Inspirer…


Proposer, ne suffit pas !

Ceux qui réussissent,  inspirent plus, convainquent : quoi de plus normal, de plus humain…

Si le Projet 2014 faisait des députés, ministres ou gouverneurs,  depuis 1999, il aurait sans diute déjà atteind l’objectif de 3.000 participants et de 50% de ministres inspirés par le projet.

Vous inscrire, c’est ici-même : https://projet2014.com/inscription.

Développement : simple ou complexe…


Le développement du Congo ne consiste pas à verser pas dans des jérémiades : nous le regretterions. Mettonss-nous du côté de ceux qui agissent, suivant les voies de Dieu et ne suivons les sentiments des humains, les voies de nos pères qui nous ont plongés dans la malédiction présente !

Ce que nous oublions de dénoncer et d’éviter, ce sont les dégâts créés par nos orgies mal pensées de nos rencontres fraternelles, les limites patentes de l’école napoléonienne qui déconnecte nos enfants de nous, leurs parents et leur apprend n’importe quoi, hors de notre contrôle.

Les téléphones, mal utilisés par les pauvres, les simplistes, les complaisants, les danseurs, les plaintifs, mais premiers juisseurs de la vie,  sont effectivement un problème qui a une solution, comme les autres vicissitudes de la vie.  Une de mes filles a trouvé son astuce à elle : du matin au soir, sur son lieu de travail, elle est injoignable, même par son père.

Yangambi brûle.


Date, heure et contexte de l’événement ?
Auteurs des actes ?
Le mobile ?
La motivation ?
Conséquences à courtes et longues échéances ?
Capacités d’intervention des yangambiens et du reste des préjudiciés ?
Autorités, mesures prises ?

À Kisangani, non loin de Yangambi, nous avons fermé notre succursale de l’EAE ASBL, où nous souhaitions installer notre centre de publication de supports de formation (Centre de Nouvelles Technologies de l’Information et des Communications : CNTIC) et d’enseignement (Institut des Technologies de Pointe : ITP) de l’EAE ASBL, ainsi que notre Centre de Collecte, de Traitement et de Diffusion de Données (CCTDD ou C²TD²), à cause de l’indifférence des indifférence des bénéficiaires directs de cette initiative.

Yangambi sera construit un jour par les yangambiens qui aujourd’hui ont laissé dépérir leur cité et détruire des locaux que l’on nous présente, sans plus de précision. Jadis, cette localité était renommée dans le domaine de la recherche agronomique ; aujourd’hui, elle est oubliée du monde entier.

Une initiative est en gestation à Kisangani, qui, si elle est suivie à Yangambi, permettra de rapidement construire un Yangambi nouveau, prospère, durable !

Territoire de Beni (Oïcha) : Appel à participation.


Chers habitants de tu territoire de Beni (Oicha), dans le but de continuer à développer notre habitat, notre agriculture et nos mines, EAE ASBL vous propose la valorisation de 4 km de part et d’autre de la route Butembo-Eringeti en y développant une agriculture industrielle et des villas pour tous les ménages. Près de 25.000 ha de champs coopératifs pour combattre :

  1. La pauvreté (apporter la richesse matérielle, financière, morale, spirituelle…) ;
  2. La colonisation (promouvoir les fils du terroir) ;
  3. L’esclavagisme (assurer des salaires justes).

Au programme :

  1. Appropriation de nos terres.
  2. Cultures vivrières et industrielles contrôlées par les autochtones.
  3. Valorisation du travail professionnalisme.
  4. Promotion de l’unité et de l’humanité…
  5. Organisation et contrôle des activités minières dans notre terroir.

De la production à la rentabilté…


Nous devons produire les ressouces dont notre nation a besoin pour vivre.

  • Pour nos besoins.
  • Pour vendre et avoir de quoi acheter ce que nous ne savons pas produire.

Notre production doit donc être accrue, diversifiée, qualifée…

Pour que notre production soit suffisante, notre productivité doit être accrue et la rentabilité de nos processus de production doit être accrue.

Pour que cela soit possible, notre peuple doit être bien instruit, formé et éduqué. Le rôle de l’enseignement est donc crucial dans le processus de notre développement. Il importe donc de ne laisser personne jouer avec la profession enseignante.

C’est la raison pour laquelle, aux élections prochaines, nous supplions notre peuple à ne plus être complaisant. Nous devons nous désigner des parlementaires, des ministres et des fonctionnaires d’une grande éducation, d’une haute formation et d’une vaste culture.

Pour qu’il en soit ainsi, nous devons nous départir du népotisme, du favoritisme et revêtir le civisme, le patriotisme…

Cest le gage de notre production, de notre productivité, de notre rentabilité et de notre compétitivité.

Kikwit est mort !


Kikwit: les enseignants menacent de boycotter la rentrée scolaire | Radio Okapi

http://radiookapi.net

Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

La ville de Kikwit est MORTE.  Ceux qui connaissent la géolitique congolaise savent pourquoi et comment.  A la fin des années 80, nous avons visité la ville en déliquescence.  Aujourd’hui, faute de n’avoir combattu, à part l’opération « Bandundu décendez », cet autre combat mal conçu, nos jeunes de Kikwit, tout comme leurs pères, son réduits à leur plus simple expression : il n’ont plus aucun pouvoir.  D’autant plus que le PALU les a, lui aussi, vendus…

Depuis que le mobutisme a résolu de mettre la ville de Kikwit à genou – pour une raison que la jeunesse ignore, très souvent – et que cette ville n’a pas résolu de prendre sa propre défence, rien ne peut y aller dans la bonne direction !
Venant après le pas PALU, qui a déçu plus d’un dans le Bandundu, Kongo ya Sika est le parti politique qui peut redonner à Kikwit sa belle image de jadis par un soutien démocratique du combat pour l’indépendance des peuples opprimés du Bandundu, comme aux autres peuples de notre Congo qui sont mis sous le joug de l’imposture que nous laissons trôner à Kinshasa.
La menace des enseignants, sans capacité ni force politiques de dissuasion, n’apportera pas une solution durable aux problèmes.
Notre proposition est de commencer par la disqualification démocratique de tous les hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique et la qualification de nos vrais leaders pour un Congo véritablement nouveau : le pouvoir de nos peuples récouvré.

Les miettes pour la RDC


Le défi technologique à affronter est énorme en RDC, pendant que les ingénieurs civils s’y font rares si l’on tient compte des projets à concevoir ou à conduire.

L’espace politique étant pourri, il devient difficile d’espérer tant que rien n’est décidé au niveau personnel et collectif pour préparer le grand changement souhaitable, mais pas encore souhaité.

Que dire dans ce contexte de l’accident ferroviaire du Katanga ?

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[28-04-14 16:24:57] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: De vielles locomotives abandonnées en Australie et déclassées en Afrique du sud rachetées pour tuer les congolais. 
Dans un communiqué conjoint daté du 24Avril 2014,

les organisations de la société civile du Katanga membres de la plateforme pour la promotion et la défense des Droits Economiques Sociaux et Culturels (DESC/RDC) se disent préoccupées par les conséquences résultant de l’accident du train marchandise appartenant à la Société Nationale de Chemin de fer du Congo(SNCC) et accusent l’Etat Congolais, la SNCC et ses partenaires d’être responsables des accidents ferroviaires à répétition au Katanga, causant des pertes en vies humaines et matérielles. Les organisations membres de la plateforme DESC /RDC, dont font partis, Action Citoyenne pour la Bonne Gouvernance ACBG, Centre de Formation et de Promotion de la gouvernance dans le secteur minier CFPG, Centre pour la Justice et la Réconciliation, C.J.R, Humanisme et Droits Humains, HDH., Justicia ASBL, Observatoire Congolais des Minerais Radioactifs, O.M.R.A.C, Nouvelle Dynamique Syndicale, N.D.S accusent l’Etat congolais d’avoir failli à sa mission et le rend responsable de cette situation, par manque d’une politique en matière de transport.
 
Pour rappel, en date du mardi 22Avril 2014 aux environ de 10H00, un train de marchandise de la SNCC en provenance de Kamina, au Katanga et qui se rendait à Mwene-ditu, au Kasaï Occidental, a déraillé. Cet accident est survenu à plus ou moins 7 Km du village Katongola et à plus ou moins 47 Km de la ville de Kamina.
 
Des vieilleries pour tuer les Congolais
 
Selon ces organisations, ce déraillement est survenu à la suite d’un emballement de la locomotive, suite à un excès de vitesse et à la conduite en état d’ivresse du machiniste. Pourtant cette locomotive est l’une de celles acquises par le gouvernement congolais et qui avaient été réceptionnées pompeusement par le Premier ministre, Matata Ponyo à Lubumbashi au courant de l’année 2013.
 
Avec cet accident, ces Ongd se rendent compte que ces locomotives n’étaient pas neuves, mais bien des veilles qui avaient déjà été utilisées en Australie en 1962, puis en Afrique du Sud où elles étaient déclassées. A ce jour le bilan des victimes fait état de plus ou moins 350 personnes décédées sur place et plus ou moins 161 blessées. Parmi les morts, on a dénombré des policiers et des militaires des FARDC, des élèves qui revenaient de vacances, des athlètes et des commerçants.
 
Plusieurs personnes blessées ont succombé par manque d’une intervention d’urgence appropriée. Trois jours après cet accident, des corps sont encore dans les décombres ou coincés sous les wagons, déplorent les signataires de ce communiqué conjoint. Ces organisations de la société civile du Katanga signalent que l’achat des locomotives vétustes, leur manque d’entretien, le mauvais état de la voie ferrée et l’absence de motivation des travailleurs qui totalisent plus de 98 mois sans salaire sont parmi les causes de cet accident mortel. Cet accident est survenu alors que la SNCC a signé u contrat avec société Sud africaine du nom de Vecturis pour l’entretient de la voie ferrée et des locomotives. Elles regrettent de constater que Kinshasa tente de minimiser cet incident en divulguant des chiffres des personnes décédées et des blessées ainsi des circonstances inexactes de son déroulement pour échapper à ses responsabilités. C’est ainsi que ces organisations membres du DESC/ RDC recommandent à Kinshasa de communiquer à la population le chiffre exact des victimes et de diligenter une enquête mixte gouvernement, assemblée nationale et société civile pour élucider les causes et déterminer les responsabilités dans le déroulement de cet accident. Action Citoyenne pour la Bonne Gouvernance ACBG, Centre de Formation et de Promotion de la gouvernance dans le secteur minier CFPG, Centre pour la Justice et la Réconciliation, C.J.R, Humanisme et Droits Humains, HDH., Justicia ASBL, Observatoire Congolais des Minerais Radioactifs, O.M.R.A.C, Nouvelle Dynamique Syndicale, N.D.S exigent révocation du Comité de gestion et le Conseil d’Administration de la SNCC pour mauvaise gestion.
Elles exhortent Kinshasa à décréter un deuil national pour honorer les victimes et indemniser les victimes. Les organisations de la société civile sont priées d’organiser les victimes dans une association pour une action judiciaire contre l’Etat Congolais, la SNCC, le président du Conseil d’Administration de la SNCC et la Banque mondiale.
 
La VSV s’interroge
 
Pour la VSV, cet énième déraillement de train au Katanga avec plusieurs pertes en vies humaines relance avec acuité la problématique non seulement de la gestion de la SNCC en RD Congo mais également celle de la vétusté des locomotives de cette dernière. Pour la VSV, Kinshasa se trouve interpellé et doit en principe tirer les leçons des drames macabres survenus en prenant des mesures efficientes et appropriées concernant le fonctionnement et la gestion de la SNCC, pour sécuriser effectivement les voyageurs et les biens en vue d’éviter dans l’avenir de tels incidents.
 
Il convient de relever que depuis le début de l’année 2013, où des dizaines des personnes ont trouvé la mort suite au déraillement de train dans la province du Katanga, aucune mesure n’est prise pour éviter ce genre de drame. La VSV invite Kinshasa à accélérer l’enquête initiée à ce sujet pour faire la lumière sur ce énième accident macabre en vue d’établir les responsabilités et sanctionner les personnes mises en cause, et ce, conformément à la loi. L’ONGDH invite également Kinshasa à assurer une prise en charge effective des victimes et indemniser ces dernières et/ou leurs familles pour les préjudices subis. Enfin, la VSV exhorte le gouvernement Matata à sanctionner rigoureusement les responsables impliqués dans la gestion calamiteuse de la SNCC et les mettre hors d’état de nuire en prenant des dispositions qui s’imposent pour garantir effectivement la sécurité des voyageurs et des biens par voie ferroviaire et autres voies de communication.

Jeunesse : levons-nous et agissons ! (3)


Pourquoi ne fêtons-nous pas le 30 juin ?

Demain est la journée de la fête de l’indépendance qui nous aurait déjà coûté 6 à 12 millions que d’autres comptent pour nous !

Jeunesse congolaise, réfuse d’avoir un avenir compromis par de papa qui veulent éternelement.

Suivez une partie de la campagne que nous menons sous Skype et Facebook.

Vous pouvez appuyer l’initiative.

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[10:50:22] JAO: Bonne fête de l’indépendance en Bruxelles

[11:52:15] GPAU: Bonne fête ?

[11:52:22] GPAU: Qu’est-ce qui te prends ?

[11:52:37] GPAU: Où vois-tu le congolais indépendant ?

[11:53:13] GPAU: Avec des congolais qui enlèvent aux autres congolais leur nationalité ?

[11:55:01] GPAU: Avec un imposteur et incompétent à la tête du pays ; des assassinats, des meurtres, des viols, de vols, de populations déplacées, décimées, privées de leurs libertés et de la paix ; toi tu es en fête ?

[11:55:33] GPAU: Je n’ai jamais fêté le 30 juin !

[11:55:37] JAO: Ce malheureux mon frère maintenant vous avez quelle nationalité

[11:57:50] GPAU: Je réfléchis à comment faire pour convaincre mon peuple de traduire en justice les assassins de Lumumba, Tshombe, Chebeya, Tungulu et autres ; à traduire en justice ce qui s’arroge le droit de me priver de ma nationalité !

[11:58:40] JAO: Même moi mon frère j’en ai marre avec

[11:58:40] GPAU: Et toi, je pensais que tu étais à notre côté dans cette lutte pour l’indépendance des peuples du Congo !

[11:59:00] GPAU: 2016 approche, allez-vous commettre encore la même erreur ?

[11:59:15] GPAU: Malu Malu est déjà mis en place…

[11:59:31] GPAU: Vous irez encore à ces élections-là aussi ?

[12:00:27] GPAU: Ce serait très dommage et appeler une malédiction sur une autre !

[12:00:33] JAO: Moi non je n’irai

[12:01:00] JAO: Vraiment ce drôle d’histoire

[12:02:33] JAO: Ce pourquoi je dois tjrs les dénoncer

[12:03:47] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:03:48] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:04:46] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:04:47] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:05:09] JAO: Papa je suis derrière vous

[12:05:52] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:05:53] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:29] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:06:30] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:07:36] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:07:37] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:08:14] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:08:15] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:09:53] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

[12:09:55] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

Jeunesse : levons-nous agissons !


[28-06-13 14:54:47] JB: salut

[28-06-13 14:56:11] GPAU: Bonjour, plutôt !

[28-06-13 14:56:41] JB: Merci, comment vs allez?

[28-06-13 14:58:41] GPAU: Oui ! Il est un silence qui est d’or. Non ! Il est un silence qui relève de l’irresponsabilité, de la compromission ou d’un autre vice.

[28-06-13 14:58:56] GPAU: Justin, que pourrions-nous faire ensemble ?

[28-06-13 14:59:52] GPAU: Laisse toujours un message si ne je suis pas là. Un bonjour tout court ne suffit pas, me laisse toujours sur la soif d’apprendre… Surtout, de ce que nous pourrions faire ensemble !

[09:52:45] JB: Bonjour,

[09:53:51] JB: Merci bien pour votre message et je compte faire cela.

Où êtes vous actuellement?

[12:14:38] *** Call from JB, duration 01:15. ***

[12:16:42] *** Call to JB, duration 07:46. ***

[12:24:43] GPAU: http://www.paluku.net/2014

[12:24:55] GPAU: Reviens à moi avec des propositions !

[12:25:29] JB: bien compris

[12:25:36] GPAU: Nous n’avons pas de temps à perdre : le pays se meurt à cause de notre passivité !

[12:26:15] GPAU: Levons-nous et disons à nos pères qui se sont fourvoyés qu’ils ont mis votre avenir, vous, la jeunesse, en hypothèque !

[12:27:36] JB: Bien, je crois que je vais sacrifier un peu de mon temps pour y réfléchir suffisamment. Bon weekend

Est : un centre de négoce international…


  Daudi Patrick

Le tout premier centre de négoce des produits miniers répondant aux standards internationaux a été inauguré ce mercredi 17 avril en cité de Rubaya, dans le territoire de Masisi au cours d’une cérémonie présidée par le vice gouverneur de province du Nord-Kivu, Feller Lutayichirwa Mulwahale en présence des plusieurs personnalités principalement la déléguée de l’Ambassade du Canada et le responsable de l’Organisation internationale des Migrations dans cette partie de la RD Congo…LES DETAILS PAR ICI :