Campagne ou travail ?


Les élections de 2028 sont devant nous. Nous avons loupé 2011, 2018, 2023. Si nous loupons 2028 aussi, ce serait regrettable pour le Congo-Kinshasa.

En effet, nous compatriotes meurent partout : pas seulement à l’Est. Les brutalisés, les empoisonnés, les tués, les violés, les emprisonnés, les dépouillés ; au pays comme à l’extérieur du pays, sont très nombreux : nous sommes véritablement maudits par Dieu.

Il n’y a qu’une voie de salut : le repentance ! Sinon, nous continuerons à subir le courroux du Dieu vivant et vrai. En effet, notre idolâtrie désarçonne, même les plus superstitieux. Levons-nous, comme certains indiens l’ont fait : jetons nos idoles, brulons-les ou faisons-en autres choses à la gloire du Dieu vivant et vrai qui enrichit sur tous les plans ceux qui l’adorent en esprit et en vérité ; ceux qui acceptent que Christ et le Père viennent habiter en eux, jusqu’à la félicité éternel.

Rejoignez-nous ici, dans Kongo Ya Sika ou dans dans nos initiatives pour combattre l’esclavage, la colonisation, la dictature et d’autres choses semblables.

Formons un bel attelage…


Chers compatriotes congolais,

C’est assez que d’avoir eu à subir le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS.

Avec ou sans les autres provinces, je propose à l’Est du Congo particuliètement, mais sans exclure ceux qui pensent comme nous dans l’Ouest, de prendre distance vis-à-vis du régime Kinshasa que nous félicitons pour son exploit aux élections 2023, par la même occasion !

Instruisons nos palementaires pour écrire à la République Démocratique du Congo et aux Nations Unies que nous voulons la paix, le respect et la dignité pour notre développement, notre vie et celle de nos enfants.

Pour ce faire, nous décidons de tracer notre route dans le respect de nos peuples que Kinshasa subjugue, décime, appauvrit, abruttit, trahit. Aussi, prenons-noud notre indépendance, inconditionnellement, moyenant un décompte à faire en toute sérénité, le temps que cela prendra, comme des frères humains, en vue de former une Union d’États Indépendats du Congo. Cette union est libre : chaque peuple du Congo, respectueux des autres peuples de cet espace, peut rejoindre l’Union, en vue de contribuer à notre indépendance réel, à notre développement intégral véritable, dans le respect de nos cultures respectives.

Attirons l’attention particulière de nos compatriotes actuels sur les cractères pacifiques, démocratiques, capitalistes et chrétiens de notre démarche. Il n’y a donc ici de la place ni pour un peuple rebelle ni pour un peuple ségrégationiste ni pour un peuple païen ni pour un peuple communautariste ni pour un peuple béliqueux !

Avec Dieu, construisons un bel attelage pour sa gloire !

Mal préparées, choisies librement…


Voici ce que l’on peut lire sur politico.cd au sujet des élections 2023 en République Démocratique du Congo ; ces élections mal préparées, par le pouvoir comme par l’opposition, choisies librement par nous, population congolaise.

Au cours d’un point de presse animé à Kinshasa dimanche 24 décembre, le parti politique Ensemble pour la République a exigé l’annulation des scrutins pour « fraude électorale » ainsi que l’arrestation immédiate du président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima et son bureau.

« Les machines à voter et les bulletins de vote ont été retrouvés entre les mains des tiers, tous candidats du camp de Félix Tshisekedi, qui ont tous voté un même et seul candidat, Félix Tshisekedi. C’est la preuve irréfutable que la fraude a été organisée et planifiée en sa faveur, avec la complicité de la CENI. Une seule machine retrouvée entre les mains d’un tiers remet en cause la neutralité de la CENI, confirme la fraude et annule les scrutins. Qui leur a donné ces machines? Combien de machines ont-ils reçues? Comment a-t-on mis en place, au sein de la CENI, une organisation facilitant la détention des machines par le camp Tshisekedi », a exposé Hervé Diakiese, porte-parole du parti politique de l’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi.

Ensemble pour la République n’entend pas accepter les résultats partiels qui sont en cours de publication par la centrale électorale.

« Le Président de la CENI, Denis Kadima devrait écoper d’une condamnation lui interdisant d’approcher de 100 mètres n’importe quel bureau de vote sur la planète. Nous ne nous sentons même pas concernés par tout ce qui sortira du prétendu centre autoproclamé Bosolo, pour nous c’est un non événement », a-t-il tranché.

Appelant les congolais à activer l’article 64 de la constitution, Me Diakiese a appelé la communauté internationale à rejeter les résultats des élections qui seront publiés par la CENI.

« Aucun pays sérieux, aucun pays occidental n’accepterait de telles élections chaotiques. Le sort du peuple congolais n’est pas de mériter des dirigeants tricheurs, fraudeurs. Cette nouvelle fraude ne passera pas. Ça prendra le temps que ça prendra », a-t-il souligné.

C’est depuis dimanche que la CENI a annoncé les premiers résultats partiels de l’élection présidentielle à travers quelques circonscriptions électorales à l’intérieur du pays après la diaspora. Félix Tshisekedi est largement en tête suivi de l’opposant Moïse Katumbi.

Gilbert Ngonga Mandunda

Nous,
Au Projet 2014 (https://projet2014.com), nous pensons que l’opposition à la colonisation, à l’esclavage, à la dictature et à la trahison se doit de se mettre au travail de terrain pour DÉMONTRER, PROUVER, l’impopularité d’un pouvoir qui profite des bas instincts de certains d’entre nous, habitués à la paresse et à la traîtrise !
Demander à des étrangers de venir nous secourir, lorsque nous avons choisi d’aller aux élections sans nous être préparés correctement, c’est faire preuve d’une irresponsabilité sans nom.
La gente au pouvoir ne tiendra pas longtemps avec ses suiveurs. Si nous nous montrons disciplinés, patients et fermes dans notre foi dans la capacité qu’a Dieu de confondre les hommes aux cous roides.
Si nous nous laissons aller à leur jeu, Dieu nous vomira nous aussi.
Nous avons son Esprit, mais pas comme les autres qui se disent frères et tentent en même temps de nous poignarder dans le dos.
Dieu barrera leurs mains fratricides !

Tshisekedi gagnera : les mains levées !


Selon un membre de notre groupe WhatsApp « Projet 2014 », voici ce qu’étaient les tendances des statistiques électorales dans nos provinces. La source des chiffres n’est pas citée… Comme c’est souvent le cas chez nous.

[21/12, 09:58] Tendance du soir :

  1. Nord-kivu : Tshisekedi 67%, Katumbi :20, autres :3
  2. Sud -kivu : Tshisekedi: 80%, Katumbi: 14%, autres :6%
  3. Grand Katanga : tshisekedi : 40%, Katumbi 58% , autres :2%
  4. Grand kasayi , Tshisekedi:93%, Katumbi :6% , autres :1%
  5. Maniema : tshisekedi :50%katumbi 48%, , autres 2%
  6. Équateur : tshisekedi : 74%, katumbi :10%, Fayulu : 4%, autres 2%
  7. Bandundu: Tsisekedi : 52%, Katumbi : 21%, Fayulu : 25%, autres :2%
  8. Bas Congo. :tshisekedi 65%, Katumbi: 15%, Fayulu 18% , autres :2%
  9. Provinces orientale : tsisekedi : 64%, katumbi : 30%, autres : 6%
  10. Kinshasa : Tsisekedi : 85%, Katumbi : 11 %, autres : 4%.

Donc, Tshisekedi va gagner, encore une fois, les mains levées ! Nous sommes électeurs, plus ou moins libres, nous devrons assummer notre choix, que personnellement je trouve malheureux à bien d’égards.

  • Une bonne préparation permettrait de faire mieux : unir, pacifier, grandir.
  • Avant même la proclamation, l’opposition se plaint déjà, sans s’excuser pour ses erreurs, sans vouloir assumer ses responsabilités !
  • Plutôt que de tirer les leçons de sa cupidité, elle en appelle aux étrangers pour arranger le pays qu’elle (cette opposition) met en moule, comme le fait le pouvoir en place.
  • La population se soumet, félicite, insulte, béatement.
  • L’intelligentsia congolaise est absente : le peuple est en manque d’éclaireurs dans ses églises qui répende de l’opium à leurs fidèles.
  • Les prophetess de Dieu continuent à souffrir le martyr !

Radio Okapi, donne quelques informations utiles à consulter : https://www.radiookapi.net/2023/12/22/actualite/politique/presidentielle-2023-les-resultats-du-vote-de-la-diaspora-donnent-une.

Rare en RDC : un avis motivé !


À RETENIR SUR JOSEPH KABILA :

1.JKK est né au maquis de Hewa Bora et est allé en exil en Tanzanie 5 ans avant la création de l’UDPS . Donc, il a commencé la lutte avant les fondateurs de l’UDPS qui dansaient encore SANKAYOSA ;

  1. JKK à 25 ans, il va libérer la RDC aux côtés de son père Mzee Kabila qui a commencé l’opposition depuis septembre 1960 (22 ans avant Étienne Tshisekedi). Il a commandé les troupes de L’AFDL pour la libération de Kisangani face aux armées très équipées ( DSP, SARM, Garde civile, Commandos de choc de col Mbuza Mabe, Mercenaires français et Serbes, les EX-FAR et Interahamwe );
  2. JKK nommé commandant forces terrestres et général major va défendre la RDC de l’agression rwando-ougandaise de août 1998 -2001;
  3. Désigné chef de l’État après l’assassinat de son père Mzee Kabila,il a réalisé ce qui suit :
    a. De 2001-2003 : stabiliser les fronts de bataille et réunifier le pays qui est morcelé ;
    b. De 2003- 2006 : il gère le pays sous 1+4 dans une approche managériale très appréciée jusqu’à amener la RDC aux élections démocratiques et libres ;
    c. De 2006-2011: il lance le projet de la reconstruction du pays avec le projet de 5 chantiers, la restructuration de l’armée et de la Police, la mise en place des institutions étatiques, etc
    d. De 2011 -2018 : il lance le projet de la révolution de la modernité en favorisant le climat des affaires, encourager l’investissement privé par la construction des immeubles et des flats hôtels, des infrastructures des biens communs, la compagnie aérienne, transport en commun urbain, la bancarisation de paye des employés.

Ses acquis à sauvegarder :

  1. La décolonisation intellectuelle et économique par la révision du code minier ;
    2 . La démocratie pluraliste et Électorale ;
  2. Le secteur médiatique et des télécommunications très développé ;
  3. Le budget national qu’il a trouvé à 300 millions dollars et a laissé le budget de 6 milliards de dollars sans la dette extérieure (atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE avec l’expertise avérée de MATATA PONYO);
  4. Une armée républicaine et dissuasive, 8ème d’Afrique ;
  5. Le patriotisme, l’unité et la culture de représentation équitable dans la désignation aux postes de l’État sans tribalisme ;
  6. Le respect des droits humains et de la justice équitable ;
  7. Les universités et les hôpitaux de référence dans chaque province ;
  8. La création de 3e cycle (DEA) à l’ESU et la gratuité de l’enseignement à L’EPST.

CELLCOM G4-PPRD.

NOTES
Voici une propagande qui va dans la bonne direction : citer des faits, avérés ou contestables, pour vendre son candidat !
À vos plumes : dans les commentaires ; ici bas.

Responsabilité et citoyenneté en 2023


Les cartes d’électeurs sont en train d’être émises, pendant que nos concitoyens n’ont toujours pas encore leurs cartes d’identité ! Quelle supercherie qui continue au vu et au su de tout le monde. Personne n’a l’air de s’en offusquer. Pourtant, c’est cette distraction qui nous vaut chaque année qui passe des conflits parfois évitables avec nos propres concitoyens tout comme avec nos voisins proches et lointains.

Si les cartes d’identité en elles-mêmes peuvent ne rien représenter dans une culture particulière, il reste néanmoins important de connaître qui sont nos compatriotes et qui ne sont pas nos compatriotes, avant même de savoir qui peut voter et qui ne peut pas voter.

Notre proposition à nous est que le Congo doit rapidement d’abord se battre pour maîtriser son registre national : la liste de ceux qui sont de notre nationalité et de ceux avec qui nous avons résolus de vivre ensemble, dans la concorde, la fraternité, l’amitié, dans le cadre des collaborations, des coopérations vraies, honnêtes, utiles…

Ce que fait Kinshasa et que nos parlementaires lui permettent de faire est criminel : choisir prochainement, encore une fois et toujours, nos représentants et nos gouvernants, sans les connaître intimément, complètement.

Le Président de la République ainsi que le Parlement, qui ont le devoir de veiller à garantir la bonne conduite de l’État, par le Gouvernement, se doivent de vite inviter le Gouvernement et toute notre administration à commencer par corriger cette faute que perpétue la maintenance d’un intru dans la gestion de la République : la CENI. Cette commission est plus que nocive pour la conduite de la chose publique, depuis qu’elle a été invitée dans notre espace politique.

Dans une pression démocratique forte et déterminée, il devient de plus en plus clair que le Président de la République ainsi que le Parlement, votés ou tolérés, ne fournissent pas d’effort pour comprendre que les cartes d’électeurs sont un frein pour notre marche en avant ou plutôt pour arrêter d’insulter le peuple congolais par leur trahison qui représente, selon nous, un crime de lèse-nation. En effet, beaucoup de sous qui pourraient servir à nourrir, soigner, mettre au travail, nos veufs et éduquer nos orphelins pour les préparer à transformer le Congo en un pays modèle en Afrique, le temps qu’ils retrouvent l’équilibre vital, sont dilapidés dans une CENI qui a déjà semé beaucoup de morts dans le pays, aux nouvelles qui nous parviennent.

Peule congolais, avec l’aide de Dieu, nous avons la capacité d’interpeller, démocratiquement et sans ambages, le Président de la République, ainsi que le Parlement, pour que soit mis fin à l’existence de la CENI dans notre pays, sans autre forme de procès et pour que l’ADMINISTRATION reprenne la gestion saine et transparente de notre registre national et de nos élections. Nous pouvons déjà commencer par signer les pétitions du Projet 2014 ! Ici !

Sans cela, nous seront nous-mêmes, en tant que peuple, la cause de nos déboires et de nos morts ! Prenons en conscience !

Nous oublions la CENI…


[14/8, 15:17] Bunia : des journalistes outillés en matière de traitement de l’information électorale
https://lavoixdelituri.com/bunia-des-journalistes-outilles-en-matiere-de-traitement-de-linformation-electorale/

GPAU : Les journalistes n’ont besoin que de leurs outils de travail journalistique : camera, moto, ordinateur, tablette, téléphone, valise ou car satelitaires, etc.

Les élections au Congo ne seront ni justes, ni transparentes, ni équitables, ni utiles, tant que nous confierons, méchamment ou négligemment, leur gestion à d’autres institutions que l’administration publique, préalablement dépolitisée, formée et outillée pour gérer les partis, les électeurs, les candidats et les élections.

Ne laissons pas Kinshasa nous prendre pour des moutons que nous avons été, depuis l’esclavage jusque ce jour. C’est dire que la CENI, cet autre instrument utilisé par nos colonisateurs, doit d’abord partir, être supprimée de notre pays, avec l’autre instrument colonial qu’est la MONUSCO ; pour qu’il soit possible de parler, d’entrevoir même, la paix embryonnaire au Congo.

La CENI permet aux hommes au pouvoir de miner le terrain où vient jouer une opposition pauvre, minable : politiquement, matériellement et spirituellement.

Arriver à démonter la CENI, en maniant des armes politiques (propagande, diplomatie, coalition, amandement des lois, etc.), c’est offrir à nous-mêmes, opposition, la preuve de notre capacité à jouer un match juste, honnête, constructeur, unificateur…

Piège pour Mukwege…


Tel que reçus.

Appelé publiquement à briguer la magistrature suprême en 2023, Denis Mukwege : ‘’Je pourrais considérer leur appel ! ’’

Comments: je pense sincèrement que cet éminent docteur, ce grand homme au grand coeur, cet humaniste invétéré ne doit pas tombé dans ce piège grand qu’on lui tend, c’est un grand homme qui est déjà rentré dans l’histoire de l’humanité par la grande porte, il n’a rien à faire en politique, de grâce qu’il résiste de toutes ces forces à cette tentation et garde tout le crédit de respect, de sympathie, d’affection et de courtoisie que l’humanité a pour lui…

http://opr.news/67d39bf221219fr_cd?link=1&client=news

PM

Ye te, azali Burundais papa.

2023 : quoi de neuf ?


Pour que 2023 soit une bonne année pour nous tous, nous proposons de traiter à nouveau :

Du respect de nos peuples.
Chaque peuple congolais, qui veut nous aider à aller de l'avant, nous aidera à exiger le respect mutuel de nos cultures, dans ce qu'elles ont comme valeurs, comme richesse.
La lutte commune contre nos antivaleurs ethniques, tribales, claniques, familiales ou individuelles ne doit pas faire de nous des ennemis, mais plutôt des peuples amis, frères.
En revanche, tous ensemble, nous devons nous élever tous ensemble contre ceux qui perpétuent chez nous la colonisation, l'esclavagisme, la bestialité !
De l'enrichissement de ceux-ci.
Ce n'est pas de la paresse, du parasitisme, ni de la fainéantise que nous construirons une nation prospère. Dès leur bas âge, nos enfants doivent donc apprendre à travailler pour aller vers notre indépendance et notre enrichissement.
Ceux qui voudraient nous maintenir dans la pauvreté sont les pires de nos ennemis. Leur nombre, leur proportion augmentent dans notre gente congolaise.
Via l'éducation, adultes et moins âgés doivent travailler à notre enrichissement holistique.

Du renforcement de leur unité (à suivre).

Du rayonnement de notre culture (à suivre).

Etc.

Combien de temps nous reste-il ?


[26/9, 13:59] Nickson KASOLA: Une image de 2018 ? [Pourcentages des votants pour differents candidats en RDC en 2018 (?).]


[26/9, 15:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: La quintessence de mon message est : quel sera le pourcentage de mon parti en 2023 et du tien, Nickson ?
Cela omporte peut que les % que tu voies soient du vrai ou du faux, de 2006, 2011 ou 2018.
Que faisons nous pour réellement gagner en 2023 ?
Pour l’heure, le pouvoir en place part favori : du moins, à l’apparence. Ne crions pas au tripatouillage après, alors que nous nous occupons des accessoires ; laissant de côté la Voie du Père !


[26/9, 15:16] Nickson KASOLA: Cette image ne peut permettre la réponse à votre question car elle représente une époque dont le contexte est très différent de l’actuel.


[26/9, 15:46] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le contexte, selon nous, n’est pas très différent du précédent : la culture et la pratique politique sont les mêmes. Ces dernières demeurent celles d’intrigues diverses, de vols, de pillages, d’assassinats, d’esclavagisme de colonisation, de trahisons, de tripatouillages, d’une distraction sans nom de toute l’opposition et d’une déliquescence grandissante de l’administration.


[26/9, 15:50] Nickson KASOLA: Mon frère, là vous vous trompez. Le contexte est littéralement très différent. Si vous pensez partir de cette considération vous risquez d’être surpris. Je vous conseille de bien analyser le contexte.


[26/9, 15:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Notre effort dans le Projet 2014 n’est pas fondé sur l’espoir d’un Congo meilleur en 2024 : nous investissons politiquement dans un futur de bonheur qui ne poindra pas avant l’horizon 2055.
En clair, un Congo de droit, de justice, d’unité, de paix, de développement est pour nous envore très lointains.
La pauvreté est encore très grande sur tous les plans : la morale, l’intelligence, le confort dans la maison et au travail, la justice sociale, la liberté, la sécurité, la fraternité et toutes les choses semblables nous manqueront cruellement longtemps encore, frères !

C’est pour cela que nous vous invitons nombreux à rejoindre notre projet pour :
1° dégager un vrai projet de sortie de crise ;
2° mobiliser les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet congolais, sans être aliénés !


[26/9, 16:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: 30 n’ont pas suffit entre 1999 et 2014. 30 seront encore très insuffisant maintenant, au regard du pourrissement de la situation entre 1999 et 2022 et de la qualité et de la quantité de la ressource humaine.

Instruire, former et éduquer correctement près de 100 millions de personnes, de cultures disparates, demande du génie encore très rare dans notre pays. Il faut du temps, et encore du temps.

Certains observateurs occidentaux pessimistes évaluent à 500 ans le temps nécessaire pour que le Congo sorte de son tunnel de lui-même.

C’est peut-être exagéré ; mais ce n’est pas loin d’être raisonnable.

En effet, nous nous rendons compte très vite que les autres nations se fourvoient alors qu’elles existent depuis des millénaires. Le Congo indépendant n’existe que depuis 62 ans seulement !