du Dieu vivant et vrai. En effet, notre idolâtrie désarçonne, même les plus superstitieux. Levons-nous, comme certains indiens l’ont fait : jetons nos idoles, brulons-les ou faisons-en autres choses à la gloire du Dieu vivant et vrai qui enrichit sur tous les plans ceux qui l’adorent en esprit et en vérité ; ceux qui acceptent que Christ et le Père viennent habiter en eux, jusqu’à la félicité éternel.

Rejoignez-nous ici, dans Kongo Ya Sika ou dans dans nos initiatives pour combattre l’esclavage, la colonisation, la dictature et d’autres choses semblables.

Indépendance ? Un leurre !


Chez plusieurs d’entre nous humains en général et Congolais en particulier, la confusion est totale : famille, patriarchie, clan, tribu, ethnie, nation, alliance, langue, dialecte, peuple, territoire, région, pays, justice, droit, religion, politique, culture, coutume, us, moeurs, entente, et autres, sont confondus totalement, faute de connaissance, d’éducation ; parce que toutes nos cultures sont spoliées !
Chaque peuple qui ne prendra pas son indépendance politique, qui ne tiendra pas sa religion, son destin, en main, restera ou deviendra esclave des autres peuples et passera son temps à se rebeller plutôt qu’à se développer.

Au Congo, plusieurs peuples qui ne se connaissaient pas et ne s’acceptaient pas nécessairement, ont été amenés à former un pays à la vaille qui vaille.  Le colon en échec virtuellement parti, ces peuples prendront du temps pour se reconnaître, se re-identifier, se réorganiser, se restructurer, s’apprivoiser, symbioser…

Dans notre pays, certaines mésententes, rivalités, inimitiés, haines entre peuples, religions, langues, cultures, régions, ne permettent pas d’aller vite vers une unité véritable, sans laquelle l’indépendance du pays demeurera un leurre.

Le Projet 2014 est une offre d’un cadre de travail démocratique, en ligne, pour identifier, tracer des pistes sûres qui mènent à une convergence politique, culturelle, économique, spirituelle, salutaire pour tous.

Nos besoins, nos choix.


Nous avons besoin d’un État où les intérêts légitimes de chaque congolais sont respectés et non d’un État où les hommes au pouvoir sont déifiés et les autres maltraîtés.

Or, toute République est un non respect du citoyen, par essence ! Il nous revient de travailler dur pour son démentèlement de notre pays.

Quant aux hommes qui président à notre destinée, il nous faut les choisir parmi nos patriotes nés de nouveau : aimants, intelligents, sages, sobres, responsables…