Augustin Kabuya : réellement superstitieux ?


C’est ce que prétend une personne sur une publication sur WhatsApp.

Qui sont les victimes de cette superstition ?

Comment et pourquoi ?

Du pain sur la planche du gouvernement…


Le gouvernement Suminwa a du pain sur la planche.

Courons à son secours !  Suivez.

[7/15, 08:49]

+243 813 206 360 : Mahagi : 1.367 sur 1.912 Diplômes d’État de l’édition 2015 de l’EPST ITURI 3 sont disponibles à Mahagi
https://www.ituritamtam.net/2024/07/14/mahagi-1-367-sur-1-912-diplomes-detat-de-ledition-2015-de-lepst-ituri-3-sont-disponibles-a-mahagi/


[7/15, 10:34]

GPAU :

9 ans plus tard ?
C’est quoi comme gestion du pays ?
Diplômé en 1985, à l’université de Kinshasa, je n’ai toujours pas encore vu mon diplôme !

Tribalité ou tribalisme ?


[21-03-24 10:51] Le tribalisme : une des pesanteurs qui tirent [la RDC] vers le bas. C’est vraiment regrettable !

[21-03-24 11:45] : Le tribalisme que nous observons au Congo est une réaction de tout païen contre l’esclavagisme et la colonisation dans lesquels Kinshasa s’investit depuis bien avant 1960. Il n’est pas qu’une méchanceté de l’actuel régime seul. Le mal vient de très loin : de nos aïeux. Cette souffrance continuera encore après nous, à voir la manière dont nous la gérons, nous : Congolais. Il est important que nos enfants apprennent à reconnaître cette vérité capitale, fondamentale, pour que demain soit corrigée la situation que nous avons créé de nos mains et de nos esprits rebelles à Dieu, dont nous nions l’amour, par attachement aux esprits de nos « koko ».

Accordons à chacun de nos peuples et alliances son indépendance réelle et sa liberté véritable. Nous verrons alors les différentes formes de ségrégations que nous vivons aujourd’hui disparaître rapidement, pour ne pas dire instantanément.

Les Congolais qui se voient brimer par l’État, se rabattrons tout naturellement et souvent sur leurs familles, leurs patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs ethnies, leurs races, leurs nations, leurs continents, où ils attendent être plus facilement écoutés. Prenons un exemple simple. Kinshasa a décidé que nous ne soyons plus congolais parce que nous avons acquis des nationalités étrangères. Il a en revanche accordé à des personnes de pères étrangers, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes matriarcaux minoritaires, mais une abomination chez nos compatriotes patriarcaux, largement majoritaires. De même, il a accordé à des personnes de mères étrangères, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes patriarcaux, mais une violation des coutumes de nos compatriotes matriarcaux. Ces violations de nos droits les plus élémentaires ne peuvent que frustrer ceux qui n’ont d’autres remparts que leurs familles, les patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs clans, leurs ethnies ou leurs alliances ; dans une nation par ailleurs à origine coloniale.

Comment voulez-vous que nous connaissions la paix dans ces conditions ? Frères, aujourd’hui tout montre que personne à Kinshasa ne veut nous accorder d’être libres, indépendants, nous, Congolais, de l’Est, comme de l’Ouest ; du Nord, comme du Sud. Chacun veut régner sur nous, nous dominer, nous subjuguer, nous exploiter, nous enlever nos valeurs et nous inculquer ses antivaleurs et pire encore, nous enlever nos terres et nos frères, pour s’emparer de nos biens et de nos terres. Ces hommes, lorsque nous ne les avons pas élus, nous, congolais de père ou de mère, nous les tolérons. Comment congédierons-nous ce mal de nos villages, localité, cités et villes ?

La meilleure façon de démontrer que son groupe ethnographique a de la valeur, comme les autres, ce n’est pas de crier à la ségrégation, se morfondre dans des jérémiades ; mais c’est plutôt de le montrer par sa pensée, sa parole et surtout par ses exploits, ses actions, dans la société où l’on vit avec les autres groupes qui ont aussi leurs valeurs à mettre sur la table ! C’est de défendre nos frères, nos terres, là où Satan et ses suppôts humains tentent de dérober des dons précieux que nous avons reçus de Dieu ou au prix de sacrifices de nos aïeux, quand bien-mêmes certains d’entre eux nous ont trahi après avoir conquis les terres dont nous sommes aujourd’hui propriétaires, par la grâce divine.

En lisant cet article, un compatriote a régi : « C’est plus gravissime de le savoir si c’est ainsi. »

Comme il est chrétien, je me suis précipité sur ma Bible pour y puiser un conseil du Sage et lui est répondu.

Tu es Dieudonné. N’est-ce pas, cher frère ? Si tu trouves gravissime de le savoir, relis alors ceci et prends une position vis-à-vis de ton Dieu et qui est aussi mon Dieu.

1 Timothée 5:8 « Si quelqu’un n’a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle. »

Il ne faut pas donc croire ceux qui vous disent aimer la République Démocratique du Congo, alors qu’ils ne s’aiment pas encore eux-mêmes et encore moins, ils n’aiment même pas encore les membres de leurs propres familles restraintes !

Haine ou révélation du tutsi ?


Tel que reçu, dans notre groupe WhatsApp.

À partager aux enfants congolais

LA CONNAISSANCE DE LA PSYCHOLOGIE TUTSI, C’EST LE DÉBUT DE LA FIN DE L’INSTABILITÉ À L’EST DE LA RDC.

  1. Ne te hasarde jamais et au grand jamais à solliciter un dialogue , autrement dit , une négociation avec un Tutsi. Dans la culture , la tradition , l’expérience et la mentalité d’un Tutsi , demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc , de ton incapacité de te battre avec lui .
  2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi .
  3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié , la compassion , la reconnaissance, la clémence , la gratitude ou la compréhension .
  4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante . Il n’oublie jamais , au grand jamais , surtout le mal qu’on lui a causé. Par contre , il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite s’acquitter de la dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
  5. Contrairement à nous autres Bantous congolais , le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve . Face à cette qualité supérieure , nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire .
  6. Lorsque d’aventure , un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu , cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux , en commençant par un bras , puis l’autre , ensuite une jambe , puis l’autre , puis une oreille , et ensuite l’autre jusqu’à ce que , de guerre lasse , il lui tranche enfin la tête .
  7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges . Du reste , le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
  8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur , d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie .
  9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe , quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.
    Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies . Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre , très très probants :

A. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.

B. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame , croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé , un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali . Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash de leur appareil .

C. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la
milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient , l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa.

La capitale zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.

  • D. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl .
  • E. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.
  • F. D’après mon comptage , plus de 54 conférences ,dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo . Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays , c’est maintenant l’ouest , c’est la province de Bandundu , ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu , c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang.

La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme . On a même remarqué une aggravation de
l’insécurité , une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc. )

La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres , de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont , certes , tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le
second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile »
se condamne lui-même à la mort.

Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.

Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos institutions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain.

À l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts, du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda , avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.

Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :

  • A. La domination politique des Tutsis sur les Bantous.
  • B. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.
  • C. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.
  • D. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.
  • E. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.

Face à de tels périls, que peuvent les négociations, les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront -ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point , ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.

Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jesus -Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines. Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit , elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète, événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».

Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. À la
mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont, au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi.
Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.

En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.

Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler .

Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente de la terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux.

On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois, de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.

Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.

Deo-Gratias MAINGO ANDANI André, Journaliste d’Investigation.

M23 : qui, quoi, pourquoi, comment, où ?


Qui sont les personnes qui constituent le M23 ?
Que revendique le M23 en RDC ?
Pourquoi ce mouvement est-il tant décrié aujourd’hui ?
Qui sont ceux qui soutiennent le M23 et pourquoi le soutiennent-ils ?

Commençons avec les réponses préliminaires de Copilot de Microsoft, en introduction aux débats de fond.

Qui sont les personnes qui constituent le M23 ?


Le M23, ou Mouvement du 23 mars, est un groupe rebelle essentiellement composé d’anciens soldats de l’armée congolaise. Ces soldats se sont rebellés car ils accusaient le gouvernement de marginaliser leur minorité ethnique tutsi¹². Plus précisément, la plupart des membres du M23 viennent de communautés rwandophones congolaises du nord¹.

Le M23 tire son nom d’un accord de paix signé par le gouvernement de la République démocratique du Congo et une ancienne milice pro-tutsie le 23 mars 2009². Le groupe a été chassé de la République démocratique du Congo en 2013, mais ses combattants sont maintenant de retour².

Les membres du M23 souhaitent une meilleure représentativité au sein des autorités du Nord-Kivu¹. Ils veulent également que le gouvernement combatte les groupes rebelles étrangers qui s’en prennent à la communauté tutsi de langue kinyarwanda en République démocratique du Congo². De plus, beaucoup d’entre eux souhaitent être enrôlés dans l’armée, comme promis dans un récent accord de paix².

Source : conversation avec Bing, 22/01/2024
(1) RDC : qui sont les rebelles du M23 et pourquoi sont-ils source de …. https://information.tv5monde.com/afrique/rdc-qui-sont-les-rebelles-du-m23-et-pourquoi-sont-ils-source-de-tensions-avec-le-rwanda.
(2) Rebelles du M23 en RD Congo : qui sont-ils et que veulent-ils – BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-61658022.
(3) M23: quatre éléments essentiels à retenir sur le rôle du groupe rebelle …. https://theconversation.com/m23-quatre-elements-essentiels-a-retenir-sur-le-role-du-groupe-rebelle-dans-le-conflit-entre-le-rwanda-et-la-rdc-195243.

Que revendique le M23 en RDC ?

Le M23, ou Mouvement du 23 mars, a plusieurs revendications en République Démocratique du Congo (RDC) :

  1. Emplois dans l’armée : Beaucoup de combattants du M23 souhaitent être enrôlés dans l’armée, comme promis dans un récent accord de paix¹.
  2. Lutte contre les groupes rebelles étrangers : Ils veulent que le gouvernement combatte les groupes rebelles étrangers qui s’en prennent à la communauté tutsi de langue kinyarwanda en RDC¹.
  3. Sécurité pour leurs proches : Ils souhaitent pouvoir ramener leurs proches, qui vivent dans des camps de réfugiés au Rwanda et en Ouganda, pour qu’ils puissent vivre en sécurité¹.
  4. Application des accords de paix de Nairobi de 2013 : Le M23 a demandé au gouvernement d’appliquer ces accords, mais le gouvernement qualifie désormais les rebelles de « groupe terroriste » et a exclu de nouveaux pourparlers avec eux¹.

Ces revendications sont liées à la discrimination perçue à l’égard des Tutsis congolais et d’autres communautés ethniques du nord et du sud du Kivu, qui sont considérées à tort ou à raison comme étant d’origine rwandaise et communément appelées “Rwandophones”².

Source : conversation avec Bing, 22/01/2024
(1) Rebelles du M23 en RD Congo : qui sont-ils et que veulent-ils – BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-61658022.
(2) M23: quatre éléments essentiels à retenir sur le rôle du groupe rebelle …. https://theconversation.com/m23-quatre-elements-essentiels-a-retenir-sur-le-role-du-groupe-rebelle-dans-le-conflit-entre-le-rwanda-et-la-rdc-195243.
(3) RDC : qui sont les rebelles du M23 et pourquoi sont-ils source de …. https://afrique.tv5monde.com/information/rdc-qui-sont-les-rebelles-du-m23-et-pourquoi-sont-ils-source-de-tensions-avec-le-rwanda?psafe_param=1.

Pourquoi ce mouvement est-il tant décrié aujourd’hui ?

Le Mouvement du 23 mars (M23) est décrié pour plusieurs raisons :

  1. Violence et déstabilisation : Le M23 a été impliqué dans de nombreux combats violents, notamment contre l’armée congolaise². Ces combats ont entraîné le déplacement de dizaines de milliers de personnes².
  2. Accusations de terrorisme : Le gouvernement de la RDC a qualifié le M23 de « groupe terroriste » et a exclu de nouveaux pourparlers avec eux³.
  3. Pression internationale : Le retrait annoncé du M23 pourrait être le fruit de la pression diplomatique, notamment des États-Unis¹.
  4. Scepticisme quant à la sincérité du M23 : Il y a des doutes sur la sincérité du M23 dans ses engagements à déposer les armes et à respecter les accords de paix¹.

Ces facteurs ont contribué à la mauvaise réputation du M23 et à sa décriance par de nombreux observateurs et acteurs internationaux. Cependant, il est important de noter que la situation est complexe et en constante évolution.

Source : conversation avec Bing, 22/01/2024
(1) RDC : qui sont les rebelles du M23 et pourquoi sont-ils source de …. https://information.tv5monde.com/afrique/rdc-qui-sont-les-rebelles-du-m23-et-pourquoi-sont-ils-source-de-tensions-avec-le-rwanda.
(2) Rebelles du M23 en RD Congo : qui sont-ils et que veulent-ils – BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-61658022.
(3) Pourquoi le M23 va-t-il se retirer de ses positions – dw.com. https://www.dw.com/fr/pourquoi-le-m23-va-t-il-retirer-positions/a-64021164.

Qui sont ceux qui soutiennent le M23 et pourquoi le soutiennent-ils ?

Le M23, ou Mouvement du 23 mars, est soutenu par plusieurs entités pour diverses raisons :

  1. Soutien ethnique et régional : Le M23 est principalement soutenu par des communautés rwandophones congolaises du Nord¹. Ces communautés soutiennent le M23 en raison de leur identité ethnique commune et de leur désir de protection contre la discrimination et la violence¹.
  2. Soutien du Rwanda : Il y a des allégations selon lesquelles le Rwanda soutiendrait le M23³. Cela pourrait être dû à des liens ethniques, car beaucoup de membres du M23 sont d’origine tutsi, un groupe ethnique qui est également présent au Rwanda¹. De plus, le Rwanda pourrait avoir un intérêt stratégique à soutenir un groupe qui s’oppose à certains groupes rebelles actifs en RDC¹.
  3. Anciens combattants : Beaucoup d’anciens combattants du M23 qui se sont réfugiés au Rwanda et en Ouganda après la fin de la rébellion en 2013 pourraient continuer à soutenir le groupe¹. Ils pourraient le faire dans l’espoir d’obtenir des emplois dans l’armée congolaise, comme promis dans un accord de paix¹.

Il est important de noter que la situation est complexe et en constante évolution, et que ces informations peuvent ne pas être à jour ou complètes. De plus, le soutien au M23 est un sujet controversé et fait l’objet de nombreux débats et désaccords¹²³.

Source : conversation avec Bing, 22/01/2024
(1) M23: quatre éléments essentiels à retenir sur le rôle du groupe rebelle …. https://theconversation.com/m23-quatre-elements-essentiels-a-retenir-sur-le-role-du-groupe-rebelle-dans-le-conflit-entre-le-rwanda-et-la-rdc-195243.
(2) RDC : qui sont les rebelles du M23 et pourquoi sont-ils … – TV5MONDE. https://information.tv5monde.com/afrique/rdc-qui-sont-les-rebelles-du-m23-et-pourquoi-sont-ils-source-de-tensions-avec-le-rwanda.
(3) Rebelles du M23 en RD Congo : qui sont-ils et que veulent-ils – BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-61658022.

Bunagana ou le pays tout entier ?


« Restons dans l’histoire mes soeurs et frères, arrêtons trop la boisson et l’ambiance pensons à nos Petites soeurs et petits frères, travaillons dur l’amour du pays. » (Projet 2014, WhatsApp)

Qu’est-ce que RESTER DANS L’HISTOIRE ?
Qui sont nos frères et nos soeurs ?
Comment et pourquoi penser à ces frères et soeurs ?
Qu’est-ce que l’amour du pays ?
Comment et pourquoi travailler dur l’amour du pays ?

Sans avoir des réponses à ces questions élémentaires, mais essentielles, comment pourrons-nous monter une stratégie qui nous permette de délivrer durablement Bunagana et le Congo tout entier de l’occupation, de la domination étrangère, de l’esclavage ?

Tous nos peuples du Congo vivent dans la colonisation et l’esclavage. Certains, depuis la nuit des temps ; d’autres, depuis quelques siècles ou décennies.
Nous pensons que le premier travail à faire c’est de décoloniser le pays : (1) accepter que chaque peuple ait le droit et le devoir de prendre son destin en main et (2) nous entraider, pour que cette indépendance de nos peuples cesse d’être une démagogie qui suscite des rebellions dans le pays, qui fasse le lit de l’imposture ou de l’occupation dans la sphère politique locale et nationale.

Tout l’Est est occupé, subjugué, exploité par des allochtones ou des étrangers. Les rancoeurs montent contre les colons, les dominateurs, les imposteurs… La division du pays se renforce et est capitalisée par les ennemis de nos peuples, de notre nation.

Et comme nous sommes peu instruits, insuffisamment qualifiés, de plus en plus immoraux, l’ennemi gagne du terrain chaque jour. La ressource humaine n’est pas de qualité.
Nous éduquer nous-mêmes en tant que nation demande que nous nous rencontrions, physiquement et virtuellement, pour définir nos valeurs et la manière de les promouvoir rapidement, démocratiquement.
Très peu d’entre nous acceptent de s’imposer cette discipline. Ce qui demande de notre part une campagne forte d’éducation par toutes les voies disponibles et accessibles : réunions familiales dans les foyers, travaux de groupes en présentiel ou en ligne, chat, messageries électroniques, les MOC, etc.

Dans ce projet, nous vous invitons à nous rejoindre dans ce combat contre nos faiblesses, pour espérer un jour être à même de véritablement secourir Bunagana et bien d’autres localités qui sont dans les griffes de Satan…

Déjeuner politique…


[26/8, 10:39] G. Paluku Atoka Uwekomu: Cher Héritier,
Que propose-tu, d’original, pour réduire ou supprimer cette fracture sociale ?
C’est cela la raison d’être de ce groupe. Dans quelle mesure participe-tu au test sur terrain des solutions proposées par d’autres compatiotes ou amis du Congo ; pour inspirer les autres qui cherchent comment participer au développement du Congo ?
[26/8, 10:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Pour nous, le grand obstacle demeure les graves lacunes dans l’instruction, dans la qualification et dans l’éducation de notre population qui commence par son abandon de son Dieu.
C’est pour cela que nous proposons une action de terrain via des projets tels que le FEEC (Fonds pour les Élèves et Étudiants du Congo), le CFC (Centre de Formation et de Conférences) que plusieurs, pour l’instant, ignorent, mais sans lesquels nous ne nous en sortirons pas, même si nous allons aux élections de 2023.
Mieux serait de se concentrer d’abord, nous-mêmes, sur notre instruction, notre formation et notre éducation. Comment ? Je pense que la mobilisation en passant par des réunions hebdomadaires par exemple, en famille, dans les quartiers, dans les villages, permet d’être efficaces et rapides. Que nous vous invitons à nous rejoindre les week-end, entre 16h00 et 18:00 de Bruxelles, par exemple, pour des rencontres courtes, de 30 à 60 minutes, qui nous permettent d’accroître, en tant que nation, notre connaissance du monde, notre maîtrise de la gestion du développement national, et notre moralité dans le vécu quotidien, où que nous soyons.
Cette démarche sera très longue parce que nous avons acquis de mauvaise habitudes, avec le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS dont nous ne saurons pas rapidement nous départir, tant que nous refusons de nous mettre autour de la table pour examiner, nous-mêmes, ce qu’à été notre implication dans la gestion dans la gestion calamiteuse du Congo hérité de la fausse indépendance de 1960.
Aller vers l’indépendance demande de nous de la sincérité, de l’ardeur, du courage et surtout de l’amour pour notre gente congolaise. Sans cela, nous ne seront que de chiens qui aboient pendant que les caravanes des pilleurs intérieurs et extérieurs passent !
[26/8, 10:58] Héritier Ba’ndoni: C’est qui est decriant c’est que les hommes au pouvoir ne font que discuter nuit et jour des avantages liés à leur position dans l’échelle, et pourtant ce sont ceux au bas de l’échelle qui leur ont laissé arriver où ils sont.
Et donc il revient aux vrais élites du pays, des hommes et femmes de conscience, d’éduquer la base pour sanctionner sévèrement les assoiffés de pouvoir.
Le problème est que en RDC le régionalisme, tribalisme, etc sont encrés dans le coeur et mémoire des gens à tous les niveaux, ce qui a pour l’une de conséquence la prise de position sentimentale notamment s’il faut élire, s’il faut dénoncer…
Bref, le grand travail doit commencer au niveau de ceux qui sont au bas de l’échelle pour se libérer ou alors du moins permettre une moyenne de vie sociale…
Le secteur où on est mieux payé en RDC c’est dans la politique, meilleur entrepreunariat pour les assoiffés de pouvoir…
Rare sont les pays avec un nombre important de partis au monde,…
[26/8, 11:00] Héritier Ba’ndoni: Je suis parfaitement d’accord avec les idées fournies ici
[26/8, 11:01] Héritier Ba’ndoni: FEEC, CFC= deux grandes stratégies que je retiens et qui attirent mon attention de manière particulière
[26/8, 11:01] Héritier Ba’ndoni: Je crois que je devrais réfléchir dessus dans mon quartier, village, etc.
[26/8, 11:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les photos que tu montres sont la conséquence de la démission de nos populations, de nos peuples qui acceptent de vivre dans l’oisiveté, de se contenter des salaires d’esclaves, depuis que nous nous sommes exploités entre nous peuples d’Afrique – avant l’arrivée de l’esclavagiste arabe et du colonisateur européen ; depuis que nous avons vendu nos frères aux européens et aux arabes pour des vils présents ou par peur du fusil ; depuis que nous nous sommes soumis aux dictateurs et imposteurs de tous acabits.
La solution est de faire prendre conscience à nos populations, à nos peuples, que nous devons immédiatement nous mettre au travail – le vrai travail, que nous devons arrêter de travailler pour moins que 18 € bruts par heure (36.000 CDF/heure), le plus rapidement possible… Sans cela, serons-nous et comment pourrons-nous être traités comme êtres dignes d’humanité par les autres nations qui nous observent ou nous exploitent, à l’instar de nos propres compatriotes ?
[26/8, 11:03] Héritier Ba’ndoni: 😭nous sommes esclaves de nos frères, c’est triste.
Très important ça
[26/8, 11:06] Héritier Ba’ndoni: Le plus souvent, nous acceptons nous contenter de petits avantages très limités que ceux là viennent nous donner juste pour nous flatter et nous abandonner à genoux pendant des années…
Nous devons être en mesure de dire STOP à celà,…
Je crois qu’on y arrivera un jour.
[26/8, 11:16] Héritier Ba’ndoni: Autre chose, ils maintiennent l’insécurité pour nous mettre en stress continue, et pourtant si tout allait bien, des milliers de congolais allaient se mettre au travail de champs dans les forêts, etc.
Je me rappelle de la période de période où FPIC a fait sa première apparition… Ce fut quand je venais de lancer mes discussions avec leurs chefs coutumiers pour un mini projet agricole à Mwanga, visant à produire de légumes pour la ville de Bunia…
Pour dire que tant que les bas peuples se laissent corrompre pas les forts pour créer des groupes armés, bandes de bandits semant l’insécurité, la base elle même ne pourra jamais avancer…
Aujourd’hui des grands villages sont restés vides en Ituri par exemple, ses habitants coincés de force dans des sites et autour des grandes agglomérations comme Bunia…
Main salle politicienne derrière, nous devons nous réveiller et mettre en pratique FEEC, CFC…
[26/8, 11:35] G. Paluku Atoka Uwekomu: Comment allons-nous éduquer nos populations ?
Nous qui avons fuit ou qui avons opter pour l’éloignement de la dictature, la mauvaise gouvernance ou de l’irresponsabilité nationale, n’avons pas un contact direct facile avec la base. Les pouvoirs en place gèrent savamment et intentionnellement les moyens de communication de telle sorte que ce contact soit le plus difficile possible, tant qu’ils sont aux arènes. Quant à nos populations qui continuent à fleurter avec le diable (paresses, sectarismes, mensonges, meurtres, démissions, traîtrises…), qui oublient pourquoi nous nous retrouvons à l’extérieur du pays et nous insultent en nous considérant comme des traîtres, nous pourtant qui soutenons le pays en y injectant plus 70% à 80% de son PIB réel (4-7 milliards d’euros produit à l’intérieur, 17 milliards injectés par la diaspora), comment seront-elles bénies sans passer par la repentance ?
Ne nous y trompons pas, chers frères.
Tant que nous refuserons de nous mettre autour d’une table pour examiner l’ensemble des obstacles à notre développement harmonieux, dans le seul but de protéger nos frères forfaiteurs, par népotisme, le Congo restera sous le coup de la malédiction !
Nous avons tué les prophètes de Dieu par milliers, par millions. Ce n’est pas que Dieu ne pouvait pas nous écrabouiller tous ! C’est qu’Il use de patience à notre égard.
Nous avons le choix entre continuer à avoir le cou roide ou accepter de nous reconnaître fautifs et responsables de la misère qui sévit dans notre pays en ce compris l’insécurité dite de l’Est de la RDC.
[26/8, 11:58] G. Paluku Atoka Uwekomu: Sur le plan stratégique, nous devons savoir qu’au pays ne s’est développé par le fait d’une foule. L’étincelle a toujours été provoquée par une ou un petit groupe de personne.
Le développement technologique de Taïwan, à l’information que je possède, a été enclenché par une bande de moins de 10 personnes ! De même, le développement économique des USA a été amorcé par une douzaine de tribus politiques révoltée contre la monarchie britannique.
Ce groupe a compté près de 200 membres : de quoi soulever la terre !
Que se passe-t-il pour que personne ne parle de lui sur terre ?
Seules 3 personnes ont jusqu’ici mis la main à la pâte : rédiger un projet de société pour la RDC qui soit le plus complet et le plus démocratique ; et, tester sur terrain les propositions formulées dans le projet. Cela fait 24 ans que le Projet 2014 existe !
Bref : soit que nous n’avons pas encore compris ce qu’est le Projet 2014, soit que nous n’adhérons pas audit projet, soit que le projet est mal conçu pour produire les résultats qui en sont attendus : le passage de la République à une union libre d’État indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, États basés sur nos affinités culturelles.
Un week-end comme celui-ci est un des rares moments où nous pouvons secouer les fondements du Projet 2014 pour en assurer la réussite : si cela est possible.
Le développement du Congo n’est pas le Projet 2014. Ce projet-ci est notre proposition qui s’appuie sur trois piliers : le christianisme, le capitalisme et la démocratie. Plusieurs projets similaires existent où chacun peut se retrouver et contribuer : La 3ème Force, La 3ème Voie, l’UNIC, la RDC-Libre, qui sont toutes des propositions originales, avec des particularités particulières, qu’il vaut la peine de bien examiner et pour ensuite les bien exploiter.
[26/8, 12:06] G. Paluku Atoka Uwekomu: « Âme abattue est celle qui mourra ! » (La Bible).
On ne fait pas la politique quand on pas le cran !
Nous, Congolais :
Que voulons-nous ?
Pourquoi ?
Comment ?
Pour quand ?
Pour qui ?
Avec qui ?
Avec quoi ?
Ne pas avoir SA réponse à SOI, NOTRE réponse à NOUS, c’est nous exposer à d’autres déceptions plus regrettables que les précédentes et les présentes, comme nous y obligent ceux qui vont aux élections de 2023, sans que nous ne soyons bien préparés en amont, préalablement !

Rare en RDC : un avis motivé !


À RETENIR SUR JOSEPH KABILA :

1.JKK est né au maquis de Hewa Bora et est allé en exil en Tanzanie 5 ans avant la création de l’UDPS . Donc, il a commencé la lutte avant les fondateurs de l’UDPS qui dansaient encore SANKAYOSA ;

  1. JKK à 25 ans, il va libérer la RDC aux côtés de son père Mzee Kabila qui a commencé l’opposition depuis septembre 1960 (22 ans avant Étienne Tshisekedi). Il a commandé les troupes de L’AFDL pour la libération de Kisangani face aux armées très équipées ( DSP, SARM, Garde civile, Commandos de choc de col Mbuza Mabe, Mercenaires français et Serbes, les EX-FAR et Interahamwe );
  2. JKK nommé commandant forces terrestres et général major va défendre la RDC de l’agression rwando-ougandaise de août 1998 -2001;
  3. Désigné chef de l’État après l’assassinat de son père Mzee Kabila,il a réalisé ce qui suit :
    a. De 2001-2003 : stabiliser les fronts de bataille et réunifier le pays qui est morcelé ;
    b. De 2003- 2006 : il gère le pays sous 1+4 dans une approche managériale très appréciée jusqu’à amener la RDC aux élections démocratiques et libres ;
    c. De 2006-2011: il lance le projet de la reconstruction du pays avec le projet de 5 chantiers, la restructuration de l’armée et de la Police, la mise en place des institutions étatiques, etc
    d. De 2011 -2018 : il lance le projet de la révolution de la modernité en favorisant le climat des affaires, encourager l’investissement privé par la construction des immeubles et des flats hôtels, des infrastructures des biens communs, la compagnie aérienne, transport en commun urbain, la bancarisation de paye des employés.

Ses acquis à sauvegarder :

  1. La décolonisation intellectuelle et économique par la révision du code minier ;
    2 . La démocratie pluraliste et Électorale ;
  2. Le secteur médiatique et des télécommunications très développé ;
  3. Le budget national qu’il a trouvé à 300 millions dollars et a laissé le budget de 6 milliards de dollars sans la dette extérieure (atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE avec l’expertise avérée de MATATA PONYO);
  4. Une armée républicaine et dissuasive, 8ème d’Afrique ;
  5. Le patriotisme, l’unité et la culture de représentation équitable dans la désignation aux postes de l’État sans tribalisme ;
  6. Le respect des droits humains et de la justice équitable ;
  7. Les universités et les hôpitaux de référence dans chaque province ;
  8. La création de 3e cycle (DEA) à l’ESU et la gratuité de l’enseignement à L’EPST.

CELLCOM G4-PPRD.

NOTES
Voici une propagande qui va dans la bonne direction : citer des faits, avérés ou contestables, pour vendre son candidat !
À vos plumes : dans les commentaires ; ici bas.

Il nous faudra attendre…


[26/7, 19:34] JJ

ITURI: CONSTRUCTION DE NOUVEAUX BÂTIMENTS POUR L’ACCUEIL DES COMBATTANTS DANS LE SITE DE DÉSARMEMENT ET DÉMOBILISATION DE DIANGO

Plus de 6 dortoirs, 1 réfectoire, une infirmerie, plusieurs bureaux, des cuisines et des toilettes , sont en cours de construction au site de désarmement et démobilisation de Diango dans la province de l’Ituri.

Ces nouveaux bâtiments construits en bois avec pavement, viennent s’ajouter aux infrastructures déjà existantes sur ce site afin d’accueillir 1000 combattants dont 20 combattants par dortoirs.

Ces travaux, qui ont démarré le 4 juillet dernier, sur financement du gouvernement congolais à travers le P-DDRCS, sont exécutés par le corps du génie militaire et l’entreprise Yesu ni Jibu .

Cellule de communication P-DDRCS/ITURI.

[26/7, 20:48] GPAU

Un pays n’est pas développé par les élections ni par les armes, en effet.

C’est par un travail méthodique, sous la houlette d’hommes faits, intelligents, sages, patriotes, porteurs de projets rentables, pesants, robustes, visionnaires.

Rejoignez notre équipe du Projet 2014, avec une proposition originale, novatrice.

Projet2014.com/inscription

Congolais asservi ?


Le congolais est-il asservi ?En quoi ? Comment ? Pourquoi ? Où ? Par qui ? Depuis quand et jusques à quand ? Avec quelle suite ?

Suivez…