Consultations ou conspirations de Nairobi ?


https://lavoixdelituri.net/irumu-apres-sa-participation-aux-consultations-de-nairobi-la-frpi-demande-a-dautres-groupes-armes-demboiter-son-pas/


Une chose est certaine : nous ne bâtirons pas un Ituri de paix et prospère avec la lâcheté et l’arbitraire.

Nombre de nos frères ituriens et de nos ennemis ont tué impunément depuis 1960 et personne ne se soucie vraiment de rendre justice aux familles endeuillées et aux personnes laissées.

Notre compromission en tant que peuples est totale et profonde. Voilà qui explique que nous fassions les frais de notre compromission.

L’erreur à ne pas reprendre est connue : construire une armée refuge d’assassins, de pilleurs, de traîtres !

NI L’ENSEIGNEMENT NI LE TRAVAIL !


🇨🇩 RDC 30 AVRIL ET 1er MAI 2022, NE FETEZ PAS L’ENSEIGNEMENT NI LE TRAVAIL MAIS REVOLTEZ-VOUS CONTRE VOS DIPLÔMES.

Vous vous dites intellectuels et vous vous appelez travailleurs, mais votre pays reste toujours presque le dernier en tout ; en quoi avez-vous été formés et sur quoi travaillez-vous ?

[Les] Des africains sans diplômes ni postes de travail à la hauteur des titres académiques et fonctions dont vous vous vantez ont réussi à refuser la colonisation des « wazungu » et à réclamer leur dignité.

Aujourd’hui vous, vous acceptez d’être dominés et manipulés par vos semblables congolais et africains.

Si votre enseignement a été de vous apprendre à tout accepter comme dogme, alors dites [nous] alors de vous comprendre.
Si votre travail vous a formés à tout supporter, alors méritez nos excuses.

(Propos du juriste chercheur Moïse KIKONDO à Sunama Maombi)

Poser et répondre aux questions…


[17/3, 09:25] +243 813 307 114: T’as-tu déjà posé la question de savoir pourquoi nous n’arrivons pas à devancer ces occidentaux ?
T’as-tu déjà demandé pourquoi les dirigeants africains qui essayent de relever la tête sont aussitôt assassinés ?
[17/3, 10:51] G. Paluku Atoka Uwekomu: Oui !!!
Pourquoi nous n’arrivons pas à devancer ces occidentaux ?
Nous sommes des fainéants, des plaintifs, des racistes, des démissionnaires, des tratres, nous-mêmes des dictateurs, des esclavagistes, des colonisateurs, des hégémonistes…
Pourquoi les dirigeants africains qui essayent de relever la tête sont aussitôt assassinés ?
Il essaient de nous dominer malicieusement, dans un contexte où il y a plein de traîtres, ils n’apprennent pas du passé, se croient intelligents, confondent tribus et nations, ils sont des niais et des traitres de nos nations, ils ne savent pas identifier nos vrais amis, nous les élisons sur des bases népotites, nous les destinons à la boucherie internationale.

Construire l’Ituri…


Nous n’allons pas construire l’Ituri avec le tribalisme, la lâcheté, de la barbarie, de la méchanceté ni du banditisme.
C’est avec l’humanité, le courage, l’humanisme, la bienveillance et le civisme qu’il nous sera possible d’avancer, de développer notre province.
J’en appelle donc personnellement, à tous les combattants ituriens à cesser de se laisser manipuler par des paresseux, incompétents ou méchants hommes politiques, du pouvoir comme de l’opposition. Ceux qui poussent les autres à la mort, mais qui ont une peur bleue quand il faut prendre les armes pour combattre les ennemis de sa famille, de son peuple ou de sa nation.
Il nous faut quitter nos complexes, nos peurs, nos rancoeurs pour nous libérer de toute forme d’oppression, de domination, d’exploitation.
Une justice doit être rapidement instaurée d’une manière concensuelle.
Les esclavagistes, les colonisateurs, les pilleurs, les usurpateurs, les dictateurs doivent être estés en justice pour rendre compte à nos familles, à nos peuples et à notre nation.
Sans quoi, attendons nous au chaos et assumons notre choix de la guerre fratricide.

RDC : morte ou vivante ?


Force est de se rendre compte que le gouvernement congolais ne s’en sorte pas – les tueries continuent de plus bel – et que la population ne lui facilite pas la tâche – la rébellion se renforce, jugeant le gouvernement non crédible, la population se désolidarise de l’administration qu’elle considère comme une imposture, constituée d’une bande de pilleurs supplémentaires et elle ne croit plus à ces représentants qui brillent par la trahison et l’inefficacité politique, administrative…

La situation est en réalité chaotique, critique, un cul-de-sac mal caché par les officiels congolais, africains et internationaux pour qui la vie du congolais importe peu, en raison de ce qu’ils considèrent comme étant la mollesse, la fainéantise, la moutonnerie, la sauvagerie, la traîtrise intrinsèques des Congolais.

Quelques personnes commencent à comprendre que la solution au problème congolais soit effectivement des démarches telles que celles proposées par l’UNIC de M. Georges Alula Makita, la RDC-Libre lancé par M. Albert Muya ou encore le Projet 2014 initié par nous : se mettre autour d’une table pour s’approprier la RDC et la transformer en un paradis envers et contre toute autre volonté de ceux qui prient jour et nuit leurs dieux pour la mort du Congo-Kinshasa, pour la colonisation des peuples du Congo, pour le pillage de ses richesses de toutes les sortes ; par peur que celui-ci ne se venge « sauvagement » du tort qu’il aurait subi de l’étranger depuis la rencontre avec le monde arabe, européen et africain.

La réalité c’est que pendant quelques années encore, quelques décennies-mêmes très probablement, le Congo sera encore un pays d’esclaves en raison de l’incapacité de ses peuples de se mettre ensemble autour d’une table pour cause d’égoïsme, d’ignorance propagée et infusée par la fausse religion et un terrorisme international non encore maîtrisé en raison des élections népotistes pour lesquels les Congolais ont optées depuis qu’ils ont reçu l’indépendance de la Belgique.

L’origine coloniale de notre pays ne nous excuse pas.  Il faut rentrer plus loin dans le passé de nos peuples pour comprendre que nous ne sommes pas encore un pays que nous souhaiterions être.  Les Belges nous ont rassemblés en un pays dont nous ne connaissions ni la raison d’être ni les objectif ni les stratégies.  Dans notre révolte mal préparée, nous nous sommes retrouvés avec un pays que nous n’arrivons pas à gérer autrement qu’en essayant de singer les autres.

Il y a cependant une bonne nouvelle.  Une nouvelle bonne pour les amis – rares – mais aussi pour les ennemis du Congo.  Les Congolais s’aiment bien et ne sont pas aussi divisés que l’on pourrait le croire.  Tout indique bien le contraire.  Ils ont appris à se connaître et à s’aimer.  Imparfaitement.  En raison de la traîtrise et de l’incivisme des hommes et des femmes qu’ils ont alignés au pouvoir, commis à la gestion de la chose publique.  Non seulement que le Congo ne serait plus en vie, mais bien plus sérieux que cela, une certaine intelligentsia congolaise en a marre de jouer aux bambins et commencent à engager la « grande vitesse ».

C’est pour cela qu’au Projet 2014, comme cela l’est aussi à la RDC-Libre, un des objectifs du moment c’est clairement d’enrichir le tous les congolais qui le souhaiteraient dans le but de soutenir le développement intégral et endogène.

RDC et Ouganda


Enfin, l’Ouganda vient d’ouvrir sa frontière pour laisser passer les déplacés des affrontements entre les éléments du M23, du Gén. SULTANI MAKENGA, et, les FARDC, à RUTSHURU, dans [vers] le village de GISIZA. (8/11/021).

Ces éléments du M23 sont maintenant [depuis] 4 ans cantonnés dans ce territoire [de Rutshuru] à JOMBA. C’est l’échec des négociations avec KINSHASA qui serait le fruit de cette réapparition de [du] mouvement politico-militaire du M23. Pour Ayob Safro, c’est l’échec de l’État de siège et du Programme DDRS-C.

@RDC_Minaffet @GouvNordKivu @ONU_fr @Presidence_RDC https://t.co/XX7ccAMXVJ

Plus de CENI au Congo !


Voici la biographie de Dénis Kadima Kazadi , nouveau Président de la CENI.

Né le 21 septembre 1961 en RDC, Dénis Kadima est présentement le directeur exécutif de l’Institut Électoral pour une Démocratie durable en Afrique (EISA).

Ancien directeur du référendum et élections de l’ONU au Soudan (juillet 2010 à mars 2011) et conseiller technique principal du
PNUD en Tunisie (avril à juillet 2011), il est aussi licencié en sciences politiques et administratives de l’Université de Lubumbashi (1987).

En outre, il détient un master en sciences politiques et un diplôme post-universitaire en administration des affaires de l’université de Witwatersrand située à Johannesburg, en Afrique du sud (1997 et 1999).

Par ailleurs, Dénis Kadima est un expert en élections, démocratie et bonne gouvernance et est doté de plus de 30 ans d’expérience professionnelle. Il a à son actif des compétences solides dans les domaines du leadership, la planification stratégique, la conception et la direction des programmes, la levée de fonds (fundraising, ndlr), la gestion axée sur les résultats, le réseautage, la gestion des ressources humaines et la gestion financière.

De 1987 à 1992, il a été tour à tour chef de service et gérant de succursale à la Banque Commerciale Zaïroise (RDC) et de 1995 à 1998, il a dirigé le Programme de l’Ashoka Innovateurs pour le Public basé en Afrique du sud.

Quid de ses réalisations ?

En tant que directeur de l’EISA, il a entre autres, transformé avec succès cette organisation sous-régionale centrée sur l’Afrique australe en une ONG panafricaine et continentale respectée et influente et a développé et mis en œuvre une stratégie de levée de fonds ayant résulté à une augmentation des revenus de 33% en moyenne par an, sur une période de 10 ans. « Le revenu annuel moyen de l’EISA s’est élevé à 12 millions de dollars américains, contribuant à faire de l’Institut la plus grande et la plus influente des ONG africaines œuvrant dans le domaine des élections, de la démocratie et de la gouvernance », souligne-t-il.

En Tunisie où il a occupé le poste de conseiller principal du PNUD en 2011, Dénis Kadima a notamment, mis en place et dirigé l’équipe électorale de l’ONU, élaboré des stratégies et plans opérationnels appropriés pour l’organe tunisien de gestion électorale (ISIE) et intégré la dimension genre dans toutes les stratégies opérationnelles.

En dehors de cela, il a mis en place une division référendaire et électorale intégrée et initié avec succès une diplomatie électorale auprès des États et bailleurs, et obtenu une levée de fonds qui a permis l’augmentation des ressources pour le fonds commun du PNUD au Soudan entre 2010 et 2011.

Sur le plan électoral, Dénis Kadima a dirigé et appuyé plusieurs missions d’observation et d’évaluation d’EISA et autres institutions durant sa carrière professionnelle.

Visions et perspectives

Avec ses 30 ans d’expérience professionnelle dont 21 dans le domaine des élections, de la démocratie et de la bonne gouvernance, il ambitionne d’apporter à la CENI « l’intégrité morale, le professionnalisme, l’impartialité et l’objectivité qui sont vérifiables dans les institutions où il a travaillé ».

il avait promis que s’il était élu à la tête de la CENI, il entreprendrait ce qui suit :

  • Renforcer l’indépendance, l’impartialité et la transparence de la CENI ;
  • Être à équidistance et fédérer toutes les forces politiques nationales, sans distinction d’origine ethnique, géographique, religieuse ou de Genre ;
  • Mener de meilleures consultations avec les acteurs électoraux à travers des cadres de concertation qui fonctionnent effectivement ;
  • Pérenniser l’expertise de la CENI et davantage professionnaliser cette institution et améliorer son sens du service ;
  • Mettre en œuvre des programmes de prévention et gestion des conflits électoraux afin de mettre fin aux contestations et violences cycliques ;
  • Assurer plus de familiarisation de l’électorat avec la Machine à voter (MAV) ;
  • Améliorer les relations entre la CENI et la Communauté internationale ;
  • Assurer une meilleure communication avec le public et ;
  • Améliorer la redevabilité de la CENI vis-à-vis des parties prenantes et du public.
    [28/7, 09:33] G. Paluku Atoka Uwekomu: C’est donc :
  • un dépendantiste avérer qui nous aliénera plus qu’il ne nous libérera du joug étranger ;
  • un luba de plus dans la stratégie du Président de la République qui vise un tripatouillage réussi, parfait en 2023 ; en maintenant en place cette CENI qui ruine le Congo depuis sa création ;
  • c’est un autre inconnu qui surgit d’ailleurs pour venir nous surprendre, nous congolais, désormais experts en niaiserie ;
  • c’est un autre traitre qui accepte de travailler avec notre propre Président qui nous esclavagise à l’Est, comme dans le reste du pays : c’est notre ennemi avérer qui refuse de dénoncer son frère de tribut.

Que pouvons-nous faire pour ne tomber dans ce piège séculaire ?

  • Refuser la CENI pour 2023 et proposer à la place la réorganisationde notre administration pour qu’elle soit en mesure de s’occuperen toute indépendance des élections ; et se donner du temps pour ce travail indispensable à l’évitement des tripatouillage.
  • Titiller nos parlementaires pour voter motion de défiance à l’encontre de notre Président qui perpetue une culture de mépris pour le peuple, d’esclavage et de colonisation en défiant le souverain suprême que nous sommes.
  • Nous préparer sereinement à débouter de force tout ceux qui, aujourd’hui, nous esclavagisent et nous colonisent, encore et toujours.
  • Demander à être remplis du Saint-Esprit du Dieu vivant et vrai, dans le combat à mener contre Satan et ses suppôts congolais et étrangers, qui nous renient l’humanité ; de manière à nous garantir une marche victorieuse sur les scorpions.

L’avenir sombre de nos enfants…


Je te taquine, mon fils.
Notre pays est dans une condition difficile, bien-aimé !
En 1965, quand beaucoup se soulaient des « Djalelo », « Sakayosa », « Ituri matata : nyata mbunda » et autres, nous étions pris pour des fous, nous qui annoncions le regret, le grincement des dents, l’ignominie…
Et ce que tu vois là, woda, c’est encore rien : le pire approche.  Doucement, mais sûrement.   Toi, assure tes arrière.   Parce que ces hommes ne savent plus nous aimer : ils ont appris que nous sommes leurs ennemis, depuis leur tendre enfance.
À plus de 30 ans, il n’y a plus qu’une intervention divine pour changer leurs croyances.
Prions !

Oui à quel soulèvement populaire ?


[30/3, 15:07] Paluku-Atoka Uwekomu: Communiqué important
Le soulèvement populaire du 31 Mars 2021 demande donc à tous de respecter le protocole pour la réussite totale de la révolution populaire congolaise par la désobéissance civile et Le soulèvement populaire.
Ce protocole est sur la page Facebook de Valentin Kambale
Pour toute contribution financière allons sur la page Facebook de Valentin Kambale.
IL faut paralyser les activités de deux grandes villes de BENI ET BUTEMBO pendant 100 jours.
PAS de taxes
PAS de commerce
Pas de voiture qui circulent quotidiennement
Pas D’ÉCOLES PRIMAIRES SECONDAIRES ET UNIVERSITAIRES
Pas de négociation avec la monusco.
Demandez à Félix Tshisekedi de venir installer son gouvernement à BENI et l’état major de Fardc jusqu’à la fin du Génocide BENI LUBERO.
Vive la résistance
La patrie ou la mort
[30/3, 15:22] Paluku-Atoka Uwekomu: Où est l’erreur, toujours la même ?

  • l’absence d’un projet, d’un plan démocratique du groupe cible ;
  • la malheureuse adresse à un ennemi, bien connu, pour avoir du secours, plutôt qu’aux amis éprouvés ;
  • le choix, l’appel étrange de la mort et l’invocation ou l’évocation d’une patrie deliquescente, esclavagiste, colonialiste !

Oui ! Un soulèvement populaire est nécessaire depuis 1960, pour nous débarrasser du Lumumbisme et sa démagogie.

Oui ! La MONUSCO et le tshisekedisme, avec sa traîtrise, doivent partir.

Pour cela, il faut agir autrement : avec sagesse et intelligence ; et non pas pris par une colère mal maîtrisée. Sinon, ce sont des morts en plus que nous ferons, nous tous qui refusons de nous arrêter de danser, de boire, de nous soulager, pendant que nos frères meurent comme des charognes.

Un autre prêcheur dans le désert…


Tel que reçu de M. Bino

LA TRANSHUMANCE POLITIQUE

Transhumance : c’est le déplacement des troupeaux des zones arides vers les pâturages encore verts.
Cette définition pourrait s’appliquer à la situation politique qui s’observe en RDC depuis UN mois.
Les corrompus du FCC sont devenus les corrompus de Fatshi. Les médiocres de JKK sont devenus les médiocres de Fatshi
Ils ont traversé le Rubicon, (la rivière Kalamu) pour se réfugier a Limite.
Chacun y allant de son argument ou de son prétexte pour justifier sa fuite…
Sans honte et sans idéal…ils s’en sont allés…
Vantant les mérites de ce qu’ils avaient vilipendé ;
Et vilipendant ce que hier ils avaient vanté et adulé !!
Canaan est devenu Egypte et l’Egypte est devenue Canaan !!
Ils se retrouvent, ils se reconnaissent tels qu’ils étaient, de l’autre coté.
Mais ils ne peuvent se regarder dans le miroir, ils y reconnaitront des monstres…

Quel est le secret de ce coup de force, de ce coup de poker ??
Les billets verts ou des jeeps ??
Mais ici, le résultat est spectaculaire…
Et le monde entier en est resté ébahi !!!!
Qui l’eut cru ?????

Le maitre d’œuvre est là, debout contemplant son ouvrage ;
Savourant les instants magiques de son action.
Celui qui les dénigrait hier en a fait son porte étendard.
Le panier à crabe a changé de propriétaire !!
C’est du bonnet blanc et du blanc bonnet !!
On prend les mêmes et on recommence !!
SACHEZ-LE !!!
Une crabe reste une crabe, sa nature demeure…
Chasser le naturel, il revient au galop !!
Qui a trahi, trahira…
La nouvelle bête DE SCENE s’appelle : Union Sacrée de la Nation !!

Mwasi ya moninga , elengi na kolula, na kotala…
Zua otiya YE na ndako… omona bolumbu ya nkoba !!

ALERTE PRECOCE
MOKOLO OKOYA KOYEBA EZA LELO

Ajabu

(Ajabu ou plutôt Adjabu = miracle ; mokolo okoya – koyeba eza lelo = le jour vient – aujourd’hui est le jour de la connaissance)