L’insécurité de notre pays est aussi due à notre incapacité de dissuasion et de riposte. Peu sont ceux qui acceptent de considérer cette réalité.
Les contre-performances de notre peuple, de notre armée et de notre police résulte de notre bas niveau de formation. Si la majorité le sait, une minorité cependant en tient compte.
Le snobisme, la dépendance culturelle, économique et industrielle dans laquelle nous vivons, sont eux-aussi les conséquences de nos bas niveaux moyens d’instruction, de de formation et d’éducation.
Nous proposons depuis longtemps une solution que nos compatriotes, dans leur majorité, foulent aux pieds.
1. L'obligation scolaire jusque 24 ans pour nos enfants.
2. L'obligation de travail pour tous les valides après 24 ans.
3. L'obligation de qualification officielle de tous les travailleurs via des enseignements et formations de qualification professionnelle.
Les nombreux échecs des gouvernements qui se succèdent à Kinshasa, où sont concentrés nos ministères de colonisation et domination, prouvent pourtant à suffisance que leurs stratégies demandent des révisions démocratiques profondent.
Tous nos partis politiques étant démissionnaires, il faudra attendre très longtemps avant que le pays ne soit mis sur les rails.