Dieu n’est pas et ne sera pas avec nous !


Tshisekedi, les FARDC, les Wazalendo, la CODECO, le M23 et tous ces acteurs politico-militaires ne pacifieront pas le Congo, en raison de leur immoralité. Ils pillent, ils violent, ils volent, ils brutalisent, musèlent, ils tuent, ils empoisonnent : comme les occupants, les rebelles, les extrémistes religieux, les trafiquants congolais et étrangers, les bandits de droit commun.

Nous, peuples du Congo, nous sommes leurs complices, lorsque nous refusons d’engager nos parlementaires à voter une motion de défiance contre nos bourreaux, élus par nous ou tolérés par nous.

Dieu ne sera pas avec nous, jusqu’au jour où nous cesserons d’imiter nos bourreaux dans leur méchanceté !

Tribalité ou tribalisme ?


[21-03-24 10:51] Le tribalisme : une des pesanteurs qui tirent [la RDC] vers le bas. C’est vraiment regrettable !

[21-03-24 11:45] : Le tribalisme que nous observons au Congo est une réaction de tout païen contre l’esclavagisme et la colonisation dans lesquels Kinshasa s’investit depuis bien avant 1960. Il n’est pas qu’une méchanceté de l’actuel régime seul. Le mal vient de très loin : de nos aïeux. Cette souffrance continuera encore après nous, à voir la manière dont nous la gérons, nous : Congolais. Il est important que nos enfants apprennent à reconnaître cette vérité capitale, fondamentale, pour que demain soit corrigée la situation que nous avons créé de nos mains et de nos esprits rebelles à Dieu, dont nous nions l’amour, par attachement aux esprits de nos « koko ».

Accordons à chacun de nos peuples et alliances son indépendance réelle et sa liberté véritable. Nous verrons alors les différentes formes de ségrégations que nous vivons aujourd’hui disparaître rapidement, pour ne pas dire instantanément.

Les Congolais qui se voient brimer par l’État, se rabattrons tout naturellement et souvent sur leurs familles, leurs patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs ethnies, leurs races, leurs nations, leurs continents, où ils attendent être plus facilement écoutés. Prenons un exemple simple. Kinshasa a décidé que nous ne soyons plus congolais parce que nous avons acquis des nationalités étrangères. Il a en revanche accordé à des personnes de pères étrangers, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes matriarcaux minoritaires, mais une abomination chez nos compatriotes patriarcaux, largement majoritaires. De même, il a accordé à des personnes de mères étrangères, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes patriarcaux, mais une violation des coutumes de nos compatriotes matriarcaux. Ces violations de nos droits les plus élémentaires ne peuvent que frustrer ceux qui n’ont d’autres remparts que leurs familles, les patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs clans, leurs ethnies ou leurs alliances ; dans une nation par ailleurs à origine coloniale.

Comment voulez-vous que nous connaissions la paix dans ces conditions ? Frères, aujourd’hui tout montre que personne à Kinshasa ne veut nous accorder d’être libres, indépendants, nous, Congolais, de l’Est, comme de l’Ouest ; du Nord, comme du Sud. Chacun veut régner sur nous, nous dominer, nous subjuguer, nous exploiter, nous enlever nos valeurs et nous inculquer ses antivaleurs et pire encore, nous enlever nos terres et nos frères, pour s’emparer de nos biens et de nos terres. Ces hommes, lorsque nous ne les avons pas élus, nous, congolais de père ou de mère, nous les tolérons. Comment congédierons-nous ce mal de nos villages, localité, cités et villes ?

La meilleure façon de démontrer que son groupe ethnographique a de la valeur, comme les autres, ce n’est pas de crier à la ségrégation, se morfondre dans des jérémiades ; mais c’est plutôt de le montrer par sa pensée, sa parole et surtout par ses exploits, ses actions, dans la société où l’on vit avec les autres groupes qui ont aussi leurs valeurs à mettre sur la table ! C’est de défendre nos frères, nos terres, là où Satan et ses suppôts humains tentent de dérober des dons précieux que nous avons reçus de Dieu ou au prix de sacrifices de nos aïeux, quand bien-mêmes certains d’entre eux nous ont trahi après avoir conquis les terres dont nous sommes aujourd’hui propriétaires, par la grâce divine.

En lisant cet article, un compatriote a régi : « C’est plus gravissime de le savoir si c’est ainsi. »

Comme il est chrétien, je me suis précipité sur ma Bible pour y puiser un conseil du Sage et lui est répondu.

Tu es Dieudonné. N’est-ce pas, cher frère ? Si tu trouves gravissime de le savoir, relis alors ceci et prends une position vis-à-vis de ton Dieu et qui est aussi mon Dieu.

1 Timothée 5:8 « Si quelqu’un n’a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle. »

Il ne faut pas donc croire ceux qui vous disent aimer la République Démocratique du Congo, alors qu’ils ne s’aiment pas encore eux-mêmes et encore moins, ils n’aiment même pas encore les membres de leurs propres familles restraintes !

Wazalendo : un problème !


Les Wazalendo sont :

  1. des hypocrites = ils font semblant de découvrir maintenant seulement l’infiltration de notre armée, alors qu’ils la vi vent, la connaissent depuis 1960, mais ne voudraient pas reconnaître y avoir investi, eux aussi ;
  2. des paresseux = ils n’ont aucune structure de production en propre qui puisse nous permettre d’avoir les ressources nécessaires pour combattre victorieusement nos ennemis, s’il le fallait, mais sont prêts à demander que le peuple leur commande des armes d’auprès de nos ennemis ;
  3. des parasites = ils comptent sur notre population niaise et sur Kinshasa des traîtres pour financer leurs tueries ; ils rançonnent notre population de la même manière que les éléments de la FARDC, les terrorites islamistes, les rebelles et les bandits de grands chemins, qu’ils nous veulent confondre aux ADF, aux NALU, aux FDLR et autres rebelles que nous hébergeons ;
  4. des traîtres = qui voudraient se débarasser de ceux de nos patriotes qui se révoltent contre leurs injustices, leurs pillages de nos ressources, leurs incompétences managériales et militaires, leur superstitions retrogrades, leurs calomnies, leurs cruautés, leurs iniquités ;
  5. des méchants = qui n’ont que l’envie de tuer, lâchement, arbitrairement et sauvagement, ceux qui pensent autrement qu’eux, là où moult solutions humanistes, humaines, paisibles existent, mais sont laisser de côté.
  6. des distracteurs = ils ne nous aident pas à unir les Congolais autour d’une table, pour décider quoi faire des occupants illégaux de notre territoire, des pilleurs nationaux et étrangers de nos richesses ;
  7. des païens = sans respect pour Dieu

Nous devons tous nous séparer de tels hommes pour nous concentrer sur l’identification de nos patriotes capables de devenir pour nous de bons leaders : sages, intelligents, dévoués pour le Congo, adorant le Dieu créateur des cieux et de la terre, et non pas nos aïeux qui nous ont trahis et nos parents qui nous nous trahissent encore et toujours !

Agir ensemble.


Rappel : qu’est-ce qu’est le Projet 2014 ? Pourquoi stagne-t-il à 102 membres ?

En tant que projet politique, de rédaction et de test d’un projet de société pour le Congo, nous faisons peur aux nombreuses personnes qui craignent la dictature, le terrorisme de l’État ou qui n’ont pas de compétense rédactionnelle. Tester des projets d’envergure sur terrain demande du génie des participants au Projet 2014.

Rappelons, d’abord, notre double objectif :

  1. rédiger en ligne un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique que la RDC ait jamais connu ;
  2. tester le projet sur terrain : en RDC et partout où se trouvent des congolais.

Comment nous en sortir ? Comment contourner les obstacles difficiles à reverser ?

  1. Éviter la procrastination.
  2. Commencer par participer en mode privé, pour ne pas s’exposer, en cas de gros risque.
  3. Fédérer les ressources avec des compatriotes triés sur le volet, dont la probité et l’intégrité morales, ainsi que les capacités techniques sont reconnues, vérifiables, incotestables.
  4. Nous former nous-mêmes, pour accroître le nombre de personnes capables, participantes, actives.
  5. Promouvoir le projet : en en parler autour de soi, auprès des patriotes avérés, solidaires. Distribuer le lien d’adhésion aux congolais qui voudraient réellement participer : https://chat.whatsapp.com/CGsSS2oE2qL4TYOcPzBiwh.

La jalousie de l’UDPS ?


Est-ce vrai que l’UDPS soit jaloux contre Nzanga ?  C’est ce que nous débattons ici-bas.  L’opposition culturelle entre lubaphones et swahiliphones vient de très loin et s’accroît avec l’avènement de l’UDPS au pouvoir.

« La jalousie de l’UDPS. »  C’est ce que voit un compatriote dans le soulèvement de certains membres de l’UDPS contre l’AVPR naissant.

Nous avons alors posé la question: « Que fera l’AVRP pour contrer victorieusement cette jalousie éventuelle de l’UDPS avec un bénéfice pour la RDC ? »

Une réponse nous a été fournie illico.

« AVRP a ses élus et est membre d’une grande plateforme politique. Malgré la jalousie historique et continuelle de certains égarés de l’UDPS. AVRP restera au côté du Chef de l’État.  Nous connaissons bien le mode opératoire de l’UDPS.  On gère le pouvoir grâce aux principes et non pas avec des imaginations. Sans ses alliés, l’UDPS ne vaut rien. »

Nous en profitons pour revenir à cette écharde dont souffre la RDC depuis les années 60.

En RDC, en effet, en exagérant, aucun politique n’a des principes humains, démocratiques, clairs, connus, suivis rigoureusement, pour présider à la destinée de notre peuple.
Nos hommes politiques, sans formation politique de base ni éducation politiques spécifiques, bricolent.
Aucun chef de l’État ne sait libérer le congolais de l’esclavage (pauvreté, dictat) ni du banditisme ni de l’ignorance ni de l’aliénation mentale, etc.
Frères, séparons nous de ces hommes sans foi ni loi. Ne serait-ce d’esprit ! Formons nos enfants, tous les soirs, à mener une vie qui ne soit pas celle de ces irresponsables connus de longue date, de ces méchants, de ces destructeurs sans scrupules.

L’Ituri, par exemple, dans son âme, n’est normalement pas UDPS. Ils aiment bricoler, dominer, tricher, se venter, paraître, dans leur parti tribal.  Nous, sans parti politique fort, sommes une multiculture de travail bien accompli, d’honnêteté, de respect, de sérieux, de responsabilité, de naïveté ; à dire vrai. Il faudra donc beaucoup de temps pour que nous devenions une symbiose !  Les udpsistes devront apprendre à s’humilier, à se civiliser, nous devront apprendre à nous organiser politiquement et à ouvrir nos yeux, d’abord !

Cela doit se travailler de part et d’autre, sans ambages !
En attendant, nos fils doivent arrêter net toute spoliation de nos moeurs en s’investissant dans un parti qui viole et spolie toute notre culture, qui détruit nos valeurs, qui nous tire vers le bas ; pour avoir le temps de mettre lendu et hema sur les rails et avoir la force de prendre notre indépendance véritable, pendant que d’autres se plaisent à être assujettis à nos ennemis, du dedans et du dehors, clairement identifiés, depuis belle lurette !  Ce challenge, l’iturien ne se l’est pas encore approprié !

L’AVPR finira par être nord-kivutien, s’il ne l’est pas encore.  Là aussi,  la relation à l’UDPS se reduira à la question culturelle.  Le Kivu, en effet, est une autre culture, opposée, elle aussi au registre kasaïen, pour cause d’autres incompatibilités connues également ; mais qui demandent du temps pour être résolues.

Sont-ce là des raisons de s’alarmer ?  Existe-il des solutions acceptables pour tous ?

Oui : des hommes meurent en masse dans l’Ituri et dans le Kivu.

Non : l’UDPS veut dominer et se pavoiner, ni l’Ituri ni le Kivu n’ont du temps pour cala ; et de plus, cela n’est pas le destin qu’ils visent.

Dans cette condition, l’urgence est que les brimés se liguent pour prendre leur défense.  Bourrés de traîtres , infiltrés par les udpsistes, les Ituriens et les Kivutiens auront du mal à s’en sortir.  Ils doivent d’abord amégager leurs maisons respectives, trouver des terrains d’attentes pour se liguer et engager une contre-attaque victorieuse qui imposera à tous le respect mutuel.

Quelques décennies sont nécessaires, parce que, l’alliance soudano-nilotique ajoute une couche au problème que nous travaillons, dans Projet 2014, depuis 1976 déjà, et dont nous mesurons la complexité au plan humain, sociologique, économique et spirituel !

Comme les Congolais refusent de se mettre autour d’une table, la difficulté de solutionner les problèmes ira croissante !

Congo-Chine : colonisation ou coopération ?


Existe-il un quartier Matonge en Chine ? Existe-il une communauté importante de Congolais en Chine ou pas et pourquoi ? Pourquoi y a-t-il de plus en plus de chinois au Congo et de congolais en Chine ?

Non, il n’y a pas de quartier Matonge en Chine. Le quartier Matonge est un quartier commerçant et associatif africain (principalement congolais) situé à Bruxelles, en Belgique1. Il tire son nom d’un quartier de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo1. Il n’y a pas d’information indiquant l’existence d’un quartier similaire en Chine.

Il n’y a pas d’information spécifique sur l’existence d’un quartier majoritairement congolais en Chine. Cependant, il est à noter que la présence de la diaspora congolaise en Chine s’est renforcée et diversifiée au fil des ans1. De nombreux opérateurs privés chinois se sont établis au Congo et, dans leur sillage, nombre de ressortissants de l’empire du Milieu1. Par exemple, un Congolais a partagé son expérience de vie en Chine depuis dix ans2. Cela dit, ces informations ne confirment pas l’existence d’un quartier spécifiquement congolais en Chine.

Ces informations tirées de Bing sont utiles et doivent nous faire réfléchir, dans notre stratégie politique ou démographique.

En effet, toujours suivant Bing :

La population de la Chine continentale a atteint 1,41 milliard d’habitants en 20221. Veuillez noter que ces chiffres peuvent avoir légèrement changé en 2024. Pour obtenir les données les plus récentes, je vous recommande de consulter les dernières statistiques démographiques publiées par des sources fiables comme l’Institut national d’études démographiques ou la Banque mondiale2.

La population actuelle de la République Démocratique du Congo est estimée à environ 104,039,352 habitants en date du samedi 13 janvier 20241. Veuillez noter que ces chiffres peuvent varier légèrement en fonction des sources et du moment de l’année. Pour obtenir les données les plus récentes, je vous recommande de consulter les dernières statistiques démographiques publiées par des sources fiables. Les densités des populations approximatives respectives sont de 149 (Chine) et de 40 (Congo) habitants/km².

C’est dire que les relations entre la Chine et le Congo doivent nous préoccuper au plus haut point. Le marché potentiel est grand en Chine ; mais le Congo doit devenir plus compétitif pour y vendre et non seulement pour en acheter.

C’est dire aussi que la Chine a non seulement un pays à « piller », mais aussi à coloniser, à occuper, tant les hommes politiques qui s’y succèdent au pouvoir brade tout leur avoir : les sous-sol, le sont, la faune, l’aire, l’eau, les lacs et l’océan.

De 2024 à 2028, il faudra donc bien surveiller les mouvements vers la Chine du Président de la République et de nos ministres. Si ce n’est que nous en importer des armes et des articles fabricables au Congo, il faut savoir dire NON à la continuation du néocolonialisme.

Tout ceci ne serait que prétentieux si aucun effort n’est fourni pour accroître la qualification, la technicité du congolais. Instruire, former et éduquer sont donc trois actions à renforcer en RDC pour un jour renverser la vapeur : faire de la colonisation actuelle du congolais par le chinois une réelle coopération sino-congolaise saine que nous appelons depuis belle lurette, depuis l’époque du MNC, puis du MPR.

Ce qui est dit du Congo et de la Chine c’est ce qui doit également être dit du Congo et de l’Occident, du monde arabe, du sud-est asiatique, de l’Amérique latine et de la sphère russe.

Formons un bel attelage…


Chers compatriotes congolais,

C’est assez que d’avoir eu à subir le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS.

Avec ou sans les autres provinces, je propose à l’Est du Congo particuliètement, mais sans exclure ceux qui pensent comme nous dans l’Ouest, de prendre distance vis-à-vis du régime Kinshasa que nous félicitons pour son exploit aux élections 2023, par la même occasion !

Instruisons nos palementaires pour écrire à la République Démocratique du Congo et aux Nations Unies que nous voulons la paix, le respect et la dignité pour notre développement, notre vie et celle de nos enfants.

Pour ce faire, nous décidons de tracer notre route dans le respect de nos peuples que Kinshasa subjugue, décime, appauvrit, abruttit, trahit. Aussi, prenons-noud notre indépendance, inconditionnellement, moyenant un décompte à faire en toute sérénité, le temps que cela prendra, comme des frères humains, en vue de former une Union d’États Indépendats du Congo. Cette union est libre : chaque peuple du Congo, respectueux des autres peuples de cet espace, peut rejoindre l’Union, en vue de contribuer à notre indépendance réel, à notre développement intégral véritable, dans le respect de nos cultures respectives.

Attirons l’attention particulière de nos compatriotes actuels sur les cractères pacifiques, démocratiques, capitalistes et chrétiens de notre démarche. Il n’y a donc ici de la place ni pour un peuple rebelle ni pour un peuple ségrégationiste ni pour un peuple païen ni pour un peuple communautariste ni pour un peuple béliqueux !

Avec Dieu, construisons un bel attelage pour sa gloire !

Notre engagement politique !


De notre volonté (désir, vœux, détermination, résolution, décision, dessein…) et de capacité (aptitude, prédisposition, savoir-faire, savoir, savoir-être, argne…) à nous mettre au travail dépend le futur du Congo.

Depuis décembre 1999, nous invitons tous les Congolais à se mettre autour d’une table pour :

1° décider, ensemble, tous les peuples congolais réunis, de ce que nous voulons faire du Congo hérité de l’indépendance lumumbienne ;

2° ce que nous aurons convenu de faire, de décider de la manière d’agir, de la stratégie à adopter, du programme à suivre, du plan de travail, des attributions des tâches à adopter pour parvenir à nos objectifs locaux et nationaux.

Jusqu’à présent, il n’y a eu que trois compatriotes pour contribuer à la production, en ligne, d’un projet de société pour le Congo, un plan qui soit le plus complet et le plus démocratique à la fin ; et, qui soit testé sur terrain, pour susciter un engagement de l’ensemble de notre population et des populations amies.

Nous constatons que notre élite, nos universitaires, formés à l’école napoléonienne, sont des plus démissionnaires, peureux et irresponsables.  Des personnes que nous disons peu instruites, sans qualifications suffisantes ou sans éducations élvées, se meurent, se sacrifient, mal, mais avec conviction non bien éclairée, pour l’avenir de notre progéniture.  Ils meurent sans bénéfice pour leurs familles ni pour notre nation.  Personne n’est là pour éclairer, pour conseiller, pour instruire, pour former, pour éduquer, pour animer, professionnellement.

Ce message tombera peut-être dans une bonne oreille pour provoquer le déclic qui tarde à venir depuis 1960, malgré notre constante sonnette d’alarme, depuis 1976, aux côtés de notre père Michel Ézéchiel Atoka Ukumu ; et particulièrement, depuis 1999 que nous avons lancé le Projet 2014, que nous avons dédié à ce dernier le présent un site ; et que nous avons invité tous les amis à y verser leurs contributions, dans esprit démocratique.

Certes, nous nous devons de demeurer strict : 50 pages de contribution personnelle, originale, pour être considérer comme contributeur ; 3000 pages au moins avant de prétendre avoir un projet de société digne d’un pays multiculturel et vaste comme le Congo ; 50% de ministres du pouvoir acquis à la cause d’un développement par projets écrits, démocratiques, chrétiens et capitalistes.

24 ans après le lancement du projet 2014, force est de constaté que nous étions trop optimistes, naïfs, en acceptant les objections de ceux qui refusaient d’investir 30 ans dans la rédaction dudit projet.  Aujourd’hui, nous nous rendons compte que seul un miracle divin pourrait nous permettre d’atteindre l’objectif en 2029 ; si dans les six ans qui nous séparent de cette échéance, des Congolais se réveillent, se lèvent, revolts par notre honteuse démission, nous qui clamons aimer jalousément notre nation, notre territoire.

Une leçon est à tirer de cette triste et instructive expérience : il ne fallait pas réduire notre plan départ, de 30 ans, à un plan de 15 ans, sous l’influence de ceux qui, eux, souhaitaient participer à un travail de maximum 2 ans !  Notons que 1999+15 nous donnait 2014 : le nom du projet, que nous ne souhaitons pas surtout pas changer ; pour que cela reste gravé dans la mémoire de nos enfants que nous sommes, jusqu’ici, des peuples paresseux ou une nation faineante, lente à comprendre et à admettre ses faiblesses, à l’égoïsme suicidaire, aux cous roides devant son Dieu, contre lequel l’amour du Divin résistera, fidèlement à sa promesse.

En attendant, qui ici, aujourd’hui, qui veut se plonger dans l’eau froide et bienfaisante ?  La rédaction et l’animation politique forme, grandit l’homme qui se confie à Dieu, dans cette entreprise !

Un arbre à problèmes est à construire ensemble, avec détermination, pour combattre le mensogne politique qui induit nos populations sous-instruites dans des erreurs grossières et qui encourages nos intellos traîtres dans leurs prostitution politique.

Très intelligemment et sagement, il nous faut dégager de cet arbre la solution au problème que nous pose nos trahisons légendaires que plusieurs occultent pour se faire bonne conscience ou pour tenter de se cacher, face à la menace de la justice qui transformera, en son temps, plusieurs de nos héros politiques en bandits politiques, en criminels de droit commun.

C’est dire que le Projet 2014 soit aussi un courage politique. Les forces sataniques se lèvent à chaque initiative du projet pour tenter de nous barrer la route. Cependant, quand les fils de Dieu purifiés se lèveront, leurs châteaux voleront en éclat et plusieurs familles sombreront dans une honte innommable.

Notre engagement reste donc entier : le projet de société le plus démoncratique et le plus complet pour le Congo et le test en temps réel de ce projet sur terrain, pour couper l’herbe sous les pieds des dictateurs, des colonisateurs, des traîtres...

FÉLIX TSHISEKEDI, LA VERITÉ INTERDITE : vérité ou jalousie ?


FÉLIX TSHISEKEDI, LA VERITÉ INTERDITE

« Nécromancie, Chivas, Foufou, Pillage, Infidélité, Meurtre et Inceste »

Un livre de
VINCENT CARTER

Dans ce livre explosif signé Vincent Carter, l’auteur le Journaliste Franco-Americain nous entraîne dans les méandres obscurs de la vie du président, felix Tshisekedi. Au travers de témoignages poignants et de révélations choquantes, l’histoire dévoile un homme obscur, dominé par son passé, dont les actes répugnants ont souillé chaque aspect de sa vie.

Tshisekedi, l’actuel président est dépeint comme un être ténébreux, sous l’emprise complète de sa mère et sa femme. Selon les témoignages anonymes de proches et de membres de sa famille, il aurait commis des actes d’une cruauté sans limite, allant de l’inceste en ayant un enfant avec sa propre tante paternelle, à la nécromancie en passant par l’infidélité de sa femme Denise Nyakeru et le meurtre des generaux et Cherubin Okende.

L’auteur révèle les détails sordides de ses activités nocturnes de Felix Tshisekedi , où il se livre à des orgies dépravées avec des amis, tout en pratiquant la magie noire et les rites mystiques et Magiques de Kamwena Nsapu du Kasai.

L’histoire se penche également sur les connexions sombres de Tshisekedi avec la famille Mobutu, révélant son obsession pour les secrets de la magie et de la sorcellerie, qu’il aurait tenté d’acquérir auprès des descendants de Mobutu.

Au-delà de sa vie personnelle dépravée, le livre met en lumière les mécanismes de pillage massif au Congo, orchestrés par Tshisekedi et sa femme infidèle. Vincent Carter expose les comptes secrets et les fortunes volées au peuple congolais, cachées dans des banques bruxelloises sous de fausses identités. Une enquête policière belge est déjà en cours pour démêler ce réseau complexe.

Ce livre, révélant les démons cachés derrière le masque politique de la famille Tshisekedi, promet de briser les mythes et les mensonges entretenus par ce clan. “FELIX TSHISEKEDI, LA VERITÉ INTERDITE: Nécromancie, Chivas, Foufou, Pillage, Infidélité, Meurtre et Inceste” est une plongée sans compromis dans les abysses d’un pouvoir corrompu et immoral, un récit saisissant qui ébranlera les fondations de la réputation de Tshisekedi et de sa mafia familiale.

DISPONIBLE LE 18 NOVEMBRE 2023

SUR LE SITE

https://CONGOINTELLIGENCE.COM

UNE ENQUÊTE DE VINCENT CARTER

JOURNALISTE D’INVESTIGATION

Congolais asservi ?


Le congolais est-il asservi ?En quoi ? Comment ? Pourquoi ? Où ? Par qui ? Depuis quand et jusques à quand ? Avec quelle suite ?

Suivez…