Sous nos regards hébétés…


Et si ChatGPT avait raison… Nous avons produit un article partant des informations que nous fournit ChatGPT.

« Merci pour ta précision sur l’or. Voici une synthèse stratégique pour t’aider à intégrer cette filière dans ton manifeste et ton projet de souveraineté économique. »

L’or congolais : Peut-il être un levier stratégique pour la souveraineté du Congo ? Pour en avoir une idée, lisez la suite.

Données clés

– Réserves estimées : 2 000 tonnes d’or en RDC, soit une valeur de plus de 121 milliards USD.  [Il faudrait plutôt dire 121 milliards seulement !  En effet, ce n’est même pas assez pour faire vivre les Congolais correctement pendant 1 mois !]

– Production industrielle : dominée par la mine de Kibali (Barrick Gold, AngloGold Ashanti, État congolais). 762 000 onces (23 tonnes) ont été produites en 2023 par cette mine.

– Production artisanale : en forte croissance. Elle est passée de 38 kg/mois en 2022 à 475 kg/mois en 2023 grâce à Primera Gold.  [Ces chiffres sont à prendre sur des pincettes.  Beaucoup d’or traverse les frontières frauduleusement. Les propriétaires de la terre n’ont aucun contrôle sur ce qui se passer sur leur sol.]

– Transformation locale : une première raffinerie d’or a été installée à Bukavu. Elle a une capacité de 100 à 200 kg/jour, mais son agrément a été suspendu en 2023. Et pour cause ? Le non-respect des obligations sociales.

Complément d’information

[Nous avons cherché à connaître ce qu’étaient ces obligations sociales en consultant ChatGPT.  Voici ce qui l’en aurait été.

Sources d’informations

Selon les sources officielles évoquant l’arrêté ministériel du 24 juillet 2023 signé par la ministre des Mines Antoinette N’Samba Kalambayi, la société Congo Gold Raffinerie à Bukavu a vu son agrément suspendu pour avoir manqué au non‑respect de ses obligations sociales, notamment :

lL’absence d’élaboration d’un cahier des charges sur les responsabilités sociétales. Malgré une mise en demeure donnait six mois à l’entreprise pour se conformer. Cette dernière n’avait pas soumis de document essentiel exprès ou en complice (radiookapi.net) ?

  • Plus précisément, l’arrêté précise que Congo Gold Raffinerie n’a pas respecté ses « obligations sociales. Notamment, celles relatives à l’élaboration du cahier des charges des responsabilités sociétales » (laprunelleverte.com).  [Qui devrait, logiquement, élaborer le cahier de charge et pourquoi ?]

En résumé

Le manquement principal concernait l’absence de formalisation d’un engagement social clair et documenté, comme requis par la réglementation. Ce document vise à définir les contributions attendues de l’entreprise envers les communautés locales (emplois, santé, éducation, environnement, etc.), et son non‑établissement a été jugé suffisant pour justifier le retrait de l’agrément.

]

Enjeux et menaces

– Contrebande massive : plusieurs tonnes d’or échappent chaque mois au contrôle de l’État, alimentant une économie parallèle.

– Conflits armés : des groupes comme le M23 exploitent illégalement des mines d’or, parfois avec le soutien de puissances étrangères.

– Faible transformation locale : la quasi-totalité de l’or est exportée brut, sans valeur ajoutée.

Opportunités à saisir

– Créer une filière aurifère congolaise intégrée : de l’extraction artisanale à la transformation locale.

– Renforcer la traçabilité : via des coopératives, des plateformes numériques et des partenariats avec des raffineries éthiques.  [Ce n’est pas la numérisation qui apporte de la transparence.  Plusieurs projets de numérisation ont été des catastrophes en RDC.  Numérisation de la paie des fonctionnaires de l’État par exemple.  La traçabilité peut se faire à l’aide des cahiers lignés !]

– Mobiliser la diaspora : pour investir dans des unités de transformation, des bijouteries, ou des circuits de vente certifiés.

– Plaidoyer international : pour exiger la transparence des chaînes d’approvisionnement (ex. : or congolais dans les bijoux européens).

À quoi devrions-nous plutôt penser le plus rapidement possible et comment ?

– « L’or du Congo ne doit plus enrichir les autres. »

– « De la mine à la bijouterie : l’or congolais, valeur ajoutée congolaise. »

– « Pas un gramme d’or sans justice, sans propriétaire, sans transformation et commercialisation locales. »

– « L’or du peuple ne doit plus financer les ennemis du Congo. »

Ne pas vouloir changer de fusil d’épaule nous tuera.

Les hommes que nous avons commis à la gestion de notre or, de notre État, par népotisme, nous mènent bien. Ils nous conduisent où il fallait s’y attendre. L’épuisement, possible, pure et simple, de nos ressources, sous nos regards hébétés.

Avenir brillant ou sombre ?


Moi et mon frère

Mon frère,

Je suppose que tu apprends de l’histoire que nous vivons au pays.

Nous n’avons jamais voulu admettre que nous ayons opéré de mauvais choix. Notre salaire est une ignominie grandissante.

Objectivement, Tshisekedi et Nangaa ne pacifie pas la RDC. Tous les deux se tournent vers les États-Unis d’Amérique. Le premier pour « valoriser notre patrimoine et pacifier ». Le second, pour « libérer le Congolais de la dictature et développer le pays ».

Moi et toi n’arrivons à sensibiliser personne. Notre peuple manque de connaissance, d’expérience et de discipline. En même temps il ne veut ni apprendre, ni se former ni s’éduquer. Le mal est profond. Nous sommes des enfants maudits, inciviques, idolâtres.

Je trouve personne pour mobiliser et gérer pour nous tes concessions. Les mois passants, nous aurions pu avoir une 1ère récolte déjà. La voie de la suffisance alimentaire serait en déblaiement déjà. Un espoir commencerait à naître.

Qu’allons-nous faire ? Nous refusons de nous mettre autour d’une table pour réfléchir, pour décider et passer à l’acte. La paresse, l’égoïsme, l’irresponsabilité nous tuent.

Que nous suggère-tu ?

Un samedi pour la RDC

Un samedi, comme celui-ci, c’est le jour que nous pourrions travailler. Même avec des SMS, nous savons élaborer des projets innovateur. Pour nous équiper en compétence informatique, j’ai proposer. Des cours gratuits d’informatique pour débuter en informatique. Personne ne veut dépenser pour cela. Plusieurs prendrons leur bière ou embrasserons leurs concubins.

Pourquoi Dieu benirait-ils nos orgies ? Notre ruine n’est-elle pas garantie par nous-mêmes ?

Responsabilité parentale !


Les drames que vivent nos familles se multiplie.

La spoliation culturelle s’est mondialiste et un peuple, qui ne se protège pas, dépérit.

De quelle responsabilité parentale devons nous parler ? Comment la garantirons-nous efficacement, si nous ne reprenons le contrôle de notre identité culturelle ?

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À tous les familles, patriarchies, clans,  tribus, ethnies et peuples, du Congo Kinshasa, nous conseillons une décolonisation mentale et spirituelle urgente, pour arrêter l’hémorragie que nous infligent les hommes que nous avons commis ou que nous tolérons au pouvoir depuis 1960.

Nous étions sensés prendre notre indépendance : pas des mains des Belges !

Assurance obsèques


Plusieurs familles sont frappées par le deuil.  C’est le moment que certains membres de ces communautés se rappellent qu’eux aussi soient mortels.  Tout cela, devant des cercueils.

Une assurance obsèques ne vous tue pas avant le temps !  C’est la pauvreté, en revanche.  Votre famille nucléaire,  votre patriarchie,  votre clan, votre tribu, votre ethnie, votre alliance, votre peuple, votre confédération, peuvent organiser, leurs assurances obsèques,  sans le concours de l’État.

Cette forme de solidarité permet, aussi, d’apprendre à fédérer les ressources de la communauté, pour combattre la pauvreté plus facilement, pour faire face aux dépenses occasionnée par une mort, sereinement, par une assurance obsèques.

Dans une nation moderne, civilisée,  l’assurance obsèques devrait devrait être obligatoire, dans tout ménage,  dans toute famille.  Au Congo, nous proposons une assurance globale obligatoire pour tous.  Elle devrait inclure la responsabilité civile, l’accident, la maladie, l’invalidité, la perte de revenue involontaire, l’incendie, les obsèques, les véhicules.

Aujourd’hui, il ne faut pas attendre Kinshasa pour organiser son assurance.  Dans le projet EAE ASBL, nous pouvons vous aider à organiser votre propre assurance.  Ce conseil est, totalement, gratuit pour vous.

FEEC : nous pouvons mobiliser des crédits ensemble !


Je viens de lire un des fichiers et de visiter votre site (https://sefedrdc.org).

Nous pouvons collaborer dans le cadre de mon projet FEEC (https://projet2014.com/projets/feec), sur la base d’un protocole de collaboration écrit.

Par souci d’efficacité, nous ne mobilisons pas des ressources pour les fêtes : ni pour élèves ni pour les étudiants ; mais, nous mobilisons des crédits aux études pour les scolarités d’abord, pour préparer l’autonomie des protégés après leurs études. C’est notre manière d’aider et de responsabiliser les parents ou tuteurs des enfants mineurs, ou bien, les étudiants majeurs.

Ce que nous réserve…


Au regard de la passivité de nous autres, qui sommes dans l’opposition, il ne nous faudra pas nous plaindre lorsque le pouvoir gagnera aux élections de 2023 : les mains levées !

Notre peuple, nos tribus, non plus, n’accuseront pas – je l’espère- la communauté internationale d’être la responable de tous les maux que nous vivons : du fait de leur complicité avec le pouvoir de Kinshasa.

Quant à nous, intelligentsia congolaise, sans production de stratégies ni d’animations politiques efficaces, nous devons déjà reconnaître notre manque de patriotisme criant, qui laisse libre cours à la méchanceté des hommes qui trônent à Kinshasa et qui profitent, lâchement, de l’ignorance dans laquelle notre peuple est plongé depuis le règne de nos aïeux hégémoniques, sataniques.

Les appels au travail du Projet 2014 demeurent donc vains et sont comme mal adressés ; de sorte que nous perdons notre latin et ne comptons plus que sur la grâce divine ! C’est de la clémence et de la compassion de Dieu que nous viendra le salut ; face aux ennemis du Congo qui, tous ou presque, nous raillent.

L’avenir demeure donc sombre, selon nous.

À qui la faute ?


[5/10, 06:50] TEKAKWO: Nomination sans travail!
Depuis que la coordination est installée je me demande si vraiment le PDDRCS est tout simplement slogan dans la bouche des Ituriens
[5/10, 06:50] TEKAKWO: C’est quoi cette histoire, où l’on nomme même les députés et agents de la fonction publique au sein du PDDRC-S ? Les nominés, vont-ils démissionner de leur mandat et postes au sein de la fonction publique, ou bien vont-ils cumuler ?
Pourquoi chercher toujours à faire le cumul des fonctions, pendant que le pays regorge plein des chomeurs ?
Ça fait la honte, et c’est ridicule, surtout pour les honorables députés provinciaux. Voilà comment les gens réduisent la fonction d’homme ou de femme d’état.
[6/10, 14:47] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le peuple ou plutôt nous, peuples du Congo lumubien, élisons ou tolérons et élirons ou tolérerons encore ces hommes véreux en 2023.

Quant aux chômeurs dont parle notre compariote, ils ne sont pas capables de se liguer, de s’organiser pour créer des emplois ou des entreprises pour remplacer ceux qui ne nous apportent pas le développement auquel nous aspiront.

À qui la faute, ultimement !