Formons un bel attelage…


Chers compatriotes congolais,

C’est assez que d’avoir eu à subir le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS.

Avec ou sans les autres provinces, je propose à l’Est du Congo particuliètement, mais sans exclure ceux qui pensent comme nous dans l’Ouest, de prendre distance vis-à-vis du régime Kinshasa que nous félicitons pour son exploit aux élections 2023, par la même occasion !

Instruisons nos palementaires pour écrire à la République Démocratique du Congo et aux Nations Unies que nous voulons la paix, le respect et la dignité pour notre développement, notre vie et celle de nos enfants.

Pour ce faire, nous décidons de tracer notre route dans le respect de nos peuples que Kinshasa subjugue, décime, appauvrit, abruttit, trahit. Aussi, prenons-noud notre indépendance, inconditionnellement, moyenant un décompte à faire en toute sérénité, le temps que cela prendra, comme des frères humains, en vue de former une Union d’États Indépendats du Congo. Cette union est libre : chaque peuple du Congo, respectueux des autres peuples de cet espace, peut rejoindre l’Union, en vue de contribuer à notre indépendance réel, à notre développement intégral véritable, dans le respect de nos cultures respectives.

Attirons l’attention particulière de nos compatriotes actuels sur les cractères pacifiques, démocratiques, capitalistes et chrétiens de notre démarche. Il n’y a donc ici de la place ni pour un peuple rebelle ni pour un peuple ségrégationiste ni pour un peuple païen ni pour un peuple communautariste ni pour un peuple béliqueux !

Avec Dieu, construisons un bel attelage pour sa gloire !

Tshisekedi gagnera : les mains levées !


Selon un membre de notre groupe WhatsApp « Projet 2014 », voici ce qu’étaient les tendances des statistiques électorales dans nos provinces. La source des chiffres n’est pas citée… Comme c’est souvent le cas chez nous.

[21/12, 09:58] Tendance du soir :

  1. Nord-kivu : Tshisekedi 67%, Katumbi :20, autres :3
  2. Sud -kivu : Tshisekedi: 80%, Katumbi: 14%, autres :6%
  3. Grand Katanga : tshisekedi : 40%, Katumbi 58% , autres :2%
  4. Grand kasayi , Tshisekedi:93%, Katumbi :6% , autres :1%
  5. Maniema : tshisekedi :50%katumbi 48%, , autres 2%
  6. Équateur : tshisekedi : 74%, katumbi :10%, Fayulu : 4%, autres 2%
  7. Bandundu: Tsisekedi : 52%, Katumbi : 21%, Fayulu : 25%, autres :2%
  8. Bas Congo. :tshisekedi 65%, Katumbi: 15%, Fayulu 18% , autres :2%
  9. Provinces orientale : tsisekedi : 64%, katumbi : 30%, autres : 6%
  10. Kinshasa : Tsisekedi : 85%, Katumbi : 11 %, autres : 4%.

Donc, Tshisekedi va gagner, encore une fois, les mains levées ! Nous sommes électeurs, plus ou moins libres, nous devrons assummer notre choix, que personnellement je trouve malheureux à bien d’égards.

  • Une bonne préparation permettrait de faire mieux : unir, pacifier, grandir.
  • Avant même la proclamation, l’opposition se plaint déjà, sans s’excuser pour ses erreurs, sans vouloir assumer ses responsabilités !
  • Plutôt que de tirer les leçons de sa cupidité, elle en appelle aux étrangers pour arranger le pays qu’elle (cette opposition) met en moule, comme le fait le pouvoir en place.
  • La population se soumet, félicite, insulte, béatement.
  • L’intelligentsia congolaise est absente : le peuple est en manque d’éclaireurs dans ses églises qui répende de l’opium à leurs fidèles.
  • Les prophetess de Dieu continuent à souffrir le martyr !

Radio Okapi, donne quelques informations utiles à consulter : https://www.radiookapi.net/2023/12/22/actualite/politique/presidentielle-2023-les-resultats-du-vote-de-la-diaspora-donnent-une.

Katumbi gagnera-t-il ?


Apparemment oui ! Mais quelle est la réalité et comment le savoir ?

La swahiliphonie, majoritaire, paraît être avec lui, à ce qui commence à se voir dans les localités où il a annoncé ou effectué son passage, à Kisangani notamment. Seulement, des stratèges seraient en train de piéger Katumbi, en lui faisant croire qu’il soit populaire. Très vite, la vérité éclatera au grand jour, au grand dame de ceux qui se moque de Dieu, du côté du pouvoir que du côté de l »oppostion.

Face à ce rare congolais à être capitaliste, les USA ne se tromperont probablement plus cette fois-ci et abandonneront probablement un soutient aux pro-soviétiques et aux pro-chinois que nous leur avons toujours désespéremment déconseillés, depuis 1960 ; pour définitivement le soutenir jusqu’au bout, à l’encontre des congolais !

Quant à la question de la congolité, elle semble éteinte ou presque : Katumbi est en pleine campagne et certains de ses opposants de l’Est ont déjà perdu leurs électeurs et feraient mieux de changer de camp, même in extrémis… Il sera en effet de plus en plus difficile au clan du Président de la République de tripatouiller sans se mettre en danger politique et social réel : parce que les observateurs extérieurs, dans cette néo-colonie, sont des amis à Katumbi.

Dernier élément qui n’échappe à aucun observateur, il a mis son chapeau de cowboy, bleu de couleur…

Et comme pour boucler la boucle, c’est un autre vrai ou faux chrétien !

Rare en RDC : un avis motivé !


À RETENIR SUR JOSEPH KABILA :

1.JKK est né au maquis de Hewa Bora et est allé en exil en Tanzanie 5 ans avant la création de l’UDPS . Donc, il a commencé la lutte avant les fondateurs de l’UDPS qui dansaient encore SANKAYOSA ;

  1. JKK à 25 ans, il va libérer la RDC aux côtés de son père Mzee Kabila qui a commencé l’opposition depuis septembre 1960 (22 ans avant Étienne Tshisekedi). Il a commandé les troupes de L’AFDL pour la libération de Kisangani face aux armées très équipées ( DSP, SARM, Garde civile, Commandos de choc de col Mbuza Mabe, Mercenaires français et Serbes, les EX-FAR et Interahamwe );
  2. JKK nommé commandant forces terrestres et général major va défendre la RDC de l’agression rwando-ougandaise de août 1998 -2001;
  3. Désigné chef de l’État après l’assassinat de son père Mzee Kabila,il a réalisé ce qui suit :
    a. De 2001-2003 : stabiliser les fronts de bataille et réunifier le pays qui est morcelé ;
    b. De 2003- 2006 : il gère le pays sous 1+4 dans une approche managériale très appréciée jusqu’à amener la RDC aux élections démocratiques et libres ;
    c. De 2006-2011: il lance le projet de la reconstruction du pays avec le projet de 5 chantiers, la restructuration de l’armée et de la Police, la mise en place des institutions étatiques, etc
    d. De 2011 -2018 : il lance le projet de la révolution de la modernité en favorisant le climat des affaires, encourager l’investissement privé par la construction des immeubles et des flats hôtels, des infrastructures des biens communs, la compagnie aérienne, transport en commun urbain, la bancarisation de paye des employés.

Ses acquis à sauvegarder :

  1. La décolonisation intellectuelle et économique par la révision du code minier ;
    2 . La démocratie pluraliste et Électorale ;
  2. Le secteur médiatique et des télécommunications très développé ;
  3. Le budget national qu’il a trouvé à 300 millions dollars et a laissé le budget de 6 milliards de dollars sans la dette extérieure (atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE avec l’expertise avérée de MATATA PONYO);
  4. Une armée républicaine et dissuasive, 8ème d’Afrique ;
  5. Le patriotisme, l’unité et la culture de représentation équitable dans la désignation aux postes de l’État sans tribalisme ;
  6. Le respect des droits humains et de la justice équitable ;
  7. Les universités et les hôpitaux de référence dans chaque province ;
  8. La création de 3e cycle (DEA) à l’ESU et la gratuité de l’enseignement à L’EPST.

CELLCOM G4-PPRD.

NOTES
Voici une propagande qui va dans la bonne direction : citer des faits, avérés ou contestables, pour vendre son candidat !
À vos plumes : dans les commentaires ; ici bas.

Il nous faudra attendre…


[26/7, 19:34] JJ

ITURI: CONSTRUCTION DE NOUVEAUX BÂTIMENTS POUR L’ACCUEIL DES COMBATTANTS DANS LE SITE DE DÉSARMEMENT ET DÉMOBILISATION DE DIANGO

Plus de 6 dortoirs, 1 réfectoire, une infirmerie, plusieurs bureaux, des cuisines et des toilettes , sont en cours de construction au site de désarmement et démobilisation de Diango dans la province de l’Ituri.

Ces nouveaux bâtiments construits en bois avec pavement, viennent s’ajouter aux infrastructures déjà existantes sur ce site afin d’accueillir 1000 combattants dont 20 combattants par dortoirs.

Ces travaux, qui ont démarré le 4 juillet dernier, sur financement du gouvernement congolais à travers le P-DDRCS, sont exécutés par le corps du génie militaire et l’entreprise Yesu ni Jibu .

Cellule de communication P-DDRCS/ITURI.

[26/7, 20:48] GPAU

Un pays n’est pas développé par les élections ni par les armes, en effet.

C’est par un travail méthodique, sous la houlette d’hommes faits, intelligents, sages, patriotes, porteurs de projets rentables, pesants, robustes, visionnaires.

Rejoignez notre équipe du Projet 2014, avec une proposition originale, novatrice.

Projet2014.com/inscription

Nous oublions la CENI…


[14/8, 15:17] Bunia : des journalistes outillés en matière de traitement de l’information électorale
https://lavoixdelituri.com/bunia-des-journalistes-outilles-en-matiere-de-traitement-de-linformation-electorale/

GPAU : Les journalistes n’ont besoin que de leurs outils de travail journalistique : camera, moto, ordinateur, tablette, téléphone, valise ou car satelitaires, etc.

Les élections au Congo ne seront ni justes, ni transparentes, ni équitables, ni utiles, tant que nous confierons, méchamment ou négligemment, leur gestion à d’autres institutions que l’administration publique, préalablement dépolitisée, formée et outillée pour gérer les partis, les électeurs, les candidats et les élections.

Ne laissons pas Kinshasa nous prendre pour des moutons que nous avons été, depuis l’esclavage jusque ce jour. C’est dire que la CENI, cet autre instrument utilisé par nos colonisateurs, doit d’abord partir, être supprimée de notre pays, avec l’autre instrument colonial qu’est la MONUSCO ; pour qu’il soit possible de parler, d’entrevoir même, la paix embryonnaire au Congo.

La CENI permet aux hommes au pouvoir de miner le terrain où vient jouer une opposition pauvre, minable : politiquement, matériellement et spirituellement.

Arriver à démonter la CENI, en maniant des armes politiques (propagande, diplomatie, coalition, amandement des lois, etc.), c’est offrir à nous-mêmes, opposition, la preuve de notre capacité à jouer un match juste, honnête, constructeur, unificateur…

Piège pour Mukwege…


Tel que reçus.

Appelé publiquement à briguer la magistrature suprême en 2023, Denis Mukwege : ‘’Je pourrais considérer leur appel ! ’’

Comments: je pense sincèrement que cet éminent docteur, ce grand homme au grand coeur, cet humaniste invétéré ne doit pas tombé dans ce piège grand qu’on lui tend, c’est un grand homme qui est déjà rentré dans l’histoire de l’humanité par la grande porte, il n’a rien à faire en politique, de grâce qu’il résiste de toutes ces forces à cette tentation et garde tout le crédit de respect, de sympathie, d’affection et de courtoisie que l’humanité a pour lui…

http://opr.news/67d39bf221219fr_cd?link=1&client=news

PM

Ye te, azali Burundais papa.

Plus de CENI au Congo !


Voici la biographie de Dénis Kadima Kazadi , nouveau Président de la CENI.

Né le 21 septembre 1961 en RDC, Dénis Kadima est présentement le directeur exécutif de l’Institut Électoral pour une Démocratie durable en Afrique (EISA).

Ancien directeur du référendum et élections de l’ONU au Soudan (juillet 2010 à mars 2011) et conseiller technique principal du
PNUD en Tunisie (avril à juillet 2011), il est aussi licencié en sciences politiques et administratives de l’Université de Lubumbashi (1987).

En outre, il détient un master en sciences politiques et un diplôme post-universitaire en administration des affaires de l’université de Witwatersrand située à Johannesburg, en Afrique du sud (1997 et 1999).

Par ailleurs, Dénis Kadima est un expert en élections, démocratie et bonne gouvernance et est doté de plus de 30 ans d’expérience professionnelle. Il a à son actif des compétences solides dans les domaines du leadership, la planification stratégique, la conception et la direction des programmes, la levée de fonds (fundraising, ndlr), la gestion axée sur les résultats, le réseautage, la gestion des ressources humaines et la gestion financière.

De 1987 à 1992, il a été tour à tour chef de service et gérant de succursale à la Banque Commerciale Zaïroise (RDC) et de 1995 à 1998, il a dirigé le Programme de l’Ashoka Innovateurs pour le Public basé en Afrique du sud.

Quid de ses réalisations ?

En tant que directeur de l’EISA, il a entre autres, transformé avec succès cette organisation sous-régionale centrée sur l’Afrique australe en une ONG panafricaine et continentale respectée et influente et a développé et mis en œuvre une stratégie de levée de fonds ayant résulté à une augmentation des revenus de 33% en moyenne par an, sur une période de 10 ans. « Le revenu annuel moyen de l’EISA s’est élevé à 12 millions de dollars américains, contribuant à faire de l’Institut la plus grande et la plus influente des ONG africaines œuvrant dans le domaine des élections, de la démocratie et de la gouvernance », souligne-t-il.

En Tunisie où il a occupé le poste de conseiller principal du PNUD en 2011, Dénis Kadima a notamment, mis en place et dirigé l’équipe électorale de l’ONU, élaboré des stratégies et plans opérationnels appropriés pour l’organe tunisien de gestion électorale (ISIE) et intégré la dimension genre dans toutes les stratégies opérationnelles.

En dehors de cela, il a mis en place une division référendaire et électorale intégrée et initié avec succès une diplomatie électorale auprès des États et bailleurs, et obtenu une levée de fonds qui a permis l’augmentation des ressources pour le fonds commun du PNUD au Soudan entre 2010 et 2011.

Sur le plan électoral, Dénis Kadima a dirigé et appuyé plusieurs missions d’observation et d’évaluation d’EISA et autres institutions durant sa carrière professionnelle.

Visions et perspectives

Avec ses 30 ans d’expérience professionnelle dont 21 dans le domaine des élections, de la démocratie et de la bonne gouvernance, il ambitionne d’apporter à la CENI « l’intégrité morale, le professionnalisme, l’impartialité et l’objectivité qui sont vérifiables dans les institutions où il a travaillé ».

il avait promis que s’il était élu à la tête de la CENI, il entreprendrait ce qui suit :

  • Renforcer l’indépendance, l’impartialité et la transparence de la CENI ;
  • Être à équidistance et fédérer toutes les forces politiques nationales, sans distinction d’origine ethnique, géographique, religieuse ou de Genre ;
  • Mener de meilleures consultations avec les acteurs électoraux à travers des cadres de concertation qui fonctionnent effectivement ;
  • Pérenniser l’expertise de la CENI et davantage professionnaliser cette institution et améliorer son sens du service ;
  • Mettre en œuvre des programmes de prévention et gestion des conflits électoraux afin de mettre fin aux contestations et violences cycliques ;
  • Assurer plus de familiarisation de l’électorat avec la Machine à voter (MAV) ;
  • Améliorer les relations entre la CENI et la Communauté internationale ;
  • Assurer une meilleure communication avec le public et ;
  • Améliorer la redevabilité de la CENI vis-à-vis des parties prenantes et du public.
    [28/7, 09:33] G. Paluku Atoka Uwekomu: C’est donc :
  • un dépendantiste avérer qui nous aliénera plus qu’il ne nous libérera du joug étranger ;
  • un luba de plus dans la stratégie du Président de la République qui vise un tripatouillage réussi, parfait en 2023 ; en maintenant en place cette CENI qui ruine le Congo depuis sa création ;
  • c’est un autre inconnu qui surgit d’ailleurs pour venir nous surprendre, nous congolais, désormais experts en niaiserie ;
  • c’est un autre traitre qui accepte de travailler avec notre propre Président qui nous esclavagise à l’Est, comme dans le reste du pays : c’est notre ennemi avérer qui refuse de dénoncer son frère de tribut.

Que pouvons-nous faire pour ne tomber dans ce piège séculaire ?

  • Refuser la CENI pour 2023 et proposer à la place la réorganisationde notre administration pour qu’elle soit en mesure de s’occuperen toute indépendance des élections ; et se donner du temps pour ce travail indispensable à l’évitement des tripatouillage.
  • Titiller nos parlementaires pour voter motion de défiance à l’encontre de notre Président qui perpetue une culture de mépris pour le peuple, d’esclavage et de colonisation en défiant le souverain suprême que nous sommes.
  • Nous préparer sereinement à débouter de force tout ceux qui, aujourd’hui, nous esclavagisent et nous colonisent, encore et toujours.
  • Demander à être remplis du Saint-Esprit du Dieu vivant et vrai, dans le combat à mener contre Satan et ses suppôts congolais et étrangers, qui nous renient l’humanité ; de manière à nous garantir une marche victorieuse sur les scorpions.