Qui a tué le 30/08/2023 à Goma ?


De notre groupe WhatsApp (Projet 2014)…

[4/9, 01:01] : POURQUOI CET HOMME DOIT ETRE ARRETE ET JUGÉ POUR LE MASSACRE DU 30 AOUT 2023?

Voici les raisons :

Nous sommes 03:20 de Goma, déjà, des militaires quitte le camps KATINDO en direction de Nyabushongo. Ils sont lourdement armés, telle une expédition qui va en guerre contre un ennemi armé et organisé.

A 04:15, les militaires ouvrent le feu sur l’Eglise de Wazalendo supposée abriter des manifestant qui devraient marcher vers la base de la MONUSCO et y déposer leur mémo pacifiquement.

L’assaut prend une vingtaine de minutes et à la clé on dénombre 51 morts tués par balle, 77 blessés et jusque-là il n’y a pas d’arrestation.

A 5:15 la chasse à l’homme commence, 21 autres personnes reçoivent de balles et meurent sur le champs, 55 autres reçoivent de balles et sont blessés.

A 6:19 les arrestations commencent. Tout celui qui se trouvent dans le partage aux environs du lieu de carnage est réputé Muzalendo. Un porte à porte s’effectue. Téléphone, argent, et autres biens de valeurs sont emportés par des militaires déguisés en inciviques et miliciens. Dans cette barbarie de pillage, 17 autres personnes sont tués, toujours par balle. 22 autres sont blessés.

A 07:12 des camions (KAMAZ) arrivent et font la ronde du quartier pour ramasser les corps des victimes afin de faire disparaitre les traces. Quelques curieux obstrués dans leurs maisons parviennent quand-même à prendre quelques images qu’ils lancent si tôt sur les réseaux sociaux et qui feront le tour du monde en quelques minutes seulement.

Les corps traînent toujours dans la rue et d’autres sont emportés par les tueurs et amènes à une destination inconnue.

A 08:30, à l’issue d’une brève rencontre, Mr Constant NDIMA KONGBA sort un communiqué officiel qui dresse un bilan définitif selon lui. Il y a eu 7 morts et quelques blessés côté « assaillant » et 1 policier tué. Qui est l’assaillant?

L’armée s’est comporté de manière professionnelle disait le Communiqué du Gouverneur militaire signé par le Lt Col. NGIKE KAIKO.

A l’hôpital de CEBECA NDOSHO, les morts se comptent en dizaines, l’une après l’autre personne amenées pour des soins meurent faute de traitement, le bilan s’alourdit. Rien qu’à l’hôpital, 23 morts parmi les blessés.

Arrêtant tout celui qu’ils ont trouvé sur leur passage, les criminels amènent avec eux 155 autres civils qu’ils présentent à Mr Constant NDIMA qui par ailleurs ne regrette pas plutôt il les encourage.

Au lendemain du carnage, Constant NDIMA KONGBA fait une apparition télévisée à la RTNC et affirme ceci:

J’ai ordonné à l’armée d’intervenir pour stopper ces manifestant qui se dirigeaient dangereusement vers la MONUSCO et les forces de l’EAC. Ils voulaient tuer les blancs.

A 3:20, il y avait-il déjà des manifestants dans les rue de Goma et qui se dirigeaient vers le QG de la MONUSCO?

Les deux Quartiers où il y a EUR ces carnages sont-ils proches du QG de la MONUSCO qui se trouve d’ailleurs à la RVA, plus de 10Km du lieu de massacre?

Quelle était l’intention de Constant NDIMA KONGBA d’envoyer des militaires surarmes à 3:20 du matin pour encercler une église?

Combien d’adeptes de ladite secte ont-ils été tués, blessés ou arrêtés par désobéissance sur la route qui mène vers la MONUSCO que NDIMA supposait être menacée?

L’intention criminelle de ce Monsieur l’a poussé à ordonner à ses inciviques d’emporter les corps de leur victimes afin qu’il ne soit connu du public qu’il y a eu massacre pourtant trop tard.
La publication du bilan de 7 morts et un policier par le gouverneur militaire, contredit par le gouvernement congolais puis condamné par le Président Tshisekedi renforce la conviction de quiconque que les massacres de Goma a été planifié par le Gouverneur militaire en place ensemble avec tous ses collaborateurs et qu’en voulant dissimuler les corps, ce qu’est une ‘attitude reconnu à un criminel n’est rien d’autre que la confirmation d’un comportement répréhensible.

S’agissant de l’attaque systématique menée contre la population civile non armée, il s’agit bien d’un crime de guerre imputable aux dirigeants hiérarchiques de troupes.

Lorsqu’il a ordonné l’incendie de l’église en question et du Poste-Radio, il s’agit là d’un crime contre l’humanité.

Quand ses soldats ont introduit des projectiles, de couton et de canons dans les parties intimes de la journaliste Mongi assassinée sur place, il s’agit là d’une mutilation de cadavre, là aussi c’est un crime de guerre.

Vu la gravité de faits, Mr Félix Tshisekedi n’a aucun autre choix que de mettre à la disposition de la justice Mr Constant NDIMA KONGBA pour répondre de ses actes même dans le cas du délit de commandement car étant le responsable hiérarchique à défaut d’être lui-même accusé pour tous les crimes de ses soldats en tant que auteur intellectuel in solidium avec Constant NDIMA.(cfrt Procès J.P BEMBA à la Haye dans l’affaire Centrafrique)

La Justice devra intervenir de Mr NDIMA la restitution de Corps de victimes, la prise en charge de soins médicaux de blessés, la libération de toutes les personnes illégalement arrêtées par ses hommes et la réparation de tous les préjudices causés par ce sulfureux officier à toutes les victimes.

Vous ferez mieux de partager massivement ce poste.

[4/9, 04:56]: Jl est 11h top a goma arrive d’une forte délégation conduit par le vice premièr ministre ministre de l’intérieur vice premier ministre ministre de la défense ministre de la justice ministre de droit humain ministre des affaires sociales gouverneur militaire général constant dima …. L’objectif est de faire une enquête indépendante pour se rassurer delà la vraie réalité delà tuerie qui se passé à Goma. Depuis la ville de Goma Bruno tongoetani héritier président de la société civile mubi en mission privé
[4/9, 06:51] : #RDC: toute famille qui a perdu les siens à l’issue des manifestations
sanglantes du mercredi 30 Août 2023 à #Goma est priée de se présenter au
gouvernorat de province pour prendre contact avec la commission dépêchée
de #Kinshasa pour faire le point général sur la situation.

Communiqué
[4/9, 08:00] : Message du ministre de l’intérieur Peter Kazadi à la population de Goma ce lundi à 2heures

Le crime est-il de la CODECO ?


Kinshasa négocie avec la CODECO. Est-ce cette CODECO qui est l’auteur de nouvelles tueries à Pamwoc Yima et à Jupalungu Jupaganda ? C’est à ne pas y croire ! Suivez ce groupe WhatsApp qui nous livre une énième information bouleversante.

Incursion par les milices CODECO dans le village de PAMWOC YIMA et de JUPALANGU JUPAGANDA dans le groupement de NIOKA chefferie des panduru territoire de mahagi.
Les assaillants sont entrés vers 22h00, la nuit du 28 au 29/12/2022, à PAMWOC YIMA, où ils ont opéré sans inquiétude. Bilan :
Tout les bien de la maison parti, les chèvres, l’argent et autres. 4 personnes coupées à la machette ; heureusement, elles sont acheminées à l’hôpital de Ngote.

Il s’agit notamment de :
1) Maman ZAWADI CHANTAL.
2) Maman NYIRUMBE ESPÈRENCE.
3) Maman JAMILA BIRWINYO.
4) Papa PITUWA ABEKA.
à JUPALANGU JUPAGANDA.
3 Personnes d’une même famille coupées gravement à la machette, un enfant est mort sur place. Les deux autres personnes sont acheminées à l’hôpital de Ngote notamment :
1) Maman SELINA AMODITHO et
2) papa WATHUM UROBI.

Dans ce village, ils ont opéré vers 23h00 de la même nuit du 28 au 29/12/ 2022.

Ituri : traque aux bwisha ou mascarades ?


Il y a quelques temps, les mots bwayabwisha et mulenghe se retrouvaient sur toutes les langues. Aujourd’hui, ce sont les mots tels que CODECO ou FRPI qui nous bouchent les les oreilles.

Des congolais et des étrangers qui sont sur notre territoire meurent pendant ce temps, comme des charognes, sans que personnes ne s’en offusque, n’en souffre, ne s’en soucie vraiment. Quelques personnes, pendant ce temps, circulent, parlottent, négocient, débattent pour savoir qui devra être le prochain mort en Ituri ou dans le Kivu ; et même, dans la diaspora congolaise !

Aujourd’hui, les meurtriers sont l’UPDF, les miliciens de la CODECO, les ADF et quelques autres bandits attrapés ou traqués ici et là… Les moins amnésiques nous parlent encore des molelistes, du MPR, des kadogo ou encore des banamura, sans oublier les inconditionnels de l’UDPS…

Finalement, dans le cas de l’Ituri, par exemple, qui tue réellement et pourquoi ? Quel sort est réservé aux vrais assassins par les ituriens, par les congolais et par la communauté internationale, comment et pourquoi ? Comment et pourquoi devrions-nous, tous, le savoir ?

La traque aux bwisha d’hier, quant à elle, est tombée aux oubliettetes !

L’Ituri et tout l’Est sont en danger !


[31/5, 16:19] +243 823 986 222: https://lavoixdelituri.net/iturila-province-enregistre-le-premier-bilan-lourd-des-attaques-des-adf-depuis-la-proclamation-de-letat-de-siege/


[4/6, 12:45] Graphèle Paluku Atoka Uwekomu: Notre Président ne nous aime pas, nous de l’est du Congo : je vous ai prévenu !
Il vient de poster les siens, armés, partout : que réaliserons-nous si nous ne le dénonçons pas démocratiquement et courageusement ?
Je vous ai conseillé de titiller nos parlementaires pour le dénoncer et pour refuser l’état d’urgence : personne ne bouge…
Nous n’avons pas confiance en Dieu, ni ses fils : quel sera notre sort dans ces conditions ?

Les rebelles ?


Contre qui ou contre quoi nous rebellons-nous, comment et pourquoi ?

Qui nous tue, nous subjugue, nous brime nous assassine : pourquoi, comment, où et quand ?

7sur7 nous aide à aller vers les réponses aux questions, pour que demain soit un jour meilleur…

https://7sur7.cd/index.php/2020/05/01/nord-kivu-4-civils-tues-dans-une-attaque-rebelle-masisi