Balkanisation : seule voie du salut !


[9/17, 12:55] GPAU

Voici ce que je produis, mais que je n’ai pas encore terminé.
Que me conseille-tu ?
L’origine coloniale de nos états est un problème.
Ce problème est soluble.
Il faut de l’amour, du courage, de l’intelligence, de la franchise pour y parvenir.
Serrons nos coudes !

[9/17, 15:09] D. Y.

Il faut faire de la RDC un Etat fédéré comme les USA. Le problème sera résolu !

[9/17, 22:03] GPAU

C’est ce que je propose aux Congolais depuis 1999.
La majorité écrasante n’en veut pas. Elle craint que cela ne conduise à l’éclatement du pays. Or, les Congolais, ne veulent pas de la balkanisation du pays. Ils désirent vivre en des parasites, les plus forts au dépens des plus faibles.
C’est pour cela que certains nilotiques proposent la séparation des nilotiques d’avec les bantous pour éviter des querelles inutiles.

[9/18, 06:39] D. Y.

C’est la seule voie du salut pour les pays du continent africain !

Est-ce le futur président de la RDC ?


Il tanse déjà le cameraman ?

RDC-EUA : ATTELAGE IMPOSSIBLE


La paix qui nous est promise est un chimère.

Nous ne pouvons pas parler ni paix ni de victoire, pour les raisons que nous résumons ici-bas.

Le Président de la République est décidé à nous réduire à notre plus simple expression.  Particulièrement,  nous de l’Est, influencé par certains Kasaïens hégémonistes, paresseux et racistes, qui se trompent en pensant que le développement de l’Est du Congo, gênerait celui de l’ouest du pays.  Soulignons que ce soit là une frange de Kasaïens,  qui n’ont rien à voir avec des vaillants et brillants Kasaïens qui peinent à raisonner leurs concitoyens provinciaux.  Soulignons aussi que ceci n’a rien à voir avec le tribalisme dit qualifié de luba, par ceux qui ignorent que le Kasaï ne soit pas que luba !

Qui nous protégera contre nos ennemis intérieurs et extérieurs selon le deal avec le Président des EUA ? Comment cela se passera-t-il ?  Dans ce qui nous parvient, pour l’instant, rien n’est dit de notre Ituri.  Nous noterons cette omission !

Si nous voulons la paix dans notre Congo, nous ne devons pas parler que des Tutsi.  Nous devons aussi parler des Lendu.  Et lorsque nous, dans le Projet 2014, parlons des Tutsi et des Lendu, nous parlons bien des Congolais et non pas des Ugandais ou des Rwandais !

Sans réponses convainquantes sur la table, nous multiplierons rébellions. Comme les hommes de Kinshasa ne peuvent se transformer en anges, en raison de leur méchanceté viscérale, affirmée, si l’Amérique nous aime réellement, c’est tout le système diabolique que nous avons instauré à Kinshasa, qu’il devra nous aider à démanteler premièrement.  Sachons en effet, qu’il y a une arme contre laquelle aucune arme ne peut résister : c’est la volonté.

Sinon, ne baissons pas la garde. Venez à nos rencontres du Projet 2014. Nous intégrerons la nouvelle donne politique dans notre stratégie d’indépendance, de libération, de démocratisation. Il faut en effet abattre la République d’abord. C’est le frein à la pacification de notre pays et de ce fait à son développement.

Aujourd’hui,  l’attelage RDC-EUA est un attelage impossible.  Vous nous le direz, dans moins de six mois !

Un rappel utile.


De WhatsApp nous tenons cet intéressant rappel-ci.  Il montre que tout celui qui connait l’histoire de notre pays doit prendre distance vis-à-vis vis de quelques membres de l’UDPS, qui l’ont totalement terni, sali, discréditer, disqualifié.

Seules la sous-instruction, la méchanceté de bon nombre d’entre nous explique que le Président de la République se trouve encore et toujours de suiveurs.

—————————

Ne devons nous interroger pourquoi il n’y a pas adhésion massive à la cause de l’agression de la République Démocratique du Congo par les armées étrangères ?


1.L’UDPS est à l’origine de la déstabilisation des plusieurs régimes à travers ses mensonges,


2.L’UDPS a soutenu implicitement tous les mouvements insurrectionnels contre les régimes du Maréchal Mobutu, de M’zée Laurent Désiré Kabila et celui de Joseph Kabila,


3.L’UDPS n’a jamais condamné une quelconque agression contre les différents regimes.


4.Aucun communiqué de l’UDPS comme parti de l’opposition à l’époque n’a condamné les mouvements insurrectionnels,


5.L’UDPS a signé des accords en 1998 avec Kigali dont personne ne connaît la teneur de ces accords,


6.L’UDPS a soutenu la marche de M23 contre le régime de Joseph Kabila.


7.Pendant que les armées ougandaises et rwandaises saccageaient la province de la Tshopo, Étienne Tshisekedi est allé à Kigali négocier le retour du RCD/Goma à la table du dialogue intercongolais à travers son ASD,


8.L’UDPS savait que le RCD/Goma était une branche rwandaise et soutenu par Kigali, elle a fait de ce rassemblement son allié.


9.L’UDPS à travers ses communicateurs a fait savoir que le pouvoir était de baluba et le baluba ne sont pas au pouvoir mais ils sont le pouvoir,


10.L’UDPS a institutionnalisé le tribalisme comme mode de nomination au sein des institutions, les autres tribus étant frustrées, ce parti a créé une division et suspecion contre cette communauté arrogante.


11.L’arrestation et la mise à mort de certains officiers non Kasaïens sont à l’origine de désintéressement à l’agression du Congo sous le régime UDPS,


12.Le M23 étant totalement défait par Joseph Kabila qui a confisqué même son arsenal de près de 20 ans de guerre en pilonant les montagnes de Tshanzu et Runyoni, puis traduit en justice ceux qui étaient coupables de Crimes de guerre, Crime contre l’humanité, génocide, pillage et enrôlement des enfants dans l’armée, à l’avènement de L’UDPS au pouvoir, Tshilombo a renoué les accords avec le M23, il a libéré les coupables, il a traqué Joseph Kabila et ses familles biologique et politique.


13.L’UDPS a tourné le dos à la SADC hostile à Paul Kagame pour signer les accords avec L’EAC, une communauté à majorité Nilothique,
14.L’UDPS a accordé à Kigali de survoler ses avions Rwandair dans notre espace aérien, ce que Joseph Kabila n’a jamais osé faire,


15.L’UDPS a cédé l’or de Bashi de Sakima à Kagame, ce que Joseph Kabila n’a jamais osé céder.


16.L’UDPS à travers son autorité de référence a fait savoir aux congolais que ça ne servirait à rien de se battre pour les morceaux des terres, désormais notre seul pays est l’East Commity Africa dans lequel se trouve nos agresseurs Nilothiques,


17.Tous les professionnels des médias qui avaient déploré et dénoncé les accords diaboliques de Félix Antoine Tshilombo avec ces pays agresseurs ont été copieusement traqués, fait prisonniers et certains portés disparus,


18.Pendant que les congolais ont dénoncé les propos outrageants de Vincent Karega, ambassadeur du Rwanda au Congo, toutes les marches ont été réprimées par l’armée de Tshilombo pour faire plaisir à Kigali,


19.Paul Kagame pointé du doigt et reconnu coupable de l’instabilité et massacres des congolais à l’est, Félix Antoine Tshilombo l’a accueilli à bras ouverts lors des obsèques de son défunt père Étienne Tshisekedi ancien allié du Rwanda par L’ASD,


20.Pendant que le M23 a été reconnu coupable des atrocités à L’est du pays, Tshilombo à travers son vice premier ministre, ministre de l’intérieur Gilbert Kankonde les avait invité à Kinshasa pendant 14 mois, nourri aux frais du trésor public en sollicitant 1.334.625 dollars de leur prise en charge,


21.Le Général Delphin Kahimbi qui s’était opposé à l’accréditation de Vincent Karega comme ambassadeur au Congo l’accusant d’être l’instigateur de la mort des opposant rwandais, se trouve aujourd’hui sous la tombe,
22.En raison de son incompétence, de son arrogance et sa condescendance, L’UDPS a fait savoir que sa diplomatie était agissante et qu’elle a ouvert le Congo au monde isolé par Joseph Kabila.


23.Alors que tout le monde regardait Paul Kagame comme représentant du diable en Afrique, Felix Antoine Tshilombo l’a pris pour frère, partenaire nécessaire et fiable.
Compte tenu de tous ces péchés commis par L’UDPS et son autorité de référence, en quoi l’instabilité du Congo par son frère Paul Kagame, partenaire nécessaire et fiable doit impliquer tous ceux qui l’ont averti hier et avoir une incidence sur les personnes qu’il a traquée ? En quoi Paul Kagame Est-il partenaire nécessaire et se trouve sa fiabilité ?
Ebebeli yo, okomi kofinga ba mumpe na ba congolais ba ndoki. Êtes vous vraiment sérieux ?

Ne devons nous interroger pourquoi il n’y a pas adhésion massive à la cause de l’agression de la République Démocratique du Congo par les armées étrangères ?


1.L’UDPS est à l’origine de la déstabilisation des plusieurs régimes à travers ses mensonges,


2.L’UDPS a soutenu implicitement tous les mouvements insurrectionnels contre les régimes du Maréchal Mobutu, de M’zée Laurent Désiré Kabila et celui de Joseph Kabila,


3.L’UDPS n’a jamais condamné une quelconque agression contre les différents regimes


4.Aucun communiqué de l’UDPS comme parti de l’opposition à l’époque n’a condamné les mouvements insurrectionnels,


5.L’UDPS a signé des accords en 1998 avec Kigali dont personne ne connaît la teneur de ces accords,


6.L’UDPS a soutenu la marche de M23 contre le régime de Joseph Kabila


7.Pendant que les armées ougandaises et rwandaises saccageaient la province de la Tshopo, Étienne Tshisekedi est allé à Kigali négocier le retour du RCD/Goma à la table du dialogue intercongolais à travers son ASD,


8.L’UDPS savait que le RCD/Goma était une branche rwandaise et soutenu par Kigali, elle a fait de ce rassemblement son allié


9.L’UDPS à travers ses communicateurs a fait savoir que le pouvoir était de baluba et le baluba ne sont pas au pouvoir mais ils sont le pouvoir,


10.L’UDPS a institutionnalisé le tribalisme comme mode de nomination au sein des institutions, les autres tribus étant frustrées, ce parti a créé une division et suspecion contre cette communauté arrogante


11.L’arrestation et la mise à mort de certains officiers non Kasaïens sont à l’origine de désintéressement à l’agression du Congo sous le régime UDPS,


12.Le M23 étant totalement défait par Joseph Kabila qui a confisqué même son arsenal de près de 20 ans de guerre en pilonant les montagnes de Tshanzu et Runyoni, puis traduit en justice ceux qui étaient coupables de Crimes de guerre, Crime contre l’humanité, génocide, pillage et enrôlement des enfants dans l’armée, à l’avènement de L’UDPS au pouvoir, Tshilombo a renoué les accords avec le M23, il a libéré les coupables, il a traqué Joseph Kabila et ses familles biologique et politique.


13.L’UDPS a tourné le dos à la SADC hostile à Paul Kagame pour signer les accords avec L’EAC, une communauté à majorité Nilothique,


14.L’UDPS a accordé à Kigali de survoler ses avions Rwandair dans notre espace aérien, ce que Joseph Kabila n’a jamais osé faire,


15.L’UDPS a cédé l’or de Bashi de Sakima à Kagame, ce que Joseph Kabila n’a jamais osé céder


16.L’UDPS à travers son autorité de référence a fait savoir aux congolais que ça ne servirait à rien de se battre pour les morceaux des terres, désormais notre seul pays est l’East Commity Africa dans lequel se trouve nos agresseurs Nilothiques,


17.Tous les professionnels des médias qui avaient déploré et dénoncé les accords diaboliques de Félix Antoine Tshilombo avec ces pays agresseurs ont été copieusement traqués, fait prisonniers et certains portés disparus,


18.Pendant que les congolais ont dénoncé les propos outrageants de Vincent Karega, ambassadeur du Rwanda au Congo, toutes les marches ont été réprimées par l’armée de Tshilombo pour faire plaisir à Kigali,


19.Paul Kagame pointé du doigt et reconnu coupable de l’instabilité et massacres des congolais à l’est, Félix Antoine Tshilombo l’a accueilli à bras ouverts lors des obsèques de son défunt père Étienne Tshisekedi ancien allié du Rwanda par L’ASD.


20.Pendant que le M23 a été reconnu coupable des atrocités à L’est du pays, Tshilombo à travers son vice premier ministre, ministre de l’intérieur Gilbert Kankonde les avait invité à Kinshasa pendant 14 mois, nourri aux frais du trésor public en sollicitant 1.334.625 dollars de leur prise en charge,


21.Le Général Delphin Kahimbi qui s’était opposé à l’accréditation de Vincent Karega comme ambassadeur au Congo l’accusant d’être l’instigateur de la mort des opposant rwandais, se trouve aujourd’hui sous la tombe,


22.En raison de son incompétence, de son arrogance et sa condescendance, L’UDPS a fait savoir que sa diplomatie était agissante et qu’elle a ouvert le Congo au monde isolé par Joseph Kabila.


23.Alors que tout le monde regardait Paul Kagame comme représentant du diable en Afrique, Felix Antoine Tshilombo l’a pris pour frère, partenaire nécessaire et fiable.
Compte tenu de tous ces péchés commis par L’UDPS et son autorité de référence, en quoi l’instabilité du Congo par son frère Paul Kagame, partenaire nécessaire et fiable doit impliquer tous ceux qui l’ont averti hier et avoir une incidence sur les personnes qu’il a traquée ? En quoi Paul Kagame Est-il partenaire nécessaire et se trouve sa fiabilité ?


Ebebeli yo, okomi kofinga ba mumpe na ba congolais ba ndoki. Êtes vous vraiment sérieux ?

Non aux rebelles et aux tribalistes dictateurs et pilleurs !


[16/1/2025, 08:28] GW.

Nord -Kivu.

Encore des Ituriens capturés dans le rang des M23-RDF à Sake ce mardi 14 janvier 2025.


[16/1/2025, 09:44] GPAU.

Avez-vous vérifié que ce soit des événements récents et non d’anciennes vidéos ?

Ne protestez-vous pas contre la manière babare et sauvage dont nos frères sont traiter, fussent-ils des rebelles ? Faut-il les ligoter ainsi parce qu’ils défendent – MAL – leurs cousins ou frères stigmatisés, contre la dictature, l’injustice, le pillage et l’occupation de l’Est par la tribut du Président de la République ?

Nous, Projet 2014, disons que la brutalité, la sauvagerie, l’arbitraire, le viol, le vol, les empoisonnement, l’esclavagisme, des uns (rebelles, leurs alliés, bandits, envahisseurs) comme des autres (hommes du pouvoir, faux Wazalendo, soldats zélés) soient tous condamnables avec toute notre énergie, nous qui aimons le Congo-Kinshasa.


Le gouvernement de Kinshasa qui traite ainsi des congolais qu’il appauvrit, subjugue, viole, discrimine, pille, au grand jour, lâchement, devra répondre de ses actes un jour, autant que tous ceux qui l’imitent.
Nous demandons donc à tous nos parlementaires de l’Est, de se lever pour reclamer le respect du droit de tout congolais, de ses hommes obligés à se défendre contre des racistes et tribalistes qui trônent à Kinshasa et qui prennent l’Est pour leur marche pied.

Si tous les nilotiques devaient se lever, pour se défendre contre les non-nilotiques, qui les envahissent, chez eux ;  si tous les swahiliphones devaient se lever, pour combattre les non-swahiliphones, qui les occupent et subjuguent, sur les terres de leurs aïeux, où en finirions-nous ?  C’est pourtant leur droit le plus élémentaire !

Vous qui aimez un Congo uni et prospère,  levez-vous pour corriger notre faute : avoir commis des hommes véreux à la gestion d’un État naissant, dans d’atroces douleurs.

Réforme politique pour une RDC unie et cohérente


[2024/11/24, 07:54] (Source : WhatsApp)

Kyéngé Kisoke Kabwende

VIENT DE PARAITRE

REGARDS SUR L’HISTOIRE DES PEUPLES BANTUS DE LA RDC DEPUIS 1876 : ANALYSE ET PERSPECTIVES POUR LA CRÉATION DE l’UNION DES REPUBLIQUES D’AFRIQUE CENTRALE.
Mbu-Mputu, Norbert, Bristol, 22 novembre 2024.

Auteur de trois ouvrages et d’une dizaine à paraître, Kabwende Kisoke Kyéngé , Master de Spécialisation en Études Africaines à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) en Belgique et surtout un prince héritier du Royaume de Kabongo et arrière-petit-fils du souverain Nkumwimba Kabongo Ka Nshimbu (1858-1948) ayant régné de 1888 à 1948, dans ce nouveau livre, presqu’une bible, Regards sur l’histoire des peuples bantus de la République Démocratique du Congo depuis 1876 : Analyse et perspectives pour la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale (Préface de Déhorah Kayembe et post-préface de Kibawa Wimwene Edmond, Bristol, MediaComX, 2024, 761 pages), et devant la structure actuelle de l’État unitaire congolais ou même devant la proposition d’un Etat fédéré où les provinces actuelles deviendraient des États et toutes les crises sans fin, l’auteur KABWENDE KISOKA KYENGE crève l’abcès en proposant un nouveau modèle de fédéralisme basé sur des ensembles nouveaux calcés sur les grands ensembles tribaux que comptent le pays. Il écrit :

« La République Démocratique du Congo est confrontée à un défi majeur : elle n’a pas réussi à former une nation unie et cohérente. » Malgré les efforts déployés pour instaurer une «nation congolaise », ces tentatives se sont révélées infructueuses jusqu’à présent. Les motifs exposés précédemment justifient pleinement la nécessité d’une révision constitutionnelle en vue de la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale. Dans cette union, chaque nation aura le droit de réclamer son droit à l’autodétermination, dans le respect de ses particularités et de sa diversité culturelle » (p. 721).

Pourquoi prendre l’ethnie revue-corrigée comme sous-bassement du nouvel État ? C’est, dit-il, contrairement à Didier Mumengi pour qui la colonisation aurait artificiellement morcelé les peuples Bantus de la République démocratique du Congo en tribus, ethnies et villages, faisant ainsi croire « qu’avant l’arrivée des Belges, nous étions un seul bloc » et que c’est la colonisation qui nous a « divisés en villages, tribus et ethnies ». Pour lui, au commencement de la RDC, c’était d’abord l’ethnie, donc c’est elle la racine même de toute organisation politique et de toute légitimité chez les peuples Bantus du Congo.
Mais, pour en arriver-là, et c’est là son originalité, il bifurque en analysant dans le fond et la forme l’empire des Baluba qui, comme tous les autres empires et royaumes et peuples des Bantus s’est retrouvé démembré depuis 1870, et supprimé par l’administration coloniale le 11 avril 1911, et dont le point de départ de toutes les colonisations remonte à la conférence géographique de Bruxelles du 12 au 14 septembre 1876 par Léopold II, passant par celle de Berlin de 1885 jusqu’à toutes les autres trouvailles néocoloniaux que, malheureusement, l’Afrique et la République Démocratique du Congo continuent à ne pas vouloir remettre en question. C’est se poser la question comment renier et réfuter la colonisation et ne pas remettre en question ses conséquences, comme qui dirait « ne pas aimer manger les palmiers et chérir les noix de palme », dit un proverbe !

Pour la mise en place d’une telle nouvelle structure étatique en Afrique centrale, courageusement, l’auteur passe en revue toutes les autres approches et théories des aînés professeurs et historiens, notamment Isidore Ndaywel è Nziem et Jean Tshonda Omasombo: « en dégageant une ligne médiane pour départager les deux, se contredisant sur le nombre d’ethnies et des tribus de la République démocratique du Congo ». Si pour le premier, la République Démocratique du Congo compte 365 tribus et ethnies, le second n’en dénombre que 275. D’où, pour Kabwende Kisoke Kyéngé :
« Il est probable qu’il existe moins de 50 ethnies, ce qui contraste fortement avec les 365 d’Isidore Ndaywel è Nziem et les 275 d’Omasombo et de son collègue. Cette conclusion découle du fait que ces auteurs, tout comme de nombreux autres, ne parviennent pas à faire une distinction nette entre l’ethnie et la tribu. De plus, Isidore Ndaywel è Nziem inclut même des noms de clans tels que le Ngoyi a Sanza (239) ou Ngoyi Mwana (233), ce qui ajoute à la confusion » (129-139).
Dans ses 27 chapitres précédés d’un prologue et se terminant par une conclusion générale, l’auteur propose une Union des Républiques d’Afrique centrale à la place de la République Démocratique du Congo actuelle où, aux notions modernes d’État s’associent les pouvoirs traditionnels et coutumiers, vrais détenteurs des imperiums souverains. Surtout que l’État congolais actuel hérité de la Table ronde de Bruxelles naquit d’une Belgique se précipitant à se débarrasser du Congo et des Congolais voulant sauter sur le miroir d’indépendance « cha cha ». Il est temps, dit l’auteur, de recadrer les contours nouveaux de ce pays-ci le Congo.

Pour chuter sur sa proposition, l’auteur analyse l’un des empires qu’il connait le mieux, puisque prince, de la nation « kiluba » dont le pays ancestral est le Buluba, habité par : des Baluba communément appelé les « Baluba du Katanga », devant d’ailleurs faire l’objet d’un nouveau livre. Ceux-ci ont fondé l’empire des Baluba (du 8e – 20e siècle). Dans cette recherche de la vérité historique et ethnologie, l’auteur en profite pour corriger ce qu’il appelle « le mensonge colonial » sur deux peuples différent mais portant le même nom aujourd’hui dit « Baluba du Katanga » et « Baluba du Kasaï », car contrairement, dit-il, à ce que la colonisation et nombreux auteurs et même des habitants du Kasaï nous ont fait croire, l’auteur démontre que l’appellation « Baluba du Kasaï » est une invention coloniale et que les ressortissants de Mbuji Mayi, Kananga en un mot ceux du Kasaï ne sont pas Baluba comme on le croit : les seuls vrais Baluba sont ceux qui parlent la langue kiluba et habitent le Buluba, dont l’ancêtre originel s’appellent Ilunga Nshi Mikulu.

Le pourquoi de cette approche nouvelle pour un nouveau Congo enraciné dans l’organisation politique traditionnelle peut se lire à la page 722 :
« Nous avançons donc que l’adoption du confédéralisme au sein d’une Union des Républiques d’Afrique centrale représenterait la seule voie authentique pour instaurer un véritable État de droit. En effet, la mise en œuvre de ce système favoriserait naturellement l’agrégation des peuples, en permettant une écoute plus attentive de la volonté populaire à travers des référendums et d’autres dispositifs de consultation démocratique dans les différentes régions, provinces et entités fondamentales » (p. 722).
Et encore : « Il est possible d’envisager des réformes intelligentes et stratégiques pour adapter l’État congolais aux réalités contemporaines. Cela impliquerait, entre autres, la reconnaissance des identités culturelles et ethniques qui composent le pays, ainsi qu’une décentralisation effective du pouvoir. En valorisant les richesses ethno-civilisationnelles des peuples du Congo, il devient envisageable de construire un État plus inclusif, où chaque groupe ethnique se sentira respecté et représenté. La réconciliation nationale passerait nécessairement par une gestion équitable de cette diversité. Une réforme institutionnelle qui accordera davantage d’autonomie aux régions, permettant une gouvernance locale adaptée aux particularismes de chaque groupe, pourrait constituer une voie à explorer » (702).

Pour le moins que l’on puisse dire, ce volumineux livre inaugure un débat, rien que par son titre, Regards sur l’histoire des peuples bantus de la République démocratique du Congo depuis 1876 : Analyse et perspectives pour la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale et la piste proposée par Kabwende Kisoke Kyéngé est à confronter avec d’autres. Si les lecteurs parcourront les pages sans heurts, ce sont des chercheurs qui y seront les mieux nourris avec des citations d’auteurs et toute une bibliographie détaillée à la fin.
Bonne lecture !

Norbert Mbu-Mputu
Journaliste, écrivain et chercheur en anthropologie et sociologie, Centre for Research on Migration and Refugees and Belonging, University of East London, Cliquer sur ce lien pour écrire à M. Norbert Mbu-Mputu.

Kyéngé Kisoke Kabwende
Oui ! Je veux consulter avant d’acheter le livre de M. Kyéngé.

[2024/11/24, 21:03]

Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

Ceci est, à peu près, ce que nous proposons depuis décembre 1999, dans le Projet 2014.

Cependant, nous disons que sans un divorce d’avec la République, aucune paix ne sera possible en RDC. Ni dans aucun autre pays d’ailleurs.
Les Républiques que Kyéngé propose, dans la confédération, seront des foyers de dictatures. Ceux-ci rendront inacceptable la vie en confédération, pour les peuples en quête de démocratie. C’est le cas avec tous les peuples de l’Est du Congo, tout entier, par exemple.

Nous proposons une union libre d’États Indépendants du Congo dans un premier temps. Le cas échéant, une union des États de l’Afrique centrale ou de l’Afrique (Noire), dans un deuxième temps par exemple. Ces États doivent être construits sur la base des affinités culturelles qui existent entre certains de nos peuples. D’autres affinités peuvent être découvertes par la suite.

Enfin, l’Afrique étant plurielle, les bantous devront prendre en compte les stratégies nilo-soudanaises. Celles-ci divergent (République/Démocratie) ou s’opposent même (Unitarisme/Indépendance) de celles des bantous. Bien souvent, en raison des divergences ou oppositions culturelles, profondes, jusque ce jour.

Pourquoi apprendre le français ?


Pourquoi apprenons-nous encore le français alors que nous passons toutes nos journées à parler nos langues vernaculaires ou maternelles ?

Dans nos écoles, nos bureaux et nos chantiers, c’est par obligation que plusieurs d’entre nous parlent français. Dans nos bureaux, tout comme dans nos chantiers, le français est généralement réservé au dialogue avec des non étrangers : nos langues vernaculaires étant celles préférées. Tout naturellement, dans nos maisons, ce sont nos langues paternelles ou maternelles qui sont usitées ; du moins, chez ceux d’entre nous qui voudraient garder leur identité culturelle.

Si donc nous pouvons encontre trouver d’utilité au français, ce n’est pas tant parce qu’il nous unirait, mais beaucoup plus parce que c’est lui la langue qui nous permet d’acquérir les autres savoirs : les mathématiques, les sciences et même les autres langues. N’ayant pas développé nos académies, nous cramponant à l’école napoléoniène, nous n’avons pas encore trouvé une alternative aux langues coloniales.

La multiplication des relations internationales, la croissance de l’importance des langues dans les affaires, les fréquentes migrations des personnes, obligent plusieurs étrangers à apprendre nos langues, pour vendre plus aisément chez nous ; autant que cela nous oblige à apprendre plusieurs langues étrangères pour communiquer et pour migrer vers d’autres régions du monde.

Hier, notre destination principale était la Belgique. Aujourd’hui, plusieurs destinations de déplacements s’offrent à nous. Nous nous retrouvons en Chine comme à Ottawa ; aux Phillipines comme en Colombie. Nos citoyens se doivent donc apprendre plusieurs autres langues en fonction de leurs choix de vie : partenaires, conjoints, clients, alliés, etc.

Nous avons proposé, pour notre enseignement, la prise en compte des langues parlées dans les pays limitrophes : la langue vernaculaire, le français – depuis le primaire, l’anglais – dès le secondaire, le portugais – de le supérieur. Jusque là, personne n’en tient compte et plusieurs de nos compatriotes n’ont toujours pas encore la maîtrise de la 2ème langue.

Esclavage, colonisation, occupation, pillage, dictature…


Esclavage, colonisation, occupation, pillage, dictature et autres maux : comment y mettrons-nous fin ?

Où sont les hommes capables d’organiser la libération,  la décolonisation, la protection contre pillage, la liberté, dans notre pays ?

Le Congo évitera-t-il le pire ?  Pourquoi ?  Comment ?  Quand ?  Avec qui ? Où ?

Nous avons proposé le présidium, 2 à 5 présidents : personne n’en a parlé, n’a considéré la proposition.  Notre candidat Georges Alula Makita a été considéré comme trop philosophe !

Nous avons proposons la balkanisation stratégique : les Kongo y ont fait écho, mais ont été trahis par leur chef charismatique.  L’Est commence à y réfléchir, sans conviction, sans, un travail politique de groupe, démocratique, pendant que l’Ouest dort à point fermé.

Albert Muya Ilunga a invité nos territoires à se mettre autour d’une table : 145 personnes n’étaient pas facilles à réunir ; même pas 20 !

Pendant ce temps, voici une réflexion que nous propose un compatriote qui observe et qui s’interroge.  D’où nous viendra la solution de l’équation congolaise ?  Le Projet 2014 est-il la pierre angulaire que laissent ceux qui bâtissent ?  La libération,  la décolonisation, la protection contre pillage, la liberté, dans notre pays sont-elles possibles sans une rencontre courageuse autour d’une table de travail sans parti pris ?

Nous disons : NON !

« NOUS SOMMES DE LOCATAIRE DANS NOTRE PROPRE PAYS ! Que ceci éveille notre vraie lutte.

Voici les leaders dans les secteurs clés de la République Démocratique du Congo :

Transport aérien

  1. Serve air = Indien
  2. CAA = Belge
  3. Air kasai = Russie

Batiment et Travaux Publics
1: sinohydro = Chine
2: Crec7 = Chine

  1. Safricas = belge
    4: Dematco= européen

Mines

  1. Ivanoe = Canada
  2. Tenge fugurume= chinois
  3. KCC = suisse
  4. Barrick Gold = Canada
  5. Glencore = Swiss

Banque

  1. Ecobank = Togo
  2. Equity = Kenya
  3. Standard bank = Afrique du Sud
  4. Access bank = Nigeria
  5. FNbank= Nigeria
  6. Sofibanque = Liban
  7. Solidaire banque = Liban

Logistique

  1. Bolore = France
  2. CGMA = France

Agro alimentaire

  1. SOKIN =LIBAN
  2. ALLIANCE BUSINESS INTERNATIONALE ex congo futur = Liban

Grande distribution

  1. Kin marché : INDE
  2. G&G market : INDE
    3 Kin mart : Liban
  3. Hyper psaro : grece
  4. S&k : INDE
  5. Galaxys : INDE
  6. Shoprite : sud africain

Transport routier camions:

  1. Trans Benz : Liban
  2. Trans gazelle : Liban
  3. NRG : Inde
  4. TRC : Européen

Boisson gazeuse & alcool

  1. Canadian pure : Inde
  2. Américan water : libanais
  3. Éden : Chine
  4. Bralima. : Hollande
  5. Bracongo :France

Assurances :

  1. Activa : Cameroun
  2. Rawsur : Inde
  3. Sunu assurance : Afrique de l’ouest.
  4. Sonas : RDC

Meubles:

  1. Orca : Liban
  2. Kitea : Maroc

Communication:

  1. Vodacom : Sud africain & britannique
  2. Airtel : Indien
  3. Orange : France
  4. Africel. : Libanais & américain.

Évangélisation :

  1. ACK : RDC
  2. Cité Béthel : RDC
  3. FEPACO : RDC
  4. Ministère Amen : RDC
  5. Armée de l’éternel : RDC
  6. Combat spirituel : RDC
  7. Buka bikeko : RDC
  8. Compassion : RDC
  9. Jésus me connait : RDC
  10. Mabele ya lisekwa: RDC
  11. Résurrection : RDC
  12. Nzambe ako sala : RDC
  13. HV : RDC
  14. NOUVELLE TERRE : RDC
  15. Nzambe kaka : RDC
  16. Yesu sunga Congo: RDC
  17. Dieu du Congo : RDC
  18. Tobika Liloba Tabernacle : RDC
  19. Limbisa Ministres: RDC
  20. Shekinah tabernacle : RDC
  21. Baruti tabernacle : RDC
  22. Église des saint de derniers jours : RDC
  23. Tsheba ntshanyi : RDC
  24. Goshen tabernacle : RDC
  25. Hozanna tabernacle : RDC
  26. Zoé tabernacle : RDC
  27. Plus de 300 partis politiques tous appartenant aux Congolais.

Que ceci éveille notre vraie lutte. »

Tshibanda et Nangaa : quelle leçon tirer ?


Suivez attentivement cette vidéo, il s’adresse uniquement à Corneille NANGAA : Monsieur Nangaa, êtes-vous réellement le responsable du M23 ou carrément vous êtes allés rejoindre le M23 ?

Telle est la question posée par l’artiste Tshibanda à Nangaa, comme s’il ne savait pas que ce soit la dictature du pouvoir de Kinshasa qui pousse nos concitoyens désespérés à se rebeller contre la CENI, la MONUSCO, l’état de siège non désiré.  Le M23, la CODECO et les autres mouvements rebelles sont l’expression d’un malaise politique qui a commencé depuis le jour où certains peuples ont résolu de soumettre d’autres pour s’enrichir sur le dos de ces derniers.

Nangaa est tombé dans la tentation de choisir le raccourci de la rébellion comme moyen pour démonter la dictature.  Il a oublié de considérer le MNC, le MPR et l’AFDL, qui ont tous usé de la violence pour prendre le pouvoir ; mais qui ont tous aujourd’hui du sang congolais sur les mains et qui n’ont pas encore eu à repondre des leurs actes jusqu’ici.

Nous ne sommes plus dupe : Nangaa est de l’Est et compatit, mal, mais aux souffrance de sa gente swahiliphone, martyrisée depuis belle lurette, par le régime de son cousin Tshisekedi.

Les Congolais qui ne le savent pas, devront savoir que si Nangaa était tribaliste, comme plusieurs de nos compatriotes luba, il ne rejoindrait pas le M23 !  La CODECO est le groupe qu’il choisirait : c’est là que se trouvent ses cousins des plus proches, de sang et d’origine, qui se prépare à rejoindre aussi le M23, s’ils ne l’ont pas encore fait, à ce qui nous parvient à Bruxelles !

La dictature qui nous colle à la peau, que avons hérité de nos aïeux, est ce qui EXPLIQUE, notre misère, notre déchéance.

Il revient à tous les peuples épris de respect pour les fils de Dieu, habités de l’Esprit du Père,  de se démarquer pour impulser le changement dont nous avons besoin.

Or, avec la République,  qui contient le germe de la dictature, il nous est impossible de changer de mode de vie politique.  Estons donc nos parlementaires pour un changement radical d’organisation politique, pour avoir un système ou chaque peuple, chaque culture, prenne son INDÉPENDANCE véritable !

Sans cela, le M23, la CODECO, et les autres, continueront à nous endeuiller et à nous maintenir dans l’insécurité, l’esclavage, la colonisation et la pauvreté.

Wazalendo-FARDC : en rupture déjà ?


« Voici les services de nos patriotes pour la population :
Un FARDC a été capturé par les Wazalendo, en train de piller et de voler des motos (…) »

C’est l’information qui nous parvient ce matin.   Nous intégrerons ici un lien vers le support vidéo publié sur WhatsApp.


Maintenant, nous, chrétiens congolais, que disons-nous du tandem FARDC-Wazalendo ?

Sommes-nous au courant que la CODECO aussi soit en instance de se joindre au tandem meurtrier qui a la bénédiction du Président de notre République, un frère en Christ, qui viole, sans état d’âme, la loi divine qui nous interdit de tuer autrui ; et qui nous promet que le péché ne sera que d’un temps limité ; et qui a réussi à attirer plusieurs dans son iniquité ?