Il tanse déjà le cameraman ?
Est-ce le futur président de la RDC ?
Il tanse déjà le cameraman ?
Il tanse déjà le cameraman ?
Le congolais n’aime pas un Congo qu’il n’a pas créé et qui lui pose beaucoup de problèmes, en raison de sa diversité culturelle.
Seuls les chrétiens, en raison de leur nouvelle naissance, ont la capacité de transcender le tribalisme ambiant, d’aimer véritablement ce Congo des Belges, de s’efforcer d’en faire un Congo des Congolais.
Les bokokistes du MNC, du MPR, de l’AFDL, du PPRD, de l’UDPS, sont congénitalement incapable de citoyenneté.
Très peu, infimes, sont ceux capables de comprendre cette loi fondamentale.
Les discours politiques païens, n’aideront pas notre pays à s’en sortir. Seules la connaissance intime, mystique, de notre créateur et de ses desseins, ainsi que la pieuse conformation de nos comportements à son vœu sauveront le Congo.
La cause profonde de nos malheurs est donc l’iniquité de notre peuples.
Suivez attentivement cette vidéo, il s’adresse uniquement à Corneille NANGAA : Monsieur Nangaa, êtes-vous réellement le responsable du M23 ou carrément vous êtes allés rejoindre le M23 ?
Telle est la question posée par l’artiste Tshibanda à Nangaa, comme s’il ne savait pas que ce soit la dictature du pouvoir de Kinshasa qui pousse nos concitoyens désespérés à se rebeller contre la CENI, la MONUSCO, l’état de siège non désiré. Le M23, la CODECO et les autres mouvements rebelles sont l’expression d’un malaise politique qui a commencé depuis le jour où certains peuples ont résolu de soumettre d’autres pour s’enrichir sur le dos de ces derniers.
Nangaa est tombé dans la tentation de choisir le raccourci de la rébellion comme moyen pour démonter la dictature. Il a oublié de considérer le MNC, le MPR et l’AFDL, qui ont tous usé de la violence pour prendre le pouvoir ; mais qui ont tous aujourd’hui du sang congolais sur les mains et qui n’ont pas encore eu à repondre des leurs actes jusqu’ici.
Nous ne sommes plus dupe : Nangaa est de l’Est et compatit, mal, mais aux souffrance de sa gente swahiliphone, martyrisée depuis belle lurette, par le régime de son cousin Tshisekedi.
Les Congolais qui ne le savent pas, devront savoir que si Nangaa était tribaliste, comme plusieurs de nos compatriotes luba, il ne rejoindrait pas le M23 ! La CODECO est le groupe qu’il choisirait : c’est là que se trouvent ses cousins des plus proches, de sang et d’origine, qui se prépare à rejoindre aussi le M23, s’ils ne l’ont pas encore fait, à ce qui nous parvient à Bruxelles !
La dictature qui nous colle à la peau, que avons hérité de nos aïeux, est ce qui EXPLIQUE, notre misère, notre déchéance.
Il revient à tous les peuples épris de respect pour les fils de Dieu, habités de l’Esprit du Père, de se démarquer pour impulser le changement dont nous avons besoin.
Or, avec la République, qui contient le germe de la dictature, il nous est impossible de changer de mode de vie politique. Estons donc nos parlementaires pour un changement radical d’organisation politique, pour avoir un système ou chaque peuple, chaque culture, prenne son INDÉPENDANCE véritable !
Sans cela, le M23, la CODECO, et les autres, continueront à nous endeuiller et à nous maintenir dans l’insécurité, l’esclavage, la colonisation et la pauvreté.
[21-03-24 10:51] Le tribalisme : une des pesanteurs qui tirent [la RDC] vers le bas. C’est vraiment regrettable !
[21-03-24 11:45] : Le tribalisme que nous observons au Congo est une réaction de tout païen contre l’esclavagisme et la colonisation dans lesquels Kinshasa s’investit depuis bien avant 1960. Il n’est pas qu’une méchanceté de l’actuel régime seul. Le mal vient de très loin : de nos aïeux. Cette souffrance continuera encore après nous, à voir la manière dont nous la gérons, nous : Congolais. Il est important que nos enfants apprennent à reconnaître cette vérité capitale, fondamentale, pour que demain soit corrigée la situation que nous avons créé de nos mains et de nos esprits rebelles à Dieu, dont nous nions l’amour, par attachement aux esprits de nos « koko ».
Accordons à chacun de nos peuples et alliances son indépendance réelle et sa liberté véritable. Nous verrons alors les différentes formes de ségrégations que nous vivons aujourd’hui disparaître rapidement, pour ne pas dire instantanément.
Les Congolais qui se voient brimer par l’État, se rabattrons tout naturellement et souvent sur leurs familles, leurs patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs ethnies, leurs races, leurs nations, leurs continents, où ils attendent être plus facilement écoutés. Prenons un exemple simple. Kinshasa a décidé que nous ne soyons plus congolais parce que nous avons acquis des nationalités étrangères. Il a en revanche accordé à des personnes de pères étrangers, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes matriarcaux minoritaires, mais une abomination chez nos compatriotes patriarcaux, largement majoritaires. De même, il a accordé à des personnes de mères étrangères, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes patriarcaux, mais une violation des coutumes de nos compatriotes matriarcaux. Ces violations de nos droits les plus élémentaires ne peuvent que frustrer ceux qui n’ont d’autres remparts que leurs familles, les patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs clans, leurs ethnies ou leurs alliances ; dans une nation par ailleurs à origine coloniale.
Comment voulez-vous que nous connaissions la paix dans ces conditions ? Frères, aujourd’hui tout montre que personne à Kinshasa ne veut nous accorder d’être libres, indépendants, nous, Congolais, de l’Est, comme de l’Ouest ; du Nord, comme du Sud. Chacun veut régner sur nous, nous dominer, nous subjuguer, nous exploiter, nous enlever nos valeurs et nous inculquer ses antivaleurs et pire encore, nous enlever nos terres et nos frères, pour s’emparer de nos biens et de nos terres. Ces hommes, lorsque nous ne les avons pas élus, nous, congolais de père ou de mère, nous les tolérons. Comment congédierons-nous ce mal de nos villages, localité, cités et villes ?
La meilleure façon de démontrer que son groupe ethnographique a de la valeur, comme les autres, ce n’est pas de crier à la ségrégation, se morfondre dans des jérémiades ; mais c’est plutôt de le montrer par sa pensée, sa parole et surtout par ses exploits, ses actions, dans la société où l’on vit avec les autres groupes qui ont aussi leurs valeurs à mettre sur la table ! C’est de défendre nos frères, nos terres, là où Satan et ses suppôts humains tentent de dérober des dons précieux que nous avons reçus de Dieu ou au prix de sacrifices de nos aïeux, quand bien-mêmes certains d’entre eux nous ont trahi après avoir conquis les terres dont nous sommes aujourd’hui propriétaires, par la grâce divine.
En lisant cet article, un compatriote a régi : « C’est plus gravissime de le savoir si c’est ainsi. »
Comme il est chrétien, je me suis précipité sur ma Bible pour y puiser un conseil du Sage et lui est répondu.
Tu es Dieudonné. N’est-ce pas, cher frère ? Si tu trouves gravissime de le savoir, relis alors ceci et prends une position vis-à-vis de ton Dieu et qui est aussi mon Dieu.
1 Timothée 5:8 « Si quelqu’un n’a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle. »
Il ne faut pas donc croire ceux qui vous disent aimer la République Démocratique du Congo, alors qu’ils ne s’aiment pas encore eux-mêmes et encore moins, ils n’aiment même pas encore les membres de leurs propres familles restraintes !
Rappel : qu’est-ce qu’est le Projet 2014 ? Pourquoi stagne-t-il à 102 membres ?
En tant que projet politique, de rédaction et de test d’un projet de société pour le Congo, nous faisons peur aux nombreuses personnes qui craignent la dictature, le terrorisme de l’État ou qui n’ont pas de compétense rédactionnelle. Tester des projets d’envergure sur terrain demande du génie des participants au Projet 2014.
Rappelons, d’abord, notre double objectif :
Comment nous en sortir ? Comment contourner les obstacles difficiles à reverser ?
Est-ce vrai que l’UDPS soit jaloux contre Nzanga ? C’est ce que nous débattons ici-bas. L’opposition culturelle entre lubaphones et swahiliphones vient de très loin et s’accroît avec l’avènement de l’UDPS au pouvoir.
« La jalousie de l’UDPS. » C’est ce que voit un compatriote dans le soulèvement de certains membres de l’UDPS contre l’AVPR naissant.
Nous avons alors posé la question: « Que fera l’AVRP pour contrer victorieusement cette jalousie éventuelle de l’UDPS avec un bénéfice pour la RDC ? »
Une réponse nous a été fournie illico.
« AVRP a ses élus et est membre d’une grande plateforme politique. Malgré la jalousie historique et continuelle de certains égarés de l’UDPS. AVRP restera au côté du Chef de l’État. Nous connaissons bien le mode opératoire de l’UDPS. On gère le pouvoir grâce aux principes et non pas avec des imaginations. Sans ses alliés, l’UDPS ne vaut rien. »
Nous en profitons pour revenir à cette écharde dont souffre la RDC depuis les années 60.
En RDC, en effet, en exagérant, aucun politique n’a des principes humains, démocratiques, clairs, connus, suivis rigoureusement, pour présider à la destinée de notre peuple.
Nos hommes politiques, sans formation politique de base ni éducation politiques spécifiques, bricolent.
Aucun chef de l’État ne sait libérer le congolais de l’esclavage (pauvreté, dictat) ni du banditisme ni de l’ignorance ni de l’aliénation mentale, etc.
Frères, séparons nous de ces hommes sans foi ni loi. Ne serait-ce d’esprit ! Formons nos enfants, tous les soirs, à mener une vie qui ne soit pas celle de ces irresponsables connus de longue date, de ces méchants, de ces destructeurs sans scrupules.
L’Ituri, par exemple, dans son âme, n’est normalement pas UDPS. Ils aiment bricoler, dominer, tricher, se venter, paraître, dans leur parti tribal. Nous, sans parti politique fort, sommes une multiculture de travail bien accompli, d’honnêteté, de respect, de sérieux, de responsabilité, de naïveté ; à dire vrai. Il faudra donc beaucoup de temps pour que nous devenions une symbiose ! Les udpsistes devront apprendre à s’humilier, à se civiliser, nous devront apprendre à nous organiser politiquement et à ouvrir nos yeux, d’abord !
Cela doit se travailler de part et d’autre, sans ambages !
En attendant, nos fils doivent arrêter net toute spoliation de nos moeurs en s’investissant dans un parti qui viole et spolie toute notre culture, qui détruit nos valeurs, qui nous tire vers le bas ; pour avoir le temps de mettre lendu et hema sur les rails et avoir la force de prendre notre indépendance véritable, pendant que d’autres se plaisent à être assujettis à nos ennemis, du dedans et du dehors, clairement identifiés, depuis belle lurette ! Ce challenge, l’iturien ne se l’est pas encore approprié !
L’AVPR finira par être nord-kivutien, s’il ne l’est pas encore. Là aussi, la relation à l’UDPS se reduira à la question culturelle. Le Kivu, en effet, est une autre culture, opposée, elle aussi au registre kasaïen, pour cause d’autres incompatibilités connues également ; mais qui demandent du temps pour être résolues.
Sont-ce là des raisons de s’alarmer ? Existe-il des solutions acceptables pour tous ?
Oui : des hommes meurent en masse dans l’Ituri et dans le Kivu.
Non : l’UDPS veut dominer et se pavoiner, ni l’Ituri ni le Kivu n’ont du temps pour cala ; et de plus, cela n’est pas le destin qu’ils visent.
Dans cette condition, l’urgence est que les brimés se liguent pour prendre leur défense. Bourrés de traîtres , infiltrés par les udpsistes, les Ituriens et les Kivutiens auront du mal à s’en sortir. Ils doivent d’abord amégager leurs maisons respectives, trouver des terrains d’attentes pour se liguer et engager une contre-attaque victorieuse qui imposera à tous le respect mutuel.
Quelques décennies sont nécessaires, parce que, l’alliance soudano-nilotique ajoute une couche au problème que nous travaillons, dans Projet 2014, depuis 1976 déjà, et dont nous mesurons la complexité au plan humain, sociologique, économique et spirituel !
Comme les Congolais refusent de se mettre autour d’une table, la difficulté de solutionner les problèmes ira croissante !
De notre volonté (désir, vœux, détermination, résolution, décision, dessein…) et de capacité (aptitude, prédisposition, savoir-faire, savoir, savoir-être, argne…) à nous mettre au travail dépend le futur du Congo.
Depuis décembre 1999, nous invitons tous les Congolais à se mettre autour d’une table pour :
1° décider, ensemble, tous les peuples congolais réunis, de ce que nous voulons faire du Congo hérité de l’indépendance lumumbienne ;
2° ce que nous aurons convenu de faire, de décider de la manière d’agir, de la stratégie à adopter, du programme à suivre, du plan de travail, des attributions des tâches à adopter pour parvenir à nos objectifs locaux et nationaux.
Jusqu’à présent, il n’y a eu que trois compatriotes pour contribuer à la production, en ligne, d’un projet de société pour le Congo, un plan qui soit le plus complet et le plus démocratique à la fin ; et, qui soit testé sur terrain, pour susciter un engagement de l’ensemble de notre population et des populations amies.
Nous constatons que notre élite, nos universitaires, formés à l’école napoléonienne, sont des plus démissionnaires, peureux et irresponsables. Des personnes que nous disons peu instruites, sans qualifications suffisantes ou sans éducations élvées, se meurent, se sacrifient, mal, mais avec conviction non bien éclairée, pour l’avenir de notre progéniture. Ils meurent sans bénéfice pour leurs familles ni pour notre nation. Personne n’est là pour éclairer, pour conseiller, pour instruire, pour former, pour éduquer, pour animer, professionnellement.
Ce message tombera peut-être dans une bonne oreille pour provoquer le déclic qui tarde à venir depuis 1960, malgré notre constante sonnette d’alarme, depuis 1976, aux côtés de notre père Michel Ézéchiel Atoka Ukumu ; et particulièrement, depuis 1999 que nous avons lancé le Projet 2014, que nous avons dédié à ce dernier le présent un site ; et que nous avons invité tous les amis à y verser leurs contributions, dans esprit démocratique.
Certes, nous nous devons de demeurer strict : 50 pages de contribution personnelle, originale, pour être considérer comme contributeur ; 3000 pages au moins avant de prétendre avoir un projet de société digne d’un pays multiculturel et vaste comme le Congo ; 50% de ministres du pouvoir acquis à la cause d’un développement par projets écrits, démocratiques, chrétiens et capitalistes.
24 ans après le lancement du projet 2014, force est de constaté que nous étions trop optimistes, naïfs, en acceptant les objections de ceux qui refusaient d’investir 30 ans dans la rédaction dudit projet. Aujourd’hui, nous nous rendons compte que seul un miracle divin pourrait nous permettre d’atteindre l’objectif en 2029 ; si dans les six ans qui nous séparent de cette échéance, des Congolais se réveillent, se lèvent, revolts par notre honteuse démission, nous qui clamons aimer jalousément notre nation, notre territoire.
Une leçon est à tirer de cette triste et instructive expérience : il ne fallait pas réduire notre plan départ, de 30 ans, à un plan de 15 ans, sous l’influence de ceux qui, eux, souhaitaient participer à un travail de maximum 2 ans ! Notons que 1999+15 nous donnait 2014 : le nom du projet, que nous ne souhaitons pas surtout pas changer ; pour que cela reste gravé dans la mémoire de nos enfants que nous sommes, jusqu’ici, des peuples paresseux ou une nation faineante, lente à comprendre et à admettre ses faiblesses, à l’égoïsme suicidaire, aux cous roides devant son Dieu, contre lequel l’amour du Divin résistera, fidèlement à sa promesse.
En attendant, qui ici, aujourd’hui, qui veut se plonger dans l’eau froide et bienfaisante ? La rédaction et l’animation politique forme, grandit l’homme qui se confie à Dieu, dans cette entreprise !
Un arbre à problèmes est à construire ensemble, avec détermination, pour combattre le mensogne politique qui induit nos populations sous-instruites dans des erreurs grossières et qui encourages nos intellos traîtres dans leurs prostitution politique.
Très intelligemment et sagement, il nous faut dégager de cet arbre la solution au problème que nous pose nos trahisons légendaires que plusieurs occultent pour se faire bonne conscience ou pour tenter de se cacher, face à la menace de la justice qui transformera, en son temps, plusieurs de nos héros politiques en bandits politiques, en criminels de droit commun.
C’est dire que le Projet 2014 soit aussi un courage politique. Les forces sataniques se lèvent à chaque initiative du projet pour tenter de nous barrer la route. Cependant, quand les fils de Dieu purifiés se lèveront, leurs châteaux voleront en éclat et plusieurs familles sombreront dans une honte innommable.
Notre engagement reste donc entier : le projet de société le plus démoncratique et le plus complet pour le Congo et le test en temps réel de ce projet sur terrain, pour couper l’herbe sous les pieds des dictateurs, des colonisateurs, des traîtres...
Le congolais est-il asservi ?En quoi ? Comment ? Pourquoi ? Où ? Par qui ? Depuis quand et jusques à quand ? Avec quelle suite ?
Suivez…
En politique, il faut du courage, mais pas de la sentimentalité ni de la témérité.
Avons-nous une base, du poids, pour tenir devant le pouvoir ? Il faut se forger d’abord un parti solide, pesant, avant de contrer politiquement et démocratiquement le parti au pouvoir, qui a, incontestablement, beaucoup d’adeptes !
Autrement, il serait déjà tombé depuis longtemps. Le peuple congolais, choisit mal ou tolère le mal. Il faut le savoir !
Au regard de la passivité de nous autres, qui sommes dans l’opposition, il ne nous faudra pas nous plaindre lorsque le pouvoir gagnera aux élections de 2023 : les mains levées !
Notre peuple, nos tribus, non plus, n’accuseront pas – je l’espère- la communauté internationale d’être la responable de tous les maux que nous vivons : du fait de leur complicité avec le pouvoir de Kinshasa.
Quant à nous, intelligentsia congolaise, sans production de stratégies ni d’animations politiques efficaces, nous devons déjà reconnaître notre manque de patriotisme criant, qui laisse libre cours à la méchanceté des hommes qui trônent à Kinshasa et qui profitent, lâchement, de l’ignorance dans laquelle notre peuple est plongé depuis le règne de nos aïeux hégémoniques, sataniques.
Les appels au travail du Projet 2014 demeurent donc vains et sont comme mal adressés ; de sorte que nous perdons notre latin et ne comptons plus que sur la grâce divine ! C’est de la clémence et de la compassion de Dieu que nous viendra le salut ; face aux ennemis du Congo qui, tous ou presque, nous raillent.
L’avenir demeure donc sombre, selon nous.