Martin Fayulu Madidi apprend !


Je viens de lire Fayulu et me rejouis de ce qu’il commence à comprendre qu’il faille se départir des hommes véreux et d’une frange de notre population traîtresse et complice de nos bourreaux. Ces hommes, sans projet, ne cherchent qu’à couvrir leurs forfaitures en se maintenant au pouvoir par la terreur ; tandis que cette partie irresponsable de notre population, népotiste, ignorante et paresseuse, envoie nos patriotes à la mort inutile !

Cependant, son projet politique doit encore être muri et diffusé pour mûrir, dans un contexte qui demande beaucoup de sagesse et d’intelligence de notre part.

Le premier travail à abattre c’est de nous créer de bons leaders et des citoyens patriotes et productifs. Cela passe par une éducation, une formation et une instruction qui passe par une action de terrain difficile à mettre en oeuvre seul, sans avoir commencé par dresser un plan de travail, mobiliser les ressources indispensable pour créer une atmosphère qui dissuade les méchants, les usurpateurs.

Nous, Projet 2014, gardons le cap : christianisme, démocratie et capitalisme sont notre proposition.

Depuis 1999, les congolais cherchent des solutions aux problèmes ailleurs (fuites, rébellions, éliminations physique des adversaures politiques, alignement d’ignares, d’incompétents et d’immoraux dans des combats charnels), ne les trouvent pas et ne les trouveront pas…

En tant que nation, nous nous suicidons, faute d’avoir la connaissance que seule procure la nouvelle naissance de l’humain !

Qui est-il ? Que fait-il pour la RDC, comment et pourquoi ?

Commencez votre recherche ici, par exemple !

Qu’a produit son parti politique, l’ECIDé ?

Maman ou papa : ton petit commerce est-il viable en RDC ?


!!! EAE ASBL peut t’aider à tenir ta comptabilité pour que tu ne travailles pas en vain ou sur un produit peu rentable, pendant qu’il y a des produits plus utiles sur le marché. Un sms ou un e-mail chaque soir (dépense, recette) ; et chaque fin de semaine, nous te conseillons pour professionnaliser ton commerce !!!

Tu peux commencer seul ! Chaque semaine, additionne toutes tes dépenses (D = achats et tous les autres frais) et toutes tes recettes (R = ventes).

Si, pour la semaine, (R-D)/D > 0,17, c’est que ton affaire est très bonne ! Tu peux, à coup sûr, devenir millionnaire avec elle.

Si, sur la semaine, (R-D)/D < 0,053, c’est que ton affaire n’est pas assez rentable dans le contexte de la RDC d’aujourd’hui : change vite de produit ou de service !

Il faut séparer les dépenses et recettes de différents produits ou services : bananes à part ; poulets, à part ; épinards, à part… Tu pourras ainsi comparer les produits suivant leurs rentabilités.

Le service de l’EAE ASBL est totalement gratuit pour toi : profites-en plutôt !

Qui spolie nos terres ?


Nous reproduisons ci-dessous un message WhatsApp qui montre comment, pourquoi et par qui la loi serait souvent violée dans notre pays.

Tout Boyoma doit se mobiliser pour résoudre par voie de droit cette spoliation et occupation de nos terres.

Les raisons qui plaident en faveur de l’annulation de 20 contrats d’occupation provisoire conclus entre la République Démocratique du Congo représentée par la Gouverneure de la Province de la Tshopo et la société Company Agro pastorale du Congo CAP Congo SARL

Dura lex, sed lex

La fraude à la loi qui entache les 20 contrats d’occupation provisoire de la société Company Agro pastorale du Congo CAP Congo SARL n’est plus à démontrer. Au-delà de la violation de l’enquête préalable prévue par la loi foncière en ses articles 193 à 203, il y a aussi la violation de l’article 16 de la loi portant principes fondamentaux relatifs à l’agriculture.

Rappelons que tous ces 20 contrats d’occupation provisoire, préalables aux concessions ordinaires sont conclus pour un usage agro pastoral. Ainsi, l’article 16 précité en son alinéa 2 point a) dispose : Les terres agricoles sont concédées aux exploitants et mises en valeur dans les conditions définies par la présente loi. Toutefois, le requérant remplit en outre les conditions suivantes : a) être une personne physique de nationalité congolaise ou une personne physique de droit congolais dont les parts sociales ou les actions selon les cas sont majoritairement détenues par l’État ou les nationaux;

Il ressort de cet article, bien société de droit congolais, la société Company Agro pastorale CAP Congo SARL est constituée des parts 100% étrangères. En effet, elle n’est constituée que de deux associés tous de nationalité libanaise, en l’occurrence madame Atwi Soumaya née à Ayitit, le 11 septembre 1996 avec 80 parts et Monsieur Roumie Zolfirar qui est gérant statuaire né à Al Remadie avec 20% sociales.

Au regard de ces articles ci haut évoqués, ces 20 contrats d’occupation provisoire ne seraient même pas signés par la Gouverneure de province.

S’il faut pousser très loin le raisonnement, cette société à capitaux 100% étrangers ne pouvait même être immatriculée au RCCM tenant compte de son objet social en lien avec les activités agricoles car dans ces conditions elle ne pourrait obtenir les terres agricoles. Les activités agricoles devraient être extirpees avant son immatriculation. J’y reviendrai sur cette question prochainement avec une action au guichet unique de création d’entreprise pour le retrait de son immatriculation tant que ces contrats ne seraient pas annulés.

C’est ici le lieu de saluer le travail bien fait du législateur congolais qui a fait preuve de clairvoyance dans l’élaboration de cette loi. Les dispositions de l’article 16 ont été insérées dans la loi pour prévenir des cas d’expropriation déguisées des terres coutumières des communautés locales. Malheureusement, l’application de cette loi nous démontre le contraire.

L’autorité provinciale étant déjà trempée ne doit pas considérer cette affaire comme une fatalité. Ainsi, pour se tirer de cette affaire, elle devrait tout simplement annuler ces contrats d’occupation provisoire car le défaut de le faire par elle-même leur annulation peut être ordonnée par voie judiciaire à la requête des véritables ayants droits déjà mobilisées pour cette fin, ce qui ne l’honorera pas du tout.

En même temps, elle devrait se débarrasser de tous les conseillers malveillants qui ont été associés au traitement de ce dossier et qui l’ont piégée en lui soumettant ce dossier plein d’incohérence. Ne pas accéder à cette demande me poussera à conclure que les conseillers l’ont bien conseillée mais elle n’a pas pu prendre en compte leurs conseils.

L’annulation de ces 20 contrats d’occupation provisoire par l’autorité elle-même pensera les plaies des familles éprouvées.

Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. Je ne veux pas être celui qui regarde le mal sans faire quelque chose. La présente analyse est ma modeste contribution contre l’expropriation déguisée de 4000 hectares des terres coutumières dans la Province de la Tshopo.

Il n’est jamais trop tard pour mieux faire !

Sé Maître Patient Biselenge Bombali, avocat et expert en droit foncier et forestier des communautés locales.

Les jours qui suivent…


La paix Zéro

Le développement Zéro

La sécurité Zéro

Tout ce qui nous reste c’est le détournement de l’argent de la province et personne n’a le droit de parler de tout ça si non la justice de l’ituri doit vous arrêter pour faux bruit.

Pendant ce temps le nom Tsisekedi permet aux individus de chasser même les orpailleurs de leurs carrières et installer les les militaires pour piller l’or de l’ituri et c’est le garde du corps de Mr le rebel jonny luboya lui même qui suppervise l’opération.

Avant nous avions lu dans des réseaux un certain Christian Tsisekedi en disant qu’il aurait imposé Mr le Rebel luboya en Ituri pour piller l’ituri,
Aujourd’hui nous avons un certain Thierry Tsisekedi qui vient lui même dans la forêt de territoire de mambasa à Nyanya pour chasser les orpailleurs de leurs lieux de travail pour lui à son tour piller la province de l’ituri.

Quand je vous dis souvent que l’objectif n’est pas la paix mais s’enrichir Munazi ona miye tu mufuta bangi moya ivi.
Sawa tu.

Mais ce Rebel ne vous donnera jamais la paix.

LB3 TATE

Une PRDP…


RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

PLATE FORME DES RÉSISTANTS POUR DEFENSE DE LA PATRIE

  1. CMC/FDP
  2. APCLS
  3. ANCDH/AFDP
  4. FPP/AP

Whatsapp & tél : +243844502986

Communiqué de Presse Numéro : 08/PRDP/CIP/2022

Dénonciation d’un plan maléfique en gestation pour déstabiliser davantage la RDC.

La Plateforme des résistants Patriotes pour la défense de la Patrie voudrait informer l’opinion par rapport plan susmentionné que les voisins de la RDC, le Rwanda et l’Ouganda, agresseurs éternels de la RDC essaient de mettre sur pied pour embraser la situation dans plusieurs coins de la République.
Pendant que la RDC, de bonne foi croit au volet diplomatique pour résoudre la problématique de l’invasion dont notre pays est victime de la part du Rwanda et de l’Ouganda, ces derniers eux ne dorment pas. Ils continent, avec le coaching de leurs maîtres à penser, à mettre sur pied un plan d’embrasement général de la situation en RDC s’ils n’obtenaient pas ce qu’ils exigent à la RDC. Voici les faits qui l’attestent :

  1. Le refus catégorique de ces deux pays de retirer leurs troupes qui occupent encore plusieurs villages du territoire de Rutshuru dont la ville frontalière de Bunagana et cela malgré les résolutions de Nairobi et de Luanda.
  2. Plusieurs poches d’insécurité sont entrain d’être alimentées tant à l’est, au Nord comme à l’ouest dans l’objectif de créer un chao généralisé. Les renseignements bien fouillés de la plateforme font état de:

L’existence d’un nouveau réseau de jeunes congolais recrutés pour servir de bras séculier au M23 au Nord-Kivu qui vient s’ajouter à plusieurs autres déjà existants. Ce nouveau reseau est bien installé dans différents territoires du Nord-Kivu. Déjà plusieurs réunions se sont tenues tant à Gisenyi qu’à Kigali où ce jeunes gens sont inculqués sur comment procéder. La plateforme ayant maîtrisé au courant du mois de juillet un espion Rwandais membre de ce réseau et qu’elle a remis aux autorités congolaises, dispose de tous les détails quant à ce. Il faut donc citer les noms de:

  • MUCHOMA BIZIMANA
  • KAMWANYA Jean De Dieu,
  • Marcelin: porte parole du NDCR
  • Germain : cadre politique du NDCR
    Comme ces jeunes congolais qui se pavanent entre Goma et Kigali pour de grandes réunions depuis quelques mois.
    Le NDCR de l’aile de MAPENZI Successeur de BWIRA en prison, est aussi soutenu par le mêmes agresseurs dans l’objectif de semer le chao dans le Masisi et wilikale. Les der derniers affrontements contre l’APCLS dans les environs de Lwibo s’inscrivent dans cette logique.
    Ils sont parvenus à créer déjà de réseau de recrutement tant dans le Masisi que dans le Rutshuru et Walikale. Si à Walikale le NDCR de toutes les deux tendances est à pied d’œuvre sur une partie de Masisi, walikale et Libero, à Rusthuru il y a LUC SAFARI et KABASHA Éphrem avec un pseudo mouvement dit MPA qui sont à pied d’œuvre. La stratégie est de monter les peuples les uns contre les autres, diviser et diaboliser les résistants Patriotes pour fissurer le mariage qu’il y a déjà entre les résistants et la population, abattre les officiers de mouvement de résistance et même ceux des FARDC qui s’opposent au plan hégémonique du Rwanda et de l’Ouganda. Ils sont appuyés et supervisés par un grand réseau bien installé à Kin et à Goma qui coordonne tout.
  1. Un conflit latent entre le territoire de Lubero et de Walikale qui se dispute le groupement de MUNZOWA situé à cheval entre ces deux territoires mais qui appartient au territoire de Lubero est aussi une autre occasion que le Rwanda cherche à rentabiliser à tout prix en y créant un chao sans pareil entre les peuples Nande et Nyanga
  2. Les troubles au Maindombe, Kwamouth sont l’œuvre du génie de Kagame qui sait tirer profit dans les moindres occasions qui lui sont accordées. Sa présence au Congo Brazzaville où il s’est tapé 12 000 ha à la frontière avec la RDC près de Maluku et la présence de ses officiers infiltrés au sein des FARDC et d’un réseau fort constitué des quelques hommes politiques et Militaires acquis pour sa cause dont certains congolais lui donne une large marge de manœuvre.
  3. Les alertes de l’ambassadeur de la RDC en République Centre Africaine ainsi que les cris de la société civile et de l’opposition de ce même pays par rapport à la présence de militaires Rwandais et M23 dans ce pays sont aussi à prendre au sérieux.
    Il faut donc comprendre que deux souris naines essaient à tout prix de se gonfler pour essayer d’engloutir le boeuf qu’est la RDC. Certes, cela paraît utopique. Mais ça dépend aussi du comportement du bœuf car mort, il se laisse croquer même par les vers de terre. A combien plus forte raison la souri ?? Le moustique avait terrassé l’éléphant par son savoir faire. Les autorités congolaises et nous tous congolais devons éviter de jouer à l’éléphant et nous mettre en ordre de bataille et de manière proactive.
    La Plateforme de Résistants Patriotes pour la Défense de la Patrie fait sa part en alertant l’opinion tant nationale qu’internationale et invite le gouvernement congolais à bien suivre ces questions et surtout de s’inscrire dans la logique de la proactivité que de se laisser chaque fois surprendre.
    Quant à nous, nous sommes toujours à pied d’œuvre et rien ne nous dissiuadera de notre engagement.
    Tenons bon car la victoire est certaine et très proche alors.

Avec Dieu, la victoire est certaine par le sang de l’agneau !
La Patrie ou la Mort !

Que Dieu libère et bénisse le peuple Congolais-Zairois.

Ainsi fait à Rutshuru le 14/10/2022

Pour la Plateforme,

Jules MULUMBA


Communicateur de la plateforme.

L’axe Bunia-Goma-Bukavu-Lubumbashi…


Notre histoire peut nous aider à comprendre notre destin. Prenons ici quelques faits épars pour tenter une meilleure compréhension de ce qui se passe à l’Est de la RDC.

Saviez-vous que Goma et Lubumbashi soient des fiefs des bandits à mains armées depuis les années 60 et que
Kinshasa, Bunia et d’autres villes ont connu le banditisme à mains armées après ces deux villes ? Si oui, en savez-vous le pourquoi ?

Savez-vous que les coupeurs de têtes ont commencé leur commerce dans le Kivu et le Katanga ?

Savez-vous que c’est en Ituri et dans le Kivu que furent mener les dernières opérations de nettoyage des rebelles dans les années 60 ?
Savez-vous pourquoi il en fut ainsi ?

Savez-vous que c’est dans les missions prostetantes et catholiques que la fornication était la plus forte dans les années 60 et 70 et en connaissez-vous la raison ?

Quelle conclusion pouvons-nous en tirer et pourquoi ?

Pygmées : une réaction à chaud.


Tel que copié de WhatsApp.

[4/6, 10:06] René Kisokolo: Le pygmées sont attachés à leurs culture, et leurs libertés dans la forêt. Il est vrai qu’on peut toujours le proposer la sédentarisation, voir même la semi-sédentarisation. Mais qui va les proposer ? Les pouvoir en place n’a pas de vision pour le peuple,n’a pas de projet et n’a même pas un peu de volonté pour un changement positif.
[4/6, 10:28] G. Paluku Atoka Uwekomu: Par ta présence ici, tu peux nous aider à prendre un jour, démocratiquement, le pouvoir, pour apporter le changement dont nous avons besoin.
Nous sommes ici pour cela. Nous sommes convaincus que les politiciens en lisse ne sont pas ceux dont le pays a besoin : mais nous sommes aussi conscients que ce sont nous, congolais, qui les avons élus, hissés au pouvoir, ou qui les tolérons à ces positions.
Il nous reviens d’identifier et de promouvoir nos rares bons et responsables leaders.
Levons-nous et marchons : avec Dieu, nous vaincrons !

Les inutiles alertes…


Alerte, Alerte, Alerte !

La situation sécuritaire de l’Ituri se dégrade de manière spectaculaire, nous sommes au bord d’une nouvelle guerre interethnique à cause de l’incompétence de Luboya Nkashama.

Pour ceux qui suivent l’actualité sécuritaire de l’Ituri de loin, sachez que le risque de l’embrasement que tout le monde a toujours craint et évité depuis 2017, est malheureusement à notre porte.

En moins de 48 heures, l’espoir d’un retour de la paix est entrain de s’envoler à grands pas et si rien n’est fait urgemment pour écarter ce général en carton, mieux en copals, alors personne ne dira qu’il n’était pas prévenu.

Tenez:

  1. Avant l’arrivée de Luboya, la milice Zaïre était, il faut l’avouer, en gestation, mais elle n’était pas si équipée et active comme c’est le cas maintenant. Tout le monde se demande quelle main noire a réussi en si peu de temps, à renforcer Zaïre en hommes et en logistique, pourtant elle était connue comme un groupe d’autodéfense et qui agissait toujours en défensive, de manière voilée.
  2. Luboya à son arrivée, a promis ciel et terre aux ituriens, qu’il allait leur donner la paix qu’ils ont manqué depuis des décennies, qu’il allait être sans état d’âme envers les miliciens, qu’il allait tous les envoyer en enfer…
    A cette époque, il reçu tout le soutien dont il avait besoin, même les groupes armés avaient eu peur au point qu’ils avaient pour la plupart enterré leurs armes pour aller se cacher dans les villages.
    C’est lorsqu’après des mois, l’homme s’est révélé un simple tambouriner qui fait trop de bruit sans aucune action, que tous les porteurs d’armes se sont réveillé, avec la détermination de le défier et lui et son prétendu état de siège. Malheureusement c’est la population civile qui en paye aujourd’hui les frais.
  3. Pour se rendre compte de la gravité de la situation, il faut observer ce qui s’est passé aujourd’hui en territoire de Djugu.
    Avec l’enlèvement très dangereuse de Thomas Lubanga et ses compagnons de Task Force, des hommes dont la notoriété n’est plus à démontrer dans leurs communautés respectives (Hema et Lendu), tous les analystes retiennent à présent leur souffle.
    Qu’adviendra-t-il si quelque chose de mal leur arrivait ?
    Il faut rappeler ici que Thomas Lubanga est un des grands leaders Hema et là il se retrouve à la merci des miliciens Lendu de CODECO, connus pour leur cruauté. Tout peut arriver !
  4. Du coup à Mungwalu, non loin de Bambu où ils ont été enlevés, les miliciens Zaïre, proches de sa communauté les Hema, ont commencé à se regrouper, sans doute pour se préparer à riposter.
    Les images prises sur place à Mungwalu, ont démontré à quel point il n’y a jamais eu d’état de siège en Ituri et que le fameux Luboya n’est rien d’autre qu’un fanfaron à écarter immédiatement.
    Alors que les Zaïrois comme on a l’habitude de les appeler, prenaient d’assaut cette deuxième agglomération de la province, les soldats loyalistes déployés dans la zone, n’ont eu que leurs yeux pour observer, visiblement un ordre leur a été donné de laisser faire.
    Comment dans une province prétendument sous état de siège, des rebelles peuvent prendre d’assaut une cité pendant plusieurs minutes, défiler librement armes à la main, pour aller se regrouper et préparer des attaques, et que les militaires FARDC présents sur le lieu s’écartent de leur route et les observent à distance ?
  5. Maintenant, avec ce scénario qui se dessine, d’un côté CODECO devenu visiblement plus fort que jamais, capable même d’enlever une délégation de haut niveau comme celle de Task Force, et les Zaïrois déterminés à se regrouper pour unir toute leur force et attaquer, le spectre d’un bain de sang se dessine.
    Un scénario qui rappelle les années sombres de 1999-2003, durant la guerre interethnique.
    A cette époque encore, la guerre s’était menée par milices tribales interposées.
    l’UPC était rangée côté Hema et le FNI était là du côté Lendu.
    Au finish, plus de 60.000 ituriens ont perdu leur vie, la plupart découpés à la machette selon l’ONU, jusqu’à ce que la communauté internationale avait été obligée de déployer la Force Artémis sous commandement français mais avec un mandat de l’ONU, en vue de stopper le bain de sang.

Aujourd’hui encore, tous les ingrédients pour un tel triste retour à la case départ, Luboya Nkashama dans son incompétence ou peut être de manière délibérée, est entrain de les réunir l’un après l’autre.

L’urgence s’impose donc d’écarter ce prétendu général 3 étoiles, dont la capacité tant managériale que tactique laisse à désirer, si non ce sera déjà trop tard.

Iturien avisé et revolé😡


Cette analyse me semble bonne. Cependant, elle doit être étoffée autour d’une table de travail démocratique, pour permettre de meilleures comprehension et gestion de la crise iturienne.
Les groupes dans lesquels je me retrouve souvent introduit, sans être consulté, s’avèrent être plutôt dispersifs. Puissions-nous hisser le niveau, accroître la publicité, réaliser les programmes liés ou à lier à nos analyses, pour accroître nos productivité et rentabilité politiques. L’économie, la culture, l’industrie, le social, s’en suivront !

Ituri : traque aux bwisha ou mascarades ?


Il y a quelques temps, les mots bwayabwisha et mulenghe se retrouvaient sur toutes les langues. Aujourd’hui, ce sont les mots tels que CODECO ou FRPI qui nous bouchent les les oreilles.

Des congolais et des étrangers qui sont sur notre territoire meurent pendant ce temps, comme des charognes, sans que personnes ne s’en offusque, n’en souffre, ne s’en soucie vraiment. Quelques personnes, pendant ce temps, circulent, parlottent, négocient, débattent pour savoir qui devra être le prochain mort en Ituri ou dans le Kivu ; et même, dans la diaspora congolaise !

Aujourd’hui, les meurtriers sont l’UPDF, les miliciens de la CODECO, les ADF et quelques autres bandits attrapés ou traqués ici et là… Les moins amnésiques nous parlent encore des molelistes, du MPR, des kadogo ou encore des banamura, sans oublier les inconditionnels de l’UDPS…

Finalement, dans le cas de l’Ituri, par exemple, qui tue réellement et pourquoi ? Quel sort est réservé aux vrais assassins par les ituriens, par les congolais et par la communauté internationale, comment et pourquoi ? Comment et pourquoi devrions-nous, tous, le savoir ?

La traque aux bwisha d’hier, quant à elle, est tombée aux oubliettetes !

RDC : morte ou vivante ?


Force est de se rendre compte que le gouvernement congolais ne s’en sorte pas – les tueries continuent de plus bel – et que la population ne lui facilite pas la tâche – la rébellion se renforce, jugeant le gouvernement non crédible, la population se désolidarise de l’administration qu’elle considère comme une imposture, constituée d’une bande de pilleurs supplémentaires et elle ne croit plus à ces représentants qui brillent par la trahison et l’inefficacité politique, administrative…

La situation est en réalité chaotique, critique, un cul-de-sac mal caché par les officiels congolais, africains et internationaux pour qui la vie du congolais importe peu, en raison de ce qu’ils considèrent comme étant la mollesse, la fainéantise, la moutonnerie, la sauvagerie, la traîtrise intrinsèques des Congolais.

Quelques personnes commencent à comprendre que la solution au problème congolais soit effectivement des démarches telles que celles proposées par l’UNIC de M. Georges Alula Makita, la RDC-Libre lancé par M. Albert Muya ou encore le Projet 2014 initié par nous : se mettre autour d’une table pour s’approprier la RDC et la transformer en un paradis envers et contre toute autre volonté de ceux qui prient jour et nuit leurs dieux pour la mort du Congo-Kinshasa, pour la colonisation des peuples du Congo, pour le pillage de ses richesses de toutes les sortes ; par peur que celui-ci ne se venge « sauvagement » du tort qu’il aurait subi de l’étranger depuis la rencontre avec le monde arabe, européen et africain.

La réalité c’est que pendant quelques années encore, quelques décennies-mêmes très probablement, le Congo sera encore un pays d’esclaves en raison de l’incapacité de ses peuples de se mettre ensemble autour d’une table pour cause d’égoïsme, d’ignorance propagée et infusée par la fausse religion et un terrorisme international non encore maîtrisé en raison des élections népotistes pour lesquels les Congolais ont optées depuis qu’ils ont reçu l’indépendance de la Belgique.

L’origine coloniale de notre pays ne nous excuse pas.  Il faut rentrer plus loin dans le passé de nos peuples pour comprendre que nous ne sommes pas encore un pays que nous souhaiterions être.  Les Belges nous ont rassemblés en un pays dont nous ne connaissions ni la raison d’être ni les objectif ni les stratégies.  Dans notre révolte mal préparée, nous nous sommes retrouvés avec un pays que nous n’arrivons pas à gérer autrement qu’en essayant de singer les autres.

Il y a cependant une bonne nouvelle.  Une nouvelle bonne pour les amis – rares – mais aussi pour les ennemis du Congo.  Les Congolais s’aiment bien et ne sont pas aussi divisés que l’on pourrait le croire.  Tout indique bien le contraire.  Ils ont appris à se connaître et à s’aimer.  Imparfaitement.  En raison de la traîtrise et de l’incivisme des hommes et des femmes qu’ils ont alignés au pouvoir, commis à la gestion de la chose publique.  Non seulement que le Congo ne serait plus en vie, mais bien plus sérieux que cela, une certaine intelligentsia congolaise en a marre de jouer aux bambins et commencent à engager la « grande vitesse ».

C’est pour cela qu’au Projet 2014, comme cela l’est aussi à la RDC-Libre, un des objectifs du moment c’est clairement d’enrichir le tous les congolais qui le souhaiteraient dans le but de soutenir le développement intégral et endogène.