Les congolais : sont-ils des dupes ?


RDC politique

À mbuji mayi et à kabeya kamwanga :

Félix tshisekedi c’est chez frères du SANG se présente en véritable chef tribal qu’en véritable père de tous les congolais !!!

Malgré dénombreuses critiques des congolais sur sa sortie ratée à mbuji mayi, ce dernier récidive une fois encore à kabeya kamwanga, dans son village d’origine de mupompa en montant ses frères kasaiens contre les autres congolais.

À mbuji mayi il lâche tout haut que ses frères kasaiens ne doivent pas faire confiance, accepter, ou voter les ennemis des kasaiens, ceux qui n’aiment pas les kasaiens c’est à dire les autres congolais, les ennemis des kasaiens.

À kabeya kamwanga il enfonce les clous en s’adressant à ses frères tribales que les routes du Kasaï ont été volontairement détruites par ceux qui haïssent les kasaiens pour accentuer leur misère.

Question

Qui sont – ils réellement ceux qui haïssent les kasaiens ? N’est ce pas les congolais ?

Des discours qui viennent une fois de plus mettre en mal la cohésion nationale, l’unité entre congolais, la cohabitation et le vivre ensemble entre congolais.

De la part d’un président de la République ça inquiète.

Sachant que sa fin sera catastrophique en 2023, felix tshisekedi continue à secouer la corde sensible du tribalisme et du séparatisme en montant ses frères kasaiens contre les congolais. Des discours très dangereux qu’un véritable chef de l’État ne doit se permettre à tenir devant ses frères tribales.quelquesoit l’ivresse du lait ou la haine qu’il a contre les autres leaders politiques très populaires et challengers à l’élection présidentielle de 2023.

En tout cas il a manqué l’occasion de se taire.il doit justifier son échec cuisant, ses mensonges et ses promesses fallacieuses devant ses frères d’une autre façon pas en secouant la corde Tribale pour s’attirer la sympathie d’un peuple clochard, misérable, primitif qui vit sur son espace comme à l’âge de la pierre taillée bien que lui – même est président de la République depuis trois ans.

Sa façon de s’adresser à ses frères tribales on dirait qu’il n’est pas congolais, les kasaiens ne sont pas des congolais. C’est très dangereux pour un chef de l’État qui ne sait pas contrôler son langage ou avoir la retenue devant un public.

La Bible dit ceci : la bouche qui discours trop ne manque jamais à pêcher, à mentir.

Les discours de tshilombo tshisekedi à mbuji mayi et à kabeya kamwanga sont une incitation à la haine Tribale de ses frères kasaiens contre les congolais.ce sont des discours séparatistes que tout CONGOLAIS sérieux et épris de paix doit condamné.

C’est un mauvais message qu’il vient de lancer à d’autres leaders politiques et tribales d’autres provinces de la RDC.

Il tient des discours tribales et séparatistes devant ses frères du sang kasaiens. Viendra t – il sollicité d’autres électorats dans d’autres provinces de la RDC en 2023 quand l’on se permet à traiter tout le temps les autres congolais d’ennemis des kasaiens ? Qu’est – ce qu’il vient de Semer dans les têtes des congolais ?

Voilà comment il se confirme un dangereux tribaliste et séparatiste en chef à la tête du pays.

Les congolais ne sont pas dupes. Ils ont capté 5/5 tous ces discours et messages de Félix tshisekedi devant ses frères. N’espérez aussi Rien des autres peuples de la RDC qui ne sont pas vos frères du sang, vos frères kasaiens.

Qui vivra, verra…2023 c’est dans 12 mois.

Israël zito tetela le grand avertisseur

Plus de CENI au Congo !


Voici la biographie de Dénis Kadima Kazadi , nouveau Président de la CENI.

Né le 21 septembre 1961 en RDC, Dénis Kadima est présentement le directeur exécutif de l’Institut Électoral pour une Démocratie durable en Afrique (EISA).

Ancien directeur du référendum et élections de l’ONU au Soudan (juillet 2010 à mars 2011) et conseiller technique principal du
PNUD en Tunisie (avril à juillet 2011), il est aussi licencié en sciences politiques et administratives de l’Université de Lubumbashi (1987).

En outre, il détient un master en sciences politiques et un diplôme post-universitaire en administration des affaires de l’université de Witwatersrand située à Johannesburg, en Afrique du sud (1997 et 1999).

Par ailleurs, Dénis Kadima est un expert en élections, démocratie et bonne gouvernance et est doté de plus de 30 ans d’expérience professionnelle. Il a à son actif des compétences solides dans les domaines du leadership, la planification stratégique, la conception et la direction des programmes, la levée de fonds (fundraising, ndlr), la gestion axée sur les résultats, le réseautage, la gestion des ressources humaines et la gestion financière.

De 1987 à 1992, il a été tour à tour chef de service et gérant de succursale à la Banque Commerciale Zaïroise (RDC) et de 1995 à 1998, il a dirigé le Programme de l’Ashoka Innovateurs pour le Public basé en Afrique du sud.

Quid de ses réalisations ?

En tant que directeur de l’EISA, il a entre autres, transformé avec succès cette organisation sous-régionale centrée sur l’Afrique australe en une ONG panafricaine et continentale respectée et influente et a développé et mis en œuvre une stratégie de levée de fonds ayant résulté à une augmentation des revenus de 33% en moyenne par an, sur une période de 10 ans. « Le revenu annuel moyen de l’EISA s’est élevé à 12 millions de dollars américains, contribuant à faire de l’Institut la plus grande et la plus influente des ONG africaines œuvrant dans le domaine des élections, de la démocratie et de la gouvernance », souligne-t-il.

En Tunisie où il a occupé le poste de conseiller principal du PNUD en 2011, Dénis Kadima a notamment, mis en place et dirigé l’équipe électorale de l’ONU, élaboré des stratégies et plans opérationnels appropriés pour l’organe tunisien de gestion électorale (ISIE) et intégré la dimension genre dans toutes les stratégies opérationnelles.

En dehors de cela, il a mis en place une division référendaire et électorale intégrée et initié avec succès une diplomatie électorale auprès des États et bailleurs, et obtenu une levée de fonds qui a permis l’augmentation des ressources pour le fonds commun du PNUD au Soudan entre 2010 et 2011.

Sur le plan électoral, Dénis Kadima a dirigé et appuyé plusieurs missions d’observation et d’évaluation d’EISA et autres institutions durant sa carrière professionnelle.

Visions et perspectives

Avec ses 30 ans d’expérience professionnelle dont 21 dans le domaine des élections, de la démocratie et de la bonne gouvernance, il ambitionne d’apporter à la CENI « l’intégrité morale, le professionnalisme, l’impartialité et l’objectivité qui sont vérifiables dans les institutions où il a travaillé ».

il avait promis que s’il était élu à la tête de la CENI, il entreprendrait ce qui suit :

  • Renforcer l’indépendance, l’impartialité et la transparence de la CENI ;
  • Être à équidistance et fédérer toutes les forces politiques nationales, sans distinction d’origine ethnique, géographique, religieuse ou de Genre ;
  • Mener de meilleures consultations avec les acteurs électoraux à travers des cadres de concertation qui fonctionnent effectivement ;
  • Pérenniser l’expertise de la CENI et davantage professionnaliser cette institution et améliorer son sens du service ;
  • Mettre en œuvre des programmes de prévention et gestion des conflits électoraux afin de mettre fin aux contestations et violences cycliques ;
  • Assurer plus de familiarisation de l’électorat avec la Machine à voter (MAV) ;
  • Améliorer les relations entre la CENI et la Communauté internationale ;
  • Assurer une meilleure communication avec le public et ;
  • Améliorer la redevabilité de la CENI vis-à-vis des parties prenantes et du public.
    [28/7, 09:33] G. Paluku Atoka Uwekomu: C’est donc :
  • un dépendantiste avérer qui nous aliénera plus qu’il ne nous libérera du joug étranger ;
  • un luba de plus dans la stratégie du Président de la République qui vise un tripatouillage réussi, parfait en 2023 ; en maintenant en place cette CENI qui ruine le Congo depuis sa création ;
  • c’est un autre inconnu qui surgit d’ailleurs pour venir nous surprendre, nous congolais, désormais experts en niaiserie ;
  • c’est un autre traitre qui accepte de travailler avec notre propre Président qui nous esclavagise à l’Est, comme dans le reste du pays : c’est notre ennemi avérer qui refuse de dénoncer son frère de tribut.

Que pouvons-nous faire pour ne tomber dans ce piège séculaire ?

  • Refuser la CENI pour 2023 et proposer à la place la réorganisationde notre administration pour qu’elle soit en mesure de s’occuperen toute indépendance des élections ; et se donner du temps pour ce travail indispensable à l’évitement des tripatouillage.
  • Titiller nos parlementaires pour voter motion de défiance à l’encontre de notre Président qui perpetue une culture de mépris pour le peuple, d’esclavage et de colonisation en défiant le souverain suprême que nous sommes.
  • Nous préparer sereinement à débouter de force tout ceux qui, aujourd’hui, nous esclavagisent et nous colonisent, encore et toujours.
  • Demander à être remplis du Saint-Esprit du Dieu vivant et vrai, dans le combat à mener contre Satan et ses suppôts congolais et étrangers, qui nous renient l’humanité ; de manière à nous garantir une marche victorieuse sur les scorpions.

Un autre prêcheur dans le désert…


Tel que reçu de M. Bino

LA TRANSHUMANCE POLITIQUE

Transhumance : c’est le déplacement des troupeaux des zones arides vers les pâturages encore verts.
Cette définition pourrait s’appliquer à la situation politique qui s’observe en RDC depuis UN mois.
Les corrompus du FCC sont devenus les corrompus de Fatshi. Les médiocres de JKK sont devenus les médiocres de Fatshi
Ils ont traversé le Rubicon, (la rivière Kalamu) pour se réfugier a Limite.
Chacun y allant de son argument ou de son prétexte pour justifier sa fuite…
Sans honte et sans idéal…ils s’en sont allés…
Vantant les mérites de ce qu’ils avaient vilipendé ;
Et vilipendant ce que hier ils avaient vanté et adulé !!
Canaan est devenu Egypte et l’Egypte est devenue Canaan !!
Ils se retrouvent, ils se reconnaissent tels qu’ils étaient, de l’autre coté.
Mais ils ne peuvent se regarder dans le miroir, ils y reconnaitront des monstres…

Quel est le secret de ce coup de force, de ce coup de poker ??
Les billets verts ou des jeeps ??
Mais ici, le résultat est spectaculaire…
Et le monde entier en est resté ébahi !!!!
Qui l’eut cru ?????

Le maitre d’œuvre est là, debout contemplant son ouvrage ;
Savourant les instants magiques de son action.
Celui qui les dénigrait hier en a fait son porte étendard.
Le panier à crabe a changé de propriétaire !!
C’est du bonnet blanc et du blanc bonnet !!
On prend les mêmes et on recommence !!
SACHEZ-LE !!!
Une crabe reste une crabe, sa nature demeure…
Chasser le naturel, il revient au galop !!
Qui a trahi, trahira…
La nouvelle bête DE SCENE s’appelle : Union Sacrée de la Nation !!

Mwasi ya moninga , elengi na kolula, na kotala…
Zua otiya YE na ndako… omona bolumbu ya nkoba !!

ALERTE PRECOCE
MOKOLO OKOYA KOYEBA EZA LELO

Ajabu

(Ajabu ou plutôt Adjabu = miracle ; mokolo okoya – koyeba eza lelo = le jour vient – aujourd’hui est le jour de la connaissance)

Tutsi Power : toujours ?


[1/5, 10:48]

Frappé d’incompatibilité conformément aux articles 108 de la constitution et 77 de la loi électorale, Alexis Thambwe Mwamba a cédé son fauteuil de ministre de la justice et garde des sceaux, ce mardi 30 avril à Me Azarias Ruberwa Manywa, qui en assumera désormais l’intérim.

[1/5, 10:56]

Les tutsi marque un point, encore… Que font les non-tutsi plaignards ? Tshisekedi est devenu tutsi aussi ou est-il moins intelligent qu’eux ?

Qui sera le prochain et où surgira-t-il ? Revenez à ce site pour le percevoir de loin. Kamerhe est accusé d’être un allié inconditionnel. Ruberwa est toujours dit être un dur de la cause tutsi. Ils sont curieusement et successivement bien entrer dans la sphère d’où tous les non-tutsi voulaient (en exagérant) les voir disparaitre. Comme ailleurs, voilà 1% qui malmène 99%. Pourquoi ? Comment ?

Le projet 2014 que tout le monde fuit, par peur des tutsi, est pourtant le cadre où nous traîtons, sans ambages, de ces questions faciles, mais rendu difficiles par nos hypocrisies suicidaires…

M. Tshisekedi, le leader de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) est enfin réapparu !


M. Tshisekedi, le leader de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) est enfin réapparu, il est bel et bien en vie, à Bruxelles. http://www.youtube.com/watch?v=AcXzmf5AZsI&feature=youtu.be
Il est là pour nous apprendre que l’on a failli intenter à sa vie. Il est là pour nous dire que la Belgique n’a pas entendu laisser qu’un citoyen congolais de plus, candidat à la magistrature suprême au Congo de surcroît, vienne trouver la mort sur son territoire. Il est définitivement là pour rappeler les grandes lignes des sa vision touchant à la moralisation de la société congolaise et l’instauration d’un état de droit au Congo.
Il sous-entend comme nous que la société congolaise est vie dans l’amoralité. Il réaffirme qu’il n’y a pas un état de droit au Congo-Kinshasa. Il estime que cet état de droit sera :
– Le point de départ de tout développement ;
– Implique une formation de notre armée et de notre police ;
– Un traitement conséquent de la question de l’immigration au Congo, mais ne parle pas d’imposture ;
– Il promet la promotion de l’éducation ;
– L’amélioration de santé lui paraît tout aussi importante ;
– L’énergie, en l’occurrence, l’eau potable et l’électricité sont également dans ses préoccupations ;
– Enfin, il souligne que l’agriculture dans emboîter le pas aux mines.
Il faut prendre M. Tshisekedi au mot, mais non seulement cela, il faut lui donner l’occasion de prouver qu’il peut tenir sa promesse.
Nous noterons que dans cette interview, M. ne peut, faute de temps, nous dire comment il attend mobiliser les ressources nécessaires, au sens large du terme, pour atteindre les objectifs quantifiés ou évalués, probablement, de manière explicite ailleurs, dans le projet de société de son parti que nous analysons.
Résolvons l’imposture – que M. Tshisekedi ne dénonce pas explicitement, soit dit en passant – en votant massivement pour lui et en veillant, encore une fois, à ce que son parti de nous subjugue par son tribalisme et par propension à l’usage du faux de sa tribu.
Cette préparation doit se matérialiser par l’alignement de leaders nouveaux d’esprit et de méthode de travail.

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