Il n’est pas difficile de prendre le pouvoir quand on est populaire. Sauf dans nos pays africains où il y a beaucoup d’intrigues à surmonter.
Il faut d’abord avoir un programme clair et accepté par la majorité. Au projet 2014, nos propositions ne recouvrent pas encore toutes les attentes des congolais. Nous n’avons encore rien dit ou presque, des arts, du sport, des relations internationales, de l’industrie, de la culture… Il nous faut des compétences congolaises pour produire des offres politiques alléchantes.
Ensuite, une équipe électorale monte la stratégie de propangande et mobilise les ressoucres, une fois le peuple conquis sur papier (sondages).
La candidature posée, il n’y a plus qu’à suivre, surveiller, publier ses résultats des élections, pour assurer les électeurs de la validité des résultats officiels des élections et participer ainsi à la paix dans le pays. C’est le moment de renégocier, éventuellement, les chiffres, au sein des alliances.
Notre méthode de travail est telle que les négociations seront toujours faciles : nous travaillons avec des objectifs SMART.
Quel est notre problème aujourd’hui, sinon que l’absence d’engagements suffisants, le manque de professionnalisme chez les amis ou camarades de parti ?
Qui veut l’indépendance et le développement du Congo, tel que nous le propose le Projet 2014 ?