M23 : comment marquer des points ?


Transmis tel que reçu !

Grandes lignes du meeting des m23 à Kiwanja ce 06/12/2022, Dieu seul sait qui dit mieux, tuombe tu Mungu mais iyi inchi kila mutu anaipenda akose, maneno yabo iyi : – Nous venons faire la bonne gouvernance gouvernement iko na badanganya inasema mulipe taxe ina ikula bila kujenga balabala, hopitaux, ecole, etc, na pesa za minerais banakula. – M23 ne reculera même 1 pas ata bikuwe aye, mutu akachokoza tutafanya legitime défense. – Route iko libre mu eneo yote yenye tunaongoza wakuenda Goma aende na wakutoka atoke. – Il n’y aura plus de payement de 1000fc ku balimaji pour les colis. – 8 personnes (rahiya) tuées a kishishe par balle perdues, bale benye biko nadanganya bashuke kufanye enquêtes. – Gouvernement iko nafanya deuil, mbona tangu batu banakufa Beni hakuyaka kuwa deuil national na kule banauwaka 20 voir 30 par jour. Tuchunge suite tuone.

Sécuriser notre territoire.


D’aucuns se demandent comment sécuriser rapidement et efficacement notre territoire ?

Des frontières se dressent dans le pays par les forces de l’ordre et par des rebelles au régime de Kinshasa. Personne ne proteste contre cette exploitation de notre peuple. Le pays est gangrené, entre autres, à cause de ce néo-colonialisme!

[24/7, 10:22] +243 823 986 222: Mambasa : des services fonctionnant illégalement à la barrière de Biakato Mayi déguerpis par le commandant des opérations Sokola 1
https://lavoixdelituri.com/mambasa-des-services-fonctionnant-illegalement-a-la-barriere-de-biakato-mayi-deguerpis-par-le-commandant-des-operations-sokola-1/

[25/7, 07:10] G. Paluku Atoka Uwekomu: Des barrières à l’intérieur du pays, alors que celles qui nous séparent des pays des EAE doivent être supprimées ? Nous sommes colonisés et esclavagisés par Kinshasa ; comme nous l’avons toujours dit, parce que nous le laissons faire, impunément.
Assurer l’ordre public et la sécurité du pays dépasse nos hommes, véreux, de Kinshasa ; et eux aussi dressent des barrières ça et là, pour rançonner notre polpulation, pendant qu’ils nous envoient des inconnus, dans le Kivu et l’Ituri, particulièrement ?
Il est important que chaque localité congolaise soit libre d’accepter ou de refuser un allochtone sur son territoire pour combattre la spoliation de notre territoire, après que ayons légiféré sur cette quetion épineuse, mais simple à traiter. Les ennemis du Congo – nationaux et étrangers – profitent des failles de notre législation pour tout se permettre.

Hommes, femmes et lampes…


Qui les connaît ? Notre gouverneur. Il est bien au courant de ce qui se passe dans la province…

« Alerte !
Des Hommes lourdement armés sont visibles depuis la soirée de ce Mardi 16 Février 2021, au village LUMBAMALA du côté de TOKODO en entrant par l’endroit où on appelle ferme dépassant la Barrière de FONER à MUDZI BALA dans la chefferie des BABOA BOKOE à plus ou moins 5 km au Nord du Centre Ville de Bunia.
Des femmes qui revenaient du champs les ont mêmes appercus.
Présentement même la lumière de leur torche est visible.
Une intervention des autorités sécuritaires s’avère nécessaire.
La population de cette zone est en alerte maximale.
Il y a Urgence SVP. »

De WhatsApp

Désordre parfait à Butembo


Tembos YotamaButembo-Souvenir

Hier, à 16:40 ·

va joooo, leo 10/10/2014, ili kuwa combat ya danzee entre police na motard ju ya ba casque, paka bulo haikukua bibo///

« Les gars !  Aujourd’hui, le 10/10/2014, il y a eu un grand affrontement entre la police et les motards à causes des casques [?], au point qu’il y ait pas eu du travail à Bubo [Butembo].

Congo-Angola


Congo-Angola : quel futur ?

Quelle politique adoptent les hommes de Kinshasa et pourquoi ?  Personne ne veut répondre à la question.  Le posting de Jeanpy A. Lukamba interpelle, comme à nouveau, sur la question congolo-angolaise.

Serait-ce parce que la réponse est claire comme l’eau de roche ?

Posté par Jeanpy A. Lukamba à 7h57 (Groupe Skype)

Des éléments de l’armée régulière angolaise ont fait des incursions dans la localité de Tampa, située dans le territoire de Songololo au Bas-Congo pour procéder à la destruction des champs de chanvre. Le cri de cœur des activistes de la Société Civile de cette province opérant dans ce territoire a eu comme effet immédiat de remuer le couteau dans la plaie des Congolais qui assistent ridiculisés, scandalisés et impuissants face à ces incessantes et régulières incursions de l’armée angolaise sur leur territoire pour y poser des actes de violence, sans que les autorités politiques et militaires de ce pays ne lèvent le moindre petit doigt.

Partageant plus de deux mille kilomètres des frontières avec le voisin du Sud-Ouest, la RDC a toujours souffert des incursions de l’armée régulière angolaise sous n’importe quel prétexte. Tantôt, pour pourchasser des éléments des mouvements de résistance du FLEC-FLAC revendiquant l’indépendance de l’Enclave de Cabinda, tantôt, pour des missions punitives contre des bandes des voyous accusés d’avoir commis des vols en Angola et qui se seraient réfugiés en RDC. Ces diverses incursions s’accompagnent toujours des actes de violence gratuite perpétrés sur les populations locales civiles non armées, notamment des destructions méchantes des villages, des exécutions sommaires ou des tortures inhumaines de tous ceux qui auraient été accusés d’avoir hébergé ou complices des éléments du FLEC-FLAC, des confiscations des biens meubles des villageois, etc. On dénombre même des victimes parmi les autorités administratives locales ayant tenté d’opposer une résistance à ces assaillants.

En effet, il ne se passe pas un trimestre sans que l’on assiste à des incursions de l’armée angolaise sur le territoire congolais. La localité de Tshela qui charrie une page importante de l’histoire de ce pays pour avoir vu naitre le tout premier chef de l’Etat feu Joseph KASAVUBU a été occupée pendant plus d’une semaine par des troupes de l’armée angolaise pourchassant des éléments des mouvements FLEC-FLAC. Avant de se retirer calmement comme si de rien n’était. On rappelle l’épisode tragi-comique du conflit des bornes frontalières dans le territoire de Kahemba qui a été au cœur des débats fort passionnés à la chambre basse et qui se sont clôturés en eau de boudin sans que l’on sache exactement le véritable emplacement de ces bornes des frontières. On ne compte plus des expulsions des ressortissants congolais dans des conditions infrahumaines, notamment des tueries, des viols massifs, des confiscations des biens meubles. Et comme à l’accoutumé, les autorités politiques, administratives, judiciaires et sécuritaires se terrent toujours dans un mutisme complice. Aucune protestation officielle, notamment  le rappel de notre ambassadeur accrédité à Luanda, aucun acte de réciprocité sur des sujets angolais résidant irrégulièrement en RDC pour rappeler aux autorités angolaises que cela n’arrive pas qu’aux Congolais.

Ces incursions dans la localité de Tampa devraient en principe interpeller Kinshasa pour prendre le devant en menant des enquêtes pour identifier les propriétaires de ces champs de chanvre. Avant de procéder publiquement à leur destruction pour que cela ne se répète plus jamais. La lutte contre le trafic des stupéfiants, notamment la drogue et surtout le chanvre, rentre dans le cadre de la guerre implacable contre le terrorisme international. Cela va de la traque des trafiquants jusqu’au contrôle rigoureux des comptes bancaires pour dénicher les mouvements des narcodollars.

C’est probablement parce que les autorités de Kinshasa sont occupées à autre chose qu’à l’essentiel que les Angolais qui connaissent les conséquences néfastes de ce trafic des stupéfiants sur la jeunesse et les éléments des mouvements armés irréguliers qu’ils sont venus faire le ménage sur notre territoire. Une façon de rappeler à Kinshasa le principe cher de la guerre préventive pour se prémunir contre une éventuelle menace.

En clair, les Angolais sont venus administrer aux autorités de Kinshasa une leçon de bonne gouvernance, de gestion de la chose publique et particulièrement de la sécurité des personnes et leurs biens. Faut-il en rire ou en pleurer ? Les deux à la fois, car il est inconcevable que des éléments d’une armée étrangère viennent détruire des champs de chanvre sur le territoire national sans que cela ne réveille les autorités du pays. C’est triste.

Police !


La police a été la cible de beaucoup de critique à Bruxelles (Belgique) depuis le week-end dernier.  Qu’en est-il de la police de Limete à Kinshasa (République Démocratique du Congo) ?  Cela étant, à qui confier les étrangers en séjour illégal ?  Peut-on raisonnablement renvoyer des illégaux vers la RDC !  Comment sauver les vies en danger ?

[20:45:22] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS RDC : La Police Congolaise au Cœur d’u réseau de trafic d’organes humains.

C’est un véritable film d’horreur qui se déroule dans les cachots de Kinshasa, particulièrement ceux de la Police –Echangeur/Limeté. Des détenus sont abattus comme des animaux, les cœurs, foies, et autres organes emportés. Certains policiers au sein de l’unité d’intervention de la Police Echangeur/limete ont délié leurs langues : « c’est qui se passe ici est inhumain, sur ordre du général, le Major Kasonga exécuté chaque jour à partir de 23 heures, les détenus. Ils sont attachés par des cordes, c’est avec une grosse barre de fer, que ces gens là sont achevés. Ensuite leurs corps sont coupés en morceaux pour une destination inconnue ». Notre équipe a aussi recueillie des témoignages de certains détenus dans les cachots de Limete Echangeur : « la nuit, le major Kasongo ordonne à ses éléments d’augmenter le volume de sonorisation de musique. C’est sous les décibels des chansons COUPER –DECALLER que ces jeunes sont exécutés. Leurs corps sont ensuite charcutés, la suite on ignore ». Certains corps ont été découverts, mutilés et dépourvus des organes génitaux, très convoités par les trafiquants d’organes. c’est d’ailleurs l’une des raisons du renforcement de sécurité au Beach Ngobila.

L’Interpol, les organisations criminelles internationales ont repéré depuis un certain temps à Kinshasa, la montée de ce trafic. . Des humains sont vendus comme pièces détachées pour répondre à la demande de riches malades en attente de transplantations d’organes. Dans les différents cachots de Kinhsasa, Mabanga à Ndjili, Kilo Maze 300 à l’IPKIN, Commissariat Général, Limete /Echangeur, les autorités policières maintiennent en détention, en garde pendant des semaines les potentiels candidats au trafic d’organes humains.

Un rapport de 628 pages de la CPI contre le Général Kanyama.

On parle de quelques 628 pages de rapport d’enquêtes préliminaire élaboré par les agents de la CPI, présents à Kinshasa depuis plusieurs semaines. Ces enquêteurs, accompagnés des membres des organisations des droits de l’homme (ASADHO, RENADHOC, VSV, Les amis de Nelson Mandela) vont auditionner ce lundi 17 février certains officiers de la Police Nationale Congolaise-Ville de Kinshasa. L’un de ces officiers, le Major Kasongo serait déjà aux arrêts pour enlèvement, disparitions et assassinats de détenus, les nuits du 10- 11 -12 13 février dans le cachot de la Police/Échangeur –Limete.
 
Plusieurs Chefs d’accusations contre le Général KANYAMA CISHIKU, matricule 33512/A et ses coïnculpés :

– Colonel NAWEJ PALANGA Elvis, matricule 14911/A
– Majorl KASONGO MPIANA
– Colonel SAÏDI MATHE
– Colonel KILUKU Petit Jean
– Colonel NINA Mardoché
– Colonel KALENGA Thierry
– Colonel Francis LUKESO

Ces officiers de la Police Nationale sont accusés des Chefs de : Homicides volontaires et involontaires, destruction des biens publics et privés, vol et recel de vol, coups et blessures volontaires, violations des domiciles, enlèvement et séquestration des personnes, exécutions extrajudiciaires, dissimulation des corps.

Dans un communiqué conjoint publié hier mercredi 27 novembre 2013, la Monusco et l’Unicef avaient dénoncé les exécutions sommaires et extrajudiciaires contre des jeunes et enfants délinquants à Kinshasa, communément appelés  » Kuluna  » par les forces de défense et de sécurité. Ces deux agences des Nations Unies affirmaient avoir reçu des rapports préoccupants faisant état de disparations et d’assassinats de jeunes et d’enfants dans certaines communes de Kinshasa.

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