Le processus de Washington


Nos questions à ChatGPT

  1. Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ?
  2. Sinon, combien sont contre ?
  3. Les USA sont-ils capable d’imposer la paix aux Congolais ?
  4. Pourquoi ?
  5. Tous les congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ?
  6. Pourquoi ?
  7. Quelle proportion représentent-ils ?

Les réponses de ChatGPT

Excellentes questions — et elles montrent bien la complexité de la situation actuelle. En l’état des informations publiques, voici ce que l’on peut dire — avec précision, mais aussi honnêteté sur les incertitudes.

🔹 1. Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ? Sinon, combien sont contre ?

  • Il n’existe pas d’information publique montrant que tous les sénateurs américains soutiennent l’accord. (foreign.senate.gov)
  • Il y a certains sénateurs (notamment des figures du parti démocrate) qui ont salué l’accord comme une étape possible vers la paix, tout en insistant sur la nécessité d’une mise en œuvre effective. (allAfrica.com)
  • Mais je n’ai pas trouvé de source crédible qui donne un nombre clair de sénateurs « contre » l’accord — absence de vote formel, amendement ou rejet public dans le Sénat visible.

👉 Conclusion : non, on ne peut pas dire que tous les sénateurs soient pour. Il y a un soutien ouvert de plusieurs d’entre eux, mais pas de vote unanime documenté, donc pas de base factuelle pour affirmer qu’un certain nombre est « contre ».

Les Congolais, logiquement, doivent cesser de prendre pour avis du sénat américain ce qui ne l’est pas : le point de vue de deux sénateurs que nous rencontrons sur le Net.

Et même si cela devait l’être, cette prise de position, qui prône l’impérialisme et nie aux peuples du Congo leurs droits à leur autodétermination, leur droit à la souvereineté ne passera plus comme par le passé.  Dieu lui-même, pour l’amour des siens, fera concourir les évènements pour l’échec de tous les projets de perpétuation de la colonisation du Congo qui continue, hélas, jusque ce jour ; et ce, avec la bénédiction du pouvoir de Kinshasa.  Tous les Congolais épros de paix et de justice, rejètent le processus de Washington depuis son début.

🔹 2. Les États-Unis sont-ils capables d’imposer la paix aux Congolais ? Pourquoi — ou pourquoi pas ?

Ce qu’ils peuvent faire :

  • Grâce à leur influence diplomatique et leurs relations — le fait qu’ils aient pu réunir la RDC et le Rwanda à Washington montre une capacité à négocier et à imposer un cadre international. (Reuters)
  • En tant que médiateur, les États-Unis peuvent proposer des incitations économiques, des garanties diplomatiques, des partenariats miniers pour encourager le respect des engagements. (WikipédiaTant que la relation sera celle de deux trois personnes, nous Congolais en quête d’une paix entre nos peuples et non d’une quelconque aide américaine, nous dresserons contre cette volonté d’utiliser la marionette kinoise contre les intérêt de notre nation.  Ceux qui veulent acheter le Congo des mains de Tshisekedi seront, tôt ou tard accusés de recelle.

⚠️ Ce qu’ils ne peuvent pas garantir réellement :

  • Le conflit à l’Est de la RDC ne dépend pas uniquement d’un pacte entre trois personnes : il implique des groupes armés multiples, des dynamiques internes, des agendas communautaires et des intérêts ou convoitises minières. Même un accord entre États ne couvre pas forcément tous ces acteurs. Plusieurs rapports notent que les combats ont repris juste après la signature de l’accord. (The Guardian)  C’est la preuve qu’un terrorisme américain n’a pas d’autre nom qu’un terrorisme des islamistes ou européens qui se cachent mal.
  • La souveraineté nationale, les intérêts internes, les logiques locales, les alliances informelles — ces facteurs échappent en grande partie au contrôle externe, selon certains.  Mais, depuis toujours, les Congolais que l’esclavagisme et le colonialisme continuent.  Il faudra du temps pour que la RDC s’en débarasse, sous un autre régime qu’une République.
  • Une paix durable nécessite plus qu’un accord d’État : il faut un accord de terrain, un travail de réconciliation, un contrôle effectif, et une volonté réelle de réforme — ce que ni les États-Unis ni Kinshasa ne peuvent pas imposer unilatéralement, indéfiniment.  Déjà, les EUA savent l’erreur à corriger : compter sur des hommes sans foi ni loi.  Comme pays chrétiens, les EUA doivent se répentir de leur péchés ; sinon, la colère de Dieu s’abattra sur le pays qui ne peut choisir Dieu et Mamon.

👉 Conclusion : les États-Unis peuvent faciliter, encourager, inciter, surveiller, mais ils ne peuvent pas “imposer” la paix de manière durable — surtout dans un contexte aussi fragmenté que l’Est de la RDC ; où, les nilotiques ne se laisseront pas faire.  Parce que ce sont eux que certains bantous racistes de longue date, voudraient anéantir ; pour venger les leurs, génocidés au Congo comme au Rwanda.

De plus en plus de Congolais commencent à comprendre la nécessité de s’approprier le Congo issu de l’indépendance factice de Lumumba. Ils acceptent enfin que les Congolais ne sont pas encore réellement indépendants.

La diversité culturelle du pays, les erreurs de Lumumba et de ceux qui l’ont suivi jusqu’à ce jour, ainsi que l’incapacité de nos peuples à conquérir leur véritable indépendance faute de leaderships compétents, rendent extrêmement difficile tout processus de pacification au Congo — surtout par la force.

Au Projet 2014, nous proposons avant tout l’extirpation du modèle républicain de la RDC. Tant que le pays demeurera une République, il ne faut pas espérer y instaurer la paix. Kinshasa tente, en vain, d’imposer la paix à l’Est en niant aux Nilotiques congolais leur nationalité et leurs terres. Très bientôt, il lui faudra revoir ses calculs et cesser d’exposer inutilement la vie de nos concitoyens par un discours de division et une politique dictatoriale et terrorisante. Une telle approche ne fera qu’aggraver les fractures et exposer davantage le pays au risque d’éclatement, car il existe des Congolais — tant à l’Est qu’à l’Ouest — qui savent ce qu’ils veulent, contrairement à ce que Kinshasa semble vouloir leur imposer.

Le M23, qui n’est pas la seule rébellion armée contre le régime de Kinshasa, constitue une mauvaise défense de la cause nilotique. Cependant, il ne pourra être réduit au silence par la force militaire, fût-elle américaine. Seule la justice permettra un jour de faire taire les armes. Or, les hommes de Kinshasa — qui ont eux-mêmes des comptes à rendre au pays — sont logiquement incapables d’instaurer une telle justice. Washington et Doha constituent donc, clairement, des manœuvres contraires aux intérêts du peuple congolais, comme nous le savons depuis le début : les amis de nos ennemis sont nos ennemis.

Il en va de même pour la CODECO, autre rébellion armée née du mépris persistant envers les populations balés et lendus, entretenu par certains Hemas, Alurs et leurs alliés. Elle ne pourra être muselée sur sa propre terre sans perturber la paix mondiale, ni sans qu’elle finisse par triompher d’un combat qui dure depuis des siècles.

La liste est longue. Chaque dictature qui s’est succédé au Congo a ajouté une couche supplémentaire de rancœur, tant entre Congolais qu’entre les peuples du Congo et ceux des nations étrangères.

🔹 3. Tous les Congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ? Pourquoi ? Quelle proportion représentent-ils ?

  • Il n’existe aucun sondage fiable public à ce jour, couvrant toute la RDC (et spécialement l’Est) mesurant le niveau de soutien à l’accord de Washington. Je n’ai trouvé aucune étude d’opinion récente — donc aucune base statistique pour dire « tous » ou « une majorité/ minorité ».
  • Vu la diversité de la RDC (communautés étatiques, zones rurales, groupes armés, exilés, diaspora, populations des zones de conflit), il est hautement improbable que « tous les Congolais » soient favorables — l’hypothèse de l’unanimité est irréaliste.
  • Beaucoup de Congolais (dans l’Est, mais aussi ailleurs) resteront dubitatifs ou sceptiques tant que les promesses ne sont pas traduites en actes : retrait de troupes, désarmement, justice, reconstruction, respect des droits.

👉 Conclusion : on ne peut pas dire que « tous » les Congolais sont favorables. On ne peut pas quantifier une proportion — faute de données. Ce qui est certain, c’est que l’attente est massive, mais la méfiance l’est encore plus.

Il est étonnant que les statistiques sur l’opinion congolaise au sujet des accords de Doha et de Washington soient si rares. Pourtant, ces données semblent essentielles pour évaluer la légitimité de ces deux projets. Que disent réellement les rapports onusiens ? Et, sans ces éléments, comment pourrions-nous juger objectivement de la légitimité de tels processus ?

Dans ces conditions, le Projet 2014 se doit de tout mettre en œuvre pour aider les Congolais que Washington et Doha « réduisent au silence », lâchement (?), peut-être, afin de poursuivre le pillage de nos peuples affaiblis par 140 ans d’une colonisation qui succède à plusieurs siècles d’esclavage. Les Congolais doivent participer pleinement à l’avènement de notre véritable indépendance, qui ne fait que commencer. Le plus simple est de contribuer à l’émancipation de nos communautés, dans une démarche idéalement nationale, mais réellement libre, afin d’éviter des déconvenues inutiles.

Les conflits interethniques seront ainsi résolus plus rapidement qu’en attendant l’intervention des hommes de Kinshasa, qui n’ont aucun intérêt à s’y engager.

🔹 4. Pourquoi ces incertitudes sont-elles légitimes ?

  • Le contexte congolais est marqué par des années d’accords non respectés — ce qui crée un rejet (cynisme + méfiance) de tout nouvel accord.
  • Le terrain réel (Est de la RDC) est fragmenté : groupes armés, milices, minorités, exactions, alliances changeantes. Un accord bilatéral n’inclut pas tous ces acteurs.
  • Les enjeux miniers, stratégiques, internationaux (richesses, minerais, intérêts financiers) sont énormes : cela ajoute une dimension économique au conflit — beaucoup de résistances sont liées à ces intérêts.

Mon évaluation — honnête et nuancée

  • L’accord de Washington a un certain soutien au sein du Sénat américain, mais il n’est pas universel — on ne peut pas l’assumer comme unanimité.
  • Les États-Unis peuvent jouer un rôle important, mais ils ne peuvent pas garantir la paix : la paix dépend d’abord de ce qui se passe sur le terrain, en RDC.
  • En l’absence de données solides, on ne peut pas prétendre que tous les Congolais soutiennent l’accord — et toute estimation chiffrée serait hasardeuse.

En bref : l’accord est une opportunité. Mais ce n’est ni une garantie, ni un ticket gagnant automatique. Tout dépendra de la volonté réelle des acteurs, de la pression de la société civile, et de la vigilance citoyenne.

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Nos questions subsidiaires à ChatGPT

  1. Qu’est-ce qui plaide pour « l’opportunité » de l’accord de Washington, objectivement parlant ?
  2. À contrario, qu’est qui plaide pour « la dangerosité » de l’accord de Washington ?

Les réponses de ChatGPT à nos questions subsidiaires

Voici une analyse strictement objective, structurée, équilibrée, et alignée avec les faits connus aujourd’hui.

Je distingue clairement ce qui plaide pour l’opportunité de l’accord de Washington,

et ce qui plaide pour sa dangerosité.

I. Ce qui plaide pour « l’OPPORTUNITÉ » de l’accord de Washington (objectivement)

Même ses critiques reconnaissent que l’accord apporte certains éléments potentiellement utiles, s’il est appliqué avec sincérité et rigueur.

1. La mise en face-à-face de la RDC et du Rwanda

Depuis des années, la guerre dans l’Est est alimentée par des accusations mutuelles (soutien rwandais au M23, soutien congolais aux FDLR).

Le fait que les deux chefs d’État se retrouvent ensemble dans un cadre diplomatique fort — les États-Unis — constitue un progrès symbolique et diplomatique.

👉 Cela ouvre une fenêtre possible de désescalade.

2. La pression diplomatique américaine

Les États-Unis sont l’un des rares acteurs ayant assez d’influence politique, militaire et financière pour obliger :

  • Kigali à faire des concessions,
  • Kinshasa à accepter un compromis,
  • et les deux parties à signer un document engageant.

Si Washington décide réellement de suivre l’application,

👉 cela peut freiner les violations et encourager un retour au dialogue.

C’est ici que réside l’erreur monumentale :

– Se faire le gendarme de la région des Grands Lacs.

– Travailler sur la base de concessions et de compromis qui laissent intactes les rancœurs, les frustrations et les inimitiés.

– Penser que des signatures apposées sur du papier ont la même signification que dans la culture occidentale.

Il faut avoir le courage d’aider les frères ennemis à comprendre l’intérêt qu’il y a pour eux à résoudre leurs problèmes honnêtement, résolument et librement, afin de ne plus demeurer esclaves ni colonisés, pour le plus grand bien de toute l’humanité.

Les fautifs paieront alors pour leurs fautes et seront totalement déchargés du poids de la culpabilité. Les victimes se sentiront respectées, valorisées et encouragées à pardonner, tout comme elles auront été, elles aussi, pardonnées.

3. Un cadre pour organiser un mécanisme sécuritaire

L’accord propose la création d’un mécanisme de surveillance conjoint (ou supervisé) du retrait, du désarmement, des mouvements de troupes.

👉 C’est un instrument utile si les parties jouent le jeu.

Il y a pourtant des raisons de penser que les membres du M23 ne sont pas des suicidaires. Où iraient-ils ? Au Rwanda ? Pour y faire quoi ? Les Rwandais qui les aident laisseront-ils leurs frères mourir sous leurs yeux ? Pour quelles raisons mystérieuses ? Est-ce une habitude, chez eux, de trahir un frère ?

Obliger les FDLR à retourner au Rwanda est-ce une solution humaniste ? La RDC n’a jamais réussi, ou n’a jamais voulu, les désarmer : pourquoi ? La RDC livrera-t-elle en pâture ceux qu’elle croyait être ses alliés pour renverser le régime tutsi du Rwanda ? Au fond, ces Hutus — pour la plupart — ne sont-ils pas des frères des Congolais ? Que fera Dieu de ceux qui trahiront leurs frères ?

Nous l’avons toujours dit, depuis longtemps : désarmons les vrais réfugiés. Installons-les loin de nos frontières afin qu’ils participent à l’enrichissement de la RDC. Raisonnons nos frères tutsis jusqu’à ce qu’ils acceptent qu’ils sont une minorité — à protéger — au Rwanda, leur terre à eux aussi.  Quant aux islamistes terroristes qui voudraient envahir le Congo chrétiens, sommons-les d’aller chez ceux avec qui ils partagent la même foi.

4. La possibilité d’un allègement immédiat des souffrances civiles

Si même 30 % des engagements étaient appliqués, même temporairement, cela pourrait :

  • réduire les combats,
  • ouvrir des corridors humanitaires,
  • réduire les déplacements de population,
  • baisser la mortalité dans les zones les plus violentes.

👉 Pour les populations civiles, même un répit temporaire est une opportunité.

Vivre en paix ne doit pas être quelque chose à quémander simplement parce que l’on est Congolais. Et sans justice, nous le savons bien, la paix est impossible.

La question qui se pose aujourd’hui en RDC est la suivante : qui respecte autrui pour prétendre au respect ? Qui est droit pour mériter la paix ?

Que disent les processus de Washington et de Doha ? Sont-ils capables de nous apporter des réponses à ces questions essentielles ?

5. L’ouverture économique (mines, infrastructures)

Un accord bilatéral sous parrainage américain peut attirer :

  • investissements,
  • projets miniers régulés,
  • financement de reconstruction,
  • infrastructures stratégiques.

👉 Dans un contexte où l’Est est ravagé, c’est un levier non négligeable.

Conclusion opportunité

L’accord ouvre une fenêtre de désescalade, même fragile,

et un espace diplomatique formel pour des acteurs qui, jusqu’ici, fonctionnaient surtout par confrontation indirecte.

II. Ce qui plaide pour la « DANGÉROSITÉ » de l’accord de Washington

Cette partie est tout aussi importante — et ce sont des éléments critiques majeurs.

1. Le M23 n’est pas partie prenante

L’acteur militaire principal du front nord ne signe pas l’accord.

👉 Cela fait du texte un accord « théorique » :

  • il ne lie pas le M23,
  • il ne règle pas les revendications profondes,
  • il ne désarme pas les effectifs sur le terrain.

Un accord sans le M23 = un accord incomplet dès le départ.

S’il est juste, louable, souhaitable d’écarter tout groupe jugé terroriste d’un accord de paix, il faut alors écarter aussi le gouvernement congolais, esclavagiste et terroriste, de cet accord.  Sinon, il y a injustice et une paix n’est pas possible dans ces conditions.  Les peuples congolais ne doivent pas se faire d’illusions : l’insécurité continuera, longtemps encore ; à moins que Dieu interviennent Lui-même, pour l’amour des siens.

2. Les acteurs locaux majeurs sont ignorés

L’accord ne mentionne pas :

  • CODECO,
  • ZAÏRE,
  • FPIC,
  • ADF,
  • les groupes communautaires Bantu, Hema, Lendu, Nande, Hunde, Nyanga, Alur…

👉 Cela donne une impression de lecture racialisée et simpliste du conflit :

« Rwanda vs RDC »,

alors que la réalité est multipolaire, interne, communautaire et complexe.

Ignorer ces acteurs =

➡️ reproduire les erreurs de Lusaka, Sun City, Nairobi, Luanda…

Voici qui met en lumière le caractère partial, fourbe, du régime qui a signé l’accord de Washington.

Or, tant que ces fautes ne seront pas corrigées, quel peuple sérieux croira et composera avec Kinshasa ?

3. Un risque de “colonialité de la paix”

Lorsque des accords sont négociés loin du terrain,

par des États étrangers,

sans consultation des communautés locales,

cela crée un sentiment de :

  • dépossession,
  • infantilisation politique,
  • marginalisation identitaire,
  • esclavage,
  • colonisation…

👉 Plusieurs Congolais — du Nord comme du Sud — y voient déjà une forme moderne de « paix imposée », donc suspecte.

Cette paix proposée n’est pas suspecte.  Elle est, objectivement parlant, factice, fausse, une méchanceté déguisée en  bienfaisance.

4. Le Rwanda et la RDC n’ont pas un bilan crédible

Il existe plusieurs précédents d’engagements non respectés.

Le manque de confiance structurel rend la mise en œuvre d’un tel accord très improbable.

👉 Sans confiance, un accord devient un papier symbolique.

La mise en œuvre d’un tel accord avec succès n’est pas improbable.  Elle est une impossibilité mathématique ; sauf dans le monde de niais.

5. Les concessions cachées (danger politique majeur)

Beaucoup redoutent que des concessions :

  • minières,
  • territoriales,
  • diplomatiques,
  • ou militaires
    aient été négociées en coulisses.

Sans transparence totale,

👉 la population peut percevoir cela comme une trahison,

ce qui augmente la tension interne et le rejet du texte.

6. Risque de fronde intérieure en RDC

Une partie importante des Congolais :

  • militaires,
  • habitants de l’Est,
  • diaspora,
  • leaders locaux (Ituri, Rutshuru, Masisi, Hauts Plateaux),
  • victimes des conflits,

ne croit pas à cet accord.

👉 Si l’accord est appliqué “par la force”,

on peut assister à une résistance communautaire,

voire à une extension des milices locales.

7. Risque d’illusion diplomatique

L’accord peut créer une fausse impression de paix pour les acteurs internationaux,

ce qui réduit la pression sur le terrain,

alors que les violences continuent.

C’est ce qui s’est produit après Lusaka, Addis-Abeba, Nairobi…

👉 L’accord peut devenir une coquille vide,

mais politiquement dangereuse parce qu’elle donne l’impression d’un “progrès”.

⚖️ Synthèse finale

Ce qui rend l’accord potentiellement utile :

  • fenêtre diplomatique ouverte,  elle devra néanmoins totalement être débarrasser du parti pris et s’assurer de s’aligner avec la volonté des peuples congolais et rwandais au risque d’échouer.
  • occasion de désescalade,
  • éventuels bénéfices économiques, l’enrichissement d’une nation dépend de son implication dans le travail structurée, intelligent, partant des ressources à sa dispositions.  Le Congo, tout comme le Rwanda, on beaucoup d’atouts encore inexploités pleinement de façon responsable.
  • possibilité d’un soulagement humanitaire.

Ce qui rend l’accord potentiellement dangereux :

  • pression américaine, risque de paix imposée, déjà perçu par certains Congolais comme de l’impérialisme, comme une convoitise des richesses naturelles du Congo ;
  • absence des acteurs locaux (M23, CODECO, Zaïre, FPIC…),
  • manque de transparence,
  • déficit de crédibilité des signataires,
  • risque de rejet populaire et communautaire,
  • reproduction des erreurs des accords précédents.

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Notre conclusion provisoire

  • Washington aidera la RDC, s’il s’investit dans une démarche humaniste et non pas impérialiste ; cette dernière lui causera du tort à lui-même, à Kinshasa et à Kigali ;
  • Les Congolais, tout comme les Rwandais, doivent maintenir le cap de l’apprentissage de la géopolitique ;
  • Par-delà toute chose, le Congolais doit revenir à Dieu et arrêter son idolâtrie.

RDC–Qatar : Une colonisation qui se perpétue par nous-mêmes !


[8/8, 23:10]

[D’un contact WhatsApp]

« Qatar-RDC : Le pivot géopolitique qui isole le Rwanda et enterre le M23 20 milliards $ en jeu »

1. Le réalignement stratégique du Qatar : Kinshasa au centre, Kigali marginalisé
Dans l’échiquier des relations internationales, les alliances se forgent et se défont au gré des intérêts. L’Émirat du Qatar vient d’opérer un virage clairvoyant en s’alignant pleinement derrière la diplomatie offensive du Président congolais Félix Tshisekedi.
Ce repositionnement n’est pas un hasard : il répond à une logique de realpolitik où le Rwanda et ses relais armés (M23/AFC) deviennent un passif géopolitique, tandis que la RDC s’impose comme un partenaire incontournable.

2. Le coup d’accélérateur américain : Le M23 classé terroriste, une victoire pour Kinshasa
La récente résolution du Sénat américain inscrivant le M23 parmi les organisations terroristes (au même titre qu’Al-Qaïda, le Hezbollah ou le Hamas) a scellé le sort du mouvement. Pour Doha, cette décision valide deux calculs :
Légitimer l’offensive congolaise contre les groupes armés, avec un soutien juridique international.
Asphyxier les soutiens rwandais au M23, désormais exposés à des sanctions ciblées.
Le Qatar, en acteur avisé, anticipe la chute inéluctable des dirigeants du M23 et mise sur le camp gagnant.

3. La diplomatie économique comme arme : 20 milliards $ pour la RDC, un message à Kigali
Doha ne se contente pas de déclarations : il déploie une stratégie d’influence par l’investissement.
La tournée africaine de Cheikh Al Mansour Bin Jabor Al Thani (cousin de l’Émir et patron d’Al Mansour Holding) dans 10 pays, dont la RDC, envoie un signal sans équivoque :
La RDC, priorité absolue avec des investissements directs estimés à *20 milliards $, renforçant son poids régional.
Le Rwanda, tenu à distance : en finançant massivement Kinshasa, le Qatar sape l’influence économique de Kigali en Afrique centrale.

4. Une délégation royale pour sceller l’alliance
Avec une délégation de 19 membres (dont des conseillers royaux et experts émiratis), cette tournée du 13 au 29 août n’est pas qu’une opération commerciale : c’est une manœuvre géoéconomique visant à :

Consolider les partenariats qataro-congolais (énergie, infrastructures, mines).

Élargir l’influence de Doha en Afrique, en marginalisant les acteurs jugés instables (Rwanda/M23).

Conclusion : Le Qatar joue son rôle de puissance pivot
En soutenant la RDC, le Qatar capitalise sur trois leviers :
Légitimité internationale (via le vote américain contre le M23).
Poids économique (investissements massifs comme levier d’influence).
Isolation ciblée du Rwanda, dont les soutiens aux groupes armés deviennent un handicap diplomatique.

THE BEST


[8/9, 09:06]

GPAU

Il est temps de regarder la réalité en face : la colonisation ne s’est pas simplement retirée, elle s’est métamorphosée. Aujourd’hui, elle se poursuit par notre propre complicité — nous, Congolais, en sommes devenus les relais inconscients. Il n’y a donc aucune raison de se réjouir.

Ce moment exige de nous une introspection lucide sur notre destinée et sur celle de nos enfants. Un avenir que nous mettons en péril depuis que nous avons accepté, pour la première fois, les chaînes de l’asservissement. Ce consentement initial à l’esclavage continue de produire ses effets, génération après génération.

L’intelligentsia congolaise, censée éclairer et guider, semble sombrer dans l’indifférence. Elle a renoncé à son rôle historique, et cette démission morale la rend coupable devant le peuple et devant l’Histoire.

Puisse-je, à mon humble mesure, contribuer à l’éveil des consciences et à la reconquête de notre dignité.

Adresse solennelle au Président Donald Trump



Monsieur le Président,

Nous nous exprimons dans l’ombre des rendez-vous de Washington et de Doha, là où les destins des peuples semblent se jouer sans leur consentement. L’heure est grave. L’Histoire retiendra bientôt que les protagonistes de cette tragédie auront été poussés à l’irréparable : le génocide des Ougandais et des Congolais.

Nous redoutons que votre gouvernement réalise trop tard qu’il s’est associé à ceux qui portent la responsabilité de crimes innommables. Ces alliances pourraient conduire à abandonner le peuple congolais à une souffrance silencieuse, entretenue par des élites corrompues — qu’elles soient au pouvoir ou dans l’opposition — qui se nourrissent de la misère et du sang de leurs propres concitoyens.

Monsieur Trump, en tant que frère en Christ, nous avons le devoir de vous interpeller : nul chrétien ne saurait s’associer à ceux qui fomentent des meurtres au grand jour. L’enrichissement personnel bâti sur la trahison des siens est un péché grave. Nous vous avons averti : la justice divine n’est pas aveugle, et elle ne tolère pas l’indifférence devant le mal.

Nous espérons que vos choix futurs seront guidés par une conscience renouvelée, attentive au cri des opprimés. L’Histoire peut encore s’écrire autrement — avec justice, vérité et compassion.


URGENT ! URGENT! ATTAQUE TRES MEURTRIÈRE DES TERRORISTES ADF-NALU A KOMANDA SUR LA ROUTE BENI-BUNIA

Les ADF viennent d’égorger une trentaine des membres de la Croisade Eucharistique qui étaient en session dans la salle cartas a KOMANDA, d’autres corps des civils seraient aussi dans les champs d’où le bilan pourrait s’alourdir.
L’attaque est survenue dans la nuit du samedi à ce dimanche 27 juillet 2025.

Des zélateurs et zélatrices, secrétaires et cérémoniaires viennent d’être massacrés à la machette.
Les opérations SHUJAA FARDC-UPDF Sont en cours dans cette région.
Quelques personnalités qui sont cachées a BENI, MAMBASA, IRUMU qui tirent profit dans ces massacres sont en train de chercher à saboter ces opérations pour tenter de décourager la population a collaboré avec les autorités compétentes.

Nous continuons une enquête très rigoureuse pour dénicher les ADF en
veste et en tenue militaire qui continuent à contrecarrer les opérations FARDC-UPDF.

CMM, Activiste de droits humains

Erik Prince provoque l’émoi !


https://copilot.microsoft.com/shares/bxysMC7k3PPQEwhGbcAG6

L’avenir du Congo et de la Russie : au-delà de l’armement


Les besoins de nos États

Comme le Congo n’a pas besoin d’armes. Signer des contrats avec quelque pays que ce soit, pour l’armement de notre état, revient à ignorer nos besoins. C’est mépriser et insulter notre peuple. Notre Gouvernement, la Présidence de notre République, ainsi que notre Parlement connaissent bien cette donne. Nos fils commencent doucement à se lever. Ils ont compris que les offres et commandes d’armements tiennent à la colonisation. Ils savent que c’est du pillage de nos ressources de tout genre.  Nos pas nos ressources naturelles seulement, mais aussi nos ressources humaines, culturelles, politiques, technologiques, économiques. Lorsqu’ils en seront capables, une guerre s’enclenchera automatiquement.  La RDC gagnera cette guerre, en raison de l’intelligence et de la sagesse qu’elle déploiera sur le champ de bataille.  Parce qu’en ces temps-là, comme toujours, Dieu se mettra du côté du converti à la vérité.

Plusieurs chemins mènent à Rome, mais n’ont pas le même coût !

En attendant que les Congolais se décident à se réveiller, le Projet 2014 continue à indiquer les pistes.  Les voies qui susceptibles de mener au salut de la RDC. Un pays qui pour l’heure, a choisi le chemin de la perdition, de l’idolâtrie.  Joignant prières et travail, nous avons l’assurance d’arriver à la victoire.  Nous arriverons à bout de notre ennemi Satan et de ses suppôts humains.  Ils nous combattent, jour et nuit, mais ne se doutent pas de leur prochain échec.  Dieu, comme promis, aveugle les orgueilleux et ceux qui versent continûment dans l’iniquité.  Peu sont nos politiciens capables de comprendre, mieux, d’accepter cette donne.  Au Congo comme en Russie, par exemple, nos peuples et nos dirigeants traînent.  Beaucoup se livrent à des orgies qui ne trompent plus les congolais éveillés, nés de nouveau.  Travailler sur base d’un respect Dieu, de nos peuples, ses créatures, les dérange.  Cela revient en effet, pour eux, d’accepter de perdre des avantages qu’ils ont cumulés, engrangés.  Ils ont longtemps misé sur les convoitises, l’égoïsme, la peur, l’ignorance.  Ils ont exploité à souhait la trahison, la méchanceté et la malhonnêteté de nos peuples.  En clair, nous souffrons de mêmes maux, défauts, caractères.  Que fera Dieu dans les années qui viennent ?

Quel est la place de Dieu dans tout cela ?

Parce qu’ils refusent de reconnaître son amour des siens, Dieu sanctionnera les rebelles.  Il suscitera des  congolais sages et intelligents.  Ceux-ci redresseront bientôt le pays.  Un pays malade à cause de la trahison de son Dieu, de son investissement dans l’idolâtrie.  Qu’est-ce à dire concrètement ?  Que se passera-t-il au juste ? Pour y répondre, pensons à ceci. Que s’est-il passé en Angola, au Mozambique, au Cambodge, en Irak, au Cuba ? Où en sont l’Afrique du Sud, l’Argentine, Israël, l’Ukraine, le Kosovo, l’Egypte ou la Libye ? Les histoires de ces pays doivent nous apprendre.

Bien avant le jugement dernier…

Un investissement de quelque pays que ce soit ne portera du fruit qu’à une condition. Il devra mettre l’armement au second plan et non pas au premier plan.  C’est ici la parole de Dieu.  Les pays partenaires de la RDC, tels que la Russie, les EUA, la Chine sont concernés.  C’est aussi le cas des Corées, du Japon, de Taïwan, de l’Inde, de l’Arabie Saoudite.  Tout comme il en sera des Émirats Arabes Unis, du Brésil, du Canada et du Royaume-Uni.  De la même manière, seront traités la France, l’Australie et  l’Asie de l’Est.  Il n’en sera pas autrement en 2024, qu’à l’époque des israélites.  La publication suivante, illustre comment l’on peut mal investir.

Pourquoi la Russie ne propose-t-il, généralement, que des armes d’abord ?

Nous pouvons, ensemble, chercher à bien valider puis à répondre à cette question.

Une analyse fine peut nous aider…


Comment aider nos jeunes à opérer de bons choix, éclairés sur le contentieux Europe-Afrique, et ne pas se tromper ?

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/11/04/l-afrique-a-l-heure-des-comptes-avec-la-france_6148544_3212.html

Les dénonciateurs…


Je pense que nous devrions arrêter la pratique des dénonciations qui n’apportent aucun changement.

Analysons les problèmes que nous rencontrons pour en connaître leurs causes, sources et origines ; ainsi que leurs conséquences, suites et effets.

Cela nous outillera pour trouver professionnellement des solutions efficaces, efficientes, dissuasives, contres les bandits politiques qui pullulent dans notre sphère politique nationale et internationale.

Instruisons-nous, formons-nous, éduquons-nous, nous-mêmes ; pour être à même de mieux vaincre, dans le combat que nous menons contre nos oppresseurs, nos esclavagistes, nos colonisateurs ; ceux du dedans comme ceux du dehors.

NI L’ENSEIGNEMENT NI LE TRAVAIL !


🇨🇩 RDC 30 AVRIL ET 1er MAI 2022, NE FETEZ PAS L’ENSEIGNEMENT NI LE TRAVAIL MAIS REVOLTEZ-VOUS CONTRE VOS DIPLÔMES.

Vous vous dites intellectuels et vous vous appelez travailleurs, mais votre pays reste toujours presque le dernier en tout ; en quoi avez-vous été formés et sur quoi travaillez-vous ?

[Les] Des africains sans diplômes ni postes de travail à la hauteur des titres académiques et fonctions dont vous vous vantez ont réussi à refuser la colonisation des « wazungu » et à réclamer leur dignité.

Aujourd’hui vous, vous acceptez d’être dominés et manipulés par vos semblables congolais et africains.

Si votre enseignement a été de vous apprendre à tout accepter comme dogme, alors dites [nous] alors de vous comprendre.
Si votre travail vous a formés à tout supporter, alors méritez nos excuses.

(Propos du juriste chercheur Moïse KIKONDO à Sunama Maombi)

LA VICTOIRE DE VLADIMIR POUTINE !


https://youtu.be/xUbBplCPfog

LA CRIMÉE DANS LA RUSSIE, OFFICIELLEMENT.

Erreurs d’appréciation


[22:04:31] KL: (handshake)
[22:13:52] KL: Actions 
Lumona1— via Congokin-tribune (congokin-tribune@congokingroupes.com)   16:21  Groups
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Sent: 30 July 2014 16:21:51
To: congokin-tribune@congokingroupes.com
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Wait, it’s safe! I’m not sure. Let me check
L’ambassadeur des USA à Kinshasa : «Nous demandons à ce que la Constitution soit respectée»
Publié le mercredi 30 juillet 2014 12:18

Quant à la démocratie et la gouvernance, nous recommandons une collaboration continue entre la Commission Électoral Indépendante, le Gouvernement et les parties politiques afin de développer un plan du processus électoral.

Nous demandons à ce que la Constitution soit respectée ainsi que les prévisions sur le calendrier des élections présidentielles et les mandats limités. Nous pensons que la confiance de la population dans le processus électoral va augmenter en émettant un calendrier électoral complet pour les élections locales, provinciales et nationales jusqu’au niveau Présidentiel.
En ce qui concerne le programme de développement et de croissance économique, nous saluons les efforts du gouvernement Congolais à s’assurer de la stabilité macroéconomique et embrassons leur engagement à d’autres réformes qui encouragera la croissance du secteur privé. L’investissement américain dans le secteur privé au Congo est complété par notre vaste assistance bilatérale. Cet appui des États-Unis d’Amérique aide à l’expansion du potentiel économique et humain de la RDC, en fournissant une aide cruciale dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la sécurité, et de la réponse humanitaire entre autres.

Mambo
Roaming around the continents.

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[22:17:07] KL: Kaka comme je ne peux pas faire suivre ce message parce que c’était dans Junck message, mais je voulais seulement dire que les gens croix toujours a l’aide des USA!!!
[22:18:59] KL: L’ambassadrice de Grande-Bretagne à Kinshasa : « La démocratie est la meilleure façon d’assurer la stabilité et la prospérité en RD Congo »
Publié le mercredi 30 juillet 2014 12:29

«La politique du Royaume-Uni envers la RDC consiste, ni plus ni moins, à appuyer la transformation de ce pays en une nation stable et prospère. C’est la raison pour laquelle, en étroite collaboration avec la France et les États-Unis,

Nous usons de notre position au sein du Conseil de Sécurité, pour confier à la MONUSCO le mandat efficace dont elle a besoin. Voilà pourquoi nous accordons aussi notre appui politique au travail tout à fait exceptionnel du Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, Martin Kobler. Voir un pays stable et prospère, c’est également la raison pour laquelle nous appuyons les efforts de l’Envoyée Spéciale Mary Robinson et les autres Envoyés internationaux dans leurs efforts visant la mise en œuvre de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba.
Et c’est la raison pour laquelle nous utilisons notre réseau diplomatique, en RDC, en Afrique, à New York, au-delà et ailleurs. Nous exploitons nos bonnes relations avec les pays de la région afin d’encourager chacun au respect de l’Accord Cadre. Nous échangeons avec les leaders clés au niveau national afin d’appuyer un développement politique stable.
Voir une RDC stable et prospère, c’est la raison pour laquelle nous encourageons l’investissement britannique en RDC. Je tiens ici à remercier certains de ces investisseurs, notamment Diageo, G4S, Malabar Group et Vodacom de nous avoir aidés à organiser la fête de ce soir. Il y a bien évidemment d’autres investisseurs importants dans le secteur minier et des hydrocarbures, dans l’agriculture, dans les services financiers, télécommunications et dans tant d’autres secteurs. La semaine dernière à Londres j’ai échangé avec une compagnie britannique sur la tenue l’année prochaine d’une conférence sur le thème « investir en RDC ».
Il existe certes des défis à relever pour améliorer le climat des affaires, et le programme de développement de la Coopération Britannique (DFID) y contribue. Nous avons appuyé avec le Canada l’élaboration du Pacte Anti-corruption entre le Secteur Public et le Secteur Privé. Nous finançons à hauteur de 150 millions de dollars le Programme du Développement du Secteur Privé.
Nous œuvrons pour une RDC stable et prospère. C’est la raison pour laquelle nous appuyons fortement avec les autres membres de l’Union Européenne et autres, le renforcement de la démocratie dans ce pays. Dans ce cadre, nous aimerions .que soit tracé un calendrier électoral complet incluant jusqu’aux présidentielles en 2016. Nous voudrions pouvoir appuyer des élections libres, transparentes et crédibles.
Grace à la Coopération Britannique, DFID, nous appuyons la société civile et l’épanouissement des médias indépendants et professionnels. À l’est du pays, nous appuyons le rétablissement de l’autorité de l’état après des décennies de conflit. Nous appuyons également la réforme de la police afin de créer un corps de la police au service des attentes du peuple congolais.»

Mambo
Roaming around the continents.

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[22:53:42] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: [22:13] KL:

<<< Nous pensons que la confiance de la population dans le processus électoral va augmenter en émettant un calendrier électoral complet pour les élections locales, provinciales et nationales jusqu’au niveau Présidentiel. Plus aucun congolais sérieux ne croit et ne croira à la valeur de ces élections.
Bien de bonnes choses et de choses fausses ont été dites sur les élections de 2006 et de 2011.
Les patriotes congolais ne sont plus dupes.
Ce qui leur manque pour l’instant c’est le bon réflexe de se mettre au travail autour d’une table afin de produire, un projet de société congolais, démocratique et complet pour la RDC.
[22:13] KL:

<<< L’expansion du potentiel économique et humain de la RDC, en fournissant une aide cruciale dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la sécurité, et de la réponse humanitaire entre autres. Tant qu’on envisagera le développement du Congo en des termes humanitaires, on n’aura pas encore quitté une logique colonialiste ou raciste du développement du congolais.
Le développement véritable est avant tout le fruit du travail d’un peuple qui s’autodétermine : définit ses objectifs, élabore sa stratégie d’intervention pour supprimer la misère de son peuple, mobilise les moyens nécessaires et se met en mouvement pour passer d’une situation insatisfaisante vers une situation satisfaisante, ou d’une situation satisfaisante, vers une autre, plus satisfaisante.
[23:03:05] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: [22:18] KL:

<<< « La démocratie est la meilleure façon d’assurer la stabilité et la prospérité en RD Congo » [22:18] KL:

<<< Nous usons de notre position au sein du Conseil de Sécurité, pour confier à la MONUSCO le mandat efficace dont elle a besoin. Voilà pourquoi nous accordons aussi notre appui politique au travail tout à fait exceptionnel du Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, Martin Kobler. Voir un pays stable et prospère, c’est également la raison pour laquelle nous appuyons les efforts de l’Envoyée Spéciale Mary Robinson et les autres Envoyés internationaux dans leurs efforts visant la mise en œuvre de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba. Sous nos yeux, tous ces projets échouent depuis 1994.
L’attente entre congolais ne viendra pas de ces mondes-là.
Ce sont les congolais eux-mêmes qui, pour diverses raisons connues, tardent à se mettre autour d’une table, pour aplanir leurs différends avant de de résoudre les problèmes de coexistence de nos nations au centre de l’Afrique.
Les intellectuels congolais commencent à comprendre qu’ils ont laissé à des escrocs politiques de faire le travail qu’ils auraient dû accomplir pour se montrer reconnaissants à l’égard de leurs parents qui se sont dépouillés pour les envoyer étudier le savoir de l’occidental.
Étant donné que les congolais ne sont pas encore suffisamment prêts, il ne faut pas s’empêcher de reconnaître qu’une génération environ est nécessaire avant que nous commencions à voir des vraies initiatives de développement national naître en RDC.
Pour l’instant, combattants et résistants continuent à penser qu’ils pourront faire une guerre sans ressources !  Les échecs continueront encore pendant un temps, jusqu’au jour les congolais prendrons conscience de la valeur :
1. d’une concertation pour l’élaboration d’un projet de société démocratique
2. d’un développement par projets, qui signifie formation, éducation et instruction préalables de la masse.