John Tibasima Bahemuka : un oublié ?


https://buniaactualite.cd/rdc-detenu-a-la-prison-centrale-de-bunia-jonh-tibasima-bahemuka-annonce-sa-candidature-a-la-presidentielle-de-2023/

La presse a parlé de lui. Personne n’a fait écho aux publications de la manière qui convienne.

Le Canada non plus, à notre connaissance, ne recherche pas son futur citoyen en danger…

L’homme, que nous avons rencontré, a des convictions fortes. Il défend un projet clair : un Congo unifié et fédéral à construire dans une démarche politique lente, mais déterminée, pour éviter les erreurs du passé.

Il est bien connu et est probablement des plus acceptés des siens… Est-il oublié, abandonné de ceux-ci ? Nous ne le pensons pas !

Kinshasa, qui a tout intérêt à traiter le cas John Tibasima Bahemuka avec diligence, perd du temps et ne nous aide pas à aller vers la paix.

Si John veut la paix en RDC, à sa manière, comme nous croyons le savoir, que veut Kinshasa et de quelle façon ? L’avenir nous le dira…

Comme Dieu, l’Unique, en qui John croit aussi, fait grâce, ce dernier vit encore ! Que la Vérité soit dite.

L’état de siège commence à irriter !

Quelle était la motivation du Président de la République en décrétant l’état de siège dans l’Ituri et le Nord-Kivu ? Son interminable projet mènera à quoi, concrètement ? Nous faisons un bilan de parcours…


Lentement, mais surement, l’Est commence à comprendre ce dont nous parlions depuis bien avant 1994 : l’unité du Congo n’est que fictive. L’état de siège commence à y irriter de plus en plus. Faut-il entrevoir une rupture entre l’Est et l’Ouest ? L’avenir du pays est-il sombre ? Quels sont les vrais enjeux ? Où se trouve le messie ?

Notre État est d’origine coloniale. Nous ne l’avons pas encore transformé en une nation indépendante. Le caractère multiculturel du pays demande que nous nous mettions autour d’une table le refonder. Il est en effet inutile d’entrevoir un retour à nos patriarchies, clans, tribus, ethnies, royaumes et empires anciens. Un Congo viable, paisible, prospère, n’est pas possible sans le respect mutuel entre nos peuples aux cultures diverses et parfois même opposées. L’intelligentsia congolaise doit donc prendre le devant est organiser la rencontre que les politiciens véreux n’organiseront pas : cela équivaudrait à leur mort ignominieuse, au regard du crime de lèse-nation dont ils sont coupables.

Des projets allant dans le sens de notre voeu existent. Cependant, ils souffrent tous d’un manque de détermination, de réalisme politique, de professionnalisme ou d’organisation de la part de leurs promoteurs respectifs.

L’UNIC, projet animé par Georges Alula Makita, souffre d’une adhésion insuffisante des Congolais à un projet pourtant des plus visionnaires et réalistes ; en raison de son caractère insuffisamment communautariste et populiste.

De la même manière le projet RDC-Libre, une démarche proposée par Albert Muya Ilunga, qui prône un développement qui s’appuie sur nos 145 territoires, souffre d’un manque de persistance dans la publicité au niveau de la base et du rejet de l’invitation autour d’une table de travail national, par des acteurs politiques qui majoritairement, n’aimeraient pas se rencontrer en raison de leurs projets tribalistes et colonisateurs.

L’UDPS, parti du Président de la République, malgré toute sa bonne volonté, rame, échoue de plus bel, sous nos yeux. Elle n’a pas une stratégie qui résulte d’une analyse poussée des situations et elle n’exploite pas correctement la géopolitique et toutes les ressources disponibles dans l’espace politique congolais, aveuglée par le tribalisme qui lui colle à la peau et discrédite, hélas, tant ses bonnes intentions que ses louables réalisations.

C’est ainsi aussi que le Projet 2014, lui aussi, n’aura pas d’émules avant une trentaine d’années encore. Il est un entêtement volontaire dans le christianisme, le capitalisme et la démocratie, que la majorité des Congolais récusent. Plusieurs en effet prônent la laïcité, l’autocratie et le communautarisme, par mimétisme. Nous en sommes conscients, nous, géniteurs et promoteurs du projet ; mais nous sommes liés par notre culture de la conviction et de la rigueur, spirituelles et politiques, à laquelle nous tenons ; sachant qu’elles paieront, même quand nous serions dans le sein d’Abraham.

Pendant ce temps, l’état de siège instauré à l’Est, dans la volonté évidente de la freiner dans son, comme cela l’a toujours été, profitant de la naïveté et de la mollesse de ses fils, commence à irriter. Pour ne pas trahir la nation, contrairement à ce qu’on fait ses prédécesseurs, le Président de la République n’a plus beaucoup de temps pour réagir. Notre conviction que le redressement de la barque pourrait se faire en engageant le pays vers trois actions urgentes.

  1. L’élimination de toutes les institutions colonialistes du pays : MONUC, CENI, Sénat, gouvernorat pour passer à des institutions de souveraineté, de liberté et d’indépendance effective de nos peuples. Nous avons proposé en l’occurrence le passage, à pas mesurés, de la République à (vers) une union d’états indépendants du Congo d’abord, de l’Afrique centrale ensuite, et de l’Afrique en bout de course. Ceux qui nous ont pris pour des fous commencent à se raviser : nous en sommes réjouis !
  2. La définition d’objectifs développement démocratiques clairs ainsi que des stratégies robustes pour les poursuivre ou les atteindre. L’adaptation conséquente, méthodique de notre administration pour quitter les archaïsmes du moment pour l’adoption des technologies de pointes dans notre processus développemental.
Que Dieu nous aide à mesurer les conséquences de nos attitudes…

Son destin en main !


Allons de plus en plus à l’essentiel, à la quintessence des questions, pour produire des solutions vraies, utiles et pérennes à nos problèmes. Recherchons la vérité, la droiture, l’humanité dans nos démarches.

Pour résoudre correctement un problème, tel que celui que soulève la congolité, par exemple, il faut d’abord le bien poser, le bien analyser ensuite, et à la fin, le bien synthétiser ; dans une quête réelle de la paix, de la justice, de la fraternité, du progrès et d’humanité pour tous.

Cette question exemplative, ou cette problématique de la congolité, qui peut et qui doit les traiter en toute légitimité, pourquoi, comment, à quelle fin ?
Notre population est-elle suffisamment préparée, rendue capable de traiter une telle question, avec fruit pour la nation ? Pourquoi ? Cette population, pourquoi n’y arrive-t-elle pas depuis 1960 ?

Qui est congolais et ne l’est pas ? Qu’est-ce qu’être congolais ? Est-ce être né de père ou de mère congolais ? Est-ce aux tunisiens de nous apprendre qui nous sommes ? Pourquoi ? Est-ce être sur le territoire congolais ? Qu’est-ce qui fait que certains peuples dérangent, perturbent, violentent, déciment, angoissent d’autres peuples de notre territoire, qui, eux, subissent, souffrent, ou s’interrogent sur l’utilité de la congolité ?

Des milliers des questions sont à se poser, à traiter, avant de formuler une solution au problème lié à notre nationalité, qui soit efficace, pérenne, pertinente, humaine, originale.

Bon week-end à tous !

Préparons les nombreuses questions et trouvons leur des réponses efficaces, durables, raisonnables, intelligentes, autour d’une table démocratique ; et ne laissons pas des non congolais nous induire en erreur ou nous subjuguer à cause de notre paresse, de notre négligence, de nos turpitudes, nous qui nous disons être congolais !

Sinon, notre destin continuera à nous échapper de plus bel !

L’indispensable base dans une démocratie…


En politique, il faut du courage, mais pas de la sentimentalité ni de la témérité.

Avons-nous une base, du poids, pour tenir devant le pouvoir ? Il faut se forger d’abord un parti solide, pesant, avant de contrer politiquement et démocratiquement le parti au pouvoir, qui a, incontestablement, beaucoup d’adeptes !

Autrement, il serait déjà tombé depuis longtemps. Le peuple congolais, choisit mal ou tolère le mal. Il faut le savoir !

Avancer : avec qui ?


[27/2, 00:18] Héritier Ba’ndoni: C’est très triste
[27/2, 06:56] Héritier Ba’ndoni: Bonjour chers compatriotes

Quelques questions sur enrôlement.

  1. L’enrôlement prend fin quand en ville de Bunia ? Ou en Ituri
  2. Y a t il possibilité de s’enrôler au bureau de la ceni pour les retardataires qui n’auront pas eu la chance de s’enrôler jusqu’à fin mars?
  3. Un congolais qui ne se sera pas enrôlé jusqu’à la date limite fixée officiellement, cela pour des raisons du genre malade, absent au pays, absence de consulat ou ambassade dans le pays où il réside actuellement, etc. Quel sera son sort le jour où il arrive en RDC ?

Aidez-nous à avoir des réponses à ces quelques questions…

Merci


[27/2, 18:52] G. Paluku Atoka Uwekomu:

Héritier,

Ta question est mal posée et en retard !

Que nous ont rapporté les élections depuis 1960 jusqu’à ce jour et pourquoi ?

Personne ne nous a suivi ni entendu : aller aux élections en 2023, c’est nous tuer une énième fois, comme en 2018.

Ce que nous pouvons faire aujourd’hui, c’est commencer par obtenir que la CENI, la MONUSCO et la République soient effacées du Congo, définitivement, par la voie des réformes constitutionnelles et légales, pour :

primo, disqualifier les colonialistes et les dictateurs ;

secundo, asseoir les bases d’une réelle indépendance, d’un véritable développement, d’une réelle démocratie chez le congolais.

Cette longue démarche en vaut la chandelle !

Personnellement, nous sommes en marche, solitaires, depuis 1976 que personne ou presque, ne répond à notre appel pathétique.

Un lot de pleurs nous attend en 2024.

Responsabilité et citoyenneté en 2023


Les cartes d’électeurs sont en train d’être émises, pendant que nos concitoyens n’ont toujours pas encore leurs cartes d’identité ! Quelle supercherie qui continue au vu et au su de tout le monde. Personne n’a l’air de s’en offusquer. Pourtant, c’est cette distraction qui nous vaut chaque année qui passe des conflits parfois évitables avec nos propres concitoyens tout comme avec nos voisins proches et lointains.

Si les cartes d’identité en elles-mêmes peuvent ne rien représenter dans une culture particulière, il reste néanmoins important de connaître qui sont nos compatriotes et qui ne sont pas nos compatriotes, avant même de savoir qui peut voter et qui ne peut pas voter.

Notre proposition à nous est que le Congo doit rapidement d’abord se battre pour maîtriser son registre national : la liste de ceux qui sont de notre nationalité et de ceux avec qui nous avons résolus de vivre ensemble, dans la concorde, la fraternité, l’amitié, dans le cadre des collaborations, des coopérations vraies, honnêtes, utiles…

Ce que fait Kinshasa et que nos parlementaires lui permettent de faire est criminel : choisir prochainement, encore une fois et toujours, nos représentants et nos gouvernants, sans les connaître intimément, complètement.

Le Président de la République ainsi que le Parlement, qui ont le devoir de veiller à garantir la bonne conduite de l’État, par le Gouvernement, se doivent de vite inviter le Gouvernement et toute notre administration à commencer par corriger cette faute que perpétue la maintenance d’un intru dans la gestion de la République : la CENI. Cette commission est plus que nocive pour la conduite de la chose publique, depuis qu’elle a été invitée dans notre espace politique.

Dans une pression démocratique forte et déterminée, il devient de plus en plus clair que le Président de la République ainsi que le Parlement, votés ou tolérés, ne fournissent pas d’effort pour comprendre que les cartes d’électeurs sont un frein pour notre marche en avant ou plutôt pour arrêter d’insulter le peuple congolais par leur trahison qui représente, selon nous, un crime de lèse-nation. En effet, beaucoup de sous qui pourraient servir à nourrir, soigner, mettre au travail, nos veufs et éduquer nos orphelins pour les préparer à transformer le Congo en un pays modèle en Afrique, le temps qu’ils retrouvent l’équilibre vital, sont dilapidés dans une CENI qui a déjà semé beaucoup de morts dans le pays, aux nouvelles qui nous parviennent.

Peule congolais, avec l’aide de Dieu, nous avons la capacité d’interpeller, démocratiquement et sans ambages, le Président de la République, ainsi que le Parlement, pour que soit mis fin à l’existence de la CENI dans notre pays, sans autre forme de procès et pour que l’ADMINISTRATION reprenne la gestion saine et transparente de notre registre national et de nos élections. Nous pouvons déjà commencer par signer les pétitions du Projet 2014 ! Ici !

Sans cela, nous seront nous-mêmes, en tant que peuple, la cause de nos déboires et de nos morts ! Prenons en conscience !

2023 : quoi de neuf ?


Pour que 2023 soit une bonne année pour nous tous, nous proposons de traiter à nouveau :

Du respect de nos peuples.
Chaque peuple congolais, qui veut nous aider à aller de l'avant, nous aidera à exiger le respect mutuel de nos cultures, dans ce qu'elles ont comme valeurs, comme richesse.
La lutte commune contre nos antivaleurs ethniques, tribales, claniques, familiales ou individuelles ne doit pas faire de nous des ennemis, mais plutôt des peuples amis, frères.
En revanche, tous ensemble, nous devons nous élever tous ensemble contre ceux qui perpétuent chez nous la colonisation, l'esclavagisme, la bestialité !
De l'enrichissement de ceux-ci.
Ce n'est pas de la paresse, du parasitisme, ni de la fainéantise que nous construirons une nation prospère. Dès leur bas âge, nos enfants doivent donc apprendre à travailler pour aller vers notre indépendance et notre enrichissement.
Ceux qui voudraient nous maintenir dans la pauvreté sont les pires de nos ennemis. Leur nombre, leur proportion augmentent dans notre gente congolaise.
Via l'éducation, adultes et moins âgés doivent travailler à notre enrichissement holistique.

Du renforcement de leur unité (à suivre).

Du rayonnement de notre culture (à suivre).

Etc.

Des hommes aux idées !


Nous aimons à parler des hommes. Nous avons dificile à analyser les faits socio-politiques.

Suivez nos échanges dans notre groupe WhatsApp…

[8/12, 20:36] Jean Baptiste Kavunga Mbusa: Voici les étrangers tutsi rwandais qui se sont donnés à la politique congolaise en Rdcongo et aujourd’hui ce sont des millionaires sous la nationalité congolaise.
Leurs noms de naisaances qu’ils ont changé par les noms congolais pour gagner leurs intérêts au Zaïre (Congo).

1.LAURENT NKUNDA.Nom de naissaince UZUWERA NKUNDABATWARWE.Né le 06 Février 1967 à Ruhengeri Rwanda.En 1970 ses parents vont travailler dans la plantation à Rutshuru et ils restent à Matanda.Nord Kivu.(Congo)

2.JULES MUTEBUSI,Nom de naissance:MUTEEBUZI RUHAKANA Jules. Né à Byumba Rwanda et mort à Bukavu sous la guerre de tutsi Laurent nkunda contre le government congolais le 9 mai 2015.

3.BIZIMA KARAHA.nom de naissance:BIZIIMANA KARAHAMUHETO.né à Huye Rwanda en1959.Ses parents ont pris refuge au zaire suite à la guerre au Rwanda de 1957-1960 de Grégoire Kaibanda qui chassait les tusti.Ses parents s’installent à Uvira Sud kivu (Congo) en 1962

4.DÉOGRACIAS BUGERA .nom de naissance HABAYINAMA BIGERAGEZO BIRAGENDA ,né le 14 Octobre 1957 à Butare Rwanda .Suite aux guerres menées contre les tutsi au Rwanda cette année ,ses parents sont allés à Masisi dans le nord kivu Congo)comme réfugiés de guerre .

5.MOISE NYARUGABO.Nom de naissaince MUHIZI MUGEYO NYARU GABO.
Né le 16 janvier 1968 à Kibuye et ses parents immigrent à Katongo Idwi Sud kivu (Congo) pour raison de travail Manuel .

6.AZARIAS RUBERWA ,Nom de naissance RUBERWANGA MANYWA ABAGABO.né le 20 août 1964 à Cyangungu Rwanda .En 1965 son père trouve un boulot à FIZI Sud kivu (Congo) et ils s’y installent.

7.BERTAND BISIMWA,nom de naissance BIZIIMANA BIRETWA .né de la mère congolaise de la tribu bashi et du père rwandais de la tribu tutsi à Bukavu au Zaïre le 12 octobre 1975.Son père était cousin à Charles Bisengimana qui venait travaillait à Bukavu et croissant une fille zaïroise de Katana.

8.WILLY NGOMA.Nom de naissance NGARURIRA INGOMA RUTIKANGA .né à Kiningi Rwanda en 1974 à l’âge de 12 ans son père décède au Rwanda et sa tante qui était marriée à Kiwanja Nord kivu (congo)l’amène chez-Elle.Il a pris ce nom de Willy ngoma qui est un nom congolais quand il réjoint le m23 ,WILLY NGOMA est un nom d’un footballeur congolais Belge qui est l’agent de Jackson Muleka l’ancien de Tp Mazembe .

9.BOSCO NTAGANDA.Nom de naissance RUTAGANDA NTIBATUNGANYA Bosco.
Né aussi à Kiningi au Rwanda le 5 novembre 1973.Bosco a eu une pénible enfance , il n ‘a pas étudié suite à la mauvaise vie de ses parents.En 1986 Bosco est allé à Bunagana chez son oncle maternel pour chercher la vie en Rdcongo.

Voilà toutes ces personnalités rentrent au Rwanda en 1994 pour joindre l’armée de Kagame Forces Patriotiques Rwandaises (FPR) pour combattre les hutus .

Voici une petite vidéo de Laurent Nkunda qui parle qu’il est tutsi et que les tutsi combattent le government congolais pour leur droits.
Vidéo prise à Rutshuru le 12 mai 2007.

Prière ajouter d’autres si vous les avez identifiés pour aider les générations futures
[8/12, 21:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le Projet 2014 étant un projet chrétien, capitaliste et démocratique, je vous laisse cette vidéo pour apprendre quelques astuces pour vaincre notre vrai ennemi : Satan et ses suppôts humains !
L’insécurité est mal combattue : nos politiques, majoritairement chrétiens, vont chercher des solutions chez des charlatans, chez des païens avérés, de toutes sortes, des satanistes mêmes, plutôt que de se rappeler ce qu’est leur véritable statut !
[8/12, 22:14] Kasereka De Charleroi: Leur grand péché est d’avoir trahi le Congo.
[8/12, 22:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Quel engagement pris vis-à-vis de la RDC ou quelle alliance conclue avec la RDC ont-ils trahi ?
Posons-nous de bonnes questions pour mieux saisir les tenants et aboutissants de nos malheurs ?
J’ai l’impression, y compris dans ce groupe, que nous soyons très légers dans notre manière de traiter nos problèmes.
La question « Qu’est-ce qui fait que… » ne nous vient que bien rarement à l’esprit.
Qu’est-ce qui fait que des étrangers nous subjuguent ? Il y a des peuples comme nous qui sont relativement libres !
Qu’est-ce qui fait que des impérialistes convoitent nos richesses ? Il y a des peuples riches en ressources, mais moins pillés que nous : c’est l’impression que j’ai.
Et pourquoi avons-nous beaucoup de traitres, de paresseux, de voleurs, de dictateurs, d’inciviques, d’assassins, de menteurs, parmi nous ?
Est-il utile et productif de pointer des étrangers quand nous avons encore beaucoup d’efforts à fournir pour nous moraliser ?
[8/12, 23:02] G. Paluku Atoka Uwekomu: Dans le Projet 2014, produisons un projet de société pour la RDC qui serve de référence à tout nos politiciens, anciens, présents et à venir ! C’est bien possible à la condition que nous ne perdions pas de temps dans des postings qui ne nous aident pas à résoudre les problèmes, à relever les défis locaux et nationaux, à hisser le congolais !
Que faire pour relever le niveau moral de notre peuple ?
Qu’est-ce qui explique ou justifie notre déchéance depuis la nuit des temps ?
Nos aïeux nous vendus.
Nos parents nous ont trahis.
Nos congénères nous tuent.
Nos enfants ont honte de nous.
Nos dirigeants sont quasiment tous véreux.
Pourquoi ?
Comment ?
Quand ?
Où ?
De quelle manière ?
À ne pas vouloir répondre à ces questions, comment voudrions-nous développer la RDC ?

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

TERRITOIRE DE RUTSHURU ?


ACTUALITÉS DU TERRITOIRE DE RUTSHURU CE JEUDI 27 OCTOBRE, 2022.10.27 15h50
(Aimé Mukanda Mbusa)

La mâtiné de ce jeudi vers 5h10 les terroristes rebelles du M23 ont attaqués les positions FARDC dans les localités KAKO et KALENGERA dans le groupement kisigagari sur la route nationale no.2 (RN2) à 65 km de Goma et 7 km de RUTSHURU centre, cette situation à causer un déplacement massif de la population dans les villages environnants dont Rubare, Rutshuru centre, Bunyanyangula,Rwasa,Nyongera et même Kiwanja. Plus de 100.000 personnes sont en déplacement vers le territoire de Lubero ( kanyabayonga) et les autres ont pris l’axe Kiwanja-Nyamilima-Ishasha.

Dans le même chapitre nous signalons que dans le groupement RUGARI les mêmes rebelles voulais coupés la RN2 vers Rugari/Mwaro en plein parc national de Virunga ils ont étés chassés par l’armée loyalistes vers Nyesisi. D’où un déplacement massif de la population des villages NYESISI,KANOMBE,KABAYA,NDATA vers RUMANGABO et Goma.

Plusieurs déplacés ont fuits vers

  • Tongo(ceux qui ont fuits KALENGERA et kako)
    -Bwito(KIBIRIZI)
  • Nyamilima (Binza)

La ROUTE NATIONALE NO.2 est sous contrôle des Fardc depuis 11h00 et les Rebelles ont étés chassés vers Chumirwa et Kivunge .

Sauf la route reste toujours fermée pour les civils avant de sécuriser celle-ci et avant le retissage de la zone.

*NB: L’ENNEMI N’EST PAS LOI DE KAKO IL SE CACHE À QUELQUES KM. ET SELON DES SOURCES ANNONYME LES RWANDA RENFORCE D’AUTRES MILITAIRES À NTAMUGENGA.

Nous condamnons les autorités qui ont semés la panique en prenant fuite avant l’arrivé de l’ennemi voilà ceux qui a semer la panique dans la commune rurale de RUTSHURU pourtant l’ennemi n’était pas même à 10km nous avons vus certaines autorités fuire en laissant la population dans une grande panique (pitié).

Il est temps que le président de la République ou gouverneur nomment les autorités qui ont un sang froid
Non aux négociations avec les TERRORISTES.

SOUTIENS TOTAL AUX FARDC.

Aimé MUKANDA mbusa notable défenseur de RUTSHURU
0971153414