Pas tout à fait vrai ! Les plus grands chefs rebelles du Congo sont des universitaires.
Ceux qui ont ravivé les guerres tribales anciennes, au Kivu et en Ituri, sont tous des universitaires.
Les penseurs de la dictatures au Congo, ne sont pas les ignares, mais bien des PHD.
Les grands faux prophètes du monde ne sont pas les fetcheurs de nos villages, mais nos théologiens, comme à l’époque de Christ.
Au Projet 2014, nous montrons que l’école napoléonienne a abruti plusieurs Congolais. Cependant, nous devons nouancer cette ONSERVATION OBJECTIVE.
En effet, si le Congo a des problèmes, il faut le reconnaître, c’est parce que la maturité spirituelle, intellectuelle, scientifique et culturelle de notre population et de notre classe politique est très douteuse, même chez ceux qui ont été aux études post-universitaires. C’est pour cela que nous estimons que nous devons revoir sérieusement notre système éducatif.
Les enfants endoctrinés dans nos écoles, nous reviennent avec une culture qui laisse à désirer : vol, mensonge, prostitution, méchanceté, intolérance culturelle, aliénations mentales, morales et spirituelles de toutes sortes.
Nos enfants sont tous désormais mal éduqués, inciviques, meurtriers même.
À 40 ans, la plupart de nos hommes et de nos femmes sont incapables de tenir un foyer. Ils ne savent ni faire le ménage ni même entretenir une vie sexuelle ou sociale digne ! De plus en plus, nous rencontrons des hommes de 50 ans qui se comportes dans les rues commes des enfants de 8 ans !
Seuls quelques esprits bien nés font la différence. L’observation montre vite que ces hommes proviennent des familles qui ont conscience de la dangerosité de notre système éducatif et qui ont su armer leurs enfants contre celui-ci. Je connais des parents qui ont abandonné leur travail pour éduquer eux-mêmes leurs enfants à la maison.
Mon expérience dans ce domaine est instructive. Depuis mon divorce d’avec mon ex-épouse, nos enfants qui étaient des champions dans leurs écoles ont tous commencé à connaître des difficultés scolaires puis académiques graves, inédites. Ce n’est pas tout… Les vies de mes propres cadets ont été brisés par une polygamie qui est venue briser le processus éducatif familial que l’école napoléonienne ne pouvait remplacer valablement ! Aucun de mes cadets n’a pu aller plus loin ni dans les études ni dans la vie professionnelle, malgré le potentiel économique familial.
Non, Pacifique : nous devons mettre l’école napoléonienne et la famille à leurs places. Il faut arrêter de confier l’éducation de nos enfant à des étrangers à notre culture. L’État doit arrêter de s’approprier nos enfants et bourrer leurs esprits des négativités. Il est question de restituer le naturel dans notre société : rendre les enfants à leurs géniteurs et ne pas les vendre à un État ; surtout lorsque nous peuple ne souscrivons pas à son projet de société.
C’est donc une révolution culturelle qu’il nous faut. Ce pourrait être réduire tout de go, de 50% le temps passer par nos enfants entre les mains des bandits politiques, qui n’en sont pas les géniteurs ni les garants du bonheur, après une étude soignée ! Bandits qui utilisent, lâchement, nos enfants pour faire leurs fortunes.
Ces militaires tutsis rwandais, RDF+M23, capturés, révèlent que leur plan est de diviser la RDC et trouver un pays des [pour les] Tutsis rwandais en RDC, avant la mort de PAUL KAGAME et YOWERI KAGUTA MUSEVENI, qui sont leurs patrons ; car, seuls les Tutsis n’ont pas de pays. Ils avouent qu’ils sont au Rwanda par défaut. JUVENAL, un capitaine tutsi rwandais, capturé, déclare ceci aux Wazalendo : 《Le Rwanda appartient aux HUTUS et un jour ils viendront prendre leur terre. Où irons-nous quand PAUL KAGAME ne sera plus en vie ? C’est pourquoi, nous nous battons en RDC. PAUL KAGAME et MUSEVENI nous ont dit que le Rwanda et l’Ouganda ne nous appartiennent pas et les pays qui ont des terres dans la région sont la RDC et la TANZANIE. Nous avons peur de la TANZANIE ; car, les tanzaniens sont catégoriques et ils n’aiment pas la corruption pour leurs terres. Seule la RDCONGO est faible dans la région et les congolais sont corruptibles. Pour avoir une terre en RDC, il suffit de trouver quelque chose pour le [à suivre].
Si nous, Congolais, continuons à nous méprendre sur notre responsabilité dans ce qui arrive à notre pays, soudain, le pays partira en fumée.
Soyons clair : nous devons rapidement nous atteler à obtenir ceci, pour éviter que la colère de Dieu ne se déverse sur nous et sur nos « innoncents » enfants.
Extirper la fausse religion du pays et son idolâtrie.
Nous débarrasser de tous les parlementaires véreux que nous nous sommes choisis.
Nous débarrasser de la République, de la MONUSCO, de la CENI et de la dualité de pouvoirs dans le pays, pour ne garder que le pouvoir actuellement dit coutumier.
Nous mettre autour d’une table pour décider de ce que nous voulons faire du Congo et de la manière dont nous voudrions procéder.
La patience de Dieu a ses limites : chers frères !
Le Bandundu, le grand Bandundu, vient de raté son décollage de 1960. J’ai expliqué à mon fils le pourquoi.
Dans le Bandundu, les terres de tes oncles sont exploités de plus en plus par des étrangers, venus de terres lointaines, parce que tu ne te lèves pas pour initier de grands projets là-bas. Si le bandundois ne se lève pas, d’autres étrangers viendront encore se servir des fruits de la cueillette bandundoise.
La foresterie, les mines, l’hydroélectricité, l’immobilier, les banques, les assurances, l’enseignement, les télécommunications, l’agriculture, le transport, le stockage de produits vivriers, l’ébénisterie, l’électronique, la musique, le théâtre, les arts divers et bien d’autres industries sont facilement développables dans le Bandundu.
Depuis que Molele et Kudiakubanza se sont fait tuer, ni Mungul Diaka ni Gizenga ni Fayulu n’ont pu proposer de projets politiques viables aux Bandundois et aux Congolais. Vous, jeunes du Bandundu, devez vous mettre au travail quotidien pour d’examiner les failles des projets molelistes, kudiakubanguistes, mungulistes, gizenguistes et fayuliens pour développer un projet nouveau qui mettent les peuples du Bandundu au vrai travail.
Le Bandundu a produit des cerveaux pour la RDC, mais les gaspille à cause de la parenté et de la mysticité mal maîtrisées. Tous se sont laissé prendre par le piège de la folie des grandeurs, avant même de n’avoir commencé à créer de la vraie richesse : tout le savoir, tout le savoir-faire et tout le savoir-être. Plutôt que de continuer à aller aux champs, aux bureaux, aux laboratoires et aux usines, ils se sont perdus entre les jambes des femmes étrangères ; dans des bouteilles de bières, de vin et de champagnes ; ou encore, sous des vestes, des costumes et dans des chaussures les plus chers du monde. C’est ce qui explique le décollage raté du Bandundu, jusqu’aujourd’hui.
Vous, jeunes Bandundois, devez retrousser les manches : sans cela, vous vivrez, plus, toujours et encore, des glorioles !
Nous sommes impopulaires partout : cela n’est pas à démontrer. Il suffit de consulter les statistiques de ce site pour s’en convaincre.
Dans la ville de Kisangani, la grogne « monterait ». Selon une publication vidéo qui circule sur WhatsApp. Une enquête nous amène à douter de l’authenticité de cette publication, qui serait de l’intoxication, selon une relation de la ville de Kisangani, ainsi que nous pouvons le lire ci-dessous.
Bonjour Graphèle. C'est faux et archifaux. C'est du n'importe quoi. Nous nous demandons quel jour a pu avoir lieu à Kisangani un tel évènement. Ce sont de fausses informations. Comment ça va ?
Il faut se demander si nos compatriotes croient nous aider à gagner notre indépendance avec la désinformation ou encore la confusion.
Un nouveau front doit être ouvert dans la lutte pour notre indépendance. Nous nous devons d’éduquer nos enfants de l’importance de la vérité dans notre cheminement vers le développement. Sinon, l’échec continuera à être cuisant dans les décennies à venir, dans un pays où, progressivement, la parole donnée perd de sa valeur.
Qu’à cela ne tiennent. De récentes décisions issues des instances du pouvoir, du gouvernement et du Parlement de Kinshasa montrent que celles-ci soient dépassées par le cours des évènements. Des hommes s’énervent, se fâchent et prennent des décisions la tête en surchauffe ; ce qui, à coup sûr, les disqualifiera une fois pour toute.
C’est vrai, la gestion des paradigmes dans divers domaines d’activité nécessite une compréhension approfondie et une expertise spécifique. Chaque domaine, qu’il s’agisse de la politique, de la science, de la philosophie, de l’administration ou de la religion, a ses propres paradigmes ou systèmes de pensée qui guident la façon dont les individus dans ces domaines perçoivent le monde et prennent des décisions.
Politique: Les paradigmes politiques peuvent inclure des idéologies comme le libéralisme, le conservatisme, le socialisme, etc. Ces paradigmes influencent la façon dont les politiciens et les décideurs politiques abordent les questions de gouvernance et de politique publique.
Science: Dans le domaine scientifique, les paradigmes peuvent se référer à des théories ou des modèles acceptés qui guident la recherche et l’expérimentation. Par exemple, le modèle standard en physique des particules est un paradigme qui guide la recherche dans ce domaine.
Philosophie: Les paradigmes philosophiques peuvent inclure des écoles de pensée comme le réalisme, l’idéalisme, le pragmatisme, etc. Ces paradigmes influencent la façon dont les philosophes abordent les questions fondamentales de la réalité, de la connaissance et de l’éthique.
Administration: Dans le domaine de l’administration, les paradigmes peuvent se référer à des modèles de gestion ou de leadership, tels que la gestion autocratique, démocratique ou laisser-faire.
Religion: Les paradigmes religieux peuvent se référer à des croyances ou des doctrines spécifiques qui guident la pratique religieuse et la spiritualité.
La capacité de naviguer efficacement dans ces paradigmes nécessite non seulement une connaissance approfondie de chaque domaine, mais aussi la capacité de comprendre comment ces paradigmes interagissent et se chevauchent souvent dans le monde réel. C’est un défi que seules quelques personnes sont capables de relever efficacement.
Notre devoir est de nous assurer que nos enfants soient bien instruits sur les questions abordées en toute indépendance spirituels, dans des systèmes d’éducation respectueux de nos cultures, pour éviter des choques culturels qui rajouent à notre insécurité actuelle.
De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?
Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.
Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.
Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.
Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !
Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore ! Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ? Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !
Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise. Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !
Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?
Cet article est long. Cependant, il est riche d’informations utiles. Bien que trompeur et révoltant sur certains points, et voire même insultant pour les nilotiques congolais que nous sommes – dits alliés naturels des Tutsi, il vaut la peine d’être lu, la tête bien froide, pour comprendre pourquoi nous insistons – avec l’auteur d’ailleurs, en d’autres lieux – sur la nécessité pour nos peuples de travailler leur indépendance (dépendance) et leur libération (colonialisme, esclavagisme, dictature).
Que vous soyez bantous ou non-bantous, retenez votre souffle.
Enfin, le yansi ou yanzi qui écrit, n’est peut-être pas bantou lui-même. En effet, certaines informations en notre possession, provenant du Bandundu profond, laissent penser que les origines des yanzi ne soient pas très bien connues. Rassurons-nous. Avec ce que permet la génétique aujourd’hui, certains d’entre auront bientôt la surpprise d’apprendre qu’ils ne sont pas ce qu’ils croyaient être…
Lisez la suite, distribuée tel que reçue ; et attribuée à notre frère Kwebe Kimpele.
Sur la compréhension de la stratégie rwandaise, KWEBE Kimpele persiste et signe.
N’leki Bolodjwa, bonjour. Merci, infiniment, po na appel na yo de tout à l’heure, ce samedi 8 octobre 2022. Me permettras-tu de te dispenser une petite leçon sur la psychologie ethnique des Tutsis ? Merci d’avance.
Ne te hasarde jamais, au grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi, demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc, de ton incapacité de te battre avec lui.
Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi.
Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la reconnaissance, la clémence, la gratitude ou la compréhension.
Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais, au grand jamais, surtout le mal qu’on lui a causé. Par contre, il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite acquitter une dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
Contrairement à nous autres Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.
Lorsque d’aventure, un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu, cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille, et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la tête.
Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie.
Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté. Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies. Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre, très très probants :
a. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.
b. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame, croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash de leur appareil .
c. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient, l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa. La capitale ad zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.
d. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl.
e. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.
f. D’après mon comptage, plus de 54 conférences, dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo. Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays, c’est maintenant l’ouest, c’est la province de Bandundu, ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu, c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang. Mais c’est juste en ce moment que cette ordure de Vital Kamerhe ose préconiser l’ouverture…. d’un dialogue avec les Tutsis à travers leur milice 23 ? Vital Kamerhe est un vrai fumier ! La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme. On a même remarqué une aggravation de l’insécurité, une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.) La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres, de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme. Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts , du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières. Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans ), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :
a. la domination politique des Tutsis sur les Bantous.
b. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.
c. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.
d. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.
e. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo. Face à de tels périls , que peuvent les négociations , les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point, ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité. Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jésus-Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines . Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit, elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète , événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ». Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. A la mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont ,u au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.
En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.
Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler . Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente dela terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux . On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois , de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.
Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.
[26/9, 13:59] Nickson KASOLA: Une image de 2018 ? [Pourcentages des votants pour differents candidats en RDC en 2018 (?).]
[26/9, 15:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: La quintessence de mon message est : quel sera le pourcentage de mon parti en 2023 et du tien, Nickson ? Cela omporte peut que les % que tu voies soient du vrai ou du faux, de 2006, 2011 ou 2018. Que faisons nous pour réellement gagner en 2023 ? Pour l’heure, le pouvoir en place part favori : du moins, à l’apparence. Ne crions pas au tripatouillage après, alors que nous nous occupons des accessoires ; laissant de côté la Voie du Père !
[26/9, 15:16] Nickson KASOLA: Cette image ne peut permettre la réponse à votre question car elle représente une époque dont le contexte est très différent de l’actuel.
[26/9, 15:46] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le contexte, selon nous, n’est pas très différent du précédent : la culture et la pratique politique sont les mêmes. Ces dernières demeurent celles d’intrigues diverses, de vols, de pillages, d’assassinats, d’esclavagisme de colonisation, de trahisons, de tripatouillages, d’une distraction sans nom de toute l’opposition et d’une déliquescence grandissante de l’administration.
[26/9, 15:50] Nickson KASOLA: Mon frère, là vous vous trompez. Le contexte est littéralement très différent. Si vous pensez partir de cette considération vous risquez d’être surpris. Je vous conseille de bien analyser le contexte.
[26/9, 15:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Notre effort dans le Projet 2014 n’est pas fondé sur l’espoir d’un Congo meilleur en 2024 : nous investissons politiquement dans un futur de bonheur qui ne poindra pas avant l’horizon 2055. En clair, un Congo de droit, de justice, d’unité, de paix, de développement est pour nous envore très lointains. La pauvreté est encore très grande sur tous les plans : la morale, l’intelligence, le confort dans la maison et au travail, la justice sociale, la liberté, la sécurité, la fraternité et toutes les choses semblables nous manqueront cruellement longtemps encore, frères !
C’est pour cela que nous vous invitons nombreux à rejoindre notre projet pour : 1° dégager un vrai projet de sortie de crise ; 2° mobiliser les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet congolais, sans être aliénés !
[26/9, 16:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: 30 n’ont pas suffit entre 1999 et 2014. 30 seront encore très insuffisant maintenant, au regard du pourrissement de la situation entre 1999 et 2022 et de la qualité et de la quantité de la ressource humaine.
Instruire, former et éduquer correctement près de 100 millions de personnes, de cultures disparates, demande du génie encore très rare dans notre pays. Il faut du temps, et encore du temps.
Certains observateurs occidentaux pessimistes évaluent à 500 ans le temps nécessaire pour que le Congo sorte de son tunnel de lui-même.
C’est peut-être exagéré ; mais ce n’est pas loin d’être raisonnable.
En effet, nous nous rendons compte très vite que les autres nations se fourvoient alors qu’elles existent depuis des millénaires. Le Congo indépendant n’existe que depuis 62 ans seulement !