Je te taquine, mon fils.
Notre pays est dans une condition difficile, bien-aimé !
En 1965, quand beaucoup se soulaient des « Djalelo », « Sakayosa », « Ituri matata : nyata mbunda » et autres, nous étions pris pour des fous, nous qui annoncions le regret, le grincement des dents, l’ignominie…
Et ce que tu vois là, woda, c’est encore rien : le pire approche. Doucement, mais sûrement. Toi, assure tes arrière. Parce que ces hommes ne savent plus nous aimer : ils ont appris que nous sommes leurs ennemis, depuis leur tendre enfance.
À plus de 30 ans, il n’y a plus qu’une intervention divine pour changer leurs croyances.
Prions !
Merci beaucoup et je vous souhaite de passer un excellent weekend.
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