Indépendance ? Un leurre !


Chez plusieurs d’entre nous humains en général et Congolais en particulier, la confusion est totale : famille, patriarchie, clan, tribu, ethnie, nation, alliance, langue, dialecte, peuple, territoire, région, pays, justice, droit, religion, politique, culture, coutume, us, moeurs, entente, et autres, sont confondus totalement, faute de connaissance, d’éducation ; parce que toutes nos cultures sont spoliées !
Chaque peuple qui ne prendra pas son indépendance politique, qui ne tiendra pas sa religion, son destin, en main, restera ou deviendra esclave des autres peuples et passera son temps à se rebeller plutôt qu’à se développer.

Au Congo, plusieurs peuples qui ne se connaissaient pas et ne s’acceptaient pas nécessairement, ont été amenés à former un pays à la vaille qui vaille.  Le colon en échec virtuellement parti, ces peuples prendront du temps pour se reconnaître, se re-identifier, se réorganiser, se restructurer, s’apprivoiser, symbioser…

Dans notre pays, certaines mésententes, rivalités, inimitiés, haines entre peuples, religions, langues, cultures, régions, ne permettent pas d’aller vite vers une unité véritable, sans laquelle l’indépendance du pays demeurera un leurre.

Le Projet 2014 est une offre d’un cadre de travail démocratique, en ligne, pour identifier, tracer des pistes sûres qui mènent à une convergence politique, culturelle, économique, spirituelle, salutaire pour tous.

Le risque d’avoir Dieu pour partie adverse…


Frère,

Sont-ce les nilotiques (hema, tutsi et banyamulenge +/-= tutsi ?) qui prennent leur revanche ou quoi ?  Je n’ai aucun dossier en main ; je demanderai à qui de droit si je peux en avoir ; ne serait-ce que les conclusions des avocats.  C’est ce qui me permettra de conseiller là où je peux être utile pour notre pays moribond : pour un temps !

Moi, je crois que le combat juridique est ce qui peut nous avancer vers une paix durable.  Ce combat, il faut le commencer au Congo même et ne pas craindre le régime ni le gouvernement en place ; mais bien se préparer pour être convainquant et dissuasif d’un point de vue diplomatique, au national comme à l’international.  Et je propose de recourir à la balkanisation stratégique, si l’attente n’est pas possible entre parties dans un court terme ; comme personnellement, nous le prédisons.  Cette balkanisation doit permettre à chaque peuple (clan, tribu ou ethnie ou alliance) de choisir avec qui travailler sur un destin national et sur le traitement des dossiers en cours et de vivre ses échecs et ses succès, afin de prendre la mesure objective de la qualité de sa politique.  L’unitarisme du MPR ne nous avance à rien :il faut avoir l’humilité de le reconnaître.  Sinon, que fera Dieu de nous ?  Ce ne sera pas facile.  Parce que, les diviseurs, s’ils existent, en profiteront.  Définitivement, ce sera pour le bien de ceux qui sauront négocier des coopérations saines, qui ne se seront pas trompés dans leurs calculs.

La majorité de nous congolais pense que ce sont les armes qui résoudront les problèmes du moment.  Pour nous, ce problème est celui de la rébellion contre des régimes d’imposteurs politiques qui favorisent le banditisme de droit commun et le banditisme international.  J’ai toujours dit que c’était impossible de résoudre nos problèmes avec les armes ; mais que par la voie juridique, nous épurerons le pays du banditisme politique et par voie de conséquence du banditisme de droit commun.

Mes compatriotes ne m’attendent pas de cette oreille, même s’ils me disent souvent, en privé : « tu as raison Paluku, mais nous ne savons pas te soutenir en public : pour ne pas mourir… ».  Qu’allons-nous proposer : demander la séparation du nilotique d’avec le non-nilotique, demander la séparation de l’Est d’avec l’Ouest ou demander de mener la guerre contre le M23 et le Président rwandais ?  La première proposition serait insensée : les nilotiques ne se sont jamais préparés pour une séparation d’avec les non-nilotiques.  La deuxième proposition ne convient pas à beaucoup de nos frères de l’Est aussi.  La guerre contre le M23 ne fonctionnera pas parce que le M23 est un mouvement rebelle congolais avant tout le reste ; quand bien-même les ennemis du rwandophone ne veulent pas le reconnaître.

Les tribunaux et les forces des Nations Unies sont inefficaces par essence : nous le voyons.  En effet, New York est piloté par des lobbies aux intérêts opposés, mais qui, lorsqu’il s’agit de dépecer l’Afrique, finissent toujours par sacrifier cette dernière, parce qu’elle tarde à se prendre en charge, vue qu’elle est, dans l’état actuel, un continent colonial, asservi, sans leaders valables, sans ressources humaines capables de la représenter correctement devant le concert des nations.  La preuve se trouve aussi dans la démarche de cette conférence, qui a un relent colonial…  Comme toujours !

Les non-nilotiques n’entendent pas les choses telles que je les voie s’annoncer dans cette conférence à laquelle je ne participerai pas ; parce qu’elle va se terminer sur un chaos total, de toute évidence, en queue de poisson, dans la confusion, si nous tenons compte de l’état d’esprit de la majorité des Congolais d’aujourd’hui et de celui du collectif des avocats impliqués dans l’organisation de ladite conférence !  Pour eux en effet, les démons actuels sont le M23, Paul Kagame et les Occidentaux, quoi que vous disiez, quoi que vous pensiez, quoi que vous fassiez.  Aucun – en exagérant, comme j’en ai l’habitude, pour éveiller – ne veut décortiquer les problèmes dans leurs origines, dans leurs coûts ni dans leurs conséquences.  Ils viennent de demander de couper les têtes d’on ne sait qui, on ne sait pourquoi, alors que les leurs sont, pensons-nous, les premières à mettre à la guillotine…  Cependant, quand interviendra l’alliance nilo-soudanaise dans l’affaire – ce qui risque de ne pas se faire attendre – les cartes seront redistribuées et les bantous et les pygmées, se retrouveront contre une force qui, au Congo actuel, ne pourra que prendre le dessus de la guerre que les bantous recherche sans savoir avec qui ils devraient réellement marcher.  Parce qu’au fond : les bantous et le nilotiques qui se battent, ne sont-ils pas descendants d’un même aïeul ?  Cela dit, notons que partout dans le monde, ce sont les cousins qui s’entretuent ; comme dans le jardin d’Eden, c’est Caïn qui tua Abel.

Dans ce monde païen, glauque, je ne me permettrai pas d’approcher, bien-aimé.  Ma gente et la tienne n’ont-elles pas pour devise de ne jamais trahir ?  Je ne prendrai pas le risque d’avoir Dieu pour partie adverse, contrairement à ce que certains voudraient toujours tenter.

Déjeuner politique…


[26/8, 10:39] G. Paluku Atoka Uwekomu: Cher Héritier,
Que propose-tu, d’original, pour réduire ou supprimer cette fracture sociale ?
C’est cela la raison d’être de ce groupe. Dans quelle mesure participe-tu au test sur terrain des solutions proposées par d’autres compatiotes ou amis du Congo ; pour inspirer les autres qui cherchent comment participer au développement du Congo ?
[26/8, 10:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Pour nous, le grand obstacle demeure les graves lacunes dans l’instruction, dans la qualification et dans l’éducation de notre population qui commence par son abandon de son Dieu.
C’est pour cela que nous proposons une action de terrain via des projets tels que le FEEC (Fonds pour les Élèves et Étudiants du Congo), le CFC (Centre de Formation et de Conférences) que plusieurs, pour l’instant, ignorent, mais sans lesquels nous ne nous en sortirons pas, même si nous allons aux élections de 2023.
Mieux serait de se concentrer d’abord, nous-mêmes, sur notre instruction, notre formation et notre éducation. Comment ? Je pense que la mobilisation en passant par des réunions hebdomadaires par exemple, en famille, dans les quartiers, dans les villages, permet d’être efficaces et rapides. Que nous vous invitons à nous rejoindre les week-end, entre 16h00 et 18:00 de Bruxelles, par exemple, pour des rencontres courtes, de 30 à 60 minutes, qui nous permettent d’accroître, en tant que nation, notre connaissance du monde, notre maîtrise de la gestion du développement national, et notre moralité dans le vécu quotidien, où que nous soyons.
Cette démarche sera très longue parce que nous avons acquis de mauvaise habitudes, avec le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS dont nous ne saurons pas rapidement nous départir, tant que nous refusons de nous mettre autour de la table pour examiner, nous-mêmes, ce qu’à été notre implication dans la gestion dans la gestion calamiteuse du Congo hérité de la fausse indépendance de 1960.
Aller vers l’indépendance demande de nous de la sincérité, de l’ardeur, du courage et surtout de l’amour pour notre gente congolaise. Sans cela, nous ne seront que de chiens qui aboient pendant que les caravanes des pilleurs intérieurs et extérieurs passent !
[26/8, 10:58] Héritier Ba’ndoni: C’est qui est decriant c’est que les hommes au pouvoir ne font que discuter nuit et jour des avantages liés à leur position dans l’échelle, et pourtant ce sont ceux au bas de l’échelle qui leur ont laissé arriver où ils sont.
Et donc il revient aux vrais élites du pays, des hommes et femmes de conscience, d’éduquer la base pour sanctionner sévèrement les assoiffés de pouvoir.
Le problème est que en RDC le régionalisme, tribalisme, etc sont encrés dans le coeur et mémoire des gens à tous les niveaux, ce qui a pour l’une de conséquence la prise de position sentimentale notamment s’il faut élire, s’il faut dénoncer…
Bref, le grand travail doit commencer au niveau de ceux qui sont au bas de l’échelle pour se libérer ou alors du moins permettre une moyenne de vie sociale…
Le secteur où on est mieux payé en RDC c’est dans la politique, meilleur entrepreunariat pour les assoiffés de pouvoir…
Rare sont les pays avec un nombre important de partis au monde,…
[26/8, 11:00] Héritier Ba’ndoni: Je suis parfaitement d’accord avec les idées fournies ici
[26/8, 11:01] Héritier Ba’ndoni: FEEC, CFC= deux grandes stratégies que je retiens et qui attirent mon attention de manière particulière
[26/8, 11:01] Héritier Ba’ndoni: Je crois que je devrais réfléchir dessus dans mon quartier, village, etc.
[26/8, 11:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les photos que tu montres sont la conséquence de la démission de nos populations, de nos peuples qui acceptent de vivre dans l’oisiveté, de se contenter des salaires d’esclaves, depuis que nous nous sommes exploités entre nous peuples d’Afrique – avant l’arrivée de l’esclavagiste arabe et du colonisateur européen ; depuis que nous avons vendu nos frères aux européens et aux arabes pour des vils présents ou par peur du fusil ; depuis que nous nous sommes soumis aux dictateurs et imposteurs de tous acabits.
La solution est de faire prendre conscience à nos populations, à nos peuples, que nous devons immédiatement nous mettre au travail – le vrai travail, que nous devons arrêter de travailler pour moins que 18 € bruts par heure (36.000 CDF/heure), le plus rapidement possible… Sans cela, serons-nous et comment pourrons-nous être traités comme êtres dignes d’humanité par les autres nations qui nous observent ou nous exploitent, à l’instar de nos propres compatriotes ?
[26/8, 11:03] Héritier Ba’ndoni: 😭nous sommes esclaves de nos frères, c’est triste.
Très important ça
[26/8, 11:06] Héritier Ba’ndoni: Le plus souvent, nous acceptons nous contenter de petits avantages très limités que ceux là viennent nous donner juste pour nous flatter et nous abandonner à genoux pendant des années…
Nous devons être en mesure de dire STOP à celà,…
Je crois qu’on y arrivera un jour.
[26/8, 11:16] Héritier Ba’ndoni: Autre chose, ils maintiennent l’insécurité pour nous mettre en stress continue, et pourtant si tout allait bien, des milliers de congolais allaient se mettre au travail de champs dans les forêts, etc.
Je me rappelle de la période de période où FPIC a fait sa première apparition… Ce fut quand je venais de lancer mes discussions avec leurs chefs coutumiers pour un mini projet agricole à Mwanga, visant à produire de légumes pour la ville de Bunia…
Pour dire que tant que les bas peuples se laissent corrompre pas les forts pour créer des groupes armés, bandes de bandits semant l’insécurité, la base elle même ne pourra jamais avancer…
Aujourd’hui des grands villages sont restés vides en Ituri par exemple, ses habitants coincés de force dans des sites et autour des grandes agglomérations comme Bunia…
Main salle politicienne derrière, nous devons nous réveiller et mettre en pratique FEEC, CFC…
[26/8, 11:35] G. Paluku Atoka Uwekomu: Comment allons-nous éduquer nos populations ?
Nous qui avons fuit ou qui avons opter pour l’éloignement de la dictature, la mauvaise gouvernance ou de l’irresponsabilité nationale, n’avons pas un contact direct facile avec la base. Les pouvoirs en place gèrent savamment et intentionnellement les moyens de communication de telle sorte que ce contact soit le plus difficile possible, tant qu’ils sont aux arènes. Quant à nos populations qui continuent à fleurter avec le diable (paresses, sectarismes, mensonges, meurtres, démissions, traîtrises…), qui oublient pourquoi nous nous retrouvons à l’extérieur du pays et nous insultent en nous considérant comme des traîtres, nous pourtant qui soutenons le pays en y injectant plus 70% à 80% de son PIB réel (4-7 milliards d’euros produit à l’intérieur, 17 milliards injectés par la diaspora), comment seront-elles bénies sans passer par la repentance ?
Ne nous y trompons pas, chers frères.
Tant que nous refuserons de nous mettre autour d’une table pour examiner l’ensemble des obstacles à notre développement harmonieux, dans le seul but de protéger nos frères forfaiteurs, par népotisme, le Congo restera sous le coup de la malédiction !
Nous avons tué les prophètes de Dieu par milliers, par millions. Ce n’est pas que Dieu ne pouvait pas nous écrabouiller tous ! C’est qu’Il use de patience à notre égard.
Nous avons le choix entre continuer à avoir le cou roide ou accepter de nous reconnaître fautifs et responsables de la misère qui sévit dans notre pays en ce compris l’insécurité dite de l’Est de la RDC.
[26/8, 11:58] G. Paluku Atoka Uwekomu: Sur le plan stratégique, nous devons savoir qu’au pays ne s’est développé par le fait d’une foule. L’étincelle a toujours été provoquée par une ou un petit groupe de personne.
Le développement technologique de Taïwan, à l’information que je possède, a été enclenché par une bande de moins de 10 personnes ! De même, le développement économique des USA a été amorcé par une douzaine de tribus politiques révoltée contre la monarchie britannique.
Ce groupe a compté près de 200 membres : de quoi soulever la terre !
Que se passe-t-il pour que personne ne parle de lui sur terre ?
Seules 3 personnes ont jusqu’ici mis la main à la pâte : rédiger un projet de société pour la RDC qui soit le plus complet et le plus démocratique ; et, tester sur terrain les propositions formulées dans le projet. Cela fait 24 ans que le Projet 2014 existe !
Bref : soit que nous n’avons pas encore compris ce qu’est le Projet 2014, soit que nous n’adhérons pas audit projet, soit que le projet est mal conçu pour produire les résultats qui en sont attendus : le passage de la République à une union libre d’État indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, États basés sur nos affinités culturelles.
Un week-end comme celui-ci est un des rares moments où nous pouvons secouer les fondements du Projet 2014 pour en assurer la réussite : si cela est possible.
Le développement du Congo n’est pas le Projet 2014. Ce projet-ci est notre proposition qui s’appuie sur trois piliers : le christianisme, le capitalisme et la démocratie. Plusieurs projets similaires existent où chacun peut se retrouver et contribuer : La 3ème Force, La 3ème Voie, l’UNIC, la RDC-Libre, qui sont toutes des propositions originales, avec des particularités particulières, qu’il vaut la peine de bien examiner et pour ensuite les bien exploiter.
[26/8, 12:06] G. Paluku Atoka Uwekomu: « Âme abattue est celle qui mourra ! » (La Bible).
On ne fait pas la politique quand on pas le cran !
Nous, Congolais :
Que voulons-nous ?
Pourquoi ?
Comment ?
Pour quand ?
Pour qui ?
Avec qui ?
Avec quoi ?
Ne pas avoir SA réponse à SOI, NOTRE réponse à NOUS, c’est nous exposer à d’autres déceptions plus regrettables que les précédentes et les présentes, comme nous y obligent ceux qui vont aux élections de 2023, sans que nous ne soyons bien préparés en amont, préalablement !

Rare en RDC : un avis motivé !


À RETENIR SUR JOSEPH KABILA :

1.JKK est né au maquis de Hewa Bora et est allé en exil en Tanzanie 5 ans avant la création de l’UDPS . Donc, il a commencé la lutte avant les fondateurs de l’UDPS qui dansaient encore SANKAYOSA ;

  1. JKK à 25 ans, il va libérer la RDC aux côtés de son père Mzee Kabila qui a commencé l’opposition depuis septembre 1960 (22 ans avant Étienne Tshisekedi). Il a commandé les troupes de L’AFDL pour la libération de Kisangani face aux armées très équipées ( DSP, SARM, Garde civile, Commandos de choc de col Mbuza Mabe, Mercenaires français et Serbes, les EX-FAR et Interahamwe );
  2. JKK nommé commandant forces terrestres et général major va défendre la RDC de l’agression rwando-ougandaise de août 1998 -2001;
  3. Désigné chef de l’État après l’assassinat de son père Mzee Kabila,il a réalisé ce qui suit :
    a. De 2001-2003 : stabiliser les fronts de bataille et réunifier le pays qui est morcelé ;
    b. De 2003- 2006 : il gère le pays sous 1+4 dans une approche managériale très appréciée jusqu’à amener la RDC aux élections démocratiques et libres ;
    c. De 2006-2011: il lance le projet de la reconstruction du pays avec le projet de 5 chantiers, la restructuration de l’armée et de la Police, la mise en place des institutions étatiques, etc
    d. De 2011 -2018 : il lance le projet de la révolution de la modernité en favorisant le climat des affaires, encourager l’investissement privé par la construction des immeubles et des flats hôtels, des infrastructures des biens communs, la compagnie aérienne, transport en commun urbain, la bancarisation de paye des employés.

Ses acquis à sauvegarder :

  1. La décolonisation intellectuelle et économique par la révision du code minier ;
    2 . La démocratie pluraliste et Électorale ;
  2. Le secteur médiatique et des télécommunications très développé ;
  3. Le budget national qu’il a trouvé à 300 millions dollars et a laissé le budget de 6 milliards de dollars sans la dette extérieure (atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE avec l’expertise avérée de MATATA PONYO);
  4. Une armée républicaine et dissuasive, 8ème d’Afrique ;
  5. Le patriotisme, l’unité et la culture de représentation équitable dans la désignation aux postes de l’État sans tribalisme ;
  6. Le respect des droits humains et de la justice équitable ;
  7. Les universités et les hôpitaux de référence dans chaque province ;
  8. La création de 3e cycle (DEA) à l’ESU et la gratuité de l’enseignement à L’EPST.

CELLCOM G4-PPRD.

NOTES
Voici une propagande qui va dans la bonne direction : citer des faits, avérés ou contestables, pour vendre son candidat !
À vos plumes : dans les commentaires ; ici bas.

L’état de siège commence à irriter !

Quelle était la motivation du Président de la République en décrétant l’état de siège dans l’Ituri et le Nord-Kivu ? Son interminable projet mènera à quoi, concrètement ? Nous faisons un bilan de parcours…


Lentement, mais surement, l’Est commence à comprendre ce dont nous parlions depuis bien avant 1994 : l’unité du Congo n’est que fictive. L’état de siège commence à y irriter de plus en plus. Faut-il entrevoir une rupture entre l’Est et l’Ouest ? L’avenir du pays est-il sombre ? Quels sont les vrais enjeux ? Où se trouve le messie ?

Notre État est d’origine coloniale. Nous ne l’avons pas encore transformé en une nation indépendante. Le caractère multiculturel du pays demande que nous nous mettions autour d’une table le refonder. Il est en effet inutile d’entrevoir un retour à nos patriarchies, clans, tribus, ethnies, royaumes et empires anciens. Un Congo viable, paisible, prospère, n’est pas possible sans le respect mutuel entre nos peuples aux cultures diverses et parfois même opposées. L’intelligentsia congolaise doit donc prendre le devant est organiser la rencontre que les politiciens véreux n’organiseront pas : cela équivaudrait à leur mort ignominieuse, au regard du crime de lèse-nation dont ils sont coupables.

Des projets allant dans le sens de notre voeu existent. Cependant, ils souffrent tous d’un manque de détermination, de réalisme politique, de professionnalisme ou d’organisation de la part de leurs promoteurs respectifs.

L’UNIC, projet animé par Georges Alula Makita, souffre d’une adhésion insuffisante des Congolais à un projet pourtant des plus visionnaires et réalistes ; en raison de son caractère insuffisamment communautariste et populiste.

De la même manière le projet RDC-Libre, une démarche proposée par Albert Muya Ilunga, qui prône un développement qui s’appuie sur nos 145 territoires, souffre d’un manque de persistance dans la publicité au niveau de la base et du rejet de l’invitation autour d’une table de travail national, par des acteurs politiques qui majoritairement, n’aimeraient pas se rencontrer en raison de leurs projets tribalistes et colonisateurs.

L’UDPS, parti du Président de la République, malgré toute sa bonne volonté, rame, échoue de plus bel, sous nos yeux. Elle n’a pas une stratégie qui résulte d’une analyse poussée des situations et elle n’exploite pas correctement la géopolitique et toutes les ressources disponibles dans l’espace politique congolais, aveuglée par le tribalisme qui lui colle à la peau et discrédite, hélas, tant ses bonnes intentions que ses louables réalisations.

C’est ainsi aussi que le Projet 2014, lui aussi, n’aura pas d’émules avant une trentaine d’années encore. Il est un entêtement volontaire dans le christianisme, le capitalisme et la démocratie, que la majorité des Congolais récusent. Plusieurs en effet prônent la laïcité, l’autocratie et le communautarisme, par mimétisme. Nous en sommes conscients, nous, géniteurs et promoteurs du projet ; mais nous sommes liés par notre culture de la conviction et de la rigueur, spirituelles et politiques, à laquelle nous tenons ; sachant qu’elles paieront, même quand nous serions dans le sein d’Abraham.

Pendant ce temps, l’état de siège instauré à l’Est, dans la volonté évidente de la freiner dans son, comme cela l’a toujours été, profitant de la naïveté et de la mollesse de ses fils, commence à irriter. Pour ne pas trahir la nation, contrairement à ce qu’on fait ses prédécesseurs, le Président de la République n’a plus beaucoup de temps pour réagir. Notre conviction que le redressement de la barque pourrait se faire en engageant le pays vers trois actions urgentes.

  1. L’élimination de toutes les institutions colonialistes du pays : MONUC, CENI, Sénat, gouvernorat pour passer à des institutions de souveraineté, de liberté et d’indépendance effective de nos peuples. Nous avons proposé en l’occurrence le passage, à pas mesurés, de la République à (vers) une union d’états indépendants du Congo d’abord, de l’Afrique centrale ensuite, et de l’Afrique en bout de course. Ceux qui nous ont pris pour des fous commencent à se raviser : nous en sommes réjouis !
  2. La définition d’objectifs développement démocratiques clairs ainsi que des stratégies robustes pour les poursuivre ou les atteindre. L’adaptation conséquente, méthodique de notre administration pour quitter les archaïsmes du moment pour l’adoption des technologies de pointes dans notre processus développemental.
Que Dieu nous aide à mesurer les conséquences de nos attitudes…

Avancer : avec qui ?


[27/2, 00:18] Héritier Ba’ndoni: C’est très triste
[27/2, 06:56] Héritier Ba’ndoni: Bonjour chers compatriotes

Quelques questions sur enrôlement.

  1. L’enrôlement prend fin quand en ville de Bunia ? Ou en Ituri
  2. Y a t il possibilité de s’enrôler au bureau de la ceni pour les retardataires qui n’auront pas eu la chance de s’enrôler jusqu’à fin mars?
  3. Un congolais qui ne se sera pas enrôlé jusqu’à la date limite fixée officiellement, cela pour des raisons du genre malade, absent au pays, absence de consulat ou ambassade dans le pays où il réside actuellement, etc. Quel sera son sort le jour où il arrive en RDC ?

Aidez-nous à avoir des réponses à ces quelques questions…

Merci


[27/2, 18:52] G. Paluku Atoka Uwekomu:

Héritier,

Ta question est mal posée et en retard !

Que nous ont rapporté les élections depuis 1960 jusqu’à ce jour et pourquoi ?

Personne ne nous a suivi ni entendu : aller aux élections en 2023, c’est nous tuer une énième fois, comme en 2018.

Ce que nous pouvons faire aujourd’hui, c’est commencer par obtenir que la CENI, la MONUSCO et la République soient effacées du Congo, définitivement, par la voie des réformes constitutionnelles et légales, pour :

primo, disqualifier les colonialistes et les dictateurs ;

secundo, asseoir les bases d’une réelle indépendance, d’un véritable développement, d’une réelle démocratie chez le congolais.

Cette longue démarche en vaut la chandelle !

Personnellement, nous sommes en marche, solitaires, depuis 1976 que personne ou presque, ne répond à notre appel pathétique.

Un lot de pleurs nous attend en 2024.

2023 : quoi de neuf ?


Pour que 2023 soit une bonne année pour nous tous, nous proposons de traiter à nouveau :

Du respect de nos peuples.
Chaque peuple congolais, qui veut nous aider à aller de l'avant, nous aidera à exiger le respect mutuel de nos cultures, dans ce qu'elles ont comme valeurs, comme richesse.
La lutte commune contre nos antivaleurs ethniques, tribales, claniques, familiales ou individuelles ne doit pas faire de nous des ennemis, mais plutôt des peuples amis, frères.
En revanche, tous ensemble, nous devons nous élever tous ensemble contre ceux qui perpétuent chez nous la colonisation, l'esclavagisme, la bestialité !
De l'enrichissement de ceux-ci.
Ce n'est pas de la paresse, du parasitisme, ni de la fainéantise que nous construirons une nation prospère. Dès leur bas âge, nos enfants doivent donc apprendre à travailler pour aller vers notre indépendance et notre enrichissement.
Ceux qui voudraient nous maintenir dans la pauvreté sont les pires de nos ennemis. Leur nombre, leur proportion augmentent dans notre gente congolaise.
Via l'éducation, adultes et moins âgés doivent travailler à notre enrichissement holistique.

Du renforcement de leur unité (à suivre).

Du rayonnement de notre culture (à suivre).

Etc.

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

TERRITOIRE DE RUTSHURU ?


ACTUALITÉS DU TERRITOIRE DE RUTSHURU CE JEUDI 27 OCTOBRE, 2022.10.27 15h50
(Aimé Mukanda Mbusa)

La mâtiné de ce jeudi vers 5h10 les terroristes rebelles du M23 ont attaqués les positions FARDC dans les localités KAKO et KALENGERA dans le groupement kisigagari sur la route nationale no.2 (RN2) à 65 km de Goma et 7 km de RUTSHURU centre, cette situation à causer un déplacement massif de la population dans les villages environnants dont Rubare, Rutshuru centre, Bunyanyangula,Rwasa,Nyongera et même Kiwanja. Plus de 100.000 personnes sont en déplacement vers le territoire de Lubero ( kanyabayonga) et les autres ont pris l’axe Kiwanja-Nyamilima-Ishasha.

Dans le même chapitre nous signalons que dans le groupement RUGARI les mêmes rebelles voulais coupés la RN2 vers Rugari/Mwaro en plein parc national de Virunga ils ont étés chassés par l’armée loyalistes vers Nyesisi. D’où un déplacement massif de la population des villages NYESISI,KANOMBE,KABAYA,NDATA vers RUMANGABO et Goma.

Plusieurs déplacés ont fuits vers

  • Tongo(ceux qui ont fuits KALENGERA et kako)
    -Bwito(KIBIRIZI)
  • Nyamilima (Binza)

La ROUTE NATIONALE NO.2 est sous contrôle des Fardc depuis 11h00 et les Rebelles ont étés chassés vers Chumirwa et Kivunge .

Sauf la route reste toujours fermée pour les civils avant de sécuriser celle-ci et avant le retissage de la zone.

*NB: L’ENNEMI N’EST PAS LOI DE KAKO IL SE CACHE À QUELQUES KM. ET SELON DES SOURCES ANNONYME LES RWANDA RENFORCE D’AUTRES MILITAIRES À NTAMUGENGA.

Nous condamnons les autorités qui ont semés la panique en prenant fuite avant l’arrivé de l’ennemi voilà ceux qui a semer la panique dans la commune rurale de RUTSHURU pourtant l’ennemi n’était pas même à 10km nous avons vus certaines autorités fuire en laissant la population dans une grande panique (pitié).

Il est temps que le président de la République ou gouverneur nomment les autorités qui ont un sang froid
Non aux négociations avec les TERRORISTES.

SOUTIENS TOTAL AUX FARDC.

Aimé MUKANDA mbusa notable défenseur de RUTSHURU
0971153414

Baillonnés ?


  1. Officiellement, le M23 est une rébellion congolaise, soutenue par le Rwanda en raison de la majorité rwandophone qui la constituerait.
  1. Des islamistes profiteraient aussi de cette rébellion pour gagner des congolais à l’islam par la force.
  2. Enfin, des pirates divers y trouveraient leur compte : piller les ressources minières congolaises, pendant que le pays est mal gérer.
  3. Les congolais rwandophones considereraient ce mouvement comme un soutien militaire à leur combat politique pour avoir des terres leurs appartenant en propre.
  4. Le régime de Kinshasa tirerait profit de cette situation pour barrer la pression exercée sur lui par l’opposition.

PM : C’est vôtre avis personnel.

Dans quelle mesure trouvez-vous ces 5 assertions vraies ?
Le cas échéant, que proposez-vous pour gagnez contre la lutte pour la paix et la prospérité ?


RB : Ces assertions sont fausses et non vérifiables ou prouvées.

Des mesures que doivent prendre impérativement l’État congolais face à la situation qui prévaut à l’Est :

  1. Expulser l’ambassadeur rwandais,
  1. Ordonner la fermeture des frontières, et leur ambassade,
  2. Demander au congolais résidant au Rwanda de retourner chez eux,
  3. Déclarer officiellement la guerre contre le Rwanda.

GPAU : Nous attendons tes avis et ta contribution personnelle et originale à la rédaction d’un projet de société pour le Congo et non des commentaires sur ma personne, que tu lis mal, par ailleurs. Relis mon texte, tout simplement.


Apporte de l’huile à nos lanternes. Pourquoi affirme-tu que ces 5 propositions soient fausses ?
Il y a des congolais qui nous sont revenus du M23 et qui prétendent y avoir combattu et y avoir côtoyé des islamistes.

Nous avons au pouvoir des congolais, prétendument pur de sang, convertis ou pas, et qui seraient issus du M23. Non seulement notre armée serait envahi par des rwandophones, mais le Président de la République lui-même tensait, il y a quelques mois les congolais qui s’insurgeaient contre ses paroles, jugées par ces derniers comme pro-rwandaises…

Aujourd’hui, à quoi joue le pouvoir qui devient anti-rwandais ? N’y aurait-il pas des parcelles de vérité dans les 5 assertions réellement ?

Il nous est difficile de nous exprimer : nous sommes tous baillonnés ; vous et nous.