Polyglottes…


Nos enfants, apprennent, pour l’heure, deux à trois langues, pendant 12 ans, dans un système bien perfectible.

1 ou 2 heures par jour, 5 à six jour par semaine, pendant 12 années devraient pourtant leur permettre de bien maîtriser leur langue vernaculaire, le français et l’anglais.

Ce n’est plus le cas, depuis les années 70. Pour beaucoup d’entre eux, nos enfants ne maîtrisent plus ni leurs langues vernaculaires ni le français ni l’anglais. Que du temps et de l’argent gaspillés, par les apprenants et par ceux qui financent leur éducation…

Pour gérer correctement cette question, il serait indispensable de rapidement :

1. évaluer l’efficacité de notre pédagogie linguistique et de corriger ce qui doit l’être ;

2. présenter ensuite le résultat de la pédagogie nouvelle et en faire la publicité.

Évaluer notre enseignement nous-mêmes !


[5/8, 09:15] Kavulikirwa Edmund 1: Mes frères et collègues, on a déjà suffisamment débattu cette question des professeurs. Je pense que cela suffit. En ma langue on : ‘parler trop n’est pas synonyme à se faire comprendre ‘. Sommes toutes on ne voit pas un modèle à suivre de nos éminents professeurs. Voyons comment sortir de cette crise scientifique et académique. Merci
[5/8, 09:40] G. Paluku Atoka Uwekomu: À quoi servent les professeurs ?

  • la recherche,
  • l’enseignement,
  • la gestion.
    Pour les motiver au travail, il faut les juger sur la base de leur production dans les trois axes.
  • publications,
  • taux de réussite des encadrements (<>examens !),
  • mérites en tant que gestionnaire.
    [5/8, 09:42] Kavulikirwa Edmund 1: Alors nous faisons ça. Merci
    [5/8, 09:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Comment ?

Moi, je suggère la création d’une base de connaissances sur les productions des scientifiques congolais.
Cela permettra à chacun de suivre en temps réel les faits, gestes, réalisations et productions de nos cerveaux de manière plus stricte et plus objective.

C’est pareil, pour nos hommes politiques et religieux…
[5/8, 09:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Tout comme de nos apprenants et apprentis !

NI L’ENSEIGNEMENT NI LE TRAVAIL !


🇨🇩 RDC 30 AVRIL ET 1er MAI 2022, NE FETEZ PAS L’ENSEIGNEMENT NI LE TRAVAIL MAIS REVOLTEZ-VOUS CONTRE VOS DIPLÔMES.

Vous vous dites intellectuels et vous vous appelez travailleurs, mais votre pays reste toujours presque le dernier en tout ; en quoi avez-vous été formés et sur quoi travaillez-vous ?

[Les] Des africains sans diplômes ni postes de travail à la hauteur des titres académiques et fonctions dont vous vous vantez ont réussi à refuser la colonisation des « wazungu » et à réclamer leur dignité.

Aujourd’hui vous, vous acceptez d’être dominés et manipulés par vos semblables congolais et africains.

Si votre enseignement a été de vous apprendre à tout accepter comme dogme, alors dites [nous] alors de vous comprendre.
Si votre travail vous a formés à tout supporter, alors méritez nos excuses.

(Propos du juriste chercheur Moïse KIKONDO à Sunama Maombi)

Les mathématiques…


Dans le territoire de Mahagi, la section math-physique serait une espèce en disparition. C’est une nouvelle qui nous parvient d’une source généralement fiable…

Pour tous les administrateurs qui se succèdent dans mon territoire, cette situation n’est pas préoccupante. En effet, à ma connaissance, aucune mesure pratique n’a été prise pour remettre à l’honneur ces sciences (mathématiques et physiques), structurantes et éducatives pour nos concitoyens de Mahagi.

Dans le cadre de notre projet FEEC, Fonds pour les Élèves et Étudiants Congolais, nous estimons qu’il faille, sans délai, organiser au moins 280 écoles secondaires, ayant chacune une section mathématiques-physique et une section biologie-chimie, conventionnelles, dans un premier temps.

Mieux que cela, nous proposons à la nation congolaise et aux belges d’aller vers une séparation des « sciences » de l’abstrait des « sciences » du concret, et bien plus que cela, de séparer, par la même occasion, les sciences du « mort » des sciences du « vivant« .

Cela nous conduirait vers une restructuration plus logique et belle telle que :

  1. Les sciences mathématiques (y compris la logique mathématique, la logique inférentielle…) ;
  2. Les sciences du non vivant ;
  3. Les sciences du vivant.

Plus tard, nous pourrions offrir à nos enfants du secondaire de choisir entre :

  1. Les mathématiques ;
  2. La physique ;
  3. La chimie ;
  4. L’anatomie (humaine) ;
  5. La botanique ;
  6. La zoologie ;
  7. La microbiologie ;
  8. La virologie.

Cette façon de faire nous permettra de mieux préparer nos élèves à :

  • quitter chacun le secondaire avec une qualification exploitable dans le monde du travail ;
  • bien être préparés pour achever l’université en 6 ans et pas plus ;
  • étudier ce qui leur plait sans être encombrés par ce qui ne les intéresse pas ou ne leur convient pas ;
  • être des citoyens plus dépendants les uns des autres, contributions actifs de l’unité nationale…

Cela demande un budget à Mahagi – et non pas à Kinshasa : 197 millions d’euros par an environ, tout compris ; soient 395 €/ménage/an. Ceci, en payant 3250 € bruts, par mois, aux professeurs et en travaillant dans des salles de classe, des laboratoires et des bureaux des plus hautes technologies du moment. Cette estimation est valable pour Mahagi (RDC) comme pour la Belgique !

Comme nous pouvons le voir, dans la condition actuelle qui prévaut au Congo, il est possible de démarrer un tel projet avec 10 fois moins, tout en évitant l’esclavagisme que nous impose le régime de Kinshasa : 40 € par ménage et par an, 3,33 €/ménage/mois !

Enseignement : parlementaires mahagiens.


Frères,

  1. En RDC, l’obligation est-elle encore de mise ?
  2. Le cas échéant, dans Mahagi est-elle d’application ?
  3. Dans ce même cas, quel pourcentage de nos enfants en obligation scolaraire sont aux études ?
  4. Par ailleurs, quelles seraient les difficultés rencontrées à appliquer la loi, hormis l’insécurité et le COVID-19 ?
  5. Quel est le coût estimé d’une régularisation de la situation aujourd’hui ?
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