Ituri…


À vérifier !  Du Grand-Nord kivutien.

Nous vivons la peur ici.  Hier soir, il y a eu crépitement de balles à l’hôpital général de référence d’Oïcha.  Des jeunes ont manifesté leur colère suite aux 8 corps[, des personnes] qui ont été massacrés hier à Ndalya (province d’Ituri).  Ces corps ont été déposés à la morgue de l’hôpital d’Oïcha.  In jeune manifestant a été touché par balle, à sa jambe. Selon l’infirmier la situation de la victime n’est à craintre [la vie de la victime n’est pas en danger].

NDLR

Le gouvernement de Judith Suminwa a du pain sur la planche, pour trèslongtemps encore.

L’insécurité dans le Sud !


Plusieurs kasaïens viennent d'avoir leurs maisons vandalisées dans le Katanga ; et plusieurs installations du mouvement politique Ensemble, du katangais Katumbi, viennent d'être détruites dans le Kasaï.  Jusque à quand revivrons-nous ces scènes auxquelles nous sommes désormais habitué et pourquoi ?  Qui pense, se soucie, se préoccupe de stopper cette folie humaine ?  En Israël, dans l'Ituri, dans le Kivu, ce sont toujours des cousins qui s'entretuent et se sont les états qui attisent les feux.  Que choisissons nous comme attitude à prendre face aux confits du Sud de notre pays ?

Comment éviter que cela ne se répète plus ; ces actes qui mettent en évidence la colonisation insupportable des katangais par les kasaïens depuis 1960 ?
Cette intervention policiaire est-elle la solution la meilleure ou c’est plutôt agir de manière à ce que les Kasaïens aient de quoi vivre épanouis, chez eux, dans le Kasaï ; et, les Katangais chez eux au Katanga ?
Une poursuite judiciaire des vandaliseurs ne serait-elle pas plus logique, dans ce cas d’illégalité et de banditisme flagrants ?
Depuis 1960, Kasaïens et Katangais ne s’aiment pas, ne se supportent pas, se détestent. Personne ne cherche à déterminer les causes premières de cette haine réciproque, pour proposer une vraie solution aux problèmes qui divisent nos peuples du Sud du pays.
Notre Projet 2014 est un des rares projets à se soucier de dresser l’arbre à problèmes pour dégager une stratégie mathématique de résolution de problèmes.
Commençons notre exercice : pourquoi, Katangais et Kasaïens ne s’aiment pas ? Quels sont les griefs, plaintes des uns et des autres ?

Ituri : fungula macho !


1. Évitez les rencontres en présentiel. C’est le moment que les mouchards vous empoisonnent, vous tuent à petit feu, profitant de vos distrations et niaiserie. Préférer les réunions en ligne, téléphoniques. Celui qui vous mettra sur table d’écoute ne gagnera rien si vous parlez de notre devenir, sans volonté de nuir à personne…

2. Ne soyez soumis qu’au Père et ne vous laissez subjuguer par personne. Les injonctions mal placées que vous suivez font notre faiblesse devant les suppôts de Satan qui renforcent alors leur domination sur nous… Résister à Satan le fait fuir, selon les Écritures et cela est mon expérience personnelle.

3. N’allez plus plus aux réunions sans ordre du jour ni improvisées : vous y perdriez votre temps ou votre vie précieux . Elles sont le fait de l’immaturité ou de la précipitation qui va à l’encontre de l’excellence chère à nos aïeux…

Ci-dessous une démonstration de la moutonnerie iturienne.

COMMUNIQUÉ D’URGENCE

Très chers frères et sœurs, leaders et membres des conseils provinciaux, urbains, communaux et locaux. Très chers coordonnateurs des associations et mouvements de jeunes, présidents des taximans et motards, présidents des jeunes des communautés : bonsoir !
Une réunion d’urgence est prévue [organisée] à votre intention pour demain, mercredi, de 7h00 à 8h00, dans la salle des jeunes CAP-MAP.
Sur ce, vous êtes conviés à participer physiquement [dans] à ladite rencontre.

Ordre du jour :

La situation sécuritaire et diplomatique de l’Est de la RDC, cas de l’Ituri : enjeux, défis et perspectives.

NB.

Vu l’importance de cette rencontre pour [l’intérêt de] notre chère province, aucune absence ne sera tolérée [Indice de la dictature, de la domination, de la colonisation].
Qu’on se le communique [Amateurisme politique].

Ambassadeur Gentil KANIKI ABIANDROA

Président du Conseil Provincial de la Jeunesse de l’ITURI.

Ce qui est important se prépare dans le calme et le respect et non pas dans la précipitation ni dans l’irrespect !

Pour travailler vite et bien, l’ordre du jour ne doit pas se contenter d’indiquer le thème, mais aussi les questions initiales ou définitives auxquelles les personnes réunies rechercherons des réponses ou les problèmes auxquels la réunion devra apporter des solutions. Cette façon de faire permet d’éviter les discussions oiseuses et bien de distracteurs, de divagations.

Il convient aussi de bien sassurer que tous nos frères ituriens soient former au travail en groupe. Il est en effet connu des animateurs de réunions que travailler en groupe avec des personnes non former pour ce type de travail, c’est gaspiller du temps et de l’énergie et risquer de démotiver des personnes qui au départ sont très engagés…

1994-2014 : 20 ans déjà !


Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu.  1994 : nous prevenions que la présence onusienne au Congo n’apporterait que déboires sur déboires. Beni fait l’expérience de la valeur de nos prédictions et comprendra où la solution se trouve : http://www.rfi.fr/afrique/20141022-rdc-beni-colere-monusco-tension-massacre-nord-kivu/.

Tel est notre voeu pour cette ville souffrante comme pour les autres localités et détresse ; qui en effet, plutôt que de supporter le Projet 2014, lancé depuis 1999, ont préféré s’aligner derrière des démagogues de tout bord.  Aujourd’hui, notre population, qui a laissé aller les choses, qui s’est compromise, paie la plus lourde par tribut : parce qu’elle est le souverain primaire qui aurait pu barrer la route aux imposteurs, aux dictateurs, au colonisateurs et aux esclavagistes ; qui ont, jusque-là, trouvé un terrain facile en RDC.

Aujourd’hui, plusieurs commencent à comprendre où se trouve la vraie solution, la plus économique, efficace et durable.  C’est avec eux que nous proposons, jour pour jour, une prise en charge du destin congolais par le congolais d’abord.

Armée et médiocrité…


[03-10-14 17:59:49] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Malgré sa suspension et des soupçons de haute trahison qui pèsent sur lui après la chute de Goma, Amisi a continué de bénéficier, sans être inquiété, de la protection du président Kabila du fait sans doute de bons liens qu’il entretient avec celle qu’une certaine opinion présente comme étant la mère biologique du président, Sifa Mahanya. A ce jour, aucune action judiciaire n’a été initiée à l’encontre du général Amisi. L’auditorat militaire ne peut pas l’auditionner au motif qu’aucun magistrat n’a le grade équivalent à celui du général-major Amisi pour pouvoir le juger. Une situation similaire à celui du général John Numbi dans l’affaire Chebeya. Selon les dispositions de la loi portant statut du militaire, les accusations qui pèsent sur le général Amisi relèvent de haute trahison et sont passibles de la peine de mort au regard de l’article 128 du code pénal militaire[17].

C’est ainsi qu’à la surprise générale de l’opinion publique nationale et internationale, le Conseil supérieur de la Défense, présidée par Joseph Kabila, vient de le laver de tout soupçon. Et pourtant aucune instruction judiciaire transparente, indépendante et crédible n’a été menée à sa charge ou sa décharge. Après avoir brillamment échoué dans sa tentative de créer une cohésion nationale autour de sa personne à la suite des concertations en vue de se donner une légitimité devant éventuellement lui permettre de bénéficier d’un large consensus national en faveur d’un troisième mandat consécutif, tout porte à croire que la réhabilitation de Tango Four entrerait dans une stratégie alternative de cohésion négative que Joseph Kabila mettrait en place lorsqu’il faudra affronter les contestataires dans son plan de se maintenir ad vitam aeternam au pouvoir en RDC.

Pourtant la haute hiérarchie militaire des FARDC a reconnu la trahison de certains officiers

Après la défaite de Novembre 2012, face à la pression populaire croissante, l’état-major-général des FARDC a organisé du 04 au 16 février 2013, une session (3ème) du séminaire sur la réforme des FARDC. Ce séminaire, qui a réuni 113 officiers supérieurs et généraux issus de toutes les régions militaires, des commandements, zones et secteurs opérationnels et de différents états-majors des forces armées, a porté sur l’analyse des causes des contre-performances des FARDC lors des opérations à l’est de la RD Congo en 2012. Le rapport de synthèse élaboré à cet effet a énuméré les causes profondes de la défaillance des FARDC à Goma en novembre 2012, parmi lesquels les faits suivants (Les détails de ce rapport sont à lire dans notre ouvrage à paraître) dont certains qualifiés de haute trahison : Planification : insuffisante à tous les niveaux (stratégiques, opérationnelles et tactiques) ; Délais d’intervention et de renfort trop larges ; Pas de relève (sure des unités) ; Prélèvements illicites et dispersion des forces. Conduite de la bataille : Pas de coordination efficace durant les actions ; Découragement dans la prise d’initiative au combat par les autorités ; Intervention récidivée des ordres de trêve et cessez-le-feu à chaque fois que les troupes amies sont en position avantageuse. Commandement et Contrôle des unités au Combat : Désorganisation totale du commandement ; Complaisance dans les désignations des cadres de commandement (favoritisme, népotisme, tribalisme et clientélisme – Connotation politique de l’avancement – Distribution fantaisiste et discriminatoire des grades ) ; Incompétence et insuffisance de formation militaire de beaucoup de cadres de commandement (illettrés, pas ou peu formés, troupes peu ou pas du tout formées) ; Commandements parallèles (multiplicité des centres de commandement) ; Amalgame des structures et dysfonctionnement des multiples chaines de commandement (ordres contradictoires, refus d’ordres) ; Détournements, affairisme, trafic d’influence, fraude, braconnage, etc.) ; Trahisons, déloyauté, suspicions et manque de crédibilité. Discipline : Insubordination impunie (refus de mutation) ; Non-respect de la voie hiérarchique. Malgré ce réquisitoire de l’autoévaluation de l’armée, personne n’a été sanctionnée.

Lutter contre l’impunité est la seule réponse crédible que Kabila peut donner aux Congolais

En juillet 2013, les médias ont largement salué la volonté de Kabila de prendre la réforme des FARDC en main lors de la publication de la loi portant statut du militaire des FARDC. Une loi essentielle à la modernisation des FARDC. Cette loi établit notamment le régime disciplinaire du militaire, nécessaire pour un pays confronté quasi en permanence, depuis son indépendance, à des mutineries, des rébellions, aux graves problèmes d’indiscipline et aux infractions liées aux crimes de guerre et violations de divers droits humains par les hommes en armes, particulièrement durant ces deux dernières décennies.

Cependant, à titre d’exemple, la loi dans son article 240 sanctionne au Point 9 : « le fait pour l‘officier ou sous-officier de présider ou d’être membre d’une association sportive civile ou autre association à caractère politique ou tribal ». Le cas du général Gabriel Amisi dit « Tango Four », l’ancien chef d’état-major de l’armée de terre continue à exercer cumulativement ses fonctions de président des clubs de football Maniema Union et AS Vita Club de Kinshasa, tout en étant repris dans le cadre organique des FARDC.

On peut également noter le point 10 de ladite loi qui sanctionne : « le fait de piller et/ou de se mutiner». Ce point constitue une base de légale d’une grande importance pour traiter le cas le cas des mutins du M23 et d’autres rébellions qui écument à l’est de la RDC. A la place, le régime Kabila, a choisi la voie de l’impunité en amnistiant principalement les ex-combattants et cadres du M23.

DESC est convaincue que la cohésion nationale ne peut se faire dans l’impunité. Il n’ y aura pas de véritable réconciliation en RDC sans justice. Aussi, DESC soutient l’initiative de l’ONU de voir une enquête judiciaire indépendante et crédible être diligentée contre tous les soupçons de crimes imputés à Gabriel Amisi. A l’instar l’enquête concernant l’assassinat odieux du Colonel Mamadou Ndala, rangée dans les tiroirs, DESC se dit prédisposée à offrir son expertise et ses services pour permettre à la justice de mener une enquête indépendante, en signe de respect des victimes présumées des forfaitures imputées à Amisi Tango Four.

La réhabilitation sans aucune autre forme de procès de Gabriel Amisi, le boucher de l’est du Congo, par Kabila et sa nomination comme commandant de la 1ère zone de défense est un mauvais signal donné par Kabila qui au lieu de privilégier la cohésion nationale également au niveau de l’armée où certaines frustrations et plaies du passé ne sont loin de se cicatriser. Le président congolais opte plutôt pour une cohésion négative autour de sapersonne dans le cadre d’une éventuelle perspective apocalyptique de sa fin de mandat en 2016. Pour y arriver, il ne peut que compter sur la cinquième colonne rwandaise infiltrée dans les services de sécurité congolais et quelques naïfs katangais de service de la GR, ANR et Démiap auxquels se joignent des « intellos » antipatriotiques, du ventre creux comme Boshab, Kin Kiey, Mende, Minaku, etc.
[03-10-14 18:14:24] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: LA PAROLE DE CHARLES BLE GOUDE SUIVEZ CA SVP http://www.youtube.com/watch?list=UU183T5VoMh5wISSdKPaMgRw&v=2GzgaBqV9hU&feature=player_embedded

Goma ou toute la RDC


Les dernières nouvelles qui nous parviennent de Goma montrent que nous avons raison dans notre analyse, dans le cadre du Projet 2014.

Une république, au Congo dit de Lumumba, n’apportera jamais une solution valable, définitive aux problèmes.  L’imposture organise, à sa manière et pendant que le parlement la laisse faire, un contrôle des étrangers en séjour illégal à Goma pendant qu’il y en a plein à Kinshasa et dans les autres villes et localités du Congo-Kinshasa.

Il faut craindre que la motivation soit celle que nous connaissons depuis l’époque moleliste : ruiner l’Est avec des expéditions des bandits politiques, militaires, policiers !

Si Goma ne se lève pas pour se défendre, je crains fortement que la saignée continue dans la plus grande et totale impunité.

Le remède pour nous est unique : disqualifier les hommes véreux que Goma a commis à la défense de ses intérêts à Kinshasa ; les parlementaires tant nationaux que provinciaux.  Aucun d’eux en effet ne prend ses responsabilité en main.  Dans notre exil, sans une base agissante et pesante, nous ne pouvons pas influer significativement sur la condition du congolais en général et du gomatracien en particulier.

Un effort est déployer par nous pour mobiliser la base et demande le soutien de tout congolais qui croit à la valeur notre combat : enterrer la république en RDC pour la remplacer par une union d’Etats indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale en vue de couper, définitivement, l’herbe sous les pieds des colonisateurs, des dictateurs, des imposteurs, des traitres et des médiocres.

Ci-dessous, notre réponse à Kabe, qui partage avec nous le même combat : l’indépendance véritable du congolais !

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Kabe,

Souvent le problème de l’étranger provient d’une mauvaise gestion des citoyens par les hôtes !  Dans nos pays d’Afrique, il n’est pas faut de trouver excuses ou explications dans les velléités colonialistes de l’Occident.  De l’Egypte de Joseph, le juif, à la RDC d’Hyppolite Kanambe, c’est le même phénomène : jalousie des hôtes majoritaire, maltraitance pour les visiteurs, départ forcé des visiteurs, misère derrière, retour en pompe et en colonisateurs…  C’est en caricaturant.  Ceci n’est pas une fatalité, mais c’est l’histoire !  Que veut la RDC ?  Comment le savoir, pourquoi et quand ?

La majorité des congolais pointent le Rwanda comme notre premier ennemi.  Nous sommes de la frange, très minoritaire, qui soutien que le vrai problème soit notre démission quasi totale ou notre incompétence managériale criante.

La RDC n’est pas le seul pays à souffrir de ses turpitudes.  La Belgique est aujourd’hui en face d’un gros problème : comment gérer les étrangers et les immigrés ?  En Belgique, nos gouvernements ne s’en sortent pas depuis les 26 ans que je suis dans le pays.  Parce qu’ils adoptent des politiques déraisonnables, sciemment dans la gestion des immigrants et des émigrants !  Au Congo, les congolais n’ont pas encore su mettre en place une politique efficace contre l’esclavage, la colonisation, l’imposture et la médiocrité.

Les résultats sont les mêmes.

Dans le cas, particulier, de Goma, la réflexion semble être très simpliste.

  1. Plusieurs congolais sont dans les pays frontaliers du Congo avec des pièces d’identités de ces pays-là ; et inversement, plusieurs de nos voisins sont sur notre territoire avec nos pièces d’identités.
  2. Pendant ce même temps, n’oublions pas que plusieurs de nos compatriotes sont en exil, victimes de l’usurpation de notre nationalité par une bande d’escrocs politiques et de rebelles que nous laissons tenir la destinée de notre pays.
  3. Goma n’est pas la seule ville congolaise où des étrangers séjournent “en toute illégalité” ou plutôt dans un désordre administratif le plus total.  Cette ville (1,2 millions d’habitants ?) n’est même pas la plus importante, démographiquement parlant qui soit le siège d’un tel phénomène.  La ville de Kinshasa (8-12 millions d’habitants !) pullule, depuis toujours de pas mal d’étrangers en séjour parfaitement illégal ; et ce, depuis les années 60 !

Si la réflexion est simpliste, la motivation aussi n’est pas claire.  La plupart d’opérations organisées par Kinshasa, à l’Est en général et à Goma en particulier, sont dictées par des volontés de nuire : aller piller la ville, puis la laisser plus misérable que jamais !  Les gomatraciens doivent donc s’assurer que la présente opérations ne visent pas tout simplement l’enrichissement du pouvoir fantoche que nous décrions tout en affaiblissant l’opposition qui recherche sa disqualification, pour les uns, démocratiquement, pour les autres, par les armes.

Comme toujours, il ne se passera pas de semaine avant que nous ne sachions les vrais mobiles de ceux qui enquêtes à Goma, sans enquêter dans le reste du pays, où le pays est parfois plus miné qu’à Goma !

From: Lutala Kabe

Sent: Wednesday, July 16, 2014 12:16 AM

To: Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

Subject: FW: [Congokin-tribune] Goma: début du contrôle de permis séjour pour étrangers

Avec c’est-ci le Kongo  a sur son etandu des milliers d’étrangers. Mais ils les laissent faire.


Date: Tue, 15 Jul 2014 13:17:31 -0400
To: congokin-tribune@congokingroupes.com
Subject: [Congokin-tribune] Goma: début du contrôle de permis séjour pour étrangers
From: congokin-tribune@congokingroupes.com

publié il y a 5 heures, 36 minutes, | Dernière mise à jour le 15 juillet, 2014 à 12:39

Une vue aérienne de la ville de Goma, 26/06/2009.

Une vue aérienne de la ville de Goma, 26/06/2009.

La police des étrangers de la Direction générale des migrations (DGM) a lancé mardi 15 juillet à Goma (Nord-Kivu) l’opération de contrôle des permis de séjour pour les étrangers, particulièrement les ressortissants des pays de la région des Grands Lacs. Ceux d’entre eux qui étudient ou travaillent en RDC et ne possèdent pas encore ce document, seront soumis au payement des amendes, préviennent les responsables de la DGM.
La plupart des étrangers concernés, pour le moment, par cette opération sont des Rwandais, déjà identifiés et leurs lieux de travail connus, indiquent les responsables de la Direction générale des migrations. Mais l’opération devra s’étendre à d’autres étrangers, assurent ces mêmes responsables.
Ainsi, la  police des étrangers, appuyée par celle des frontières, va passer à chaque endroit où travaillent ces étrangers pour le contrôle des permis de séjour. Ceux qui ne seront pas en règle seront soumis, dès ce mercredi, au payement des amendes allant de 100 à 150 dollars américains, avisent les responsables de la DGM.
Cette opération risque cependant de connaître quelques difficultés, ont fait savoir d’autres sources, expliquant que certains Rwandais possèdent à la fois les pièces d’identité rwandaise et congolaise. Une fois sur le sol congolais, ils se servent des cartes d’identité congolaise, ce qui risque de semer de la confusion.
Au moins quatorze mille étrangers traversent quotidiennement la frontière congolo-rwandaise, pour la RDC, à partir du poste appelé ”Petite barrière”. Parmi eux, au moins six mille Rwandais travaillent ou étudient au Congo.
D’autre part, au niveau du post frontalier dit” Grande barrière”, ce sont plus de mille Rwandais travailleurs et étudiants qui traversent quotidiennement.

Mambo
Roaming around the continents.

_______________________________________________ Congokin-tribune mailing list Congokin-tribune@congokingroupes.com http://congokingroupes.com/mailman/listinfo/congokin-tribune_congokingroupes.com

Congo-Angola


Congo-Angola : quel futur ?

Quelle politique adoptent les hommes de Kinshasa et pourquoi ?  Personne ne veut répondre à la question.  Le posting de Jeanpy A. Lukamba interpelle, comme à nouveau, sur la question congolo-angolaise.

Serait-ce parce que la réponse est claire comme l’eau de roche ?

Posté par Jeanpy A. Lukamba à 7h57 (Groupe Skype)

Des éléments de l’armée régulière angolaise ont fait des incursions dans la localité de Tampa, située dans le territoire de Songololo au Bas-Congo pour procéder à la destruction des champs de chanvre. Le cri de cœur des activistes de la Société Civile de cette province opérant dans ce territoire a eu comme effet immédiat de remuer le couteau dans la plaie des Congolais qui assistent ridiculisés, scandalisés et impuissants face à ces incessantes et régulières incursions de l’armée angolaise sur leur territoire pour y poser des actes de violence, sans que les autorités politiques et militaires de ce pays ne lèvent le moindre petit doigt.

Partageant plus de deux mille kilomètres des frontières avec le voisin du Sud-Ouest, la RDC a toujours souffert des incursions de l’armée régulière angolaise sous n’importe quel prétexte. Tantôt, pour pourchasser des éléments des mouvements de résistance du FLEC-FLAC revendiquant l’indépendance de l’Enclave de Cabinda, tantôt, pour des missions punitives contre des bandes des voyous accusés d’avoir commis des vols en Angola et qui se seraient réfugiés en RDC. Ces diverses incursions s’accompagnent toujours des actes de violence gratuite perpétrés sur les populations locales civiles non armées, notamment des destructions méchantes des villages, des exécutions sommaires ou des tortures inhumaines de tous ceux qui auraient été accusés d’avoir hébergé ou complices des éléments du FLEC-FLAC, des confiscations des biens meubles des villageois, etc. On dénombre même des victimes parmi les autorités administratives locales ayant tenté d’opposer une résistance à ces assaillants.

En effet, il ne se passe pas un trimestre sans que l’on assiste à des incursions de l’armée angolaise sur le territoire congolais. La localité de Tshela qui charrie une page importante de l’histoire de ce pays pour avoir vu naitre le tout premier chef de l’Etat feu Joseph KASAVUBU a été occupée pendant plus d’une semaine par des troupes de l’armée angolaise pourchassant des éléments des mouvements FLEC-FLAC. Avant de se retirer calmement comme si de rien n’était. On rappelle l’épisode tragi-comique du conflit des bornes frontalières dans le territoire de Kahemba qui a été au cœur des débats fort passionnés à la chambre basse et qui se sont clôturés en eau de boudin sans que l’on sache exactement le véritable emplacement de ces bornes des frontières. On ne compte plus des expulsions des ressortissants congolais dans des conditions infrahumaines, notamment des tueries, des viols massifs, des confiscations des biens meubles. Et comme à l’accoutumé, les autorités politiques, administratives, judiciaires et sécuritaires se terrent toujours dans un mutisme complice. Aucune protestation officielle, notamment  le rappel de notre ambassadeur accrédité à Luanda, aucun acte de réciprocité sur des sujets angolais résidant irrégulièrement en RDC pour rappeler aux autorités angolaises que cela n’arrive pas qu’aux Congolais.

Ces incursions dans la localité de Tampa devraient en principe interpeller Kinshasa pour prendre le devant en menant des enquêtes pour identifier les propriétaires de ces champs de chanvre. Avant de procéder publiquement à leur destruction pour que cela ne se répète plus jamais. La lutte contre le trafic des stupéfiants, notamment la drogue et surtout le chanvre, rentre dans le cadre de la guerre implacable contre le terrorisme international. Cela va de la traque des trafiquants jusqu’au contrôle rigoureux des comptes bancaires pour dénicher les mouvements des narcodollars.

C’est probablement parce que les autorités de Kinshasa sont occupées à autre chose qu’à l’essentiel que les Angolais qui connaissent les conséquences néfastes de ce trafic des stupéfiants sur la jeunesse et les éléments des mouvements armés irréguliers qu’ils sont venus faire le ménage sur notre territoire. Une façon de rappeler à Kinshasa le principe cher de la guerre préventive pour se prémunir contre une éventuelle menace.

En clair, les Angolais sont venus administrer aux autorités de Kinshasa une leçon de bonne gouvernance, de gestion de la chose publique et particulièrement de la sécurité des personnes et leurs biens. Faut-il en rire ou en pleurer ? Les deux à la fois, car il est inconcevable que des éléments d’une armée étrangère viennent détruire des champs de chanvre sur le territoire national sans que cela ne réveille les autorités du pays. C’est triste.

Quelle économie et quel social demain ?


Quelle type d’économie (gestion de ressources matérielles nationales) et de social (gestion de la ressource humaine) pour le Congo de demain, avec une équipe du Projet 2014 pilotée par nous, aux arènes du pouvoir ?

Consultez régulièrment les menus « Economie » (https://projet2014.com/economie) et « Social » (https://projet2014.com/social) pour prendre connaissance de nos propositions et laissez-nous vos commentaires, questions, avis, considérations, suggestions et critiques sur les pages correspondantes du blog.

RDC : quelle solution et pourquoi ?


RDC : quelle solution et pourquoi au problème complexe que connait le congolais ?

Tableau 1 : Solution armée, diplomatique, politique ou combinée ?

Solutions

Descriptions

Avantages

Inconvénients

Solution armée ou rebellion

Militairement, par la force, par une rébellion, forcer le régime de Kinshasa à la chute, à la capitulation.

 

Cette solution est moralement inacceptable, parce que :
elle prône la violence pour arriver à la paix et à la prospérité ;
elle n’encourage pas l’attachement à la justice ni au travail ;
elle perpétue la dictature et la mort du congolais par le fait des congolais ;
elle donne l’illusion d’être une solution rapide aux problèmes alors qu’elle ne fait qu’ajouter de nouveaux problèmes à aux nombreux autres qui restent encore irrésolus, mais à résoudre avant qu’une paix véritable ne soit retrouvée.

Beaucoup de congolais aujourd’hui croient que ce soit la seule solution qui permettrait au Congo d’éviter le piège de la néo-colonisation. Cependant très peu y investissement leurs ressources matérielles ou immatérielles de sorte que, définitivement, ceux qui content sur la rébellion commentent une erreur stratégique majeur. Ils contribuent, sans parfois s’en rendre compte, à augmenter le bilan de morts congolais, démotivant et divisant progressivement le peuple et poussant certains à se replier sur leurs clans, tribus, ethnies ou langues ; à croire, naïvement, en la balkanisation comme solution aux problèmes congolais.

Plusieurs initiatives du genre ont échoué faute de moyens matériels, financiers et spirituels nécessaires suffisants.

Beaucoup de congolais sont morts dans les rébellions. La majorité des congolais voit sa situation matérielle et immatérielle s’empirer graduellement du fait des rébellions successives dans notre pays.

Solution diplomatique

Solliciter l’aide ou l’appui des pays amis pour exercer une pression sur Kinshasa, soutenir les initiatives des populations qui veulent se prendre en charge, de manière à organiser des élections congolaises libres qui permettent au peuple de gagner la bataille électorale contre ceux qui abusent du pouvoir, utilisent l’armée et la police congolaises pour tricher aux élections et usurper le pouvoir du peuple congolais.

Les capacités diplomatiques, militaires et économiques des partenaires potentiels étant virtuellement grandes, il y a beaucoup de chance d’obtenir gain de cause parce que leurs intérêts resteraient toujours garantis.

Plusieurs pensent que cette solution aboutira, à coup sûr, sur l’aliénation supplémentaire du pays à ces pays dits amis, mais qui ne le seraient pas et qui chercheraient plutôt à subjuguer les congolais pour pouvoir mieux les piller.

Solution politique

Elle consiste à éduquer et mobiliser toute la population congolaise politiquement jusqu’à ce qu’elle prenne ses responsabilités en main et disqualifie les hommes véreux qu’elle a elle-même commis à la gestion de la chose publique et les remplace par des leaders patriotes capables d’animer la défense du pays et la production de la richesse tant matérielle qu’immatérielle dont le congolais a besoin pour vivre libre, indépendant, épanoui, fier.

Cette solution permet de faire d’une pierre deux coups : d’une part, répandre la connaissance de la géopolitique – élever le congolais, d’autre part, se libérer de nos tares – la difficulté de travailler ensemble, la manipulation de la foule par quelques aventuriers politiques opportunistes -, arrêter nos propres turpitudes – en engagement verbal non suivi d’acte concret, répudier de notre pays, résolument et avec toute notre énergie, aussi bien la dictature, l’imposture, la médiocrité, la trahison de la nation que le néocolonialisme.

Elle demande des moyens financiers et technologiques que les congolais de la diaspora ne sont pas prêts à libérés pour soutenir les bonnes initiatives des congolais du Congo même.

Cette solution est légale, humaniste, chrétienne.

Elle demande beaucoup de temps pour être mis en route et produire les résultats attendus par beaucoup de congolais (la paix et la prospérité) et ne répond pas au besoin urgent d’arrêter le pillage du pays, le viol, les empoisonnements, les abus du pouvoir, la trahison répétée de la nation par des hommes commis à la gestion de la chose publique.

Solution combinée

Elle consiste à utiliser tous les moyens disponibles (politiques, militaires, diplomatiques, spirituels) pour faire échec à ceux qui tentent de soumettre le Congo aux néo-colonisateurs pour satisfaire leurs propres intérêts au mépris de l’intérêt des congolais.

 

Elle est logiquement difficile à mettre en œuvre parce que combinant des solutions incompatibles : la recherche de la paix et de la protection de la vie du congolais ne va pas avec la rébellion pays et l’assassinat extralégal des congolais ; et, la recherche de l’enrichissement ne va pas avec l’entretien de l’insécurité dans le territoire et à ses frontières.

Elle est moralement, spirituellement, éthiquement parlant inacceptable à cause de son caractère machiavélique et inique. Elle implique l’acceptation de l’idée que les mélanges vérité-mensonge, bonté-méchanceté, injustice-justice pourraient sauver un jour le congolais de la colonisation, de l’imposture, de la trahison, de la pauvreté, de l’insécurité… En soi, elle est une trahison de notre foi chrétienne.

J. B. Mpiana : prévenir ou guérir ?


Il vaut mieux prévenir que guérir.

Une violence appelle toujours une autre violence : cela ne permet pas de résoudre les problèmes, mais d’en accumuler.

J. B. Mpiana et son concert prévu au Zénith, nous aide-t-il à aller de l’avant ?  Les combattants, en interdisant les concerts de l’impudeur, de l’insouciance et de la trahison de la nation, nous aident-ils à aller de l’avant ?

Le silence est coupable en pareille situation : tant il y a eu mort d’hommes et coups et blessures subis ailleurs par les fils de notre Congo en exil.  Voilà qui nous donne raison d’insister pour que chaque congolais s’engage positivement dans Kongo ya Sika pour enfin travailleur sur un projet de société clair, public.

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[03-12-13 16:37:52] jciakudia: GOUVERNEMENT DE LA RD CONGO EN EXIL
Cabinet du chairman
LONDON
UK

AU GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE DE LA FRANCE
ET
PRINCIPALEMENT A LA POLICE FRANCAISE

CONCERNE : POUR RAISON DE SECURITE ET DE QUIETUDE PUBLIQUE / DEMANDE D’ANNULATION DU CONCERT DE SANG DE L’ARTISTE MUSICIEN CONGOLAIS DE KINSHASA MR JB MPIANA AU ZENITH DE PARIS PREVU POUR LE 21.12 2013

ET

D’UNE OUVERTURE D’UN DOSSIER JUDICIAIRE A L’ENCONTRE DU MUSICIEN CONGOLAIS JB MPIANA ET SON PRODUCTEUR D’ORIGINNE HAITIENNE ALAIN CLAUDE POUR AVOIR COMMANDITE UNE ATTAQUE CRIMINELLE QUI A PROVOQUEE UNE MORT D’HOMME A L’UNIVERSITE ST DENIS A PARIS LE 26.11.2013 CONTRE LES PARTICIPANTS D’ UNE REUNION LEGALEMENT AUTORISEE D’ORIGINE CONGOLAISE.

Le Gouvernement de la RDC en Exil, la Résistance Patriotique Congolaise Mondiale et le Chairman Son Excellence le Prof. Rev. Julien Ciakudia confirment aux Congolais et aux autorités du Gouvernement de la République Française et plus principalement les autorités policières que pour sauvegarder la sécurité de nos concitoyens, des mélomanes de la France et de l’Europe, nous avons décidé a l’unanimité d’annuler ce concert de sang.

Depuis bientôt 6 ans, face a un comportement immoral et inconséquent de nos artistes musiciens, ceux de théâtre ainsi que les multitudes des pasteurs, la résistance patriotique congolaise mondiale a décrétée un embargo total a l’encontre de toute production musicale d’origine congolaise partout dans le monde en rapport a la situation politique catastrophique d’occupation, du pouvoir d’imposition et d’imposture, du génocide, des viols, des pillages systématiques des ressource minérales et stratégiques.

Déjà depuis son annonce ce concert de provocation devenu concert de sang ou concert sans objet prévu ce 21.12.2013 au Zénith a Paris a déjà produit plusieurs victimes sur le sol français dont un bandit assassin mort après son attaque de paisibles Congolais en reunion de travail légalement autorisée a Paris.

Pour toutes ces raisons, nous demandons aux autorités de la France et principalement a la police française d’interpeller des son arrivée a Paris ce mois de Décembre 2013, le musicien congolais JB Mpiana et son complice de producteur d’origine haïtienne domicilie a Paris, Monsieur Alain Claude et d’ouvrir un dossier judiciaire contre les deux pour avoir commandite et monnayer cette dernière attaque criminelle qui a eu lieu fin Novembre 2013 a l’Université Saint Denis et qui par conséquent a connue un mort du cote des assaillants.

Fait à Londres, ce 03.12.2013

Pour le Gouvernement de la RDC en Exil
et
La Resistance Patriotique Congolaise mondiale

(Sign)
Le Rev. Prof. Julien Ciakudia
CHAIRMAN
Mob. : 00 44 74 24 55 95 92 or 00 44 79 479 411 57
Facebook : julien ciakudia sr
Skype : jciakudia