Balkanisation : seule voie du salut !


[9/17, 12:55] GPAU

Voici ce que je produis, mais que je n’ai pas encore terminé.
Que me conseille-tu ?
L’origine coloniale de nos états est un problème.
Ce problème est soluble.
Il faut de l’amour, du courage, de l’intelligence, de la franchise pour y parvenir.
Serrons nos coudes !

[9/17, 15:09] D. Y.

Il faut faire de la RDC un Etat fédéré comme les USA. Le problème sera résolu !

[9/17, 22:03] GPAU

C’est ce que je propose aux Congolais depuis 1999.
La majorité écrasante n’en veut pas. Elle craint que cela ne conduise à l’éclatement du pays. Or, les Congolais, ne veulent pas de la balkanisation du pays. Ils désirent vivre en des parasites, les plus forts au dépens des plus faibles.
C’est pour cela que certains nilotiques proposent la séparation des nilotiques d’avec les bantous pour éviter des querelles inutiles.

[9/18, 06:39] D. Y.

C’est la seule voie du salut pour les pays du continent africain !

Non aux rebelles et aux tribalistes dictateurs et pilleurs !


[16/1/2025, 08:28] GW.

Nord -Kivu.

Encore des Ituriens capturés dans le rang des M23-RDF à Sake ce mardi 14 janvier 2025.


[16/1/2025, 09:44] GPAU.

Avez-vous vérifié que ce soit des événements récents et non d’anciennes vidéos ?

Ne protestez-vous pas contre la manière babare et sauvage dont nos frères sont traiter, fussent-ils des rebelles ? Faut-il les ligoter ainsi parce qu’ils défendent – MAL – leurs cousins ou frères stigmatisés, contre la dictature, l’injustice, le pillage et l’occupation de l’Est par la tribut du Président de la République ?

Nous, Projet 2014, disons que la brutalité, la sauvagerie, l’arbitraire, le viol, le vol, les empoisonnement, l’esclavagisme, des uns (rebelles, leurs alliés, bandits, envahisseurs) comme des autres (hommes du pouvoir, faux Wazalendo, soldats zélés) soient tous condamnables avec toute notre énergie, nous qui aimons le Congo-Kinshasa.


Le gouvernement de Kinshasa qui traite ainsi des congolais qu’il appauvrit, subjugue, viole, discrimine, pille, au grand jour, lâchement, devra répondre de ses actes un jour, autant que tous ceux qui l’imitent.
Nous demandons donc à tous nos parlementaires de l’Est, de se lever pour reclamer le respect du droit de tout congolais, de ses hommes obligés à se défendre contre des racistes et tribalistes qui trônent à Kinshasa et qui prennent l’Est pour leur marche pied.

Si tous les nilotiques devaient se lever, pour se défendre contre les non-nilotiques, qui les envahissent, chez eux ;  si tous les swahiliphones devaient se lever, pour combattre les non-swahiliphones, qui les occupent et subjuguent, sur les terres de leurs aïeux, où en finirions-nous ?  C’est pourtant leur droit le plus élémentaire !

Vous qui aimez un Congo uni et prospère,  levez-vous pour corriger notre faute : avoir commis des hommes véreux à la gestion d’un État naissant, dans d’atroces douleurs.

Réforme politique pour une RDC unie et cohérente


[2024/11/24, 07:54] (Source : WhatsApp)

Kyéngé Kisoke Kabwende

VIENT DE PARAITRE

REGARDS SUR L’HISTOIRE DES PEUPLES BANTUS DE LA RDC DEPUIS 1876 : ANALYSE ET PERSPECTIVES POUR LA CRÉATION DE l’UNION DES REPUBLIQUES D’AFRIQUE CENTRALE.
Mbu-Mputu, Norbert, Bristol, 22 novembre 2024.

Auteur de trois ouvrages et d’une dizaine à paraître, Kabwende Kisoke Kyéngé , Master de Spécialisation en Études Africaines à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) en Belgique et surtout un prince héritier du Royaume de Kabongo et arrière-petit-fils du souverain Nkumwimba Kabongo Ka Nshimbu (1858-1948) ayant régné de 1888 à 1948, dans ce nouveau livre, presqu’une bible, Regards sur l’histoire des peuples bantus de la République Démocratique du Congo depuis 1876 : Analyse et perspectives pour la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale (Préface de Déhorah Kayembe et post-préface de Kibawa Wimwene Edmond, Bristol, MediaComX, 2024, 761 pages), et devant la structure actuelle de l’État unitaire congolais ou même devant la proposition d’un Etat fédéré où les provinces actuelles deviendraient des États et toutes les crises sans fin, l’auteur KABWENDE KISOKA KYENGE crève l’abcès en proposant un nouveau modèle de fédéralisme basé sur des ensembles nouveaux calcés sur les grands ensembles tribaux que comptent le pays. Il écrit :

« La République Démocratique du Congo est confrontée à un défi majeur : elle n’a pas réussi à former une nation unie et cohérente. » Malgré les efforts déployés pour instaurer une «nation congolaise », ces tentatives se sont révélées infructueuses jusqu’à présent. Les motifs exposés précédemment justifient pleinement la nécessité d’une révision constitutionnelle en vue de la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale. Dans cette union, chaque nation aura le droit de réclamer son droit à l’autodétermination, dans le respect de ses particularités et de sa diversité culturelle » (p. 721).

Pourquoi prendre l’ethnie revue-corrigée comme sous-bassement du nouvel État ? C’est, dit-il, contrairement à Didier Mumengi pour qui la colonisation aurait artificiellement morcelé les peuples Bantus de la République démocratique du Congo en tribus, ethnies et villages, faisant ainsi croire « qu’avant l’arrivée des Belges, nous étions un seul bloc » et que c’est la colonisation qui nous a « divisés en villages, tribus et ethnies ». Pour lui, au commencement de la RDC, c’était d’abord l’ethnie, donc c’est elle la racine même de toute organisation politique et de toute légitimité chez les peuples Bantus du Congo.
Mais, pour en arriver-là, et c’est là son originalité, il bifurque en analysant dans le fond et la forme l’empire des Baluba qui, comme tous les autres empires et royaumes et peuples des Bantus s’est retrouvé démembré depuis 1870, et supprimé par l’administration coloniale le 11 avril 1911, et dont le point de départ de toutes les colonisations remonte à la conférence géographique de Bruxelles du 12 au 14 septembre 1876 par Léopold II, passant par celle de Berlin de 1885 jusqu’à toutes les autres trouvailles néocoloniaux que, malheureusement, l’Afrique et la République Démocratique du Congo continuent à ne pas vouloir remettre en question. C’est se poser la question comment renier et réfuter la colonisation et ne pas remettre en question ses conséquences, comme qui dirait « ne pas aimer manger les palmiers et chérir les noix de palme », dit un proverbe !

Pour la mise en place d’une telle nouvelle structure étatique en Afrique centrale, courageusement, l’auteur passe en revue toutes les autres approches et théories des aînés professeurs et historiens, notamment Isidore Ndaywel è Nziem et Jean Tshonda Omasombo: « en dégageant une ligne médiane pour départager les deux, se contredisant sur le nombre d’ethnies et des tribus de la République démocratique du Congo ». Si pour le premier, la République Démocratique du Congo compte 365 tribus et ethnies, le second n’en dénombre que 275. D’où, pour Kabwende Kisoke Kyéngé :
« Il est probable qu’il existe moins de 50 ethnies, ce qui contraste fortement avec les 365 d’Isidore Ndaywel è Nziem et les 275 d’Omasombo et de son collègue. Cette conclusion découle du fait que ces auteurs, tout comme de nombreux autres, ne parviennent pas à faire une distinction nette entre l’ethnie et la tribu. De plus, Isidore Ndaywel è Nziem inclut même des noms de clans tels que le Ngoyi a Sanza (239) ou Ngoyi Mwana (233), ce qui ajoute à la confusion » (129-139).
Dans ses 27 chapitres précédés d’un prologue et se terminant par une conclusion générale, l’auteur propose une Union des Républiques d’Afrique centrale à la place de la République Démocratique du Congo actuelle où, aux notions modernes d’État s’associent les pouvoirs traditionnels et coutumiers, vrais détenteurs des imperiums souverains. Surtout que l’État congolais actuel hérité de la Table ronde de Bruxelles naquit d’une Belgique se précipitant à se débarrasser du Congo et des Congolais voulant sauter sur le miroir d’indépendance « cha cha ». Il est temps, dit l’auteur, de recadrer les contours nouveaux de ce pays-ci le Congo.

Pour chuter sur sa proposition, l’auteur analyse l’un des empires qu’il connait le mieux, puisque prince, de la nation « kiluba » dont le pays ancestral est le Buluba, habité par : des Baluba communément appelé les « Baluba du Katanga », devant d’ailleurs faire l’objet d’un nouveau livre. Ceux-ci ont fondé l’empire des Baluba (du 8e – 20e siècle). Dans cette recherche de la vérité historique et ethnologie, l’auteur en profite pour corriger ce qu’il appelle « le mensonge colonial » sur deux peuples différent mais portant le même nom aujourd’hui dit « Baluba du Katanga » et « Baluba du Kasaï », car contrairement, dit-il, à ce que la colonisation et nombreux auteurs et même des habitants du Kasaï nous ont fait croire, l’auteur démontre que l’appellation « Baluba du Kasaï » est une invention coloniale et que les ressortissants de Mbuji Mayi, Kananga en un mot ceux du Kasaï ne sont pas Baluba comme on le croit : les seuls vrais Baluba sont ceux qui parlent la langue kiluba et habitent le Buluba, dont l’ancêtre originel s’appellent Ilunga Nshi Mikulu.

Le pourquoi de cette approche nouvelle pour un nouveau Congo enraciné dans l’organisation politique traditionnelle peut se lire à la page 722 :
« Nous avançons donc que l’adoption du confédéralisme au sein d’une Union des Républiques d’Afrique centrale représenterait la seule voie authentique pour instaurer un véritable État de droit. En effet, la mise en œuvre de ce système favoriserait naturellement l’agrégation des peuples, en permettant une écoute plus attentive de la volonté populaire à travers des référendums et d’autres dispositifs de consultation démocratique dans les différentes régions, provinces et entités fondamentales » (p. 722).
Et encore : « Il est possible d’envisager des réformes intelligentes et stratégiques pour adapter l’État congolais aux réalités contemporaines. Cela impliquerait, entre autres, la reconnaissance des identités culturelles et ethniques qui composent le pays, ainsi qu’une décentralisation effective du pouvoir. En valorisant les richesses ethno-civilisationnelles des peuples du Congo, il devient envisageable de construire un État plus inclusif, où chaque groupe ethnique se sentira respecté et représenté. La réconciliation nationale passerait nécessairement par une gestion équitable de cette diversité. Une réforme institutionnelle qui accordera davantage d’autonomie aux régions, permettant une gouvernance locale adaptée aux particularismes de chaque groupe, pourrait constituer une voie à explorer » (702).

Pour le moins que l’on puisse dire, ce volumineux livre inaugure un débat, rien que par son titre, Regards sur l’histoire des peuples bantus de la République démocratique du Congo depuis 1876 : Analyse et perspectives pour la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale et la piste proposée par Kabwende Kisoke Kyéngé est à confronter avec d’autres. Si les lecteurs parcourront les pages sans heurts, ce sont des chercheurs qui y seront les mieux nourris avec des citations d’auteurs et toute une bibliographie détaillée à la fin.
Bonne lecture !

Norbert Mbu-Mputu
Journaliste, écrivain et chercheur en anthropologie et sociologie, Centre for Research on Migration and Refugees and Belonging, University of East London, Cliquer sur ce lien pour écrire à M. Norbert Mbu-Mputu.

Kyéngé Kisoke Kabwende
Oui ! Je veux consulter avant d’acheter le livre de M. Kyéngé.

[2024/11/24, 21:03]

Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

Ceci est, à peu près, ce que nous proposons depuis décembre 1999, dans le Projet 2014.

Cependant, nous disons que sans un divorce d’avec la République, aucune paix ne sera possible en RDC. Ni dans aucun autre pays d’ailleurs.
Les Républiques que Kyéngé propose, dans la confédération, seront des foyers de dictatures. Ceux-ci rendront inacceptable la vie en confédération, pour les peuples en quête de démocratie. C’est le cas avec tous les peuples de l’Est du Congo, tout entier, par exemple.

Nous proposons une union libre d’États Indépendants du Congo dans un premier temps. Le cas échéant, une union des États de l’Afrique centrale ou de l’Afrique (Noire), dans un deuxième temps par exemple. Ces États doivent être construits sur la base des affinités culturelles qui existent entre certains de nos peuples. D’autres affinités peuvent être découvertes par la suite.

Enfin, l’Afrique étant plurielle, les bantous devront prendre en compte les stratégies nilo-soudanaises. Celles-ci divergent (République/Démocratie) ou s’opposent même (Unitarisme/Indépendance) de celles des bantous. Bien souvent, en raison des divergences ou oppositions culturelles, profondes, jusque ce jour.

Charles Onana : une erreur corrigible !


Ce qui se passe avec Charles Onana doit nous apprendre que nous demeurons naïfs, niais, égoïstes, divisés, amateuristes, nous, noirs africains.

J’avais déjà indiqué que Charles Onana manquait de sagesse et d’expérience et risquait lui aussi de mourir, sans bénéfice pour l’Afrique, comme cela a été le cas avec les révolutionnaires qui l’ont devancé.

Où sont les chefs d’accusation contre Charles et la liste exhaustive de ses accusateurs ? Qui a analysé ces accusations et étudié les accusateurs ; avoir d’élaborer une réponse qui conduise les ennemis de l’Afrique à réfléchir ?

Il faut agir vite et bien, pour sauver Charles Onana et l’Afrique.

Katumbi gagnera-t-il ?


Apparemment oui ! Mais quelle est la réalité et comment le savoir ?

La swahiliphonie, majoritaire, paraît être avec lui, à ce qui commence à se voir dans les localités où il a annoncé ou effectué son passage, à Kisangani notamment. Seulement, des stratèges seraient en train de piéger Katumbi, en lui faisant croire qu’il soit populaire. Très vite, la vérité éclatera au grand jour, au grand dame de ceux qui se moque de Dieu, du côté du pouvoir que du côté de l »oppostion.

Face à ce rare congolais à être capitaliste, les USA ne se tromperont probablement plus cette fois-ci et abandonneront probablement un soutient aux pro-soviétiques et aux pro-chinois que nous leur avons toujours désespéremment déconseillés, depuis 1960 ; pour définitivement le soutenir jusqu’au bout, à l’encontre des congolais !

Quant à la question de la congolité, elle semble éteinte ou presque : Katumbi est en pleine campagne et certains de ses opposants de l’Est ont déjà perdu leurs électeurs et feraient mieux de changer de camp, même in extrémis… Il sera en effet de plus en plus difficile au clan du Président de la République de tripatouiller sans se mettre en danger politique et social réel : parce que les observateurs extérieurs, dans cette néo-colonie, sont des amis à Katumbi.

Dernier élément qui n’échappe à aucun observateur, il a mis son chapeau de cowboy, bleu de couleur…

Et comme pour boucler la boucle, c’est un autre vrai ou faux chrétien !

Les mondes bougent.


JBKM


Il ya environs trois jours les agriculteurs Banyabwisha quittent Ouganda pour retourner au Congo précisément à TCHABI, BOGA et KAINAMA.
D’après nos informations sur place un Nyabwisha a été arrêté à Burasi à provenance de l’Ouganda en direction de BOGA hélas dans son matelas il y avait deux armes dont PKM et AK47.

D’après toujours cette dernière il était parmi ceux qui avaient massacrés les élèves en Ouganda. Au même moment une dizaine d’autres ont étés arrêtés en Ouganda avc des bidons et autres. Ils ont déclarés ils partent toujours à Boga, TCHABI et kainama ala recherche des haricots. Comme les ougandais étaient déjà alertés, ils ont bien vérifier leurs bagages et bidons ils ont retrouvés plusieurs munitions dans dans leurs bidons.

À Boga dans les après un munyabwisha à provenance de l’Ouganda a déclaré, comme ils ont étés chassés à Boga et en Ouganda ils vont retournés au Nord Kivu précisément à KAINAMA dans leurs champs.

Vous connaissez l’histoire de ces gens soyons prudents et surtout en identifiant les champs qui sont occupés par les banyabwisha a partir de la localité de VIDO jusqu’à BANGO.
La situation est très grave.

C’est vraiment une alerte.

GPAU

Le vent commence à changer de direction.
Mais, notre malheur continuera encore pendant quelques années, voire quelques décennies !

Une alerte n’a de la valeur que quand il y a intelligence et sagesse. Les avons-nous : cette intelligence et cette sagesse politique ?

Nous avions prévenu…


ÉTAT DE SIÈGE :

Le site de déplacés vulnérables, sous le contrôle de la Communauté internationale et son partenaire Gouvernement congolais des carnages s’y font.

Dans cette nuit du dimanche au Lundi 12/06/2023, les miliciens genocidaires CODECO venus de Collectivité de Balendu DJATSI, précisément de NDJAUDHA ont attaqué le site de déplacés LALA de Bahema Badjere,du groupement NGLE, territoire de DJUGU.

Comme bilan provisoire on nous parle de plus de 50 déplacés Hema sauvagement massacrés,les uns fusillés et décapités,les autres enfermés dans leurs huttes et brûlés vifs.
Ce site de déplacés de plus de 20000 Hema est incendié totalement.
Ce site de déplacés LALA se situe à une distance de 7 km du site Plaine SAVO où les mêmes CODECO ont massacré deux fois plus de 70 déplacés Hema toujours sans inquiétude devant les yeux du gouvernement congolais et son fameux État de siège.

Les miliciens CODECO ont calmement massacré les déplacés Hema dans le dit site de déplacés depuis 2 h00 du matin jusqu’à 6h00 moins sans intervention de fameuse MONUSCO dont la base se situe à 3 km et la base des FARDC 1km du site LALA.

Les TCMP condamne fermement l’inefficacité du fameux État de siège qui n’est que bénéfique pour ses animateurs et Un malheur de plus pour les pauvres congolais.

Nos condoléances a nos frères compatriotes, nous vous portons toujours dans nos cœurs.

Nous récoltons ce que nous avons semé !

Goma : l’émotion ou la raison ?


🔥🔥ALERTE ALERTE🔥🔥

ÉVACUATION TOTALE DE PLUSIEURS QUARTIERS DE LA VILLE DE GOMA

Les données scientifiques prouvent que la ville de Goma est très en danger, une éruption à terre ou sous le lac.

Les quartiers qui doivent se vider d’urgences des habitants sont les suivants:

  • Quartier Majengo
  • Quartier Mabanga Nord
  • Quartier Mabanga Sud
  • Quartier Bujovu
  • Quartier Virunga
  • Quartier Murara
  • Quartier Mapendo
  • Quartier Mikeno
  • Quartier Kayembe
  • Quartier le Volcan.

Sur instruction obligatoire du Gouverneur dans son message lu cette nuit sur la chaîne nationale la RTNC/Goma, tous les habitants de ces quartiers doivent quitter d’urgence vers la cité de Sake.

Prenez toutes les dispositions nécessaires dans le calme.

Commencer vite et bien !


Le travail à abattre est immense, énorme. Il faut le commencer vite, mais bien. Le reste du monde a pris de l’avance sur plusieurs plans : spirituelles, sociales, culturelles, technologiques, scientifiques, politiques ! Cependant, cette avance n’est pas toujours pour le futur de l’humanité.
Nous échouons partout, mais nous gardons le sens de l’étique tout de même ! Nous ne savons même pas arranger nos parcelles, nous procurer de l’eau à boire, de l’électricité ou gérer un réseau téléphonique, de transport par avions, trains, automobiles ou ondes…
Je pense que le plus facile soit de rentrer dans nos villages pour les développer nous-mêmes et non pas de confier ce travail à des mercenaires, à des mercenaires ou à nos ennemis pilleurs étrangers et nationaux.
Presque tous nos dirigeants sont des incompétents et des immoraux, que nous ne connaissons que très mal.
Comment commencer un développement sur ce ton ?
Il nous faut des hommes faits, des hommes dont la moralité, la compétence et l’intelligence sont éprouvés.
Pour cela : il faut que nos peuples travaillent leurs indépendances dans l’amour les uns des autres pour construire une nation.
Pour le moment en effet, les gens se battent pour leurs intérêts égoïstes, de tribus, de clans, de langues, d’ethnies, de religions, etc.
J’ai donné le ton en allant à Jupugulo. J’ai compris que personne ne fera le développement de Mahagi correctement et paisiblement que les mahagiens eux-mêmes, dans leur terroirs. L’Ituri n’avancera pas tant qu’il sera dirigé par des gens qui pensent ne pas avoir intérêt à développer l’Ituri, mais qui trouvent en cette terre, leur marche-pied…
Les médias sociaux sont très mal exploités : il faut les utiliser pour créer des entités de travail multifonctionnelles, complémentaires, robustes, de haute technologie.
Comment veux-tu construire des peuples épannouis en misant sur la dance et des orgies ?
Certaines choses doivent être mises au point :

  • refuser l’animalité : ligoter, brutaliser, affamer ses semblables…
  • confier des responsabilités à des hommes sans qualifications, sans connaissances, sans moralité…
  • en finir avec le culte de la personnalité et la Répuglique qui l’incarne…

Dr François Tshipamba Mpuila : élections


La Communauté Internationale veut expérimenter, en RDC, l’avènement de 4 cas inédits et concentrés en un seul acte
Malgré tous nos arguments politiques, historiques, idéologiques et comparatifs démontrant que l’on peut jamais organiser des élections crédibles dans un pays qui est sous occupation étrangère, la Communauté Internationale tient à l’organisation des élections crédibles, en RDC, le 23 Décembre 2018. Et elle est même convaincue que ces élections auront inéluctablement lieu et qu’elles seront crédibles.
1) Pour la toute première fois, depuis que l’Humanité existe, les élections, et les élections crédibles seront organisées dans un pays sous occupation étrangère.

2) Pour la toute première fois, depuis que l’Humanité existe, un mercenaire, un brigand armé, tueur en série et qui sème la désolation, la terreur et le deuil va organiser des élections, et des élections crédibles dans un pays qu’il a transformé en un vaste cimetière et dont les habitants sont contraints d’être :

– des esclaves :
Un esclave ne peut jamais voter car il est un être humain sans libertés ni droits : mais il sera paradoxalement appelé, le 23 Décembre prochain, à faire un choix libre de ses dirigeants comme s’il était un citoyen, c’est-à-dire un être humain conscient d’appartenir à une collectivité politique (locale, provinciale, nationale) envers laquelle il a des devoirs, des responsabilités et des droits fondamentales, civiques, politiques, sociaux, économiques et culturels ;
– des apatrides :
Selon les Accords de Lemera signés le 23 Octobre 1996, la RDC (territoire, sol, sous-sol et richesses) appartient désormais à l’AFDL appelée aujourd’hui PPRD : AFDL/PPRD est un instrument politico-militaire créé non à l’initiative des Congolais et par les Congolais mais à l’initiative du Rwanda et de l’Ouganda et par l’Ouganda pour envahir, occuper, dominer et gérer la RDC, piller les richesses de la RDC, exterminer progressivement les populations autochtones de la RDC par toutes sortes de stratégies (massacres massifs, conflits armés, conditions infra -humaines de vie, famine, misère, malnutrition, pauvreté aiguë, terrorisme d’Etat et insécurité généralisée pour faire fuir les Congolais en dehors du Territoire national, inexistence d’infrastructures sanitaires adéquates…) ; octroyer collectivement et massivement la nationalité congolaise aux Rwandais et ougandaise ; amputer, sans l’aval du peuple congolais, dès la victoire militaire, la RDC de 300 km à la frontière avec le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi et les donner à ces 3 pays pour leur sécurité.
Selon l’article 23 des Statuts de l’AFDL, les richesses de la RDC appartiennent à l’AFDL et donc au Rwanda et à l’Ouganda.
– des cadavres ambulants, condamnés à mort en sursis enfermés dans un vaste cimetière
Des Congolais sont non seulement des esclaves apatrides, mais ils sont enfermés dans un vaste cimetière rempli de fosses communes et y sont des cadavres ambulants, condamnés à mort en sursis.
Ils sont progressivement abattus et leurs cadavres sont jetés entassés comme du Bétail dans des fosses communes creusées dans ce vaste cimetière.
3) Pour la toute première fois dans toute son histoire, depuis le Royaume Nyiginya dans le Rwanda ancien et dans tous les pays occupés (Ouganda, Rwanda, Burundi, RDC), l’Ethnie tutsie qui a envahi la RDC en Septembre 1996, l’occupe, la domine, la gère depuis le 17 Mai 1997, pille ses richesses et extermine les Congolais, va organiser, le 23 Décembre 2018, des élections crédibles et une alternance démocratique pacifiée et civilisée alors qu’elle n’a jamais organisé ni des élections crédibles ni une alternance démocratique pacifiée et civilisée dans tous ces pays précités.

4) Pour la toute première fois, depuis que l’Humanité existe, un pouvoir- hors-la-loi va organiser, en RDC, le 23 Décembre 2018, des élections, et des élections crédibles

Un pouvoir-hors-la-loi est un pouvoir qui viole le Droit International, sa propre constitution et les lois de son pays (il est même déjà hors mandat et ne s’en préoccupe pas sponte sua; refuse de répondre positivement aux intérêts, aux aspirations profondes et légitimes et à la sécurité de sa population et de ses biens ; met en danger la sécurité des pays voisins et des partenaires et oblige les partenaires à user du devoir et du droit d’ingérence pour préserver et garantir leurs propres intérêts et leur propre sécurité.
Dans le cas spécifique de la RDC, le pouvoir d’occupation étrangère a laissé les frontières-Est de la RDC poreuses (les Rwandais sont régulièrement et massivement amenés par cargaison et charters en RDC). S’il y a élections, ils seront majoritaires à voter dans les territoires et de l’Est et seront majoritaires à l’Assemblée Nationale où ils auront 121 Députés ; ils contrôleront ainsi l’Assemblée Nationale et y seront incontournables.
Et ce pouvoir a trouvé, au sein de la Classe politique congolaise, un terrain très fertile et propice pour son installation et sa consolidation. 2[2]Ce terrain fertile et propice est constitué par nombreux penseurs et stratèges mobutistes : des individus dont la faculté thymotique est totalement détruite.
La Faculté thymotique est le siège et le réceptacle des idéaux et des valeurs ainsi que des causes nobles et justes.
Tels des fauves féroces, sadiques, impitoyables et irrémédiablement irrécupérables, ils avaient, pendant plus de décennies, mis le pays à feu et à sang, chosifié et animalisé le Peuple et l’avaient laissé exsangue, croupissant sous le poids d’une dette extérieure de plus de treize milliards de dollars que le peuple lui-même les nouvelles générations devaient payer puisqu’eux-mêmes avaient laissé des caisses publiques vides.
Ils sont très vite devenus les alliés, les conseillers et les collaborateurs zélés et dévoués du pouvoir d’occupation étrangère et ont retrouvé dans les différentes institutions du pouvoir d’occupation étrangère une nouvelle source de pouvoir de même nature tyrannique, oppressive et prédatrice que le pouvoir mobutiste.
Tous les Experts Internationaux qualifient la Tragédie Congolaise comme étant l’une pires tragédies d’origine humaine que le Monde connaît depuis la Deuxième Guerre Mondiale.
Dans tous les cas d’une tragédie d’une telle ampleur, la Communauté Internationale est très rapidement intervenue pour libérer les victimes, soulager leurs souffrances et leur détresse avec l’Aide humanitaire, extirper la cause de la tragédie à sa source même, apporter aux forces nationales de progrès le soutien nécessaire et suffisant afin de placer le pays sur les rails du progrès et le propulser en avant et en haut.
Citons, en l’occurrence, la libération des pays occupés par l’Allemagne nazie : les Alliés ont libéré tous les pays occupés, poursuivi les forces nazies jusqu’en Allemagne, détruit le régime nazi en Allemagne même et soutenu les forces allemandes de progrès pour instaurer un État de droit démocratique en Allemagne de l’Ouest. Aujourd’hui, l’Allemagne est le Moteur du progrès pour l’Union Européenne et pour le Monde entier.
Dans le cas de l’invasion du Koweït par l’Irak. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, a été un conflit majeur entre l’Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. Ce conflit a résulté en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. Cette invasion, élément déclencheur de la guerre du Golfe, a conduit ainsi directement à l’intervention militaire des États-Unis contre l’Irak en janvier 1991.
Dans le cas de la RDC, l’attitude de la Communauté Internationale diffère étrangement de cette attitude adoptée dans tous les cas des tragédies humaines ci-haut évoqués.
Fait le 01 05 2018.
Dr François Tshipamba Mpuila
E-mail : tshipamba.mpuila@yahoo.fr