La raison du plus fort…


Maître KABALU signe

WhatsApp, 24 janvier 2025.

Situation à 16h30, heure de Lubumbashi

  1. Il est important de noter que Goma n’est pas tombée, d’ici peu la ville sera entièrement sous contrôle de nos FARDC.
  2. Des affrontements se déroulent entre l’unité spéciale des Tigres des FARDC et les forces rwandaises (RDF) à la borne 12.
  3. Parallèlement, à Gisenyi, des échanges de tirs ont eu lieu entre l’unité spéciale des Guépards des FARDC et les RDF.
  4. Si Goma avait été totalement capturée, le communiqué des M23 aurait déjà été annoncé.
  5. À ce jour, nous notons un silence radio du côté du M23, qui n’a pas encore confirmé sa prise de contrôle sur la ville de Goma. En conclusion, la détermination reste forte et nous continuerons à nous battre jusqu’à la dernière goutte de sang.

GPAU cogite

Ce qui pourrait réjouir, c’est la présence de Guépards à Gisenyi. Chez l’ennemi, pour le dissuader de promener dans notre pays comme s’il était chez lui.
En revanche, combattre nos concitoyens de l’AFC et du M23 nous semble être une trahison de notre unité, nous Congolais. Ceci, quand bien-même ils seraient supportés par des pays tiers. Dans ces pays tiers se trouvent par aillieurs nos cousins à nous tous, à protéger. Rappelons que l’AFC et le M23 sont des Congolais, qui ne partagent pas le mode de gestion de Kinshasa. Nous sommes nombreux à nous en plaindre ; sans souscrire à la rébellion. Nous, de l’Ituri et du Nord-Kivu, sommes en désaccord total avec Kinshasa. Que reprochons-nous à ce régime comme aux précédents ?

  1. La spoliation de nos moeurs.
  2. Le pillage de nos ressources.
  3. Un état de siège injustifié et demandé par nos populations.
  4. La présence de MONUC sur nos terres sans notre invitation.

Quant à ceux qui ne tiennent que le langage de la force, ils feraient mieux de se raviser. En effet, beaucoup, dans l’AFC et dans le M23, nous tiennent aussi le même discours. Se battre, jusqu’à la dernière goutte de sang. Dans un tel cas de figure, le plus fort gagnera. Ce sera Kinshasa ou l’AFC/M23. Quelque soit le gagnant, sa victoire durera durera combien de temps ? Le plus triste dans l’histoire est apparaît désormais au grand jour. Nous n’avons plus de leçon à donner aux Rwandais. Parce que nous les combattons avec les FDLR dans nos rangs. Pendant longtemps, nous les avons gardés armés, sur notre territoire, à ce que nous apprenons, mais qui doit être vérifié.

Il apparaît donc qu’une solution propre existe. De bonne fois, chaque partie désarme les rebelles des pays frontaliers, réfugiés sur son territoire. Chaque pays fait respecter ses frontières, avec le soutiens des ses amis.

La raison du plus fort sera-t-elle la meilleure ici aussi ? Quelle Dieu confessons-nous ?

Il faut savoir Partir !


Écouter le message des prêtres catholiques à Félix Tshisekedi : Il faut savoir Partir.》


Ce message doit être pris au sérieux par notre frère en Christ, le Président de la République, à qui nous souhaitons une vie longue, au vrai service du Dieu vivant et vrai ; et non consacrée aux fils de Satan.

Son entourage est ce qui va le tuer, comme cela est arrivé souvent, dans notre pays. Nous, nous avons déjà averti, à plusieurs fois, à plusieurs reprises : nous ne sommes pas écoutés. Voici qu’un autre prophète argumente, insiste, explique, pourquoi Kinshasa doit déposer ses armes démoniaques.

Dieu est Dieu. Il ne dort ni ne sommeille. Il attend que le pécheur se repentisse. Sinon, paternellement, il sait aussi punir.

Les hommes qui trônent à Kinshasa ne doivent pas se fier à la faiblesse avérée des Congolais ; mais ils doivent se souvenir que pour un seul fils de Dieu, ils seront châtiés, très sévèrement. L’exemple sera parlant !

Après avoir consacré le pays à Dieu, le Président de la République ne pouvait se permettre de recevoir des féticheurs dans le palais de la nation. Il ne pouvait non plus se joindre des hommes dont il sait bien qu’ils ne craignent pas Dieu. Pour ces péchés là, comme pour bien d’autre, il est encore possible de se repentir. Cependant, bientôt, le courroux de Dieu sera manifeste : Dieu vengera lui-même ses nombreux saints que nous, Congolais, avons envoyés à la tombe, jusqu’à ce que les Congolais se repentent du cœur et non de la bouche seulement.

Kinshasa capitulera…


Chers tous,

Le Projet 2014, que plusieurs personnes occultent, reste très en avance sur son temps. Nous vous revenons avec des arguments déjà connus et avec nos nouvelles trouvailles politiques, stratégiques.

  1. Beaucoup en sont déjà convaincus : Kinshasa ne nous sortira pas de l’insécurité ; il ne fera que l’accroître en raison des motivations et des compétences qui restent encore à travailler par nous, peuple congolais.
  2. Sans l’implication de l’intelligentsia congolaise, nous ne pourrons jamais être compétitifs sur aucun plan, à l’international. Cela, bien que nous ayons une ressource humaine exploitable assez abondante, mais encore insuffisante.
  3. Le devoir d’instruit, de former et d’éduquer les congolais est nôtre et de de personne d’autre.
  4. La dualité du pouvoir (gouvernemental et celui dit coutumier) est une promotion, un prolongement de notre colonisation. Prendre notre indépendance, c’est n’accepter et ne nous soumettre qu’aux autorités de nos royautés ou empires congolais et à personne d’autre.
  5. Cette remise en cause du pouvoir de Kinshasa sur nos peuples n’est pas à confondre avec les aventureuses rébellions que nous connaissons et ne doit surtout pas être un rêve ; mais un combat de tout un chacun qui recherche notre réelle indépendance. C’est elle la vraie indépendance du Congo : celles de nos peuples aujoud’hui assujettis par Kinshasa et ce, depuis 1960, par nos propres frères congolais, d’abord et par les autres ennemis de nos peuples derrière eux.
  6. Nous demeurons convaincu qu’un passage en 5 étapes de 5 ans chacune, de la République, vers l’Union des État Indépendants du Congo (UEIC), de l’Afrique Centrale (UEIAC) ou de l’Afrique toute entière (UEIA), soit le seul moyen de léguer à nos enfants un état paisible et prospère.
  7. Notre indépendance politique, technologique, culturelle et sociale tient à notre capacité de produire et de vendre nous-mêmes nos services et nos produits, au Congo même ou du Congo même, sans courir inutilement, à perte, à l’étranger.
  8. De notre capacité de prendre en charge ces donnes géopolitiques dépendra notre destin, notre bonheur présent et futur.

Le Projet 2014, continue donc à solliciter une participation active massive à la rédaction en ligne d’un projet de société pour la RDC et de son test sur terrain au fur et en mesure de l’exécution dudit projet. C’est la manière civilisée et efficace de forcer Kinshasa à la capitulation dans la guerre qu’il mène contre notre peuple.

L’opposition échoue : pourquoi ?


Cette belle image nous est parvenue ce matin. Comme toujours, le commentaire attriste. Comment allons-nous nous en sortir avec des mensonges, dans l’opposition, comme dans le pouvoir en place ?

IMPOSSIBLE ! Peuple congolais.

« D’abord les 3 premiers (Sama L., Kamere et Judith S.) sont des rwandais de père et de mère ; ils travaillent en RDC pour le Rwanda. Les deux autres sont aussi des prédateurs corrompus avérés.

Si Tshilombo meurt ou s’il devient incapable de [suite de sa] maladie ; alors, c’est le tutsi munyavyura de Lubumbashi, Sam Lukonde qui va lui succéder légalement.

Felix Tshilombo est incapable de nommer un congolais de père et de mère à un poste régalien ou stratégique. La question qui se pose c’est : est-ce que lui-même Felix n’est pas étranger quelque part, d’origine ?

Dans tous ces gouvernements successifs, on a toujours plus de 5 rwandais tutsi comme ministres…

Donc, c’est alias Joseph Kabila qui continue dans l’ombre à gérer le Congo ; on a un roi qui règne et un roi nomme pour faire du théâtre. »

En même temps, certains croient la victoire déjà consommée. C’est ce que nous pouvons lire sur cet autre article qui nous tombe sur le bureau.

« Le combat pour le départ de Monsieur FÉLIX ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO à la tête du pays devient totalement facile.

Rien que pour ces deux visages : M. VITAL KAMERHE et M. SAMA LUKONDE sont les enfants politiques de JOSEPH KABILA KABANGE.

ATSHI bye !

https://x.com/LompempeJ/status/1823115817372037127?t=dsOpwqczLWGYDqE1jmkCNw&s=08« 

Travailler avec du mensonge, c’est perdre d’avance.
Comptons le nombre de contre-vérités dans cette livraison et concluons quant au pourquoi de nos échecs.

Nous aimons perturber…


Pendant que tout le monde ou presque se prépare pour les élections de la fin de cette année, que nous déconseillons à tous, pouvoir ET opposition, nous, au Projet 2014, recherchons plutôt des hommes et des femmes, des congolais, qui voudraient fédérer leurs ressources pour booster le travail dans le pays, en vue de son enrichissement d'abord.  Pourquoi et comment ?

Certaines personnes, de bonne foi, non averties ou paresseuses d'esprit, ne se posent pas des questions telles que :
1. Dois-je aller voter ?
2. Pourquoi ?
3. Si oui, de quelle manière ?

D'autres personnes, méchantes, aux esprits de domination, esclavagistes, opportunistes, égoïstes meurtriers, travaillent à nous pousser à des élections mal préparées dans le seul but de continuer à nous asservir. Leurs paroles mielleuses et vénéneuses sont des pièges que nous invitons nos compatriotes patriotes, chrétiens, à éviter ; pour préparer un avenir radieux à nous-mêmes et à notre progéniture.

Par la grâce divine, nous aurons les dirigeants que nous méritons !
Pourquoi désobéir ?
Parce que : investir son temps à préparer des élections qui nous diviserons de plus bel, c'est faire preuve d'une méchanceté sans nom ou d'une erreur de jugement qui coûtera cher à notre RDC, comme le 30 juin 1960 et comme à toutes les échéances électorales qui ont suivies, jusqu'à nos jours.
En effet, les congolais épris de paix, de justice, de fraternité, d'esprit de travail, de civisme existent. Ils nous observent dans notre projet électoral ou l'on voit clairement le pouvoir s'acharner à se reconduire, coûte que coûte, nonobstant ses multiples forfaits : impréparations politiques, matérielles, financières, administratives ; formalisme mal pensé et antidémocratique.
Nous apprenons, par exemple, qu'à Kinshasa, certaines personnes passent cinq fois aux bureaux de vote, sans être en mesure de recevoir les cartes d'électeurs que l'État leur a fallacieusement promis.
Parce que : pendant que nous déplorons la mégestion du registre national, la non identification des congolais, dans un contexte d'imposture généralisée, qui pousse plusieurs de nos compatriotes au désespoir, à la rébellion à main armée, le gouvernement pense à produire des cartes d'électeurs là ou nous n'avons pas encore de cartes d'identité et dans un pays ou nous sommes encore en guerre, les uns contre les autres.
Parce que : notre peuple, sans instruction ni liberté politiques suffisantes, se doit encore de se libérer du joug des hommes de Kinshasa, d'abord ; de ceux qui, pour l'instant et pour quelques années encore, colonisent et esclavagisent tout le pays, sous le regard d'une communauté internationale de plus en plus divisée et cruelle ; et, non appelée au secours, par ceux qui, désorganisés, ne peuvent prétendre ni mériter un secours. En effet, tous ou presque, sombre dans la logique de la guerre armée ou au poison... N'étant liés par aucun contrat social valable, les peuples du Congo sont, vuvent, de fait, sans foi ni loi quelconque, opposable à qui que se soit. Nous vivons, en réalité, dans une jungle.
Comment désobéir correctement ?
La pauvreté dans laquelle vivent les congolais est totale : spirituelle, morale et matérielle. Elle ne permet pas d'organiser des élections utiles, qui permettent de placer de bonnes personnes aux bonnes places, en vue d'une bonne gestion de l'État. Cela arrange les hommes au pouvoir qui ont déjà accumulé beaucoup de forfaits et qui veulent garder le pouvoir, pour se protéger de la colère du peuple qui se retrouverait avec des conducteurs responsables, justes, impartiaux.
Le congolais doit donc commencer par trouver comment s'affranchir de Kinshasa pour s'enrichir et être à même de mener à bien son projet de société, à préalablement concevoir et tester. C'est le sens même de l'existence du Projet 2014.
L'identification de nos vrais leaders et la promotion de ceux-ci n'a toujours pas encore commencé. Parce que plusieurs d'entre nous se sont investis dans la lutte armée plutôt que dans la lutte politique. Plusieurs n'ont pas encore compris que nous devons arrêter de festoyer tant que nos frères ploient sous le joug de Kinshasa et meurent sous les armes de celui-ci ! Rappelons-le, rappelons-nous que plusieurs armes des rebelles, sont des butins de guerre ramasser du près d'un pouvoir divisé contre lui-même et qui passera dès que nous nous résolverons de l'arrêter dans sa folie.
Nos limites sont nombreuses pour relever un tel défi. Où trouver gratuitement et ssns limites les ressources nécessaires : l'unité d'esprit, de cœur et d'action ?
Forcer Kinshasa passe par la prise d'un pouvoir, d'une autorité spirituels, moraux et matériels sur lui.
YHVH nous attends depuis. Qui veut se lever et porter hzut le flambeau divin ?

Voilà pourquoi, nous aimons perturber !

À qui la faute ?


[5/10, 06:50] TEKAKWO: Nomination sans travail!
Depuis que la coordination est installée je me demande si vraiment le PDDRCS est tout simplement slogan dans la bouche des Ituriens
[5/10, 06:50] TEKAKWO: C’est quoi cette histoire, où l’on nomme même les députés et agents de la fonction publique au sein du PDDRC-S ? Les nominés, vont-ils démissionner de leur mandat et postes au sein de la fonction publique, ou bien vont-ils cumuler ?
Pourquoi chercher toujours à faire le cumul des fonctions, pendant que le pays regorge plein des chomeurs ?
Ça fait la honte, et c’est ridicule, surtout pour les honorables députés provinciaux. Voilà comment les gens réduisent la fonction d’homme ou de femme d’état.
[6/10, 14:47] G. Paluku Atoka Uwekomu: Le peuple ou plutôt nous, peuples du Congo lumubien, élisons ou tolérons et élirons ou tolérerons encore ces hommes véreux en 2023.

Quant aux chômeurs dont parle notre compariote, ils ne sont pas capables de se liguer, de s’organiser pour créer des emplois ou des entreprises pour remplacer ceux qui ne nous apportent pas le développement auquel nous aspiront.

À qui la faute, ultimement !

Ce que nous ne pouvons pas !


[26/8, 20:55] GPAU :

Nous ne pouvons pas si facilement anéantir un peuple, quelque exécrable qu’il soit, chez lui ! Il est inique de réfléchir de la sorte, dans une nation jeune, d’origine coloniale. Nous ne pouvons plus continuer à tromper les concongolais non plus. Ce qui est dit ci-dessous est un mensonge qui coûtera probablement cher à ses auteurs. Les lendu et alliés et les nande et alliés, se battent, bien ou mal, pour leurs terres. Nous tous qui sommes sur leurs terres, nous gagnerions à rentrer chez nous, planter nos oignons. Cette façon de faire prouvera que nous sommes respectueux d’autrui, civilisé et paisible. Sinon, nos esprits hégémoniques rencontreront le courroux de peuples enragés, furieux.

https://newscongo.news/article/Ituri-Nord-Kivu—Les-operations-conjointes-FARDC-UPDF-prorogees-de-2-mois/3523


[27/8, 07:09] UAJD:

Cher administrateur du groupe, comment as-tu apprécié ou interprété cette publication ?

[27/8, 10:20] GPAU :

Demander l’avis de l’administrateur est une bonne chose. Cependant, cher frère, notre culture alur étant celle de débat et non celle de la pensée unique, quelle est ta propre opinion sur la question, que tu nous cache mal ? Sur laquelle de nos valeurs se fonde ton recours ? Quel est l’objectif de ce recours ?

Frère, je propose depuis longtemps que nous, peuples congolais, rentrions chacun chez soi – là où nous nous sentons le plus à l’aise, pour vaquer au développement de nos terres ancestrales dans la quiétude et ne pas avoir à nous pourrir la vie mutuellement dans notre jeune pays créé par la conférence de Berlin (?) ; et pour fermer la bouche aux lendu et alliés qui nous accusent de les coloniser, de manière particulière, dans notre Ituri.

Certes, la majorité ne partage pas notre point de vue, depuis que nous nous sommes politiquement engager, en 1976. Elle (cette majorité) pense que le Congo soit à nous tous, qu’il nous revienne de vivre où nous voulons, dans le respect de la loi, sans que les autochtones n’aient à nous soumettre au respect de leurs lois, de leurs cultures et politiques locales. Nous retorquons, depuis toujours, qu’il soit dangereux, inacceptable, colonial de penser et de se comporter de la sorte ; parce que personne n’a jamais demander à nos peuples avec qui ils voulaient vivre ni composer ; même si, d’expérience nous reconnaissons aujourd’hui que la volonté supposée, présumée, de plusieurs, de la majorité de concongolais soit de demeurer le Congo créé par les belges et leurs alliés, pour y créer un destin national, jusqu’ici défini par de véritables bandits politiques, plutôt que par nos peuples, directement concernés par tous les choix politiques qui nous sont imposés jusqu’ici, telle la République qui renie à nos royaumes, empires, alliances et autres, le droit à l’existence, tant bien que mal.

Heureusement, le Père restant au contrôle de toute chose, les faits montrent clairement que notre hypothèse de travail soit la négation dangereuse de la volonté affirmée de certains peuples de notre pays d’en dominer d’autres et celle tout aussi affirmée d’autres peuples de se débarrasser de ceux qui tentent de les subjuguer – à leur manière d’apprécier les comportements de leurs voisins. C’est ce que nous vivons en Ituri, dans le Kivu, dans l’Équateur, dans le Katanga, dans le Congo dit central.

C’est dans ce contexte aussi que l’état de siège est, pour nous, une preuve irréfutable, de l’hégémonisme du pouvoir de Kinshasa ; contre lequel nous appelons tout l’Est à livrer une légitime et juste bataille politique et non pas une improductive et déshumanisante rébellion.
Beaucoup de supporters de cet ignoble projet déchantent depuis des mois, mais sont incapables de paisiblement obtenir notre liberté aliénée, face à des lâches ennemis armés qui sévissent à l’Est de la République.

C’est ce qui nous arrive avec la CENI, la République, la MONUSCO, le lingala, les 60% de transferts, que Kinshasa nous impose, mais que plus personne dans le Kibali-Ituri, la Tshopo, les Uélé et les autres province de l’Est, ne sait et n’arrive à arrêter ; dans ce même registre colonial, esclavagiste.

Il est contre productif de vouloir nier des faits. Tant que nous serons dans la minorité politique, nous serons des démons : rien d’étonnant à cela. Ce qui nous fait peur n’est pas le rejet des nôtres, mais le sort lourd et terrible que Lui prononce sur ceux qui, comme nous tous congolais, ont les cous roides.

Paix chez vous tous dont les pieds sont beaux du fait de l’annonce que vous faîtes de la Bonne Nouvelle, par beaux temps, comme par mauvais temps.

La prise du pouvoir est facile !


Il n’est pas difficile de prendre le pouvoir quand on est populaire. Sauf dans nos pays africains où il y a beaucoup d’intrigues à surmonter.

Il faut d’abord avoir un programme clair et accepté par la majorité. Au projet 2014, nos propositions ne recouvrent pas encore toutes les attentes des congolais. Nous n’avons encore rien dit ou presque, des arts, du sport, des relations internationales, de l’industrie, de la culture… Il nous faut des compétences congolaises pour produire des offres politiques alléchantes.

Ensuite, une équipe électorale monte la stratégie de propangande et mobilise les ressoucres, une fois le peuple conquis sur papier (sondages).

La candidature posée, il n’y a plus qu’à suivre, surveiller, publier ses résultats des élections, pour assurer les électeurs de la validité des résultats officiels des élections et participer ainsi à la paix dans le pays. C’est le moment de renégocier, éventuellement, les chiffres, au sein des alliances.

Notre méthode de travail est telle que les négociations seront toujours faciles : nous travaillons avec des objectifs SMART.

Quel est notre problème aujourd’hui, sinon que l’absence d’engagements suffisants, le manque de professionnalisme chez les amis ou camarades de parti ?

Qui veut l’indépendance et le développement du Congo, tel que nous le propose le Projet 2014 ?