De la production à la rentabilté…


Nous devons produire les ressouces dont notre nation a besoin pour vivre.

  • Pour nos besoins.
  • Pour vendre et avoir de quoi acheter ce que nous ne savons pas produire.

Notre production doit donc être accrue, diversifiée, qualifée…

Pour que notre production soit suffisante, notre productivité doit être accrue et la rentabilité de nos processus de production doit être accrue.

Pour que cela soit possible, notre peuple doit être bien instruit, formé et éduqué. Le rôle de l’enseignement est donc crucial dans le processus de notre développement. Il importe donc de ne laisser personne jouer avec la profession enseignante.

C’est la raison pour laquelle, aux élections prochaines, nous supplions notre peuple à ne plus être complaisant. Nous devons nous désigner des parlementaires, des ministres et des fonctionnaires d’une grande éducation, d’une haute formation et d’une vaste culture.

Pour qu’il en soit ainsi, nous devons nous départir du népotisme, du favoritisme et revêtir le civisme, le patriotisme…

Cest le gage de notre production, de notre productivité, de notre rentabilité et de notre compétitivité.

Kikwit est mort !


Kikwit: les enseignants menacent de boycotter la rentrée scolaire | Radio Okapi

http://radiookapi.net

Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

La ville de Kikwit est MORTE.  Ceux qui connaissent la géolitique congolaise savent pourquoi et comment.  A la fin des années 80, nous avons visité la ville en déliquescence.  Aujourd’hui, faute de n’avoir combattu, à part l’opération « Bandundu décendez », cet autre combat mal conçu, nos jeunes de Kikwit, tout comme leurs pères, son réduits à leur plus simple expression : il n’ont plus aucun pouvoir.  D’autant plus que le PALU les a, lui aussi, vendus…

Depuis que le mobutisme a résolu de mettre la ville de Kikwit à genou – pour une raison que la jeunesse ignore, très souvent – et que cette ville n’a pas résolu de prendre sa propre défence, rien ne peut y aller dans la bonne direction !
Venant après le pas PALU, qui a déçu plus d’un dans le Bandundu, Kongo ya Sika est le parti politique qui peut redonner à Kikwit sa belle image de jadis par un soutien démocratique du combat pour l’indépendance des peuples opprimés du Bandundu, comme aux autres peuples de notre Congo qui sont mis sous le joug de l’imposture que nous laissons trôner à Kinshasa.
La menace des enseignants, sans capacité ni force politiques de dissuasion, n’apportera pas une solution durable aux problèmes.
Notre proposition est de commencer par la disqualification démocratique de tous les hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique et la qualification de nos vrais leaders pour un Congo véritablement nouveau : le pouvoir de nos peuples récouvré.

Beni : 10 fléaux.


Résultats de notre enquête dans la ville de Beni.

Nous avons demandé à 60 personnes, dans la ville, quels étaient les 10 problèmes majeurs de la ville, classés par ordre d’acuité décroissante.

Voici ce que les 60 considèrent comme étant les problèmes les plus cruciaux !  Les 60 sont donc plus préoccupés par :

  1. le chômage ;
  2. les bas salaires ;
  3. l’insécurité ;
  4. l’enseignement ;
  5. les conflits fonciers.

En sommant insécurité et guerre, l’insécurité arrive en deuxième position après le chômage.  Cependant, si l’on sommait en même temps la pauvreté et les bas salaires, la question salariale garderait sa deuxième position, avant l’insécurité et la guerre.

Le salaire, l’insécurité, l’enseignement (bas niveau et corruption), ainsi que les conflits fonciers sont les quatre autres problèmes qui taraudent l’esprit des beninois.

Problème Un Deux NbUn NbDeux
chômage chômage   13 0
salaire insignifiant salaire   9 0
Insécurité insécurité   7 0
pauvreté pauvreté   4 0
bas niveau de l’enseignement universitaire enseignement université 4 2
Basse qualité de l’enseignement enseignement   4 0
conflit familial famille   4 0
guerres guerre   4 0
Manque de moyen pour assurer la scolarité pauvreté   4 0
pauvreté pauvreté   4 0
conflit foncier terre   3 0
Corruption en milieu universitaire université corruption 2 1
manque d’infrastructure de base infrastructure   2 0
manque d’investissement finances   2 0
retard dans la réalisation des infrastructures infrastructure   2 0
hausse coûts de dédouanement douane prix 1 1
logement logement   1 0
Manque de maris célibat   1 0
manque de soin de santé de qualité santé   1 0
Manque d’une justice de qualité justice   1 0
qualité de nos prisons prisons   1 0
Réciprocité réciprocité   1 0

Les miettes pour la RDC


Le défi technologique à affronter est énorme en RDC, pendant que les ingénieurs civils s’y font rares si l’on tient compte des projets à concevoir ou à conduire.

L’espace politique étant pourri, il devient difficile d’espérer tant que rien n’est décidé au niveau personnel et collectif pour préparer le grand changement souhaitable, mais pas encore souhaité.

Que dire dans ce contexte de l’accident ferroviaire du Katanga ?

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

[28-04-14 16:24:57] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: De vielles locomotives abandonnées en Australie et déclassées en Afrique du sud rachetées pour tuer les congolais. 
Dans un communiqué conjoint daté du 24Avril 2014,

les organisations de la société civile du Katanga membres de la plateforme pour la promotion et la défense des Droits Economiques Sociaux et Culturels (DESC/RDC) se disent préoccupées par les conséquences résultant de l’accident du train marchandise appartenant à la Société Nationale de Chemin de fer du Congo(SNCC) et accusent l’Etat Congolais, la SNCC et ses partenaires d’être responsables des accidents ferroviaires à répétition au Katanga, causant des pertes en vies humaines et matérielles. Les organisations membres de la plateforme DESC /RDC, dont font partis, Action Citoyenne pour la Bonne Gouvernance ACBG, Centre de Formation et de Promotion de la gouvernance dans le secteur minier CFPG, Centre pour la Justice et la Réconciliation, C.J.R, Humanisme et Droits Humains, HDH., Justicia ASBL, Observatoire Congolais des Minerais Radioactifs, O.M.R.A.C, Nouvelle Dynamique Syndicale, N.D.S accusent l’Etat congolais d’avoir failli à sa mission et le rend responsable de cette situation, par manque d’une politique en matière de transport.
 
Pour rappel, en date du mardi 22Avril 2014 aux environ de 10H00, un train de marchandise de la SNCC en provenance de Kamina, au Katanga et qui se rendait à Mwene-ditu, au Kasaï Occidental, a déraillé. Cet accident est survenu à plus ou moins 7 Km du village Katongola et à plus ou moins 47 Km de la ville de Kamina.
 
Des vieilleries pour tuer les Congolais
 
Selon ces organisations, ce déraillement est survenu à la suite d’un emballement de la locomotive, suite à un excès de vitesse et à la conduite en état d’ivresse du machiniste. Pourtant cette locomotive est l’une de celles acquises par le gouvernement congolais et qui avaient été réceptionnées pompeusement par le Premier ministre, Matata Ponyo à Lubumbashi au courant de l’année 2013.
 
Avec cet accident, ces Ongd se rendent compte que ces locomotives n’étaient pas neuves, mais bien des veilles qui avaient déjà été utilisées en Australie en 1962, puis en Afrique du Sud où elles étaient déclassées. A ce jour le bilan des victimes fait état de plus ou moins 350 personnes décédées sur place et plus ou moins 161 blessées. Parmi les morts, on a dénombré des policiers et des militaires des FARDC, des élèves qui revenaient de vacances, des athlètes et des commerçants.
 
Plusieurs personnes blessées ont succombé par manque d’une intervention d’urgence appropriée. Trois jours après cet accident, des corps sont encore dans les décombres ou coincés sous les wagons, déplorent les signataires de ce communiqué conjoint. Ces organisations de la société civile du Katanga signalent que l’achat des locomotives vétustes, leur manque d’entretien, le mauvais état de la voie ferrée et l’absence de motivation des travailleurs qui totalisent plus de 98 mois sans salaire sont parmi les causes de cet accident mortel. Cet accident est survenu alors que la SNCC a signé u contrat avec société Sud africaine du nom de Vecturis pour l’entretient de la voie ferrée et des locomotives. Elles regrettent de constater que Kinshasa tente de minimiser cet incident en divulguant des chiffres des personnes décédées et des blessées ainsi des circonstances inexactes de son déroulement pour échapper à ses responsabilités. C’est ainsi que ces organisations membres du DESC/ RDC recommandent à Kinshasa de communiquer à la population le chiffre exact des victimes et de diligenter une enquête mixte gouvernement, assemblée nationale et société civile pour élucider les causes et déterminer les responsabilités dans le déroulement de cet accident. Action Citoyenne pour la Bonne Gouvernance ACBG, Centre de Formation et de Promotion de la gouvernance dans le secteur minier CFPG, Centre pour la Justice et la Réconciliation, C.J.R, Humanisme et Droits Humains, HDH., Justicia ASBL, Observatoire Congolais des Minerais Radioactifs, O.M.R.A.C, Nouvelle Dynamique Syndicale, N.D.S exigent révocation du Comité de gestion et le Conseil d’Administration de la SNCC pour mauvaise gestion.
Elles exhortent Kinshasa à décréter un deuil national pour honorer les victimes et indemniser les victimes. Les organisations de la société civile sont priées d’organiser les victimes dans une association pour une action judiciaire contre l’Etat Congolais, la SNCC, le président du Conseil d’Administration de la SNCC et la Banque mondiale.
 
La VSV s’interroge
 
Pour la VSV, cet énième déraillement de train au Katanga avec plusieurs pertes en vies humaines relance avec acuité la problématique non seulement de la gestion de la SNCC en RD Congo mais également celle de la vétusté des locomotives de cette dernière. Pour la VSV, Kinshasa se trouve interpellé et doit en principe tirer les leçons des drames macabres survenus en prenant des mesures efficientes et appropriées concernant le fonctionnement et la gestion de la SNCC, pour sécuriser effectivement les voyageurs et les biens en vue d’éviter dans l’avenir de tels incidents.
 
Il convient de relever que depuis le début de l’année 2013, où des dizaines des personnes ont trouvé la mort suite au déraillement de train dans la province du Katanga, aucune mesure n’est prise pour éviter ce genre de drame. La VSV invite Kinshasa à accélérer l’enquête initiée à ce sujet pour faire la lumière sur ce énième accident macabre en vue d’établir les responsabilités et sanctionner les personnes mises en cause, et ce, conformément à la loi. L’ONGDH invite également Kinshasa à assurer une prise en charge effective des victimes et indemniser ces dernières et/ou leurs familles pour les préjudices subis. Enfin, la VSV exhorte le gouvernement Matata à sanctionner rigoureusement les responsables impliqués dans la gestion calamiteuse de la SNCC et les mettre hors d’état de nuire en prenant des dispositions qui s’imposent pour garantir effectivement la sécurité des voyageurs et des biens par voie ferroviaire et autres voies de communication.

Les dettes et l’EAE ASBL


[01:38:30] Belothi: Néolibéralisme et conséquences
Etats-Unis: la ville de Detroit se déclare en faillite
[01:39:14] Belothi: Les autorités de Detroit (Etat du Michigan) ont annoncé la mise en faillite de la ville en raison de l’impossibilité de rembourser de 18,5 milliards de dollars de dettes, rapporte jeudi USA Today.
« Je prends cette décision difficile afin que les habitants de Detroit aient accès aux services publics les plus élémentaires et pour que Detroit reparte sur des bases financières solides, qui lui permettront de croître à l’avenir », a annoncé Rick Snyder, gouverneur de l’Etat du Michigan, dans un communiqué.
La banqueroute était devenue inévitable après l’échec des négociations avec les créanciers. La municipalité avait en outre renoncé en juin à des remboursements liés à sa dette pour un montant de 40 millions de dollars.
« Motor City », ancien berceau de l’industrie automobile américaine, traverse une crise profonde. La ville a perdu la moitié de sa population en 60 ans et un quart de ses habitants depuis 2000. Près de 40.000 maisons sont vides, et 36% des habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté.
Detroit est au premier rang des villes américaines de plus de 200.000 habitants pour les crimes violents. La municipalité n’est pas en mesure d’assurer l’éclairage public dans certains quartiers.
Detroit devient ainsi la plus grande ville des Etats-Unis à se mettre en faillite.
***********************  GPAU, Projet 2014, Bruxelles **************************
[11:19:20] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Intéressant de voir que la RDC cherche le salut à l’extérieur pendant que des villes américaines tombent en faillite !
[11:20:08] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: La mauvaise gestion de la chose publique n’est donc pas le propre de la RDC, mais est un phénomène fréquent dans le monde entier.
[11:20:31] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: La ville de Bruxelles, ma ville, n’est pas non plus des plus confortables…
[11:21:18] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Toutes les localités qui veulent avancer doivent déployer des efforts pour se maintenir au-dessus des lots : sans quoi, la déchéance vient au galot !
[11:21:53] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Voilà pourquoi, dans le cadre du projet EAE ASBL ( http://eaeasbl.wordpress.com, http://eae-asbl.blogspot.be ), nous proposons aux localités des collaborations utiles pour éviter l’endettement :
[11:22:09] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: électrifier avec les ressources locales ;
[11:22:28] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: distribuer de l’eau avec les ressources locales ;
[11:23:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: assurer une connexion Internet haut-débit pour l’ensemble de la population avec des fonds levés localement ;
[11:23:50] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: former dans les nouvelles technoogies de l’information et des communications avec des moyens locaux !
[11:24:16] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Cette façon de faire permet d’éviter des dettes qui ne sont souvent pas nécessaires du tout !

Au plus tôt cette collaboration commence, au plus tôt votre localité bénéficiera des services insupçonnés dans les 5 à 40 ans à venir, en fonction de la taille du projet.

Jeunesse : levons-nous et agissons ! (3)


Pourquoi ne fêtons-nous pas le 30 juin ?

Demain est la journée de la fête de l’indépendance qui nous aurait déjà coûté 6 à 12 millions que d’autres comptent pour nous !

Jeunesse congolaise, réfuse d’avoir un avenir compromis par de papa qui veulent éternelement.

Suivez une partie de la campagne que nous menons sous Skype et Facebook.

Vous pouvez appuyer l’initiative.

*****************************

[10:50:22] JAO: Bonne fête de l’indépendance en Bruxelles

[11:52:15] GPAU: Bonne fête ?

[11:52:22] GPAU: Qu’est-ce qui te prends ?

[11:52:37] GPAU: Où vois-tu le congolais indépendant ?

[11:53:13] GPAU: Avec des congolais qui enlèvent aux autres congolais leur nationalité ?

[11:55:01] GPAU: Avec un imposteur et incompétent à la tête du pays ; des assassinats, des meurtres, des viols, de vols, de populations déplacées, décimées, privées de leurs libertés et de la paix ; toi tu es en fête ?

[11:55:33] GPAU: Je n’ai jamais fêté le 30 juin !

[11:55:37] JAO: Ce malheureux mon frère maintenant vous avez quelle nationalité

[11:57:50] GPAU: Je réfléchis à comment faire pour convaincre mon peuple de traduire en justice les assassins de Lumumba, Tshombe, Chebeya, Tungulu et autres ; à traduire en justice ce qui s’arroge le droit de me priver de ma nationalité !

[11:58:40] JAO: Même moi mon frère j’en ai marre avec

[11:58:40] GPAU: Et toi, je pensais que tu étais à notre côté dans cette lutte pour l’indépendance des peuples du Congo !

[11:59:00] GPAU: 2016 approche, allez-vous commettre encore la même erreur ?

[11:59:15] GPAU: Malu Malu est déjà mis en place…

[11:59:31] GPAU: Vous irez encore à ces élections-là aussi ?

[12:00:27] GPAU: Ce serait très dommage et appeler une malédiction sur une autre !

[12:00:33] JAO: Moi non je n’irai

[12:01:00] JAO: Vraiment ce drôle d’histoire

[12:02:33] JAO: Ce pourquoi je dois tjrs les dénoncer

[12:03:47] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:03:48] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:04:46] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:04:47] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:05:09] JAO: Papa je suis derrière vous

[12:05:52] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:05:53] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:29] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:06:30] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:07:36] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:07:37] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:08:14] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:08:15] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:09:53] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

[12:09:55] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

Jeunesse : levons-nous agissons !


[28-06-13 14:54:47] JB: salut

[28-06-13 14:56:11] GPAU: Bonjour, plutôt !

[28-06-13 14:56:41] JB: Merci, comment vs allez?

[28-06-13 14:58:41] GPAU: Oui ! Il est un silence qui est d’or. Non ! Il est un silence qui relève de l’irresponsabilité, de la compromission ou d’un autre vice.

[28-06-13 14:58:56] GPAU: Justin, que pourrions-nous faire ensemble ?

[28-06-13 14:59:52] GPAU: Laisse toujours un message si ne je suis pas là. Un bonjour tout court ne suffit pas, me laisse toujours sur la soif d’apprendre… Surtout, de ce que nous pourrions faire ensemble !

[09:52:45] JB: Bonjour,

[09:53:51] JB: Merci bien pour votre message et je compte faire cela.

Où êtes vous actuellement?

[12:14:38] *** Call from JB, duration 01:15. ***

[12:16:42] *** Call to JB, duration 07:46. ***

[12:24:43] GPAU: http://www.paluku.net/2014

[12:24:55] GPAU: Reviens à moi avec des propositions !

[12:25:29] JB: bien compris

[12:25:36] GPAU: Nous n’avons pas de temps à perdre : le pays se meurt à cause de notre passivité !

[12:26:15] GPAU: Levons-nous et disons à nos pères qui se sont fourvoyés qu’ils ont mis votre avenir, vous, la jeunesse, en hypothèque !

[12:27:36] JB: Bien, je crois que je vais sacrifier un peu de mon temps pour y réfléchir suffisamment. Bon weekend

TMB Bunia et l’emploi


Annie Angeyango

AVIS DE RECRUTEMENT
TMB BUNIA
La Trust Merchant Bank Sarl recrute des personnes ayant obtenu un diplôme de graduat ou plus. Si vous êtes intéressé(e) par cette offre, veuillez envoyer votre lettre de motivation+CV, au plus tard le 20 mai 2013, à l’adresse e-mail ci-dessous :
recrut-bunia@tmb.cd
Seules les candidatures retenues seront contactées pour test et interview.
Bonne chance
La Trust Merchant Bank

*******
Il serait intéressant de connaître les conditions de travail offertes, les salaires : ces sujets tabous sous les cieux congolais !

Cybercafés/Goma


Feuille de route pour le démarrage du projet Cybercafés/Goma

Tableau 1 Tâches et résultats entendus

Ordre

Tâches

Résultats entendus

Remarques, observations

1.

Identification des institutions d’enseignement intéressées

Trois institutions d’enseignement intéressées (Dénomination, nombre d’élèves ou d’étudiants, nombre du personnel enseignant et administratif, Nom, prénom, téléphone et adresse email du responsable)

Prendre si possible trois points équidistants dans la ville pour assurer un déplacement possible d’autres écoles vers les 3 laboratoires d’informatique. Tenir compte des labos existants.

2.

Obtenir 3 devis de chacun des 3 meilleurs fournisseurs de services Internet de la ville

Pour chacune des institutions et chacun des fournisseurs obtenir un devis qui fournit les coûts des installations et le coût d’une année d’abonnement. La connexion doit être de de la toute dernière technologie disponible, un DSL sans limitation de volume de données ni disponibilité en temps ! Fournir les coordonnées de l’entreprise et du responsable.

 

3.

Créer un compte pour la gestion financière du projet

Un compte auprès d’une institution bancaire pour EAE ASBL

 

4.

Calculer la rentabilité du projet

Rentabilité économique, sociale, politique, culturelle, technologique, scientifique, industrielle

 

5.

Négocier et réunir la participation des parents aux frais

Un montant total des participations dans chaque institution, par enfant ou par famille (à suggérer).

 

6.

Négocier une participation de l’administration locale

Quartier

Commune

Ville

 

7.

Négocier une participation de la population locale

Le quartier

La commune

La ville

 

8.

Négocier une participation des opérateurs économiques locaux

Commerçants

Autres hommes d’affaires

 

9.

Rechercher un éventuel don, crédit ou subside

RDC

Belgique

UE

 

Tableau 2 3 institutions choisies pour le projet-pilote

Dénomination

Apprenants

Personnel

Prénom

Nom

Post-nom

Téléphone

Email

               
               
               

Tableau 3 3 meilleurs fournisseurs de services Internet

Dénomination

Rue

Numéro

Quartier

Commune

Nom

Prénom

Téléphone

Fax

Email

                   
                   
                   

Tableau 4 : Coût en dollars de l’installation complète et d’un abonnement de 12 mois. Total = …$

Fournisseurs

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Coûts

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

 

Fournisseur 1

             

Fournisseur 2

             

Fournisseur 3

             

Tableau 5 : Participations locales aux frais en dollars. Total = … $

Participations

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Parents

       

Quartier

       

Commune

       

Ville

       

Opérateurs

       

Dons

       

Subsides

       

Crédits

       

24 heures après…


“L’officier militaire s’est toutefois dit «solidaire» et «compatissant» face à cette population qui, selon lui, avaient bien accueilli les FARDC à leur arrivée à Nord-Kivu: les FARDC se retirent de Rutshuru, le M23 se redéploieRutshuru.”

Naïveté !

Les populations du Nord-Kivu se refuse de voir où se trouve leur vrai salut !

Voyons, si en dehors du projet 2014, elles pourraient trouver mieux pour une approche salvatrice efficace, qui nous conduise vers une vraie et durable paix.

***********************************************************

[17:54:41] christian akili: Vingt-quatre heures après avoir repris le contrôle des localités abandonnées par les rebelles du M23 à Rutshuru, l’armée congolaise s’est retirée, dimanche 3 mars, de ce territoire du Nord-Kivu. Les Forces armées de la RDC (FARDC) affirment avoir obéi à un ordre hiérarchique. Des témoins rapportent que les rebelles du M23 ont commencé à revenir dans ce territoire. De son côté, la société civile demande au Gouvernement de tenir ses promesses faites, relatives à la sécurisation de la population locale.

Selon plusieurs témoins, l’armée a commencé à se retirer vers minuit, heure locale, à partir de Rubare, à 4 Km de Rutshuru centre, sur la route allant vers Bunagana.

Les FARDC se sont ensuite retirées de Kalengera et Kako, à l’ouest, Rutshuru-centre et Kiwanja, au nord, puis Nyongera, au nord-est.

Deux heures plus tard, vers 3 heures du matin, à la surprise de la population, le M23 a commencé à redéployer ses troupes à partir de Rubare, puis sur l’axe Mabenga- Rwindi, rapportent les mêmes sources.

Le porte-parole du M23 a confirmé que les rebelles se redéploient sur leurs anciennes positions abandonnés vendredi dernier.

«Inadmissible », estime la société civile

La société civile du Nord-Kivu a jugé inadmissible ce retrait de l’armée du territoire de Rutshuru, alors que le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, avait affirmé que les FARDC étaient revenues restaurer l’autorité de l’Etat dans ces localités longtemps occupées par les rebelles

Pour Omar Kavota, porte-parole de cette structure, «il en va de la dignité du gouvernement congolais de trouver une réponse immédiate pour que sa parole d’honneur, ses promesses, rassurant la population, soient respectées».

«On était déjà très satisfait des déclarations du porte-parole du Gouvernement, qui annonçait que les FARDC étaient en train de restaurer l’autorité de l’Etat. Ces propos viennent d’être contredits par une réalité triste. C’est inadmissible parce que le porte-parole du Gouvernement a rassuré la population. Il a envoyé des messages de réconfort à cette population, qui saluaient la présence et le retour des FARDC», a-t-il affirmé.

« Nous ne sommes pas des rebelles »

Confirmant le retrait de l’armée des positions qu’elle avait investies quelques heures plus tôt dans le Rutshuru, le porte-parole des FARDC au Nord-Kivu, le lieutenant Colonel Olivier Hamuli, a déclaré qu’il s’agissait d’obéir à un ordre hiérarchique.

«Nous, nous ne sommes pas des rebelles. Nous sommes une armée républicaine, et nous sommes soumis à l’autorité politico-administrative. On s’est retiré sur ordre de la hiérarchie. Et nous nous inclinons devant cette instruction», a-t-il affirmé.

L’officier militaire s’est toutefois dit «solidaire» et «compatissant» face à cette population qui, selon lui, avaient bien accueilli les FARDC à leur arrivée à Nord-Kivu: les FARDC se retirent de Rutshuru, le M23 se redéploieRutshuru.

Vendredi 1er mars dans la soirée, les militaires congolais avaient repris le contrôle de plusieurs localités du territoire de Rutshuru abandonnées par les rebelles du M23 qui les occupaient depuis plusieurs mois.

Dans un communiqué vendredi 1er mars, le M23 avait annoncé son retrait de ces localités pour « éviter la confrontation des forces dans les grandes agglomérations et la mise en danger des vies humaines ».

Selon le mouvement rebelle, les localités de Mabenga, Kitagoma, Kiwanja, Rutshuru-centre et Rugari sont assiégées par une coalition armée, composée de militaires congolais, de rebelles rwandais des FDLR, et de miliciens Maï-Maï, qu’il accuse de commettre des exactions à l’encontre des populations civiles.

Réagissant à ce communiqué, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, avait indiqué que c’est à l’armée congolaise d’assurer la sécurité des populations civiles et non au M23.