Encore une mission onusienne ?


Voici ce qu’a écrit un compatriote sur la énième mission onusienne au Congo dont on parle déjà.

« Pour moi, ce n’est pas de bon augure pour la RDC. Car nos vrais ennemis, ce sont eux [Français, Allemands, Anglais] et les Rwandais, des exécutants dont les intérêts convergent avec ceux des Blancs. »

Si cela est vrai, l’issue sera pire que l’épisode de la MONUC dans les années 90. Congolais et Occidentaux perdront encore plusieurs âmes, avant que les deux parties ne nous donnent raison.

En effet, que nous sachions, plus personne au Congo ne veut plus attendre de tout ce qui est de l’Occidental. Celui qui, pour les Congolais, qui demeure raciste, esclavagiste, colonisateur. Dans sa pensée et dans son acte, aux yeux de la majorité écrasante des Congolais. La MONUSCO reste encore au Congo par défi et du fait de la trahison du Congolais par ses élus. Que se passera-t-il d’une énième mission onusienne au Congo ?

Le Congolais est maudit pour sa paresse, sa trahison, son parasitisme, sa niaiserie, son idolâtrie. L’Occidental et son proxi, l’Oriental, eux, le sont aussi déjà. Pour leur racisme, leur esclavagisme, leur colonisation, leur inhumanité, leur iniquité.

Quant à vous qui craignez Dieu, sachez bien qu’il a veillé, qu’il veille et qu’il veillera encore sur vous. Comme sur la prunelle de ses yeux. Malheur à celui qui touchera à votre peau, qui versera votre sang : il est déjà maudit, comme l’Autre !

Les rêveries de la dictature et de l’amateurisme politique…


ITURI : 600 COMBATTANTS DU GROUPE ARMÉ ZAÏRE DÉPOSENT LES ARMES ET REJOIGNENT LE P-DDRCS

Un tournant significatif dans la pacification de la province de l’Ituri a été marqué ce mercredi 15 janvier 2025 à Mabanga, dans la chefferie de Mambisa, territoire de Djugu. Six cents ex-combattants, anciens membres du groupe armé Auto-défense (Zaïre) dirigé par le Général autoproclamé Maki Baraka Amos, ont officiellement rejoint le Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation (P-DDRCS).

Ces combattants ont remis 85 armes de type AK 47, une mitrailleuse PKM, un lance-roquettes RPG-7, plusieurs roquettes, des centaines de munitions et divers autres effets militaires.

La cérémonie de remise de ces armes s’est déroulée en présence d’une délégation mixte venue de Bunia, composée notamment de Flory Kitoko MANIANGA, coordinateur provincial intérimaire du P-DDRCS ITURI , Esther Maturu, Coordonnateur provincial chargé de l’administration et finance, le chef d’antenne du P-DDRCS Djugu Honoré KAKHWA CHERIMANI, du commandant de la 32ème région militaire le Général Major Hurbain TAMBUKA, ainsi que des chefs coutumiers, la société civile et des partenaires internationaux tels que la MONUSCO, l’UNICEF et des acteurs de stabilisation.

Dans son mot de circonstance Flory KITOKO MANIANCA a exprimé sa reconnaissance avant de préciser que cet acte est un paris gagné pour le P-DDRCS en ITURI.
De son côté, Jean Marie Nganjole, porte-parole du groupe armé d’Auto-défense, a appelé les autres groupes armés à suivre cet exemple avant d’adresser plusieurs recommandations au gouvernement congolais et à la MONUSCO.

L’événement a suscité une vive satisfaction au sein des communautés locales. Pkari Dieudonné, chef du secteur de Walendu Pitsi, a salué cet acte comme étant un geste patriotique

Le désarmement mobile intervient après une série d’initiatives de sensibilisation menées par le P-DDRCS depuis le lancement de son programme en Ituri en juin 2022.

Cette remise massive d’armes témoigne de l’efficacité des efforts conjoints du P-DDRCS et de ses partenaires pour ramener la paix dans une région longtemps marquée par des conflits armés. Les autorités espèrent que cet acte déclenchera une dynamique positive et incitera d’autres groupes armés à déposer les armes. Avec ce pas franchi, l’Ituri pourrait se rapprocher un peu plus d’un avenir stable et pacifié.

Cellule de communication du P-DDRCS ITURI

https://x.com/pddrcs_ituri/status/1879612224534429998?t=6iasRPxzqOr_EYRumx-Qyg&s=19 djuguactualite@gmail.comhttps

GPAU

Voyons, maintenant, encore.  Que fera Kinshasa de ces compatriotes et pourquoi ?

Si personne ne se lève !


Si nous, Congolais, continuons à nous méprendre sur notre responsabilité dans ce qui arrive à notre pays, soudain, le pays partira en fumée.

Soyons clair : nous devons rapidement nous atteler à  obtenir ceci, pour éviter que la colère de Dieu ne se déverse sur nous et sur nos « innoncents » enfants.

  • Extirper la fausse religion du pays et son idolâtrie.
  • Nous débarrasser de tous les parlementaires véreux que nous nous sommes choisis.
  • Nous débarrasser de la République, de la MONUSCO, de la CENI et de la dualité de pouvoirs dans le pays, pour ne garder que le pouvoir actuellement dit coutumier.
  • Nous mettre autour d’une table pour décider de ce que nous voulons faire du Congo et de la manière dont nous voudrions procéder.

La patience de Dieu a ses limites : chers frères !

La MONUSCO est-elle complice ?


C’est ce qu’on pourrait penser en lisant ceci.

Quelle seront les réactions de la présidence de la République, du gouvernement et du parlement ?

Les congolais intelligents en tireront de nouvelles leçons.

« Au même moment, je vous informe que la Monusco a installé sa base à Mukoko, sur le chemin menant vers Kasuku. C’est pourquoi, aujourd’hui, nous assistons à des incursions des ADF à Tenambo le dimanche, et hier à Kekelibo ; dans la même localité de Bakila Tenambo. »

Qui a tué le 30/08/2023 à Goma ?


De notre groupe WhatsApp (Projet 2014)…

[4/9, 01:01] : POURQUOI CET HOMME DOIT ETRE ARRETE ET JUGÉ POUR LE MASSACRE DU 30 AOUT 2023?

Voici les raisons :

Nous sommes 03:20 de Goma, déjà, des militaires quitte le camps KATINDO en direction de Nyabushongo. Ils sont lourdement armés, telle une expédition qui va en guerre contre un ennemi armé et organisé.

A 04:15, les militaires ouvrent le feu sur l’Eglise de Wazalendo supposée abriter des manifestant qui devraient marcher vers la base de la MONUSCO et y déposer leur mémo pacifiquement.

L’assaut prend une vingtaine de minutes et à la clé on dénombre 51 morts tués par balle, 77 blessés et jusque-là il n’y a pas d’arrestation.

A 5:15 la chasse à l’homme commence, 21 autres personnes reçoivent de balles et meurent sur le champs, 55 autres reçoivent de balles et sont blessés.

A 6:19 les arrestations commencent. Tout celui qui se trouvent dans le partage aux environs du lieu de carnage est réputé Muzalendo. Un porte à porte s’effectue. Téléphone, argent, et autres biens de valeurs sont emportés par des militaires déguisés en inciviques et miliciens. Dans cette barbarie de pillage, 17 autres personnes sont tués, toujours par balle. 22 autres sont blessés.

A 07:12 des camions (KAMAZ) arrivent et font la ronde du quartier pour ramasser les corps des victimes afin de faire disparaitre les traces. Quelques curieux obstrués dans leurs maisons parviennent quand-même à prendre quelques images qu’ils lancent si tôt sur les réseaux sociaux et qui feront le tour du monde en quelques minutes seulement.

Les corps traînent toujours dans la rue et d’autres sont emportés par les tueurs et amènes à une destination inconnue.

A 08:30, à l’issue d’une brève rencontre, Mr Constant NDIMA KONGBA sort un communiqué officiel qui dresse un bilan définitif selon lui. Il y a eu 7 morts et quelques blessés côté « assaillant » et 1 policier tué. Qui est l’assaillant?

L’armée s’est comporté de manière professionnelle disait le Communiqué du Gouverneur militaire signé par le Lt Col. NGIKE KAIKO.

A l’hôpital de CEBECA NDOSHO, les morts se comptent en dizaines, l’une après l’autre personne amenées pour des soins meurent faute de traitement, le bilan s’alourdit. Rien qu’à l’hôpital, 23 morts parmi les blessés.

Arrêtant tout celui qu’ils ont trouvé sur leur passage, les criminels amènent avec eux 155 autres civils qu’ils présentent à Mr Constant NDIMA qui par ailleurs ne regrette pas plutôt il les encourage.

Au lendemain du carnage, Constant NDIMA KONGBA fait une apparition télévisée à la RTNC et affirme ceci:

J’ai ordonné à l’armée d’intervenir pour stopper ces manifestant qui se dirigeaient dangereusement vers la MONUSCO et les forces de l’EAC. Ils voulaient tuer les blancs.

A 3:20, il y avait-il déjà des manifestants dans les rue de Goma et qui se dirigeaient vers le QG de la MONUSCO?

Les deux Quartiers où il y a EUR ces carnages sont-ils proches du QG de la MONUSCO qui se trouve d’ailleurs à la RVA, plus de 10Km du lieu de massacre?

Quelle était l’intention de Constant NDIMA KONGBA d’envoyer des militaires surarmes à 3:20 du matin pour encercler une église?

Combien d’adeptes de ladite secte ont-ils été tués, blessés ou arrêtés par désobéissance sur la route qui mène vers la MONUSCO que NDIMA supposait être menacée?

L’intention criminelle de ce Monsieur l’a poussé à ordonner à ses inciviques d’emporter les corps de leur victimes afin qu’il ne soit connu du public qu’il y a eu massacre pourtant trop tard.
La publication du bilan de 7 morts et un policier par le gouverneur militaire, contredit par le gouvernement congolais puis condamné par le Président Tshisekedi renforce la conviction de quiconque que les massacres de Goma a été planifié par le Gouverneur militaire en place ensemble avec tous ses collaborateurs et qu’en voulant dissimuler les corps, ce qu’est une ‘attitude reconnu à un criminel n’est rien d’autre que la confirmation d’un comportement répréhensible.

S’agissant de l’attaque systématique menée contre la population civile non armée, il s’agit bien d’un crime de guerre imputable aux dirigeants hiérarchiques de troupes.

Lorsqu’il a ordonné l’incendie de l’église en question et du Poste-Radio, il s’agit là d’un crime contre l’humanité.

Quand ses soldats ont introduit des projectiles, de couton et de canons dans les parties intimes de la journaliste Mongi assassinée sur place, il s’agit là d’une mutilation de cadavre, là aussi c’est un crime de guerre.

Vu la gravité de faits, Mr Félix Tshisekedi n’a aucun autre choix que de mettre à la disposition de la justice Mr Constant NDIMA KONGBA pour répondre de ses actes même dans le cas du délit de commandement car étant le responsable hiérarchique à défaut d’être lui-même accusé pour tous les crimes de ses soldats en tant que auteur intellectuel in solidium avec Constant NDIMA.(cfrt Procès J.P BEMBA à la Haye dans l’affaire Centrafrique)

La Justice devra intervenir de Mr NDIMA la restitution de Corps de victimes, la prise en charge de soins médicaux de blessés, la libération de toutes les personnes illégalement arrêtées par ses hommes et la réparation de tous les préjudices causés par ce sulfureux officier à toutes les victimes.

Vous ferez mieux de partager massivement ce poste.

[4/9, 04:56]: Jl est 11h top a goma arrive d’une forte délégation conduit par le vice premièr ministre ministre de l’intérieur vice premier ministre ministre de la défense ministre de la justice ministre de droit humain ministre des affaires sociales gouverneur militaire général constant dima …. L’objectif est de faire une enquête indépendante pour se rassurer delà la vraie réalité delà tuerie qui se passé à Goma. Depuis la ville de Goma Bruno tongoetani héritier président de la société civile mubi en mission privé
[4/9, 06:51] : #RDC: toute famille qui a perdu les siens à l’issue des manifestations
sanglantes du mercredi 30 Août 2023 à #Goma est priée de se présenter au
gouvernorat de province pour prendre contact avec la commission dépêchée
de #Kinshasa pour faire le point général sur la situation.

Communiqué
[4/9, 08:00] : Message du ministre de l’intérieur Peter Kazadi à la population de Goma ce lundi à 2heures

Les ituriens croient à nos ennemis : Kinshasa et la MONUSCO !


[16/7, 10:19] G. Paluku Atoka Uwekomu: C’est la catastrophe !
Cette fois, je vois mon pays occupé, recolonisé.
Dommage que les ituriens acceptent, tolèrent ces macabres visiteurs que Kinshasa invite chez nous.
L’avenir nous dira qui mourra et pourquoi.
En effet, le conflit dit hema/lendu tout comme l’invasion du pays par des bandits étrangers ne peuvent correctement être résolus de cette manière…
[16/7, 10:22] René Baraka Timolo: Quel est votre proposition ?
[16/7, 10:42] G. Paluku Atoka Uwekomu: La réponse, René, est dans mon texte :

Dommage que les ituriens acceptent, tolèrent ces macabres visiteurs que Kinshasa invite chez nous.

1) Il nous revient, nous, ituriens, de régler les conflits que nous avons nous-mêmes créés entre nous (lendu et alliés – hema et alliés).

2) Il nous revient de comprendre que Kinshasa et l’ONU veulent le délabrement de l’Est pour des raisons différentes, mais avec des intérêts convergents ; et de ce fait, ne sont pas les directions vers lesquelles il faut aller pour trouver du secours.

Plus clairement et précisément, où est la solution aux deux problèmes ( conflits internes et occupation étrangère ) ?
Dans la construction de deux arbres à problèmes par les ituriens eux-mêmes et ou pour les ituriens eux-mêmes.

Nous sommes prêts pour conduire ce travail depuis décembre 1999. Aucun iturien ne veut se mettre au travail. Les ituriens croient à nos ennemis : Kinshasa et la MONUSCO !

Excusons la MONUSCO !


[10/4, 13:00]
Les agents de la MONUSCO ont été attrapé à l’aéroport de Goma avec les tenues militaires FARDC il ya de cela 6 ans.La suite de l’enquête n’est pas connue jusqu’aujourd’hui!!!

[10/4, 14:23]
Tu leur cherche des excuses, ces hommes de la MONUSCO ?
Il y en a une qui est bétonnée : ils sont là sur l’invitation de notre gouvernement.
C’est dire que notre premier objectif doit être la disqualification de notre gouvernement au motif du crime de lèse-nation.
Les autres demandes ne sont pas des plus logiques et accroîtrons nos pertes en vies humaines en raison de la lâcheté qui fera que le gouvernement nous enverra ses chars et ses sbires dedans.

La MONUSCO est-elle excusable ?


Tembos Yotama

JOMBA : UN SUJET QUI FACHE; Soupçon de complicité MONUSCO – Ntaganda
Mardi, 22 Mai 2012 / Africa News
Douloureuse faute des hommes de Meece : un casque bleu de la MONUSCO refuse d’apporter son aide aux soldats des FARDC blessés lors des affrontements avec les mutins menés par Ntaganda et Makenga. Impossible de ne pas y déceler les consignes de sa hiérarchie et de conclure à l’inutilité actuelle de la Mission onusienne en RD-Congo.
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  • Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu Nous le soulignons depuis 1994, cette inutilité !
    Elle sera de plus en plus clair pour ceux qui ne l’ont pas encore compris jusqu’ici.
    Il n’est plus possible que l’ONU parvienne à se racheter. Pourquoi ?
    Le mal commis est profond, multiforme, criant… L’institution qui le commet est inexcusable au regard de sa position…  Passer de la MONUC à la MONUSCO ne changeait rien : il fallait bien s’en rendre compte, dès le départ !