L’Ituri et le Nord-Kivu ont choisi le suicide, encore une fois !


En acceptant de demeurer congolais, les deux provinces colonisés et esclavagisés de l’Ituri et du Nord-Kivu, comme depuis la traite des esclaves, ont encore une fois choisi la colonisation et l’esclavage congolais – cette fois-ci.

L’humiliation de nos peuples n’a pas encore eu gzin de cause sur notre moutonnerie. Quand et comment aurons-nous 250 parlementaires pour la paix en Ituri ?

L’état de siège prolongé pour la 34ème fois

Kavunga Jean Baptiste
Oct 14

Les députés nationaux ont voté ce jeudi 13 octobre 2022, la prorogation de l’état de siège pour la 34ème fois, dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, en proie à l’insécurité causée par des groupes armés étrangers et locaux.

Ce vote s’est déroulé sans débat après la motion de procédure du député national Prosper Bukasa, qui a appelé ses collègues à éviter toutes les discussions publiques sur des questions hautement sécuritaires.
Sur 386 élus présents dans la salle de congrès de l’hémicycle du palais du peuple, 383 ont voté pour cette prolongation.

C’est la ministre de la justice Rose Mutombo qui a présenté ce projet du gouvernement devant les élus du peuple.
La Rédaction

CommentaireVous pouvez également répondre à cet e-mail pour laisser un commentaire.

http://ahdignity.org/2022/10/14/letat-de-siege-prolonge-pour-la-34eme-fois/
[14/10, 08:40] G. Paluku Atoka Uwekomu: Avec ce vote à l’appui,  comment pouvons nous dire que le gouvernement irresponsable ne soit pas soutenu par nous,  peuple congolais ?

Si nous, de l’Ituri et du Nord-Kivu ne comprennons pas que nous sommes colonisés et esclavagisés par nous-mêmes et par les hommes qui trônent à Kinshasa ; et non pas par ceux qui nous domineraient de Kigali, alors nous n’avons qu’à nous en prendre à nos propres niaiserie, étourderie, complaisance… Elles durent depuis l’esclavage arabe jusqu’à celui de nos compatriotes congolais.

Le social : 9 propositions novatrices de GPAU.


Ces derniers jours, les congolais ont été de plus en plus sensibilisés au méfait de l’égoïsme légendaire de nos parlementaires par la presse congolaise et occidentale. L’impérialisme occidental, cette fois-ci comme les autres fois, semble s’être curieusement mué en humanisme. Et pourtant…

Depuis décembre 1999, nous proposons aux congolais, sans que personne n’y prête attention, un passage de la République à une Union d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, l’UEIC, pour couper l’herbe sous les pieds des hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique, par ignorance, par esprit d’hégémonie clanique, tribale ou segregationiste. Parmis ces hommes, se trouvent en tête des parlementaires qui s’attribuent des salaires d’iniques, de 17 à 21 milles euros par mois, sous la barbe de près de 100 millions de congolais !

Pour nous sortir de la crise qui perdure, pour focaliser nos efforts, dans le domaine du social, comme dans les autres domaines, nous avons formulé des propositions et les avons déposées sur une table non visitée.

Notre proposition à nous est que la tension salariale (salaire maximum/salaire minimum) reste inférieure ou égale à 5 et que le salaire minimum soit supérieur au minimum vital que nous estimons à 1250 €/mois, pour une personne isolée. C’est notre manière d’offrir aux congolais de vivre dans un mimimum de justice sociale et de confort de vie.
Le plus haut salaire net ne doit donc pas dépasser les 6250 €/mois pour une personne isolée.

Puisque notre dernière proposition est d’appliquer une imposition de 57% sur les revenus bruts, les salaires bruts doivent être compris entre 2193 €/mois et 10.965 €/mois pour la personne isolée. Cette imposition novatrice vise à permettre à chaque congolais de maintenir son niveau de vie à la retraite.
Voilà quelques unes de nos propositions, du ressort du social, sur lesquelles les congolais crachent depuis décembre 1999 :

  1. le salaire minimum ;
  2. le salaire maximum ;
  3. la sécurité sociale minimale pour tous.

Nos autres propositions touchant au social sont :

  1. l’obligation scolaire jusque 24 ans ;
  2. l’obligation de travail dès 25 ans ;
  3. la qualification obligatoire de tout travailleur ;
  4. une villa spacieuse et fonctionnelle pour tout ménage ;
  5. l’énergie, l’eau et l’électricité, aux portes de tous les ménages et de toutes les entreprises ;
  6. la priorité aux nationaux en matières d’emploi, à qualifications et expériences égales.

Nos propositions sont innovantes en qu’elles ne demandent aucun endettement extérieur. Le financement des changements à opérer sera à 100% congolais. Parce que :

  1. tout congolais sera au travail au regard de nouveaux chantiers à ouvrir, dans plusieurs secteurs ;
  2. tout salaire sera taxé, à près de 57%, à la source ;
  3. le produits congolais seront de grandes valeurs du fait de la qualification des travailleurs et de la forte hausse des bas salaires ;
  4. une réduction brutale de la corruption et sursaut de patriotisme…

Le démarrage de ce projet attend le reveil de la conscience nationale que réussira à provoquer l’implication des membres de Kongo Ya Sika dans la mobilisation de notre peuple.

Plus de CENI au Congo !


Voici la biographie de Dénis Kadima Kazadi , nouveau Président de la CENI.

Né le 21 septembre 1961 en RDC, Dénis Kadima est présentement le directeur exécutif de l’Institut Électoral pour une Démocratie durable en Afrique (EISA).

Ancien directeur du référendum et élections de l’ONU au Soudan (juillet 2010 à mars 2011) et conseiller technique principal du
PNUD en Tunisie (avril à juillet 2011), il est aussi licencié en sciences politiques et administratives de l’Université de Lubumbashi (1987).

En outre, il détient un master en sciences politiques et un diplôme post-universitaire en administration des affaires de l’université de Witwatersrand située à Johannesburg, en Afrique du sud (1997 et 1999).

Par ailleurs, Dénis Kadima est un expert en élections, démocratie et bonne gouvernance et est doté de plus de 30 ans d’expérience professionnelle. Il a à son actif des compétences solides dans les domaines du leadership, la planification stratégique, la conception et la direction des programmes, la levée de fonds (fundraising, ndlr), la gestion axée sur les résultats, le réseautage, la gestion des ressources humaines et la gestion financière.

De 1987 à 1992, il a été tour à tour chef de service et gérant de succursale à la Banque Commerciale Zaïroise (RDC) et de 1995 à 1998, il a dirigé le Programme de l’Ashoka Innovateurs pour le Public basé en Afrique du sud.

Quid de ses réalisations ?

En tant que directeur de l’EISA, il a entre autres, transformé avec succès cette organisation sous-régionale centrée sur l’Afrique australe en une ONG panafricaine et continentale respectée et influente et a développé et mis en œuvre une stratégie de levée de fonds ayant résulté à une augmentation des revenus de 33% en moyenne par an, sur une période de 10 ans. « Le revenu annuel moyen de l’EISA s’est élevé à 12 millions de dollars américains, contribuant à faire de l’Institut la plus grande et la plus influente des ONG africaines œuvrant dans le domaine des élections, de la démocratie et de la gouvernance », souligne-t-il.

En Tunisie où il a occupé le poste de conseiller principal du PNUD en 2011, Dénis Kadima a notamment, mis en place et dirigé l’équipe électorale de l’ONU, élaboré des stratégies et plans opérationnels appropriés pour l’organe tunisien de gestion électorale (ISIE) et intégré la dimension genre dans toutes les stratégies opérationnelles.

En dehors de cela, il a mis en place une division référendaire et électorale intégrée et initié avec succès une diplomatie électorale auprès des États et bailleurs, et obtenu une levée de fonds qui a permis l’augmentation des ressources pour le fonds commun du PNUD au Soudan entre 2010 et 2011.

Sur le plan électoral, Dénis Kadima a dirigé et appuyé plusieurs missions d’observation et d’évaluation d’EISA et autres institutions durant sa carrière professionnelle.

Visions et perspectives

Avec ses 30 ans d’expérience professionnelle dont 21 dans le domaine des élections, de la démocratie et de la bonne gouvernance, il ambitionne d’apporter à la CENI « l’intégrité morale, le professionnalisme, l’impartialité et l’objectivité qui sont vérifiables dans les institutions où il a travaillé ».

il avait promis que s’il était élu à la tête de la CENI, il entreprendrait ce qui suit :

  • Renforcer l’indépendance, l’impartialité et la transparence de la CENI ;
  • Être à équidistance et fédérer toutes les forces politiques nationales, sans distinction d’origine ethnique, géographique, religieuse ou de Genre ;
  • Mener de meilleures consultations avec les acteurs électoraux à travers des cadres de concertation qui fonctionnent effectivement ;
  • Pérenniser l’expertise de la CENI et davantage professionnaliser cette institution et améliorer son sens du service ;
  • Mettre en œuvre des programmes de prévention et gestion des conflits électoraux afin de mettre fin aux contestations et violences cycliques ;
  • Assurer plus de familiarisation de l’électorat avec la Machine à voter (MAV) ;
  • Améliorer les relations entre la CENI et la Communauté internationale ;
  • Assurer une meilleure communication avec le public et ;
  • Améliorer la redevabilité de la CENI vis-à-vis des parties prenantes et du public.
    [28/7, 09:33] G. Paluku Atoka Uwekomu: C’est donc :
  • un dépendantiste avérer qui nous aliénera plus qu’il ne nous libérera du joug étranger ;
  • un luba de plus dans la stratégie du Président de la République qui vise un tripatouillage réussi, parfait en 2023 ; en maintenant en place cette CENI qui ruine le Congo depuis sa création ;
  • c’est un autre inconnu qui surgit d’ailleurs pour venir nous surprendre, nous congolais, désormais experts en niaiserie ;
  • c’est un autre traitre qui accepte de travailler avec notre propre Président qui nous esclavagise à l’Est, comme dans le reste du pays : c’est notre ennemi avérer qui refuse de dénoncer son frère de tribut.

Que pouvons-nous faire pour ne tomber dans ce piège séculaire ?

  • Refuser la CENI pour 2023 et proposer à la place la réorganisationde notre administration pour qu’elle soit en mesure de s’occuperen toute indépendance des élections ; et se donner du temps pour ce travail indispensable à l’évitement des tripatouillage.
  • Titiller nos parlementaires pour voter motion de défiance à l’encontre de notre Président qui perpetue une culture de mépris pour le peuple, d’esclavage et de colonisation en défiant le souverain suprême que nous sommes.
  • Nous préparer sereinement à débouter de force tout ceux qui, aujourd’hui, nous esclavagisent et nous colonisent, encore et toujours.
  • Demander à être remplis du Saint-Esprit du Dieu vivant et vrai, dans le combat à mener contre Satan et ses suppôts congolais et étrangers, qui nous renient l’humanité ; de manière à nous garantir une marche victorieuse sur les scorpions.

La mort de la RDC : évitable ?


« La nationalité congolaise est une et exclusive. Elle ne peut être détenue concurremment avec une autre nationalité. Elle est soit d’origine, soit acquise par l’effet de la naturalisation, de l’option, de l’adoption, du mariage ou de la naissance et de la résidence en République Démocratique du Congo. »
http://www.leganet.cd

La loi est dure, mais c’est la loi.

Dans un pays où des bandits politiques créent des lois pour se maintenir au pouvoir, une loi n’est plus une loi, mais sujet de raillerie et de guerre fratricide, comme nous l’avons écouter ci-haut.
Lorsque certains congolais et étrangers, s’arroge le droit d’attribuer aux personnes la congolité ou de retirer à d’autres cette nationalité, ils engagent les vrais congolais à entrer en guerre.

Cette guerre, nos bandits ci-haut évoqués la perdrons, après une longue guerre sanglante, pourtant évitable.

Le Président de la République vient d’engager cette guerre, sans le savoir. Le gouverneur militaire de l’Ituri qu’il le gagnera en terrorisant les ituriens en rébellion, contre un régime dictatorial et sanguinaire…

Le peuple sous instruit, sous formé, sous éduqué subit son calvaire : pour un temps.

Combien de temps le peuple se laissera-t-il conduire à l’abattoir ? Pourquoi et comment ?

Quant à nous, nous ne cessons d’indiquer la voie par excellence pour nous éviter la mort de la nation congolaise : titiller nos parlementaires pour la disqualification des hommes véreux que nous commettons, par pure folie et caprice, à répétition, à la gestion de la chose publique.

%d blogueurs aiment cette page :