Indépendance ? Un leurre !


Chez plusieurs d’entre nous humains en général et Congolais en particulier, la confusion est totale : famille, patriarchie, clan, tribu, ethnie, nation, alliance, langue, dialecte, peuple, territoire, région, pays, justice, droit, religion, politique, culture, coutume, us, moeurs, entente, et autres, sont confondus totalement, faute de connaissance, d’éducation ; parce que toutes nos cultures sont spoliées !
Chaque peuple qui ne prendra pas son indépendance politique, qui ne tiendra pas sa religion, son destin, en main, restera ou deviendra esclave des autres peuples et passera son temps à se rebeller plutôt qu’à se développer.

Au Congo, plusieurs peuples qui ne se connaissaient pas et ne s’acceptaient pas nécessairement, ont été amenés à former un pays à la vaille qui vaille.  Le colon en échec virtuellement parti, ces peuples prendront du temps pour se reconnaître, se re-identifier, se réorganiser, se restructurer, s’apprivoiser, symbioser…

Dans notre pays, certaines mésententes, rivalités, inimitiés, haines entre peuples, religions, langues, cultures, régions, ne permettent pas d’aller vite vers une unité véritable, sans laquelle l’indépendance du pays demeurera un leurre.

Le Projet 2014 est une offre d’un cadre de travail démocratique, en ligne, pour identifier, tracer des pistes sûres qui mènent à une convergence politique, culturelle, économique, spirituelle, salutaire pour tous.

Mal préparées, choisies librement…


Voici ce que l’on peut lire sur politico.cd au sujet des élections 2023 en République Démocratique du Congo ; ces élections mal préparées, par le pouvoir comme par l’opposition, choisies librement par nous, population congolaise.

Au cours d’un point de presse animé à Kinshasa dimanche 24 décembre, le parti politique Ensemble pour la République a exigé l’annulation des scrutins pour « fraude électorale » ainsi que l’arrestation immédiate du président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima et son bureau.

« Les machines à voter et les bulletins de vote ont été retrouvés entre les mains des tiers, tous candidats du camp de Félix Tshisekedi, qui ont tous voté un même et seul candidat, Félix Tshisekedi. C’est la preuve irréfutable que la fraude a été organisée et planifiée en sa faveur, avec la complicité de la CENI. Une seule machine retrouvée entre les mains d’un tiers remet en cause la neutralité de la CENI, confirme la fraude et annule les scrutins. Qui leur a donné ces machines? Combien de machines ont-ils reçues? Comment a-t-on mis en place, au sein de la CENI, une organisation facilitant la détention des machines par le camp Tshisekedi », a exposé Hervé Diakiese, porte-parole du parti politique de l’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi.

Ensemble pour la République n’entend pas accepter les résultats partiels qui sont en cours de publication par la centrale électorale.

« Le Président de la CENI, Denis Kadima devrait écoper d’une condamnation lui interdisant d’approcher de 100 mètres n’importe quel bureau de vote sur la planète. Nous ne nous sentons même pas concernés par tout ce qui sortira du prétendu centre autoproclamé Bosolo, pour nous c’est un non événement », a-t-il tranché.

Appelant les congolais à activer l’article 64 de la constitution, Me Diakiese a appelé la communauté internationale à rejeter les résultats des élections qui seront publiés par la CENI.

« Aucun pays sérieux, aucun pays occidental n’accepterait de telles élections chaotiques. Le sort du peuple congolais n’est pas de mériter des dirigeants tricheurs, fraudeurs. Cette nouvelle fraude ne passera pas. Ça prendra le temps que ça prendra », a-t-il souligné.

C’est depuis dimanche que la CENI a annoncé les premiers résultats partiels de l’élection présidentielle à travers quelques circonscriptions électorales à l’intérieur du pays après la diaspora. Félix Tshisekedi est largement en tête suivi de l’opposant Moïse Katumbi.

Gilbert Ngonga Mandunda

Nous,
Au Projet 2014 (https://projet2014.com), nous pensons que l’opposition à la colonisation, à l’esclavage, à la dictature et à la trahison se doit de se mettre au travail de terrain pour DÉMONTRER, PROUVER, l’impopularité d’un pouvoir qui profite des bas instincts de certains d’entre nous, habitués à la paresse et à la traîtrise !
Demander à des étrangers de venir nous secourir, lorsque nous avons choisi d’aller aux élections sans nous être préparés correctement, c’est faire preuve d’une irresponsabilité sans nom.
La gente au pouvoir ne tiendra pas longtemps avec ses suiveurs. Si nous nous montrons disciplinés, patients et fermes dans notre foi dans la capacité qu’a Dieu de confondre les hommes aux cous roides.
Si nous nous laissons aller à leur jeu, Dieu nous vomira nous aussi.
Nous avons son Esprit, mais pas comme les autres qui se disent frères et tentent en même temps de nous poignarder dans le dos.
Dieu barrera leurs mains fratricides !

Notre engagement politique !


De notre volonté (désir, vœux, détermination, résolution, décision, dessein…) et de capacité (aptitude, prédisposition, savoir-faire, savoir, savoir-être, argne…) à nous mettre au travail dépend le futur du Congo.

Depuis décembre 1999, nous invitons tous les Congolais à se mettre autour d’une table pour :

1° décider, ensemble, tous les peuples congolais réunis, de ce que nous voulons faire du Congo hérité de l’indépendance lumumbienne ;

2° ce que nous aurons convenu de faire, de décider de la manière d’agir, de la stratégie à adopter, du programme à suivre, du plan de travail, des attributions des tâches à adopter pour parvenir à nos objectifs locaux et nationaux.

Jusqu’à présent, il n’y a eu que trois compatriotes pour contribuer à la production, en ligne, d’un projet de société pour le Congo, un plan qui soit le plus complet et le plus démocratique à la fin ; et, qui soit testé sur terrain, pour susciter un engagement de l’ensemble de notre population et des populations amies.

Nous constatons que notre élite, nos universitaires, formés à l’école napoléonienne, sont des plus démissionnaires, peureux et irresponsables.  Des personnes que nous disons peu instruites, sans qualifications suffisantes ou sans éducations élvées, se meurent, se sacrifient, mal, mais avec conviction non bien éclairée, pour l’avenir de notre progéniture.  Ils meurent sans bénéfice pour leurs familles ni pour notre nation.  Personne n’est là pour éclairer, pour conseiller, pour instruire, pour former, pour éduquer, pour animer, professionnellement.

Ce message tombera peut-être dans une bonne oreille pour provoquer le déclic qui tarde à venir depuis 1960, malgré notre constante sonnette d’alarme, depuis 1976, aux côtés de notre père Michel Ézéchiel Atoka Ukumu ; et particulièrement, depuis 1999 que nous avons lancé le Projet 2014, que nous avons dédié à ce dernier le présent un site ; et que nous avons invité tous les amis à y verser leurs contributions, dans esprit démocratique.

Certes, nous nous devons de demeurer strict : 50 pages de contribution personnelle, originale, pour être considérer comme contributeur ; 3000 pages au moins avant de prétendre avoir un projet de société digne d’un pays multiculturel et vaste comme le Congo ; 50% de ministres du pouvoir acquis à la cause d’un développement par projets écrits, démocratiques, chrétiens et capitalistes.

24 ans après le lancement du projet 2014, force est de constaté que nous étions trop optimistes, naïfs, en acceptant les objections de ceux qui refusaient d’investir 30 ans dans la rédaction dudit projet.  Aujourd’hui, nous nous rendons compte que seul un miracle divin pourrait nous permettre d’atteindre l’objectif en 2029 ; si dans les six ans qui nous séparent de cette échéance, des Congolais se réveillent, se lèvent, revolts par notre honteuse démission, nous qui clamons aimer jalousément notre nation, notre territoire.

Une leçon est à tirer de cette triste et instructive expérience : il ne fallait pas réduire notre plan départ, de 30 ans, à un plan de 15 ans, sous l’influence de ceux qui, eux, souhaitaient participer à un travail de maximum 2 ans !  Notons que 1999+15 nous donnait 2014 : le nom du projet, que nous ne souhaitons pas surtout pas changer ; pour que cela reste gravé dans la mémoire de nos enfants que nous sommes, jusqu’ici, des peuples paresseux ou une nation faineante, lente à comprendre et à admettre ses faiblesses, à l’égoïsme suicidaire, aux cous roides devant son Dieu, contre lequel l’amour du Divin résistera, fidèlement à sa promesse.

En attendant, qui ici, aujourd’hui, qui veut se plonger dans l’eau froide et bienfaisante ?  La rédaction et l’animation politique forme, grandit l’homme qui se confie à Dieu, dans cette entreprise !

Un arbre à problèmes est à construire ensemble, avec détermination, pour combattre le mensogne politique qui induit nos populations sous-instruites dans des erreurs grossières et qui encourages nos intellos traîtres dans leurs prostitution politique.

Très intelligemment et sagement, il nous faut dégager de cet arbre la solution au problème que nous pose nos trahisons légendaires que plusieurs occultent pour se faire bonne conscience ou pour tenter de se cacher, face à la menace de la justice qui transformera, en son temps, plusieurs de nos héros politiques en bandits politiques, en criminels de droit commun.

C’est dire que le Projet 2014 soit aussi un courage politique. Les forces sataniques se lèvent à chaque initiative du projet pour tenter de nous barrer la route. Cependant, quand les fils de Dieu purifiés se lèveront, leurs châteaux voleront en éclat et plusieurs familles sombreront dans une honte innommable.

Notre engagement reste donc entier : le projet de société le plus démoncratique et le plus complet pour le Congo et le test en temps réel de ce projet sur terrain, pour couper l’herbe sous les pieds des dictateurs, des colonisateurs, des traîtres...

Hydraulique, développement, théocratie : quels rapports ?


« Un ancien député vient d’innogurer un puit d’eau qu’il a construit ; mais l’eau a refusé de couler. »

C’est ce que nous lisions dans notre groupe LAM, de WhatsApp, le lundi dernier, avec une vidéo de l’événement à l’appui.

Ce n’est pas sa faute : les ingénieurs et techniciens n’ont pas tout vérifié soigneusement avant sa venue, Dieu ne voulait pas de cette démonstration, un ou plusieurs saboteurs ont faussé la machine, pour décourager l’électorat du candidat !

Sachons cependant que Dieu fait tout concourir pour le bien de ceux qui le craignent.

Ce type de puits ne devrait pas être utilisé par nos population. Ces puits résovent un problème, mais en créent un autre : ils augmentent les cas de contamination à la salmonella, la fièvre thyphoïde qui est souvent mortelle !

Dans Beni, Kinshasa et bien d’autres localités, nos frères sont morts à cause de ces puits…

Pour aller vers la modernité, préférons des réseaux de distributions modernes conçus et gérés dans le respect des règles d’hygiène publique ; même si ils sont plus coüteux et plus difficile à gérer.

Choisir cette solution c’est favoriser des projets pesants, qui participent à la promotion de la santé publique et dignes de notre pays !

Concevoir de tels projets tirera la cité qui s’y invetit vers la haut. Il faut en effet include le projet dans un grand projet de voirie : furniture d’eau potable et industrielle ; et, collecte et traitement des eaux usées et des eaux de pluie. Le bénéfice est très grand pour : la santé publique, l’environnement, l’industrie hydraulique, l’emploi, l’éducation et l’enseignement, l’économie, l’agriculture, l’habitat, etc.

Étant donné que notre problème n’est pas celui de ressources financières ni matérieles, lançons-nous dans de tels projets qui contribueront aussi à écarter les hommes incompétents, incapables, de notre administration, pour le plus grand bien de nos services publics, de notre compétitivité et notre image au plan international.

Nous sommes disposer à participer à un travail collaboration qui associer l’intérieur et la diaspora au développement d’une politique énergétique plus responsable et de la plus haute technologie.

Les 21 personnes théoriquement engagées dans le Projet 2014 sont un ressource suffisante pour mettre le pays sur les rail !

Il nous faut recruter et former des animateurs du développement endogène, intégral et intégré dans un cadre théocratique pour en assurer, en garantir le succès.

Congolais asservi ?


Le congolais est-il asservi ?En quoi ? Comment ? Pourquoi ? Où ? Par qui ? Depuis quand et jusques à quand ? Avec quelle suite ?

Suivez…

Martin Fayulu Madidi apprend !


Je viens de lire Fayulu et me rejouis de ce qu’il commence à comprendre qu’il faille se départir des hommes véreux et d’une frange de notre population traîtresse et complice de nos bourreaux. Ces hommes, sans projet, ne cherchent qu’à couvrir leurs forfaitures en se maintenant au pouvoir par la terreur ; tandis que cette partie irresponsable de notre population, népotiste, ignorante et paresseuse, envoie nos patriotes à la mort inutile !

Cependant, son projet politique doit encore être muri et diffusé pour mûrir, dans un contexte qui demande beaucoup de sagesse et d’intelligence de notre part.

Le premier travail à abattre c’est de nous créer de bons leaders et des citoyens patriotes et productifs. Cela passe par une éducation, une formation et une instruction qui passe par une action de terrain difficile à mettre en oeuvre seul, sans avoir commencé par dresser un plan de travail, mobiliser les ressources indispensable pour créer une atmosphère qui dissuade les méchants, les usurpateurs.

Nous, Projet 2014, gardons le cap : christianisme, démocratie et capitalisme sont notre proposition.

Depuis 1999, les congolais cherchent des solutions aux problèmes ailleurs (fuites, rébellions, éliminations physique des adversaures politiques, alignement d’ignares, d’incompétents et d’immoraux dans des combats charnels), ne les trouvent pas et ne les trouveront pas…

En tant que nation, nous nous suicidons, faute d’avoir la connaissance que seule procure la nouvelle naissance de l’humain !

Qui est-il ? Que fait-il pour la RDC, comment et pourquoi ?

Commencez votre recherche ici, par exemple !

Qu’a produit son parti politique, l’ECIDé ?

Lundi 16 avril


Une quarantaine de personnes seraient encore tuées en Ituri cette semaine.
Cetains, trouvent encore utile d’inviter, de convier la population iturienne à une descente dans les rues : pour protester, dénoncer la CODECO, semeuse de la désolation et le gouvernement, complice de la CODECO, selon la pensée des hôtes de la manifestation.

Qui en veut à l'Ituri et pourquoi ? Comment, quand et pourquoi en finir avec l'insécurité dans la région ?
Qui nous écoutera là-dessus ?

Nous l'avions déjà dit et répété : la solution au problème iturien sera iturienne et ne viendra pas d'ailleurs !

[15/4, 22:22] QUICONQUE NE SERA PAS DANS LA RUE SERA TRAITE COMME LE TUEUR DES ITURIENS DIXIT


[16/4, 18:14] Un peuple a les chefs qu’il mérite.
Si nous sommes manipulables, c’est que nous ne nous aimons pas assez. Si nos administrateurs nous trahissent, c’est que nous élisons des hommes véreux à la tête de nos institutions.
Si Dieu n’écoute pas nos prières depuis l’esclavage arabe jusque aujourd’hui en passant par la colonisation européenne, c’est parce que nous sommes des sous-hommes.
Nous passons notre temps à adorer la créature plutôt que le Créateur.
Nos orgies des dimanches ne sont pas des cultes rendus à Dieu ; mais à Satan et ses suppôts humains. Sinon, pourquoi sommes-nous divisés, égocentristes, tout le temps dans la confusion, ennemis des enfants et prohètes de Dieu ?

Ce que nous réserve…


Au regard de la passivité de nous autres, qui sommes dans l’opposition, il ne nous faudra pas nous plaindre lorsque le pouvoir gagnera aux élections de 2023 : les mains levées !

Notre peuple, nos tribus, non plus, n’accuseront pas – je l’espère- la communauté internationale d’être la responable de tous les maux que nous vivons : du fait de leur complicité avec le pouvoir de Kinshasa.

Quant à nous, intelligentsia congolaise, sans production de stratégies ni d’animations politiques efficaces, nous devons déjà reconnaître notre manque de patriotisme criant, qui laisse libre cours à la méchanceté des hommes qui trônent à Kinshasa et qui profitent, lâchement, de l’ignorance dans laquelle notre peuple est plongé depuis le règne de nos aïeux hégémoniques, sataniques.

Les appels au travail du Projet 2014 demeurent donc vains et sont comme mal adressés ; de sorte que nous perdons notre latin et ne comptons plus que sur la grâce divine ! C’est de la clémence et de la compassion de Dieu que nous viendra le salut ; face aux ennemis du Congo qui, tous ou presque, nous raillent.

L’avenir demeure donc sombre, selon nous.

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

Mon fils et la politique.


Mon fils voudrait savoir comment se lancer en politique intelligemment, sans trop s'exposer,  dans un pays où il n'est pas facile de s'occuper de la cité ou de la nation sans risquer sa vie.
Dans notre groupe WhatsApp se trouve la livraison ci-dessous, complétée par un audio d'une quarantaine de minutes.
Cela pourrait donner des idées au politicien en herbe.

On va s’y prendre par quel moyen ?
Une feuille et un crayon suffisent.

Comment ?
Nos téléphones suffisent amplement.
Des goupes de 4 ou 5 personnes sont conseillés. Une formation au travail en équipe est indispensable pour être rentable, tout comme la conviction !

Quand ?
Quand nous voudrons conquérir notre indépendance, notre liberté. Toi, tu as l’avantage de connaître quand ton père a choisi d’agir : ce groupe commence à apprendre, qu’en 1976, j’ai choisi de m’investir dans la politique de mon pays et que depuis, je n’ai pas arrêté de travailler, comme dans les coulisses, pour certains, mais au grand jour, pour d’autres qui me connaissent.

Par qui ?
L’histoire du Congo est réalisée par ceux qui habitent le pays principalement. Mes aussi par beaucoup d’acteurs vivant à l’étranger. Tu le sais. Ta question me choque quelque peu : elle insinue pour moi que tu rappelles la colonisation, la servitude, le paternalisme, l’esclavagisme. Elle a un relent de parasitisme politique…

Et si l’on y arrivait ?
Si tu te juges incompétent, incapable, ignorant ou indiscipliné, commence par te former (compétences, capacités), t’instruire (connaissances, savoir) et t’éduquer (caractère, personnalité). Dresse un programme pour cela. Des ressources existent pour parvenir aux objectifs que tu te seras fixés.

Quels dangers nous guettent ?
La politique n’est pas une aventure. Nous vous laissons un audio ci-haut dans lequel nous exposons en vrac quelques points tirés de notre expérience. ☝🏿