Kinshasa capitulera…


Chers tous,

Le Projet 2014, que plusieurs personnes occultent, reste très en avance sur son temps. Nous vous revenons avec des arguments déjà connus et avec nos nouvelles trouvailles politiques, stratégiques.

  1. Beaucoup en sont déjà convaincus : Kinshasa ne nous sortira pas de l’insécurité ; il ne fera que l’accroître en raison des motivations et des compétences qui restent encore à travailler par nous, peuple congolais.
  2. Sans l’implication de l’intelligentsia congolaise, nous ne pourrons jamais être compétitifs sur aucun plan, à l’international. Cela, bien que nous ayons une ressource humaine exploitable assez abondante, mais encore insuffisante.
  3. Le devoir d’instruit, de former et d’éduquer les congolais est nôtre et de de personne d’autre.
  4. La dualité du pouvoir (gouvernemental et celui dit coutumier) est une promotion, un prolongement de notre colonisation. Prendre notre indépendance, c’est n’accepter et ne nous soumettre qu’aux autorités de nos royautés ou empires congolais et à personne d’autre.
  5. Cette remise en cause du pouvoir de Kinshasa sur nos peuples n’est pas à confondre avec les aventureuses rébellions que nous connaissons et ne doit surtout pas être un rêve ; mais un combat de tout un chacun qui recherche notre réelle indépendance. C’est elle la vraie indépendance du Congo : celles de nos peuples aujoud’hui assujettis par Kinshasa et ce, depuis 1960, par nos propres frères congolais, d’abord et par les autres ennemis de nos peuples derrière eux.
  6. Nous demeurons convaincu qu’un passage en 5 étapes de 5 ans chacune, de la République, vers l’Union des État Indépendants du Congo (UEIC), de l’Afrique Centrale (UEIAC) ou de l’Afrique toute entière (UEIA), soit le seul moyen de léguer à nos enfants un état paisible et prospère.
  7. Notre indépendance politique, technologique, culturelle et sociale tient à notre capacité de produire et de vendre nous-mêmes nos services et nos produits, au Congo même ou du Congo même, sans courir inutilement, à perte, à l’étranger.
  8. De notre capacité de prendre en charge ces donnes géopolitiques dépendra notre destin, notre bonheur présent et futur.

Le Projet 2014, continue donc à solliciter une participation active massive à la rédaction en ligne d’un projet de société pour la RDC et de son test sur terrain au fur et en mesure de l’exécution dudit projet. C’est la manière civilisée et efficace de forcer Kinshasa à la capitulation dans la guerre qu’il mène contre notre peuple.

Proposition ultime.


Même les plus malhonnêtes commencent à se gêner à ne pas reconnaître que Kinshasa échoue. Quoi proposer dans une telle situation, où, de toute évidence, le Congo a atteint ses limites cognitives, spirituelles, physiques ? Nous y avons réfléchi et propos… Ultimement, si nous pouvons nous permettre de le penser ou de la dire plutôt.

Nous voudrions proposer aux congolais la création d’une société du type « La Congolaise« , ouverte à tout congolais que nous dirons de souche, c’est-à-dire ici, dont tous les ascendants ET toutes les ascendantes, sans exception sont du territoire congolais actuel. L’objectif est de rapidement combattre la colonisation économique, culturelle et politique de notre pays par le fait de certains « allochtones » et certains « étrangers » inciviques, traîtres, dans un premier temps.

Cette société s’occupera de l’achat et de la vente de « tout », produits et services, qui peuvent légalement s’acheter et se vendre, partout dans le monde, pour réaliser des bénéfices permettant aux actionnaires de rapidement maîtriser, contrôler et relever l’économie, la culture et la politique congolaises ; et de ne pas laisser le pays continuer à sombrer à cause de la pauvreté du plus grand nombre, entretenue par nos compatriotes inciviques et nos ennemis étrangers ; et qui pousse certains Congolais désespérés à la rébellion qui n’arrange pas les choses, mais accroît plutôt le rancœurs . Cette société permettra nous poussera à nous instruire, nous former et nous éduquer. Le résultat en sera la qualité de la ressource humaine qui est déterminante dans la réussite de tout développement endogène, libérateur et démocratique.

La création d’une société demande un changement préalable de nos mentalités et de nos comportements. Il nous faut donc rapidement et massivement investir dans une éducation nationale accélérée et de qualité en recourant à des MOOC (Massive Open Online Courses) appropriés par exemple. Pour que cela soit possible, il conviendrait que l’intelligentsia congolaise se lève cette fois-ci pour se mettre au travail éducatif intensif, facile à organiser à partir de la base et non pas à partir du sommet. Les ressources humaines nécessaires existent, mais ont été jusqu’ici mal exploitées : clientélisme, corruption, absence de professionnalisme. Comment alors opérer un changement pacifique et pacificateur dans un tel contexte ?

Quelques congolais bien motivés doivent prendre le courage de commencer par se mettre autour de la table avec des papiers et des crayons en main pour mettre en route la roue du cercle vertueux en marche. Le travail à faire consistera à refaire un état des lieux ; à définir et décrire correctement les problèmes ; à les analyser pour en connaître toutes les causes et toutes les conséquences ; à dégager du résultat de cette analyse une stratégie gagnante ; à mobiliser les ressources nécessaires pour engager le projet qui disqualifiera les traîtres de la nation et promouvra les patriotes. Cette condition seulement que nous pourrons espérer un changement heureux de la condition du congolais. Dans le but de participer, qu’avons-nous fait de notre côté ?

Nous venons d’engager, dans le cadre de l’EAE ASBL, un projet qui s’il est agréé par les Congolais boostera à coup sur l’économie, le social et la politique congolais. Le projet Centres de Formations et de Conférences de Kinshasa, CFC/Kinshasa, de l’EAE ASBL, en cours d’études est conçu avec le désir d’éradiquer le chômage, la sous-qualification et l’esclavagisme. Tout kinois peut y participer : dans le cadre de l’EAE ASBL.

Quand ces congolais de « souche » au sens ci-dessus seront rassurés, la société pourra être ouverte au reste des congolais. C’est notre dernière trouvaille et proposition à l’adresse des Congolais qui se soucient de notre destin, dans le cadre de notre participation au Projet 2014. Qu’en dites-vous ?

Notre engagement politique !


De notre volonté (désir, vœux, détermination, résolution, décision, dessein…) et de capacité (aptitude, prédisposition, savoir-faire, savoir, savoir-être, argne…) à nous mettre au travail dépend le futur du Congo.

Depuis décembre 1999, nous invitons tous les Congolais à se mettre autour d’une table pour :

1° décider, ensemble, tous les peuples congolais réunis, de ce que nous voulons faire du Congo hérité de l’indépendance lumumbienne ;

2° ce que nous aurons convenu de faire, de décider de la manière d’agir, de la stratégie à adopter, du programme à suivre, du plan de travail, des attributions des tâches à adopter pour parvenir à nos objectifs locaux et nationaux.

Jusqu’à présent, il n’y a eu que trois compatriotes pour contribuer à la production, en ligne, d’un projet de société pour le Congo, un plan qui soit le plus complet et le plus démocratique à la fin ; et, qui soit testé sur terrain, pour susciter un engagement de l’ensemble de notre population et des populations amies.

Nous constatons que notre élite, nos universitaires, formés à l’école napoléonienne, sont des plus démissionnaires, peureux et irresponsables.  Des personnes que nous disons peu instruites, sans qualifications suffisantes ou sans éducations élvées, se meurent, se sacrifient, mal, mais avec conviction non bien éclairée, pour l’avenir de notre progéniture.  Ils meurent sans bénéfice pour leurs familles ni pour notre nation.  Personne n’est là pour éclairer, pour conseiller, pour instruire, pour former, pour éduquer, pour animer, professionnellement.

Ce message tombera peut-être dans une bonne oreille pour provoquer le déclic qui tarde à venir depuis 1960, malgré notre constante sonnette d’alarme, depuis 1976, aux côtés de notre père Michel Ézéchiel Atoka Ukumu ; et particulièrement, depuis 1999 que nous avons lancé le Projet 2014, que nous avons dédié à ce dernier le présent un site ; et que nous avons invité tous les amis à y verser leurs contributions, dans esprit démocratique.

Certes, nous nous devons de demeurer strict : 50 pages de contribution personnelle, originale, pour être considérer comme contributeur ; 3000 pages au moins avant de prétendre avoir un projet de société digne d’un pays multiculturel et vaste comme le Congo ; 50% de ministres du pouvoir acquis à la cause d’un développement par projets écrits, démocratiques, chrétiens et capitalistes.

24 ans après le lancement du projet 2014, force est de constaté que nous étions trop optimistes, naïfs, en acceptant les objections de ceux qui refusaient d’investir 30 ans dans la rédaction dudit projet.  Aujourd’hui, nous nous rendons compte que seul un miracle divin pourrait nous permettre d’atteindre l’objectif en 2029 ; si dans les six ans qui nous séparent de cette échéance, des Congolais se réveillent, se lèvent, revolts par notre honteuse démission, nous qui clamons aimer jalousément notre nation, notre territoire.

Une leçon est à tirer de cette triste et instructive expérience : il ne fallait pas réduire notre plan départ, de 30 ans, à un plan de 15 ans, sous l’influence de ceux qui, eux, souhaitaient participer à un travail de maximum 2 ans !  Notons que 1999+15 nous donnait 2014 : le nom du projet, que nous ne souhaitons pas surtout pas changer ; pour que cela reste gravé dans la mémoire de nos enfants que nous sommes, jusqu’ici, des peuples paresseux ou une nation faineante, lente à comprendre et à admettre ses faiblesses, à l’égoïsme suicidaire, aux cous roides devant son Dieu, contre lequel l’amour du Divin résistera, fidèlement à sa promesse.

En attendant, qui ici, aujourd’hui, qui veut se plonger dans l’eau froide et bienfaisante ?  La rédaction et l’animation politique forme, grandit l’homme qui se confie à Dieu, dans cette entreprise !

Un arbre à problèmes est à construire ensemble, avec détermination, pour combattre le mensogne politique qui induit nos populations sous-instruites dans des erreurs grossières et qui encourages nos intellos traîtres dans leurs prostitution politique.

Très intelligemment et sagement, il nous faut dégager de cet arbre la solution au problème que nous pose nos trahisons légendaires que plusieurs occultent pour se faire bonne conscience ou pour tenter de se cacher, face à la menace de la justice qui transformera, en son temps, plusieurs de nos héros politiques en bandits politiques, en criminels de droit commun.

C’est dire que le Projet 2014 soit aussi un courage politique. Les forces sataniques se lèvent à chaque initiative du projet pour tenter de nous barrer la route. Cependant, quand les fils de Dieu purifiés se lèveront, leurs châteaux voleront en éclat et plusieurs familles sombreront dans une honte innommable.

Notre engagement reste donc entier : le projet de société le plus démoncratique et le plus complet pour le Congo et le test en temps réel de ce projet sur terrain, pour couper l’herbe sous les pieds des dictateurs, des colonisateurs, des traîtres...

Notre sécurité nous fait peur !


De fait, il faut vite comprendre – ce que l’on ne nous apprendra pas vraiment à intérioriser dans l’école napoléonienne – que tout comportement de l’humain est fortement conditionné par sa croyance. En quoi croyons-nous au fait : en Dieu, en Satan, en Bouda, en Mahomet, en Jésus, en qui d’autre ? Ou alors, ou encore, quoi en d’autre ?

Ne pas répondre cette question fait que beaucoup de congolais croient à un avenir meilleur sans une rencontre de nos peuples autour d’une table pour convenir du type de pays que nous voudrions construire.

Dans l’Est, certains problèmes sont d’origine ethnique : des tribus qui hier s’apprivoisaient, mais qui à cause de la dictature et de ses conséquences, se rappellent qu’ils ne se sont jamais aimés vraiment.

Dans l’Est, certains n’ont pas encore compris que la religion divise tout le monde : les adeptes de plusieurs religions ne veulent pas s’impliquer dans des projets dans lesquels se trouvent impliquer leurs adversaires… Les chrétiens ne ressent pas bien la montée de l’islam dans le pays ; les croyants majoritaires ne sont pas toujours concordants quand il s’agit d’élire à des postes élevés ou même de scolariser les enfants des autres dénominations ! Les animistes et les agnostiques boudent les croyants, sabotent leurs projets sans que nous congolais, distraits de nature, ne puissions nous en rendre compte.

Le pays étant officiellement laïc, mais dans largement chrétien, une confusion terrible règne dans les esprits qui ne connaissent pas les conséquences de la laïcité. Tout le monde parle du conflit rwandophones-non-rwandophones. Personne ou presque ne parle du conflit chrétiens-non-chrétiens. Pourtant, les différents pouvoirs sont infiltrés par des courants philosophiques divers : catholiques, agnostiques, protestants, kimbanguistes, musulmans, satanistes, libres penseurs, etc. C’est personnes opèrent dans les coulissent. La majorité d’entre nous, distraite, ne se doute de rien !

Décidons-nous. Quel type de nation voulons-nous être ? Cette question, ne la poser aux hommes qui trônent à Kinshasa : vous leur donneriez la chair de poule ; tant ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore !
Chers compatriotes, comment voulez-vous alors que nous soyons un jour en paix tant que nous sommes dans la peut les uns des autres ?
Le Projet 2014, c’est crever l’abcès, c’est mettre sur la place publique ce que le congolais désire pour le confronter aux désirs des dictateurs qui se succèdent à Kinshasa !

Il faut beaucoup de courage pour adhérer à un tel projet. Cela explique pourquoi, ici, bien peu se sentent à l’aise.
Vous qui êtes là : commencer une campagne de multiplication des membres du projet. Partager nos liens pour que ceux qui le désire nous rejoigne pour un travail collaboratif sur des questions de fond !

Quelle politique, quelle économie, quelle santé, quelle éducation, quelle culture bâtir, quelle technologie, quelle science, quelle philosophie, développer, promouvoir, soutenir, prôner dans notre pays ; et, lesquelles bannir, prohiber, éradiquer, combattre chez notre gente ?

Construire sur le mensonge…


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[20/3, 07:49] G. Paluku Atoka Uwekomu: Pourquoi mentirait-il ?


Nombreux sont parmi nous, congolais, chrétiens nomminaux, ceux qui s’adonnent au mensonge et nous attirent la colère de Dieu. Pourquoi ?


Comment éduquons-nous nos enfants à la maison et à l’école ?

Que recherchons-nous par la pratique nationale du mensonge ?


Faut-il s’étonner que soyons dans l’insécurité avec une population vouée au mensonge ?

Qui nous délivrera du mensonge ?