Être parlementaire en Ituri, en RDC…


🎯 Appel à la lucidité et à l’intégrité pour les parlementaires de l’Ituri.

Face à des menaces explicites pesant sur plusieurs élus de l’Ituri, il est impératif d’agir avec courage et discernement. La situation exige non pas de la témérité, mais une sagesse éclairée.

🛡️ Conseil essentiel
Prenez de la distance, à temps, vis-à-vis des comportements et des alliances qui mettent en péril votre sécurité physique, morale et politique. Ne cheminez pas avec ceux dont les actes vous exposent à la chute. Le courage n’est pas de persister dans l’erreur, mais de savoir s’en éloigner lorsque le danger devient évident.

📜 Responsabilité politique
Rappelez-vous que vous avez été partie prenante dans certaines décisions. Reconnaître cela et prendre vos responsabilités vous honorera davantage que de fuir les conséquences. Approchez le gouvernement en toute transparence, dialoguez, agissez sans craindre l’avenir.

🙏🏽 Sagesse spirituelle
La Bible nous enseigne : « Ne marche pas en chemin avec un chien méchant, de peur qu’il ne te morde sur ce chemin. » Ce message n’est pas une métaphore vide — c’est une mise en garde. Ceux qui auront le courage de se distancer des forces nocives préserveront leur vie et leur âme.

⚖️ En conclusion
Ce n’est pas une incitation à la rébellion, mais un appel à une survie digne et juste. Celui qui agit selon la vérité, sans arrogance ni peur excessive, trouvera une voie — peut-être étroite, mais réelle — vers le salut.

Qui veut comprendre et comment ?


On ne comprend plus rien. La Monusco était en train de combattre les terroristes du M23/AFC, aux côtés des FARDC. Comment se fait-il que la même Monusco soit en train de désarmer les FARDC ? Au lieu de désarmer les rebelles, ils désarmes leurs ennemis ?

On ne comprend plus rien.

Qui ne comprend rien ? Pourquoi ne comprend-il plus rien ? Avec quelle conséquence pour lui et pour l’humanité ?

Nous, peuple congolais, sommes très lents à comprendre. C’est bien avant la colonisation que nous ne comprenions déjà rien. Nous vendions nos enfants aux arabes, sans le moindre souci. Même à la colonisation, nous ne comprenions pas. La traitrise ignoble, confier le sort de nos peuples aux colonisateurs, ne nous disait rien.

Jusqu’aujourd’hui, nous sommes encore nombreux à ne pas avoir compris. Que nous n’ayons qu’une indépendance de nom. Et qu’avant l’indépendance de 1960 et après cette indépendance, notre reste pour l’instant la même.

Nous ne connaissons même pas encore la mission de la MONUSCO dans notre patrie. Qui nous a jamais décortiquer le contrat qui lie la RDC à l’ONU dans l’affaire MONUSCO ?

Pourquoi ne venez-vous pas à nos rencontres du Projet 2014 ? De 20h00 à 20h40, sous Zoom, venez écouter des Congolais avertis, sur des questions qui nous chiffonnent. Quitter notre ignorance, notre incompétence et notre indiscipline, nous permettra de ne plus commettre les erreurs du passé.

Venez donc en tant que conférencier, orateur, modérateur de travaux en groupe. Vous nous aiderez à hisser notre niveau intellectuel, professionnel et moral, pour l’avancement du Congo-Kinshasa. C’est alors seulement que nous créerons la surprise, que nous laverons notre honte.

L’AFC et le M23 sont des rebelles congolais, contre le régime de Kinshasa, soutenus par plusieurs pays étrangers. Tout comme l’UDPS est une dictature, une imposture, soutenues par plusieurs pays étrangers. Pour nous, les uns comme les autres sont comme la peste et le choléra au Congo. La rébellion et la dictature sont deux maux qui gangrènent notre pays !

Que le Dieu créateur des cieux et de la terre nous aide dans notre démarche. Elle qui vise à faire comprendre cette donne, nous tous, idolâtres, fainéants et traîtres.

Dictature et avenir des Congolais : Urgence d’une réflexion, d’une action.


Voici un autre pavé dans la marre : de source jusqu’ici inconnue. Cette TSHOF TV se faisant introuvable…

Comme les fils de Satan ne peuvent jamais être plus intelligents, nous sommes prévenus par eux-mêmes, dans leurs fourberies. Ils essaient, en lançant quelques intox.

L’arbre sera reconnu par ses fruits. La dictature ne sera jamais bonne, comme certains voudraient que nous l’admettions, pour satisfaire leurs bas instincts. Elle demeurera abjecte, inaccepte pour tous ceux qui aiment réellement notre Congo et ses fils.

Nous devons apprendre à dire non à ceux qui voudraient nous prendre tous pour des bêtes, comme le firent certains avant eux. Cela demande de notre part beaucoup de courage, de sagesse, d’intelligence, de détermination, de travail, de veil, de vigilence.

Suivez la vidéo ici pour vous imprégner de ce qui se prépare.

De la capacité de nous Congolais discerner dépendra notre lendemain.
Plusieurs décisions ici nous parraissent intéressantes, mais sont servies sur un plat empoisonnée. Un plat de dictature.

  • La réduction du nombre des partis politiques à deux.
  • La révision du découpage territorial.
  • La suppression du Parlement bicaméral.
  • Le droit au recouvrement de la nationalité perdue par certains congolais.

En revanche, le décor est macabre :

  • Le dictat de A à Z, d’entrée de jeu.
  • La colonisation des toutes les provinces et l’accaparement de leurs terres et de leurs destins.
  • Le culte pour le Président de la République.
  • La négation de notre humanité et la réduction de tout congolais au stade de l’animal à soumettre par lâcheté.

L’insécurité croîtra de plus bel :

  • Des nouvelles rébellions s’annonceront déjà demain, probablement, spontanément.
  • Une nouvelle vague d’exil saignera sans doute encore le pays.
  • Les rapaces s’accapareront du pays et la dépéceront à souhait.
  • L’injustice sociale s’est déjà renforcée dehors.

Si les choses devaient se passer comme annoncé dans cette vidéo, il faudra une intervention angélique pour arrêter le couroux des congolais épris de respect du congolais et de paix pour nos peuples.

MOOCs : Éducation pour tous ou piège à illusion ?


Nous pouvons commencer par apprendre ce que sont les MOOCs ici par exemple : https://www.mooc.org/about-moocs.

Nous pouvons ensuite inventorier tous les avantages et tous les inconvénients des MOOCs. Plusieurs ont tendances à présenter leurs bienfaits sans parler de leurs méfaits.

AvantagesInconvénients

L’étape suivante devait être l’analyse plus fine des MOOCs pour les dompter et les mettre au service de la lutte contre l’ignorance qui profite aux dictateurs dans notre pays. Mon expérience me révèle que les irresponsables du progrès se compte par millions dans notre pays. Il convient de mener une lutte tous azimuts contre l’ignorance, sous toute ses formes.

Il nous faut une infrastructure que les hommes actuels de Kinshasa ne sont pas prêts à mettre en oeuvre. Il faut donc commencer sans eux ou les engager dans la démarche, en démontrant qu’ils ont intérêts à le faire et qu’ils perdrrait à ne pas le faire. Sinon, au plan national, ce serait échouer d’avance, encore une fois.

Avant d’aller plus loin…

Il faut avoir de raison de recourir au MOOCs.

  • Nos atouts.
    • La taille du pays.
    • La taille de la population.
    • La variété culturelle.
  • Nos faiblesses.
  • Le colonialisme.
  • La dictature.
  • La parentalité.
  • La parenté.
  • La mysticité.
  • La religion.
  • La superstition.
  • Le taux d’illetrisme.
  • Les bénéfices.
  • Les opportunités.
  • Les menaces.
  • Les contraintes.

Campagne ou travail ?


Les élections de 2028 sont devant nous. Nous avons loupé 2011, 2018, 2023. Si nous loupons 2028 aussi, ce serait regrettable pour le Congo-Kinshasa.

En effet, nous compatriotes meurent partout : pas seulement à l’Est. Les brutalisés, les empoisonnés, les tués, les violés, les emprisonnés, les dépouillés ; au pays comme à l’extérieur du pays, sont très nombreux : nous sommes véritablement maudits par Dieu.

Il n’y a qu’une voie de salut : le repentance ! Sinon, nous continuerons à subir le courroux du Dieu vivant et vrai. En effet, notre idolâtrie désarçonne, même les plus superstitieux. Levons-nous, comme certains indiens l’ont fait : jetons nos idoles, brulons-les ou faisons-en autres choses à la gloire du Dieu vivant et vrai qui enrichit sur tous les plans ceux qui l’adorent en esprit et en vérité ; ceux qui acceptent que Christ et le Père viennent habiter en eux, jusqu’à la félicité éternel.

Rejoignez-nous ici, dans Kongo Ya Sika ou dans dans nos initiatives pour combattre l’esclavage, la colonisation, la dictature et d’autres choses semblables.


Suivez attentivement l’Hon MBINTULE MITONO qui met à défi la demande d’une nouvelle prorogation de l’État de Siège au Nord-Kivu et en Ituri au niveau de la plénière de l’Assemblée Nationale et il plaide ouvertement pour la fin de ce régime exceptionnel.

Soutien plus à ce Vaillant Député qui fait honneur de tous nos concitoyens.


Pendant que nous voulons la fin de l’état de siège, lui, croit utile d’enquêter !

Voilà comment nous nous enfermons nous-mêmes dans l’esclavage, la colonisation, la dictature.

Plus grave, il ose tenter de laver l’auteur illégal de cet état de siège et ceux qui lui permettent de nous subjuguer.

Non ! L’honorable Mbidule ne nous avance pas : il nous recule, il nous trahit, plutôt, au grand jour.  Ce que nous lui demandons de défendre, c’est la fin inconditionnelle et immédiate de la dictature ; et  le respect du kibali-iturien.

Nous savons nous occuper de notre terroir nous-mêmes.

Disons NON !


Jbk

#RDC : 10 ans de prison et 500 millions de francs congolais d’amende ! C’est la peine que risque Moïse Katumbi, pour avoir entamé les travaux de réhabilitation d’une piste d’atterrissage abandonnée depuis les années 70, à Mulonde dans le Pweto. Il lui est reproché de ne pas avoir reçu d’autorisation pour le faire.


Gpau

Si cela est vrai, nous devons tous nous lever et dire non, pour que Kinshasa ne nous traite pas comme ses esclaves ! Le Katanga doit avancer : avec ou sans la RDC. Les provinces qui veulent continuer à se laisser inféoder n’ont qu’à continuer avec leurs guides. Les mauvais attelages sont nocifs pour notre nation et cela dure depuis des millénaires chez les nais.

Cause et donc la racine de la guerre qui ravage le Congo ?


Écoutons ce que prétend un compatriote !

« Pour comprendre la cause et donc la racine de la guerre qui ravage le Congo , il faut remonter au mois d’octobre 1973 et non pas se focaliser sur des personnages insignifiants et des acteurs de troisième catégorie comme Bill Clinton , Madeleine Albright , Tony Blair, Louis Michel , Obassandjo, Paul Kagame, Museveni, etc . C’est du menu fretin.

C’est une funeste erreur et c’est par pure ignorance que les Bantous congolais ciblent ces individus qui ne sont en réalité que de minables exécutants .

Que s’est-il passé en octobre 1973 ? Le déclenchement de la guerre du Yom Kippour , bien sûr , entre l’Egypte de Anouar El Sadate et Israël .

Il s’en suivit:
1- la défaite de l’armée égyptienne.
2- l’occupation du Sinaï , territoire égyptien et donc africain ( très important pour comprendre la suite !) par Tsahal, l’armée israélienne.
3- la réaction de feu le maréchal Mobutu qui , du haut de la tribune de l’ONU , prononça la terrible phrase dont les Bantous congolais ont perdu le souvenir et dont , bien sûr , ils n’ont jamais été capables de mesurer les conséquences dévastatrices.
Rappelez -vous , l’ancien président de l’ex république du Zaïre proclama devant l’assemblée générale de l’ONU, « urbi et orbi », je le cite textuellement : « Entre un ami et un frère , le choix est clair ». De façon plus explicite, entre l’ami juif et le frère égyptien ( parce que africain ) , Mobutu choisit le frère égypto-africain au détriment de l’ami juif.
Mais loin de s’arrêter à cette option, Mobutu alla plus loin , beaucoup plus loin avec la rupture des relations diplomatiques entre le Zaïre et Israël .
Il s’en suivit aussitôt une réaction en chaîne avec des ruptures de relations diplomatiques en cascade entre la quasi totalité des États africains, hormis l’Afrique du Sud , la Côte d’Ivoire et le Bénin . Jamais , depuis sa création en mai 1948, jamais au cours de son existence chahutée, l’Etat Juif n’avait essuyé pareille humiliation, ni encaissé pareille offense , ni subi pareil outrage à l’échelle internationale.
Un tel opprobre rendait nécessaire une réparation , sous forme de vengeance envers son auteur , envers son peuple et envers son pays . En somme une triple vengeance.
Cette dernière étant un plat qui se mange froid , Israël attendit 20 ans pour le déclenchement de la phase de représailles et de vengeance sur Mobutu , sur le peuple bantou congolais et sur le Congo .

La première loi dans le code de Moïse auquel tous les Juifs sont soumis est la loi dite du talion : « œil pour œil , dent pour dent ». Les Bantous congolais, à commencer par leurs pasteurs qui lisent la Bible ne comprennent rien à ce livre et n’ont jamais pensé à en tirer les conséquences sur le destin de leur propre pays ni sur leur destinée collective .
Donc la vengeance étant un plat qui se mange froid , c’est en 1993 que les Juifs instrumentalisèrent les Tutsis pour exécuter la vengeance à leur place , tout en leur promettant un soutien militaire et une assistance financière illimités, un appui logistique en abondance , la complaisance des médias aux ordres des lobbies juifs et la complicité diplomatique sur l’ensemble de la planète .
C’est ainsi que fut créé en 1993 l’instrument de prédilection chargé de matérialiser la triple vengeance juive à savoir l’AFDL, Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo .

Trois ans plus tard , en septembre 1996, l’AFDL passait à l’action en déclenchant à partir de la bourgade congolaise de Lemera la grande offensive militaire qui allait , neuf mois plus tard , le 17 mai 1997, provoquer l’effondrement du régime de Mobutu , sa fuite au Maroc et sa mort à Rabat le 27 septembre de la même année . Première vengeance assouvie .
Soit dit en passant , loin d’être une rébellion congolaise , l’AFDL opéra en réalité comme une milice armée ethnique et extrémiste tutsie , une vraie tumeur cancéreuse qui produira plus tard des métastases : RCD/ Goma, CNDP, M23 et tout récemment l’AFC, Alliance du fleuve Congo.

La deuxième vengeance , qui devait s’exercer contre le peuple de Mobutu , les Bantous congolais , a également été satisfaite puisque le bilan du génocide en cours au Congo dépasse en ce mercredi 8 mai 2024 douze millions de morts . Série en cours . notamment du côté du Nord-Kivu.

Dans l’entretemps , les Juifs et les Tutsis avaient passé une alliance de sang , elle aussi ignorée par l’écrasante majorité des Bantous congolais . Il s’agit du fameux Pacte de Havila signé à Bruxelles , dans un des hôtels Mercure situé en banlieue de la capitale belge , en septembre 1999.

Il ne reste plus aux Juifs qu’à assouvir la troisième et dernière vengeance, celle qui soit s’exercer contre la république du Congo . Notre pays est en voie de balkanisation et de dislocation. Le Congo résiste , certes , tant bien que mal mais pour combien de jours ou de mois encore ?

Tout au sommet de cette immense pyramide de vengeance bâtie par les Juifs pour anéantir le Congo et les Bantous congolais opère la plus secrète, la plus puissante , la plus impitoyable, la plus satanique et la plus redoutable de toutes les organisations occultes juives à travers cette planète : « Les fils de l’Alliance », en hébreu « B’naï B’rith » dont le siège est situé à New York , aux USA. C’est elle la donneuse d’ordres . C’est elle qui tient les commandes . D’elle partent les instructions aux banques juives , aux dirigeants juifs comme Louis Michel , Madeleine Albright ( mais bien sûr qu’elle fut une Juive !) , aux médias et aux ONG pour l’exécution de leur stratégie .
Les Bantous congolais ne sont pas obligés de croire en cette exégèse. Ils peuvent continuer, comme ils le font depuis bientôt 30 ans , à dénoncer la communauté internationale, Bill Clinton , Madeleine Albright , Louis Michel et tutti quanti ! Malheur à eux !! C’est ainsi qu’ils sont exterminés sans savoir qui sont ceux qui les tuent.
À bon entendeur, salut ! »

Selon notre compatriote, nous, Bantous, serions donc victimes d’une rancœur, d’une vengeance des Juifs, humiliés en 1973 par J. D. Mobutu Sese Seko, qui; dans leur guerre contre le monde arabe, se rangea du côté des arabes de El Sadate, par solidarité continentale, laissant trahissant l’amitié israëlo-zaïroise.

Est-ce vrai, que ce que raconte notre compatriote lourdement inspiré ? Où sont les erreurs, le cas échéant ? Comment éviter que nos peuples bantous qui tomberaient dans un piège, en considérant que les ennemis du Congo soient plutôt Bill Clinton et bien d’autres personnalités favorables à l’État d’Israël, ne le soient plus désormais ?

Nous avons déjà analysé de notre côté les causes de nos déboires, nous congolais, quant à ce qui se rapporte à l’insécurité dans le pays.

Obligation scolaire et professionnelle…


Nos parlementaires doivent être titillés. Ils doivent être commandés pour déposer une loi qui rende obligatoire les études pour nos enfants de la RDC jusqu’à l’âge de 24 ans. Cela, dans le but de nous mettre rapidement en avance par rapport aux autres nations qui vieillissent politiquement, culturellement et stratégiquement parlant. Ces pays perdent en vitesse dans le développement spirituel, intellectuel, culturel, scientifique, industriel, technologique, social.

Jusqu’à présent, nos dirigeants ont majoritairement été des jeunes. Sans instruction, sans formation et sans éducation suffisantes, ils ont abîmé le pays hérité de la fausse indépendance proposée par le MNC. Et pour ne pas avoir une opposition forte à leurs régimes fantoches, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS maintiennent la population dans l’ignorance des lois qui président au fonctionnement du monde visible et invisible. Pour se faire, ils détruisent, chaque jour qui passe, le tissu de notre enseignement. Pour sauver notre nation, nous avons proposé pour notre enseignement : 1° l’obligation scolaire jusque 24 ans, 2° la séparation de la fonction enseignante et de la fonction évaluative des acquis et 3° la quadrimestrialisation de l’enseignement à tous les niveaux : celui dit préscolaire, le primaire, le secondaire, le supérieur, l’universitaire et le post-universitaire.

Jusqu’à présent, personne ne nous suit. Les pouvoirs qui se succèdent à Kinshasa continuent à profiter de la démission des parents qui bien souvent, hélas, n’aiment leurs enfants que du bout des lèvres. Le peuple s’abrutit, la nation en pâtit, les ennemis du Congo en profite pour piller et décimer nos peuples. La gente congolaise risque donc un jour de disparaître, comme le prédit plus ou moins Kwebe Kimpele, cet autre prophète qui prêche dans le désert.

« Dans le système éducatif de la République Démocratique du Congo, la scolarité est obligatoire pendant 6 ans1. [C’est donc une obligation scolaire jusqu’à 12 ans, dans un pays sous-développé à bien sous plusieurs plans !] Cela correspond généralement à l’enseignement primaire. Cependant, il est important de noter que l’application de cette obligation peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales [Presque nulle part dans le pays, les parents ne sont poursuivis ! Beaucoup d’enfants errent dans les rues et dans les cours des parcelles toutes les journées, sans que les communes ne demandent de comptes aux parents défaillants.]. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024, 18:20.

Qu’est-il dit de l’application de la loi en cette matière ? Pourquoi plusieurs enfants sont-ils dans les rues ou en situation d’esclaves dans les maisons d’inciviques ? Qui est responsable de cette situation ? Comment le gouvernement congolais de la RDC contrôle-t-il l’application de l’obligation scolaire jusqu’à l’âge de 12 ans et que fait-il des enfants mineurs entre 12 ans et 18 ans ?

« Le contrôle de l’obligation scolaire en République Démocratique du Congo est assuré par plusieurs mécanismes. Voici quelques-uns des principaux mécanismes de contrôle :

  1. Contrôle de l’inscription scolaire des mineurs : Une cellule spécifique est chargée de vérifier que les mineurs bénéficient bien d’une instruction1. Elle vérifie que chaque enfant est inscrit dans une des filières d’enseignement1. Lorsqu’aucune information n’est trouvée sur la manière dont est instruit un mineur, le service prend alors contact avec les parents ou la personne investie de l’autorité parentale1.
  2. Contrôle des salaires des enseignants : Un audit approfondi a porté sur les salaires des enseignants dans les provinces concernées par le projet2. Ces résultats ont fait l’objet d’un contrôle par un organisme indépendant2.
  3. Contrôle de l’achat des manuels scolaires : L’achat des manuels scolaires revient en priorité aux écoles qui le font sous le contrôle et la responsabilité de leurs gestionnaires respectifs, et en concertation permanente avec les parents d’élèves3.

Cependant, il est important de noter que l’application de ces contrôles peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024 à 21:57.

Nous savons très bien que l’esclavagisme, la colonisation, la dictature et le sabotage de l’enseignement, contribuent à accroître l’insécurité dans le pays. Ils contribuent aussi à retarder la prospérité de la majorité et à nous plonger dans l’ignominie, dans le grand déshonneur et dans l’indignité extrême dans lesquelles nous vivons aujourd’hui, partout où nous sommes. Ces maux qui continuent au Congo, qui y sont entretenus par des esclavagistes, des colonialistes et des dictateurs étrangers et nationaux nous poursuivront jusqu’au jour nous nous léverons tous pour dire : « ASSEZ de nous prendre pour ses sous-hommes ! »

Pour proposer et ne pas nous contenter de la critique facile, nous proposons des voies et moyens pour nous sortir de l’auberge.

  1. Dissolution inconditionelle de la CENI pour responsabiliser l’adminidtration publique.
  2. Salaire minimum garanti à tous les plus de 24 ans et ce minimum supérieur au minimum vital ; obligation de travail pour eux tous – ces plus de 24 ans, y compris les handicapés. Mise au travail, par l’administration locale, de ceux qui ne trouvent pas du travail ou de citoyens qui n’arrivent pas à créer du travail par eux-mêmes dans les 12 mois.
  3. Salaire maximum inférieur ou égal à 5 fois le minimum vital, dans le secteur public.
  4. Obligation scolaire jusque 24 ans pour tous les enfants.
  5. Trois ans maximum de moratoire pour chaque travailleur sans qualification validée par l’État, électroniquement, pour se qualifier dans son domaine par une formation à horaire décalé.
  6. Cinq ans maximum de sursis pour chaque administration locale pour adjoindre l’eau potable et l’électicité dans chaque maison de ménage et chaque installation d’entreprise, à ses frais – l’admonistration locale, moyenant des crédits bancaires, qui couvrent les rénovations indispensbles.

Pendant que les autres attendent…


[01-01-2024 22:52] : « Moi j’attends le 3/1 [le 3 janvier 2024] ici le résultat de la CENI surtout pour les députés nationales et provinciales. »

Tel est ce qu’attend notre compatriote d’un groupe WhatsApp prolifique. Dans notre Projet 2014, nous avons compris que les Congolais ne doivent pas compter sur ceux qui multiplient des promesses infondées ou des espoirs vains. Cela nous a inspiré les réflexions ci-dessous que nous nous hâtons de partager avec vous. Parce que le temps nous presse.

[01-01-2024 22:52] : Qu’en feras-tu quand tu les auras ? Cela pourrait nous aider dans le montage actuel de notre stratégie.

En effet, au projet 2014, nous souhaiterions avoir les peuples congolais, les ministres du pays et les parlementaires du pays de notre côté en nombre suffisant avant de décréter ce que nous proposons depuis notre début en décembre 1999 :

1° l’abandon de la République pour l’adoption de l’union d’États indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale ou même de l’Afrique, construite partant des affinités qui existent entre nos peuples ;

2° la fin de la dictature pour son remplacement par la théocratie ;

3° la fin de la colonisation et le recouvrement de la souveraineté par tous nos peuples jusqu’ici subjugués ;

4° la fin de la médiocrité dans les affaires de la nation et la gestion du pays par des technocrates, mercenaires de l’État, payés au résultat ;

etc.

Tout cela, pour nous, est à faire dans l’ordre, en soumission total aux peuples par tous ; et non à une quelconque autorité usurpée de Dieu !

D’ores et déjà, préparons-nous résolument et sereinement à agit différemment désormais. En effet, le changement que nous proposons ne devrait pas nous prendre moins de 25 ans, au regard de l’état de délabrement politique dans lequel se trouve la nation et de la carence d’un projet de société digne d’un pays à la taille du nôtre.

Un travail glorieux est à accomplir patiemment. Il faut d’abord s’attendre sur certains principes fondamentaux. Le respect de tout congolais en tant qu’être humain et sa protection contre les ennemis de notre nation. Le refus de toute forme de médiocrité, de bestialité, d’esclavage et de colonisation, de dictature, de trahison, de pillage de nos richesses.

Peuples congolais, prenez courage et rejoignez le Projet 2014, porteurs de projets politiques novateurs, pesants et originaux. Notre pays ne saurait demeurer dans le marasme que perpétue les régimes qui se succèdent à Kinshasa jusque ce jour et qui avouent eux-mêmes leurs incapacités à apporter le changement dont nous avons besoin : celui de passer du mal au bien. Nous devons serrer nos coudes pour récuser toute forme de domination, de moutonnerie ; de niaiserie et de collaboration avec les imposteurs défilent à Kinshasa.

Commencer par mûrir un projet individuellement ou en groupe plus ou moins important. Inscrivez-vous ensuite comme participant au Projet 2014, pour contribuer à la rédaction, en ligne, et au test, sur terrain, d’un projet de société qui soit le plus démocratique et le plus complet que notre pays ait jamais eu.

Pour vous inscrire comme participant, suivez ce lien-ci.